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JEAN-CHARLES DELAFOSSE (1734-1789)

présente des aspects multiples où l'architecture et le Certainement Jean-Baptiste Poullet sculpteur sur bois



Doc Poster1 Recto plan ge?ne?ral:Mise en page 1

5 nov. 2008 92 270 Bois-Colombes. Maître d'ouvrage : Privé. Maître d'œuvre : Moussafir Architectes Associés. Livraison : 2008. Maison Legay.



Larchitecture dAujourdhui

Je souhaiterais une intime collaboration de l'architecte trbevoie Asnières





Programme

17 sept. 2022 support de couche picturale et de cadre en bois doré ... restauration



CHARTE ARCHITECTURALE & PAYSAGÈRE DE LA VILLE DE

protection d'une architecture de qualité au respect matériaux variés



Ville de Niort AIRE DE MISE EN VALEUR DE LARCHITECTURE ET

CHAPITRE 3 - PATRIMOINE ARCHITECTURAL CONSTITUTIF DE L'ENSEMBLE URBAIN - Les portes de garage doivent être en bois peint sans hublot

USINES

contraintes de l'industrie qui est en cause, car il est bien

évident que les hauts fourneaux ne peuvent se loger commeun laboratoire de pharmacie ou comme une usine de par-

fums.L'architecte, lui, se réjouit certes, de s'attacher à ce pro-blème tout neuf qui va lui permettre un renouveau de sonart : que pourrait-il nous donner pour ces églises, pour cespalais, dont nous parlions à l'instant, de plus beau, de plusgrand, que nos cathédrales ou qu'un Versailles ; là où l'hé-

ritage est trop lourd, il semble bien qu'il ne puisse guèreéchapper au pastiche ou au compositeavec plus ou moinsde honheur, un apport plus ou moins vaste, mais sans cettejoie d'une libre invention !C'est plutôt le chef d'industrie qu'il faudra instruire etpersuader, bien que certains aient déjà fait dans ce sens debeaux efforts, dignes d'être cités en exemple inlassablementpour entraîner, influencer, créer un mouvement d'opinion.Je demeure convaincu qu'il n'y a pas refus de la part dudirecteur d'entreprise, puisque j'ai trouvé le meilleur ac-

cueil chaque fois que j'ai eu l'occasion d'entreprendre mapetite " croisade », fort de mes expériences personnellesil y a sans doute un juste souci d'économie, une habitudedevenue routine peut-être, et certainement des préoccupa-tions nombreuses qui paraissent plus importantes, plus ur-gentes, mais nos arguments sont également puissants et ilnous faut apprendre à les invoquer.Je souhaiterais une intime collaboration de l'architecteavec le chef d'industrie dont il aura à comprendre les néces-sités. Surface, volume, dimensions, proportions d'ensemble,confort, sont à déterminer d'un commun accord, mais, en-suite, que l'architecte sache incliner ses recherches versl'expression de ce qui est l'essentiel de l'homme pour lequelil travaille, qu'il traduise ses goûts, qu'il sache au besoindécouvrir ses préférences pour en tirer matière d'art, qu'il

s'inspire de son métier dont un vrai chef a l'orgueil :

iln'est pas de métier qui ne possède ses quartiers de noblesse,son symbole transmis par la tradition, souvent aisé à figureren un décor ornemental. Ainsi, l'usine ressemblera à sonchef, comme sa propre maison, et ainsi il l'aimera, il enconnaîtra une espèce de fierté et d'exaltation qui pourrarejaillir sur son personnel par formation d'une ambiance,d'un esprit d'équipe, d'un esprit de corps, par quoi l'ano-nymat sera rompu, l'indifférence forcée, et compensé unpeu ce que l'homme a sacrifié en cessant d'être un artisanpour devenir le sujet du machinisme.

LES JARDINS QUE

VOIENT PAR LES FENÊTRES...FRANCE

L'ouvrier devrait retrouver cette joie du travail dans un

cadre aimable, humain. De larges fenêtres, de l'air, de lalumière, de gais balcons, des matériaux plaisants, d'un en-tretien facile, comme la brique par exempledont unede nos plus grandes époques a su faire merveillela briqueéclaircie de bordures blanches, en frises, en encadrementset des pelouses, et des arbres, et des fleurs. Pourquoi tou-jours bâtir où il n'y a plus de place, où l'atmosphère estviciée ? Pourquoi ne pas aller un peu plus loin, maintenantqu'il n'est plus de bout du inonde et que tout endroit de-vient si facilement 'accessible ? Le terrain sera moins cher,l'aire moins comptée, le ciel plus beau, la tâche moins dure,le travail, fait dans le bien-être et l'aisance, plus soigneux,plus méthodique, et d'un meilleur rendement.Je n'insisterai pas ici sur la lourde responsabilité du cheftant d'existences qui dépendent de lui, de ses décisions ; dessantés à défendre, des âmes à apaiser, à encourager, c

ar ilfaut bien admettre que cette machine, inventée pour servirl'homme, l'asservit assez cruellement ; et le patron ne doitpas oublier que ce nom de ." patron » est bien proche decelui de " père ». J'y vois une magnifique leçon !Le beau n'est pas forcément beaucoup plus coûteux quele laid, et la plus 'grande simplicité peut nous plaire :ilsuffit d'y porter notre attention, nos soins. Pas un de nosactes, les plus gratuits en apparence, qui ne récolte son fruit,et de belles usines seront la meilleure publicité d'un bonproduit ; le commerçant moderne l'a compris déjà puisquepour ses magasins, accessibles au publie, il déploie un luxede présentation qui est bien souvent du meilleur aloi et quidonne à nos rues leur charmant aspect bigarré. La vente ygagne, dit-on. Mais bientôt, il ne sera plus possible de sub-tiliser le lieu de la fabrique à une clientèle de plus en plusavertie par le jeu de la rivalité et par une curiosité en éveil

.L'usine, affiche vivante, répondra bientôt de la qualité, etun certain raffinement, un surcroît d'élégance seront garantsutiles dans cette lutte de la concurrence.Intérêt largement 'compris, oeuvresociale,oeuvre deFrançais enfin, ne sont-ce pas d'assez puissants mobiles ? Sinous sommes vaniteux de tous les trésors d'art de notrepays, nous nous devons d'y apporter notre contribution, etcomme il y a eu le temps du château féodal, le temps descathédrales, le temps des folies et des bergeries, la caracté-ristique du nôtre semble devoir rester celle de la machineet de l'usine. Léguons à nos enfants autre chose que des

hangars.

CES OUVRIERES DE L'USINE DE GARCHES

VI-37FRANCE

LES LABORATOIRES DEBAT A GARCHES

L'USINE HEUREUSE

PAR LE DOCTEUR FRANÇOIS DEBAT

Des immeubles, des villas, des stades et des ponts, des théâtres, des cinémas et des magasins, des piscines, des éco

-les, des mairies, des palais, des églises, des musées ! Notreépoque pourvoit à tous les besoins de l'homme ;à de trèsvieux besoins, qui sont nés avec lui -- se loger, se distraire,

s'instruire, prierà des besoins plus jeunes, devenus toutaussi impérieux, conséquences de cette cascade de découver-tes, grandes et petites, qui a bouleversé le rythmede nos

vies. En ces cinquante dernières années, la face de la planètea certes beaucoup plus changé qu'elle nel'avait fait en plu-

sieurs siècles, et si tant d'inventions dans tant de domainesn'ont pu expliquer comme on l'espérait à l'aube de cette

ère scientifiquedu temps de M. Renantout ce qui nous reste si mystérieux, le plus secret de tous les mystères,

celui de notre propre existence, elles nous offrent néanmoinsun spectacle passionnant et riched'expériences.Les arts n'y ont pas trop perdu, si ce n'est peut-être cerecueillement qui laissait à l'oeuvre le loisir de s'élaborerlonguement, lentement. Notre agitation fait tourner la rouesi vite qu'un style n'a plus le temps de naître, de se corriger,de chercher la perfection, il est bien avant dépassé, rem-placé. Nous ne saurons peut-être plus jamais créer unstyle,

nous lançons des modes aussitôtdétruites que lancées, par

des effets de snobisme, de contre-snobisme, des recherchesoutrancières d'originalité. Un certain goût du bizarre, del'étrange, du singulier nous éloigne parfois aussi des décrets

VI-36 d'une pure et simple harmonie.II.USINES Il est pourtant certain que des moyens plus vastes, c

matériaux nouveaux, de nouvelles exigences ont donné al'art, à l'art de l'architecture en particulier, d'immenses p- g-sibilités d'expression qui permirent à de belles personnali

de s'affirmer en des tendances variées.Comment se peut-il comprendre que l'usine seule ait -à ce point négligée, alors que la machine, bénéfique et d

,gereuse, devenait cette reine, imposait sa loi, jetant crtrouble dans l'organisme social ? Toutes les conditions ._cc

travail s'en trouvaient brusquement changées.Nous avons vu de nos yeux mourir ces ateliers d'artisansoù le patron, avec les siens et quelques compagnons, pour-suivait patiemment sa tâche, de longues journées pour depetits salaires, où régnaient une affection et une estime pro-fessionnelle réciproque, une intimité familiale. L'atelierdevenait usine, les effectifs grossissaient, les bâtiments semultipliaient, se juxtaposaient, poussaient au hasard del'utilisation, sans choix, sans ordre, squelettiques, dénudés,enlaidissant tout alentour. Un provisoire qui durait éter-nellement. Combien d'adorables paysages de notre Franceont été ainsi salis, déhonorés.Trop heureux quand ces bâtiments, à l'aspect de hangars,n'étaient pas malsains, sombres, froids, trop réduits. A cesexcès-là, des règlements stricts ont pu remédier.Mais il faut davantage. Il faut trouver l'esthétiquede

l'usine. Une esthétique générale, de base le juste peint d'élégance et de sobriétéet chaque fois soumise aux

V1-38FRANCE

LABORATOIRES DU DOCTEUR DEBAT

A GARCHES

Les laboratoires du Docteur Debat sont situés sur un terrain en pente de

38.0007712.Lebâtiment, qui occupe 5.000m5, se trouve à mi-pente, entre un parc et un jardin pittoresque.La chaufferie et quelques locaux accessoires constituent un petit groupe

de bâtimentsséparés. Le bâtiment principal mesure plus de 100 mètres en

façade et plus de 40 mètresen profondeur. La section gauche est entièrement occupée par les l

aboratoires de fabri-cation. Autour de 1a salle des machines se groupent les locaux de pré parations des produitsqui passent ensuite aux salles d'emballage et de stockage. Un transporte ur et plusieursmonte-charges assurent la manutention entre les stocks des deux étage s. Les bureaux, àl'étage, et le laboratoire de physiologie, ait rez-de-chaussée, so nt groupés dans la partiedroite du bâtiment.

Les fondations, rendues difficiles par l'eau qui se trouve à80cm. de profondeur, furentréalisées au moyen de pieux Franki et de pieux Forum, supportant u

n radier général enbéton armé. L'étanchéité de la terrasse fut exécuté e en Eraclith, posée sur un plancheren corps creux et protégée par une chape.

1: Salle des machines

2. Autoclaves3. Broyeuses des pommades4. Salle de conditionnement5. Salle desanimaux.JEAN BAROT, ARCHITECTE

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ZuberPLAN D'ENSEMBLE

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Ci-dessus : PLAN DU REZ-DE-CHAUSSÉE

Ci"dessous : PLAN DE L'ETAGE

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USINES

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FAÇADE SUR LA COUR D'ENTRÉE

USINE DE LA SOCIÉTÉ COTY A SURESNES

Parallèlement à la fabrication des parfums, située dans les bâ timents anciens, les nouveaux bâtiments de la Société Coty groupent : u nechaufferie, une savonnerie, la fabrication des poudres et des fards, les magasins et services d'expédition, les bureaux pour l'administration, et les services du personnel. Les dangers d'inondations ont conduit à surélever le rez-de-chauss éede 90 cm. par rapport au niveau du quai ; la chaufferie est à 1 m.

75au-dessus de ce niveau. En cas de crue, l'accès se ferait par le boul

e-vard de Versailles, plus haut de 3 mètres que le quai Galliéni, et lacirculation entre les différents services par cours anglaises au nive audu rez-de-chaussée surélevé.

FAÇADE DE LA CliAUPPLKIEJEAN BAROT, ARCHITECTE

CHAUFFERIE-

Les fondations par pieux supportent une ossature de béton armé avec remplissage en briques. Les planchers, dalles de béton armé nervurées,

contportentune surépaisseztr en béton maigre pour le pas-sage des canalisations. L'étanchéité des terrasses est assuré

e par 4 cou-ches de ciment volcanique.La chaufferie, dont l'éclairage et la ventilation ont été spé

cialementétudiés, comporte trois chaudières au mazout, avec ventilateur de ren-forcement de tirage, pour production de la vapeur nécessaire au chauf -fage de l'usine et aux installations industrielles.La fosse septique pour

700usages est installée avec système de re-levage de l'effluent permettant le fonctionnement de la fosse en pé-riode de crues.

Photos

Snloiin

USINES

BATIMENT DES ATELIERS

altherc

Ovreau

Ces achats

PLANS DU BATIMENT DES BUREAUXrechasse

HALL D'ENTRÉE DES BUREAUX

USINES DE LA SOCIÉTÉ BRONZAVIA A

COURBEVOIE

GEORGES HENNEQUIN, ARCHITECTE

Bibliographie 7'echnique des Travaux. AoôtOctobre 19:16

QUAI D'EMBARQUEMENT

USINE DES AVIONS MARCEL BLOCH A SAINT-CLOUD

GEORGES HENNEQUIN, ARCHITECTEl'hictosCtcle,

Photos

CadiVI-431.

2. 4.

VI-42FRANCE

USINES RICQLÈS

A SAINT-OUEN

ALBERT AFCHAIN, ARCHITECTE

Ci-dessous: L Cour

2. Hall des Bureaux(U et S du plan)3. Laboratoire (Q duplan)4. Salle d'usinage, meulage des bou-chons en verre (C du plan)5. Condition-nementremplissage, étiquetage, emballage(H du plan).

L'usine de la Société Anonyme de Ricqlès, à Saint-Ouen, comp orte deux parties distinck

1°. Sur le boulevard, le bâtiment de l'Administration ;2'. En ailes, les bâtiments de fa_

cation et de stockage.Après fabrication, l'alcool de menthe est stocké au sous-sol du La boratoire, dans des ta:en acier vitrifié et refoulé au 1" étage dans la salle de Condi tionnement.Un circuit uni, a été réalisé pour la fabrication. Au rez-de-chaussée, la

salle de réceptioncontrôle toute cvée à l'usine et fait les répartitions dans les services immé

diatement placés en relation a elle.A gauche : salle d'Usinage des bouchons et flacons (débit journalier

25.000 bouteilles).Alprès contrôle, remplissage, étiquetage et empaquetage, sont e

xécutés sur une chaîn,.tapis roulant, et les flacons stockés dans la grande salle réservé

e à cet effet au 1°' étage.vaut les besoins, les caisses de flacons sont descendues dans la salle d

'emballage et d'exp,tion par un transporteur à tapis.Au rez-de-chaussée, dans un poste de commande générale, sur un

unique tableau, sont ctralisées toutes les commandes intéressant l'électricité, fo

rce et lumière, le chauffage parditionnement d'air, les jauges et pompes du mazout, les brûleurs à

mazout, les appareilscontrôle divers et les sonneries d'alarme.Le chauffage est assuré par conditionnement d'air à réglage d'i

ntensité suivant la temptitre extérieure, obtenue par appareillage automatique. Soufflage par le plafond, reprise sol.Pour les bâtiments de l'usine, le chauffage de chaque local est assur

é par des aérotherli

PLAN DU REZ-DE-CHAUSSÉE

PLAN DE L'ÉTAGEPhoto

Chevc.

A. Personnel de l'UsineB. RéceptionC. UsinageD. LavageE. SéchageF. Monte-chargeG. Réserve-quotesdbs_dbs27.pdfusesText_33
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