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BNP

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Corse : les gendarmes accusent le préfet Bonnet

May 4 2021 d'une réunion avec les chefs de l'armée et de la police



Corse : des gendarmes contre lEtat de droit

Apr 26 2021 3 FL; Portugal CON.

LeMondeJob: WMQ1308--0001-0 WAS LMQ1308-1 Op.: XX Rev.: 12-08-99 T.: 11:00 S.: 111,06-Cmp.:12,11, Base : LMQPAG 30Fap: 100 N

o : 0318 Lcp: 700 CMYK 55
e

ANNÉE - N

o

16966 - 7,50 F - 1,14 EURO FRANCE MÉTROPOLITAINEFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIVENDREDI 13 AOÛT 1999

Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 9 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 45 FB ; Canada, 2,25 $ CAN ;Côte-d'Ivoire, 850 F CFA ; Danemark, 15 KRD ;Espagne, 225 PTA ; Grande-Bretagne, 1 £ ; Grèce,500 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 2900 L ; Luxembourg,46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvège, 14 KRN ; Pays-Bas,3 FL ; Portugal CON., 250 PTE ; Réunion, 9 F ;Sénégal, 850 F CFA ; Suède, 16 KRS ; Suisse, 2,10 FS ;Tunisie, 1,2 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.

histoire hant•e, comme Hamlet, par le retour parmi les vivants d'une "me errante, insatisfaite et inqui•tante.

Autre exemple de la d•marche

d'Annie Paradis : son analyse des

Noces de Figaro. Elle comprend

l'op•ra comme le parcours inver- s•, contract• en une seule et folle journ•e, des rituels saisonniers qui, de la Saint-Valentin “ la

Saint-Jean, en passant par les

jeux de mai, conduisent de la confusion des amours “ l'•lection de la promise. Ce retour en ar- ri˜re, ce " reverdissement »des cúurs qui saisit tous les couples,

Suzanne et Figaro, la comtesse et

le comte, Marceline et Bartholo, est la condition pour que les in- fractions “ la coutume et les d•- r˜glements de l'ordre amoureux sur lesquels s'ouvre l'op•ra puissent, dans sa derni˜re sc˜ne, laisser place “ l'har- monie retrouv•e. Une telle interpr•tation conduit “ en- tendre tout autrement ce que l'on croyait si familier. Elle porte l'attention sur les multiples tra- ductions musicales de la disso- nance sociale, qui sont autant de transpositions dans le langage de l'op•ra des conduites de bruit propres aux charivaris. Et elle souligne la pr•sence d'un bes- tiaire carnavalesque dans les airs (malheureusement le plus souvent coup•s “ la sc˜ne) que chantent au d•but du IV eacte

Marceline puis, apr˜s l'aria “ la

th•matique de monde “ l'envers musique entremetteur, le meneur de toute la f-te.

Ce beau livre, qui entrelace

avec une gr"ce d•licate th˜mes et motifs, sugg˜re, une fois referm•, deux r•-

¯exions. La pre-

mi˜re a la forme d'une ques- tion : “ qui l•- gitimement assigner les r•f•rences “ la cou- tume si fortement pr•sentes dans tous les op•ras ?

AMozart lui-

m-me dira-t-on.

Sans doute, si l'on se

souvient de ses fortes contributions aux li- vrets et, plus encore, de la caract•risation par la musique elle-m-me, parfois en d•calage avec le texte chant•, de la place de chacun dans les parcours d'apprentissage. Mais ici l'inten- tion de l'auteur n'est pas tout.

Mozart, comme ses librettistes

ou ses auditeurs, entretenait une familiarit• imm•diate avec la culture coutumi˜re de son temps. Son úuvre peut donc -tre comprise comme une expres- sion esth•ti- quement subli- m•e d'un in-m•canique de cette r•f•rence fondatrice. Elle sait, au contraire, rep•rer avec subtilit• les varia- tions que Mozart lui impose d'op•ra en op•ra.

En suivant ce chemin, le livre

assigne un rþle central “ des per- sonnages souvent tenus pour se- condaires, mais qui sont en fait essentiels pour que s'ac- complisse, selon les r˜gles, le n•- cessaire retour “ la coutume. Ils ont une m-me t"che ± accompa- gner les jeunes couples dans leurs •preuves ± et un trait commun ± leur propre apprentis- sage est demeur• inachev•. Ils sont des "fols»ou des bouffons qui ne quitteront jamais la saison des oiseaux et les jeux de l'ado- lescence. Mozart caract•rise ces " passeurs »en leur attribuant une musique r•p•titive, tour- noyante, qui s'enroule sur elle- m-me. Papageno, le garØon-oi- seau au nom de perroquet, nom- m• papegai dans l'ancienne langue, en est la derni˜re incar- nation. Chasseur d'oiseaux et de

®lles, il assiste le prince dans son

parcours d'apprentissage, mais lui-m-me demeure pour toujours dans le temps de la jeunesse.

L'oiseleur-oiseau devient ainsi le

personnage cl• de La Flžte en- chant•e. Sans rejeter l'interpr•ta- tion maØonnique, classique de- puis le livre de Jacques

Chailley (2), Annie Paradis

montre de faØon convaincante que l'úuvre renvoie “ une autre initiation, plus largement parta- g•e : celle qui, par la m•diation des oiseaux, fait passer les jeunes gens, ou la plupart d'entre eux, des •mois juv•niles “ la gravit• de l'"ge adulte (3).

C'est une d•marche analogue

qui la conduit “ entrer dans Don

Giovanni“ partir d'un d•tail :

pourquoi Da Ponte et Mozart ont-ils donn• au serviteur du grand seigneur m•chant homme cune des versions ant•rieures de l'histoire : Leporello ou l'homme- li˜vre ? L“ encore, la d•monstra- tion est brillante. Partant des si- gni®cations li•es “ cet animal dans la tradition folklorique, elle retient l'une d'entre elles, l'her- maphrodisme du li˜vre ou, pour le moins, sa nature double ren- due visible par son museau fen- du, qui lui permet de repenser le couple constitu• par Leporello et prime si clairement l'•change des identit•s, des habits, des formes musicales (Don Giovanni chante deux des trois airs que lui attri- bue Mozart sous le d•guisement de son valet), conduit “ distri- buer les propri•t•s du li˜vre entre les deux personnages : au •rotique et alimentaire, les d•®s sans raison ; au serviteur, la couardise, mais aussi la m•dia- tion avec le monde des morts. De l“, son rþle essentiel dans une

VENDREDI 13 AOÛT 1999LITTERATURE ESSAISb

Roger Chartier

Mozart ou les apprentissages du cúur

Le style est l•ger, enjou•,

estival. Mais que l'on ne s'y trompe pas. Le livre d'Annie Pa- radis est une •tude savante et ri- goureuse qui rel˜ve un d•® re- doutable : •crire, une fois encore, sur Mozart. La bibliographie est immense et semble avoir •puis• toutes les interpr•tations pos- sibles de l'úuvre. Pourtant, comme l'indique dans sa pr•face

H. C. Robbins Landon, grande

autorit• mozartienne, l'ouvrage d'Annie Paradis r•ussit le tour de force de proposer une lecture des op•ras de Mozart que personne avant elle n'avait faite.

Le principe en est simple, ainsi

r•sum• : " Des pi˜ces de jeunesse aux grands op•ras, depuis Bastien et Bastiennejusqu'“ La Flžte en- chant•e,une unique th•matique structure le th•"tre lyrique mozar- tien, lui donnant sa force et son ex- traordinaire homog•n•it• : celle de l'apprentissage, de la mise en sc˜ne ritualis•e d'un itin•raire so- cial. »Il s'agit donc de comprendre les op•ras de Mo- zart comme Yvonne Verdier l'a fait des romans de Thomas Har- dy (1) en y d•chiffrant le parcours qui, dans les soci•t•s anciennes, menait, “ travers •preuves et ruptures, de l'enfance “ l'"ge adulte, du d•sordre amoureux au choix du conjoint, de l'ind•cision des cúurs “ l'ordre matrimonial.

Mais les op•ras de Mozart ne

donnent pas “ voir et “ entendre directement les diff•rentes •tapes d'une telle initiation.

Lorsqu'ils commencent, l'ap-

prentissage est achev•, ou du couples sont d•j“ form•s : Figaro et Suzanne, Guglielmo et Fiordi- ligi, Ferrando et Dorabella, Bel- monte et Constanze, Idamante et

Ilia. Toutefois, en d•pit des appa-

rences, ils sont encore vuln•- rables, “ la merci d'un simple ac- cident : l'amour d'un grand seigneur, le dangereux pari d'un philosophe cynique, un enl˜ve- ment par des pirates, un vúu in- consid•r•. Une telle fragilit• est le signe que les unions ont •t• trop tþt nou•es, que la coutume n'a pas •t• respect•e. Il faut donc revenir en arri˜re, refaire “ la h"te le chemin des •preuves. A son terme, la paix des cúurs et l'ordre des alliances seront soli- dement •tablis. Mais il en faudra payer le prix : l'•loignement d•®- nitif, m•lancolique, du printemps des libres amours et du chant des oiseaux. Ce traitement de la cou- tume par le g•nie mozartien oblige “ la pr•caution et “ l'in- vention. Construisant “ partir d'une matrice ethnologique, An- nie Paradis, qui a soulign• l'im- portance des rites de passage et des cycles calendaires, ne fait pourtant jamais un usage sec etconscient ethnologique, d'un "impens•»rituel partag• par toute une soci•t•.

D'oŸ la seconde question :

doit-on lier la sensibilit• parti- culi˜re de Mozart aux s•quences et aux formes des itin•raires ini- tiatiques avec sa propre trajec- toire biographique ? Faisant un large usage de la correspon- dance (4), Annie Paradis est ten- t•e par la proposition, mais sans oublier les contraintes qui s'exercent sur la cr•ation musi- cale en un temps oŸ domine le patronage princier et aristrocra- tique et oŸ vivre des revenus des concerts et des repr•sentations d'op•ra se r•v˜le presque impos- sible (5). A l'int•rieur de ces li- mites impos•es au compositeur, elle marque les nombreuses co'n- cidences qui existent entre les in- trigues successives des op•ras et les •tapes de la vie du composi- teur. Plus profond•ment encore,

Papageno, un homme inachev•,

jamais •loign• du temps des ar- deurs juv•niles, jamais s•par• de ces oiseaux tant aim•s qui ac- compagn˜rent toute son exis- tence. Dans cette enfance per- p•tu•e, tou- jours rever- die, se nouent la ®gure de l'•pis- tolier •ternelle- ment adoles- cent, friand de mauvaisesfarces et d'allusions scatolo- giques, et celle de l'artiste inspir• dont la musique r•enchante un monde trop adulte. (1)Coutume et destin. Thomas Hardy et autres essais, Gallimard, 1995 (" Le monde des livres » du 19 janvier1996). (2)La Flžte enchant•e, op•ra ma-

Øonnique, Laffont, 1968.

(3) L'•tude fondamentale de Daniel

Fabre " La voie des oiseaux. Sur quel-

ques r•cits d'apprentissage »,

L'Homme, juillet-septembre1986,

XXVI, 3, pp. 7-40.

(4) Publi•e en sept volumes chez

Flammarion.

(5) Norbert Elias, Mozart, sociologie d'un g•nie, Seuil, 1991 (" Le Monde des livres » du 20 d•cembre 1991).

MOZART, L'OP...RA

R...ENCHANT...

d'Annie Paradis.

Pr•face de H. C. Robbins Landon.

Fayard, 398 p., 140 F (21,34¨).Comment •crire encore sur Mozart aujourd'hui ?

Annie Paradis rel˜ve

brillamment le d•®, en d•chiffrant, au ®l des op•ras, le th˜me de l'initiation qui,

“ travers •preuves

et ruptures, m˜ne de l'enfance

“ l'"ge adulte

et du d•sordre amoureux

“ l'ordre matrimonial

Illustrations : Mozart

en m•daillon, et Don Giovanni et Donna Anna, silhouettes en papier d•coup• r•alis•es par Lotte Reiniger au d•but du si˜cle

O.F.V.W./SIPA ICONO

SELI/SIPA ICONO

LE FEUILLETON D'ÉTÉ

DE FRANCIS MARMANDE

page 26

WOLFGANG HILDESHEIMER

page 27DAVID LEAVITT

ET ROD JONES

Entre Venise et Toscane,

entre comédie et drame, les mystères du désir dépouillés de toute hypocrisie page 27MAURICE CHAPPAZ page 28

International............. 2

France.......................... 5

Soci•t•......................... 6

R•gions........................10

Horizons.......................11

Entreprises .................15

Communication........16

Tableau de bord........16Aujourd'hui ................19

M•t•orologie, jeux... 21

Abonnements............ 21

Carnet .......................... 22

Culture......................... 23

Guide culturel............ 24

Le Monde des livres 25

Radio-T•l•vision....... 29

LE MONDE DES LIVRES

aAu sommaire :

Maurice Chappaz ;

Mozart, de l'enfant

à l'adulte

p. 25 à 28

POINT DE VUE

Pour une solution politiquede la question corse

par Edmond Simeoni L

A Corse pose probl˜me

“ la R•publique fran-

Øaise. L'existence et

l'acuit• de la question corse ont •t• soulign•es avec une violence jamais atteinte par l'as- sassinat du pr•fet Erignac, l'acte et politique et m•diatique. Meurtres et attentats politiques, d•lin- quance de droit commun, d•tour- nement de subventions, client•- tout enti˜re dans l'opinion pu- blique franØaise avec les maux qui l'affectent. La complexit• du pro- bl˜me, l'opacit• de la soci•t• corse, la propension des insulaires

“ alterner connivence et antago-

nismes •galement incompr•hen- sibles pour l'observateur ext•rieur, d•couragent l'analyse.

La Corse n'int•resse plus ; elle

exasp˜re. Le ph•nom˜ne est trop profond pour n'-tre que d'hu- meur. La tentation est d•sormais forte, y compris parmi les gouver- nants franØais, de demander aux insulaires de faire un choix simple, clair et si possible rapide : soit une rupture nette, totale, avec laFrance, qui n'entend plus jouer les bailleurs de fonds au pro®t de per- p•tuels insatisfaits ; soit le retour au droit commun et le renonce- ment “ toute revendication parti- culariste.

L'alternative ainsi offerte aux

Corses ± uniformisation ou s•ces-

et satisfaisante. Elle n'est qu'irr•a- liste et d•magogique.

De plus, quelques •vidences his-

toriques peuvent -tre rappel•es : les actes fondateurs de la pr•sence franØaise en Corse et de son main- tien pendant les d•cennies sui- vantes sont une conqu-te militaire en 1769 puis une r•pression f•roce.

L'Etat et ses hauts fonctionnaires

pendant deux cents ans.

Lire la suite page14

Edmond Simeoniest cofon-

dateur de l'ARC (Action r•giona- liste corse) en 1967, puis de l'UPC (Union du peuple corse) en 1977. Il milite d•sormais dans un groupe de r•¯exion et d'action (Leva-Di- mucrazia e Liberta) Quand Bernard Tapie vole au-dessus d"un nid de coucou APRˆS les affaires, la t•l•vision, le cyclisme, le football, la politique et le cin•ma, Bernard Tapie fera sa rentr•e, “ l'automne, sur la sc˜ne d'un th•"tre. Il s'y produira dans une adapta- tion de Vol au-dessus d'un nid de coucou, le ro- man de Ken Kesey, rendu c•l˜bre par la ver- sion cin•matographique de Milos Forman, avec Jack Nicholson. Les r•p•titions n'ont pas encore d•but•, mais le projet ®gure depuis plusieurs semaines au programme du Th•"tre de Paris, l'un des plus vastes •tablissements de la capitale (1165 places). " C'est la premi˜re fois que je fais un truc sans qu'on me l'ait souf¯• », con®e M. Tapie, d•j“ pr-t “ assurer la promo- tion d'une " pi˜ce exceptionnellement forte », au nom d'une " tr˜s ancienne passion ». Le d•put• d•chu avait d•j“ fait l'acteur en

1996, dans un ®lm de Claude Lelouch,

Hommes, femmes : mode d'emploi, avec un suc-

c˜s relatif. Il a •t• annonc•, depuis, dans plu- sieurs autres longs m•trages ± dont un consa- cr• “ Che Guevara ±, mais aucun n'a ®nalement •t• tourn•. Plus con®dentielle fut la proposition, vite abandonn•e, de jouer le rþle- titre d'un spectacle vou• “ Al Capone, dont la mise en sc˜ne aurait •chu “ Robert Hossein. La vraie surprise de cette rentr•e dramatique se cache pourtant en coulisses. Of®ciellement®nanc•e par la SARL Hersen Productions, dont les statuts ont •t• d•pos•s le 21juillet, la pi˜ce est mont•e par un trio de producteurs, pr•sidait le club de football de Valenciennes en

1993, au moment de l'affaire du match VA-

OM...

Industriel et homme d'affaires, longtemps

surnomm• " le Tapie du Nord », M. Coencas partage d'autres exp•riences avec l'ancien pr•- sident de l'OM : familier des proc•dures ®s- cales et judiciaires, il a connu la prison “ deux reprises, en 1995 et 1997 ± mais au titre de la d•tention provisoire. Pour avoir c•d• l'en- semble de ses participations industrielles, il est aujourd'hui r•put• " peser »3 milliards de francs. " Ce coup de main “ Tapie est un tout petit investissement », dit-il par cons•quent, puisque le budget de la pi˜ce avoisine 1,6 mil- lion de francs. " Je ne lui en ai jamais voulu, pr•cise-t-il, parce que je pense qu'il n'•tait pour rien dans la tentative de corruption de Valen- ciennes. Quand il a demand• “ quelques amis de monter un tour de table, j'ai trouv• le clin d'úil amusant. Et quoi qu'on en pense ce type a un talent fou. »

Les appr•ciations des professionnels

semblent plus mitig•es. Malgr• la participa-tion de Gilbert Coulier, producteur de Belmon- do ou de C•line Dion, le montage de la pi˜ce a d•j“ connu quelques dif®cult•s. Le premier metteur en sc˜ne a •t• remerci•, son succes- seur ± Thomas Ledouarec ± vient d'-tre recru- t•. " Le casting est boucl• “ 80 % », assure

M. Tapie. Plusieurs com•diennes auraient

pourtant refus• le rþle de l'in®rmi˜re-chef, pourvu " depuis quelques jours », selon la pro- duction. Nomin•e aux Moli˜res pour son rþle dans Le Bel Air de Londres, avec Robert Hirsch, Fr•d•rique Tirmont admet avoir repouss• l'offre " en une minute, par r•serve d•ontolo- gique ». " Je n'ai rien contre M. Tapie, mais je suis stup•faite, explique-t-elle. Notre m•tier va mal. Mais le th•"tre est un m•tier, pas un d•po-quotesdbs_dbs25.pdfusesText_31
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