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Qui sont les médecins au Moyen Âge ?
Au Moyen Âge, un mire, évolution phonétique du latin medicus, est un médecin (un docteur en médecine appelé « physicien »), un chirurgien (terme usité jusqu'à la Renaissance), ou encore un apothicaire. On appelait indistinctement mire ceux qui exer?ient ces trois professions.Qui est le père de la médecine traditionnelle ?
Le nom d'Hippocrate (460-377 avant J. -C.) reste associé à la naissance de ce qui deviendra la médecine moderne (notamment gr? à une classification des maladies).Qui prend soin des malades au Moyen Âge ?
Les hôpitaux apparaissent au Moyen Âge, à l'intérieur même des monastères. En fait, les monastères sont les lieux principaux où existe une activité de soins aux malades, qui côtoie une tradition de collecte, d'organisation et de copie de textes anciens, ainsi qu'une pratique de culture des plantes médicinales.- - En GRECE, le premier savant vraiment connu pour ses travaux en Médecine est HIPPOCRATE de Cos(Vème si?le avant JC), notamment pour sa théorie des humeurs et un premier classement des maladies connues à cette époque.
Médiévales
Langues, Textes, Histoire
75 | automne 2018
Traductions
du MoyenÂge
ARNAU DE VILANOVA, Regiment de sanitat per al rei
d'Aragó. Aforismes de la memòria Edició crítica d'Antònia CARRÉ, Barcelone, Universitat de Barcelona (Filologia UB), 2017, 406 p.Marilyn
Nicoud
Édition
électronique
URL : https://journals.openedition.org/medievales/9637DOI : 10.4000/medievales.9637
ISSN : 1777-5892
Éditeur
Presses universitaires de Vincennes
Édition
impriméeDate de publication : 15 octobre 2018
Pagination : 256-257
ISBN : 978-2-84292-861-2
ISSN : 0751-2708
Référence
électronique
Marilyn Nicoud, "
A A E A A, Regiment de sanitat per al rei d'Aragó. Aforismes de la memòria »,Médiévales
n ligne], 75 automne 2018, mis en ligne le 15 octobre 2018, consulté le 24 avril 2022. URL : http://journals.openedition.org/medievales/9637 ; DOI : https://doi.org/10.4000/medievales. 9637Ce document a été généré automatiquement le 24 avril 2022.
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ARNAU DE VILANOVA, Regiment de
sanitat per al rei d'Aragó. Aforismes de la memòria Edició crítica d'Antònia CARRÉ, Barcelone, Universitat de Barcelona (Filologia UB), 2017, 406 p.Marilyn Nicoud
RÉFÉRENCE
ARNAU DE VILANOVA, Regiment de sanitat per al rei d'Aragó. Aforismes de la memòria, edició crítica d'Antònia CARRÉ, Barcelone, Universitat de Barcelona (Filologia UB), 2017, 406 p.1 Médecin célèbre en son temps et parmi les mieux connus du Moyen Âge, Arnaud deVilleneuve (ca 1240-1311) continue à juste titre de susciter l'intérêt des médiévistes,
aussi bien pour son oeuvre spirituelle qu'a fortiori médicale. Professeur à l'Université de Montpellier et médecin des princes (aussi bien laïques que d'Église), il est l'auteur d'uneoeuvre prolifique qui, dès son époque, fut très largement diffusée, sous forme
manuscrite puis imprimée, mais aussi grâce à de nombreuses traductions en différentes langues vernaculaires. Ses ouvrages, écrits en latin, la langue scientifique en usage, font depuis 1975 l'objet d'une entreprise d'édition critique (Arnaldi de Villanova Opera Medica Omnia - AVOMO), publiée par l'Université de Barcelone. Mais les historiens se sont aussiintéressés à la vulgarisation de ses traités, aussi bien en hébreu qu'en castillan et en
catalan. Antònia Carré propose ici une nouvelle édition combinée du régime de santé
que le médecin dédia au roi d'Aragon Jacques II (1291-1327) au début du XIVe siècle (probablement entre 1305 et 1308) et de ses Aphorismes pour la mémoire, dans leurs traductions catalanes respectives.2 Le Regimen sanitatis ad regem Aragonum, dont la version latine a été par deux fois éditée
récemment1, avait déjà fait l'objet, dès 1947, d'une publication par Miquel Battlori de sa
translation catalane par Berenguer Sarriera († 1310)2. Cette dernière était alors connueArnau de Vilanova, Regiment de sanitat per al rei d'Aragó. Aforismes de la me...
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par un unique manuscrit incomplet (Madrid, Biblioteca Nacional de España, ms 10078, 1 er quart du XIVe siècle). Mais l'examen minutieux d'une deuxième traduction abrégée de ce texte (Città del Vaticano, Biblioteca Apostolica Vaticana, Barb. Lat. 311, 1re moitié du XVe siècle), et la découverte d'un deuxième témoin de cette première version (Barcelona, Biblioteca de Catalunya, ms. 1829, mi-XVe siècle) justifient une nouvelle édition, qui bénéficie par ailleurs des acquis des travaux les plus récents, non seulement sur Arnaud de Villeneuve, mais également sur les entreprises de traductions en catalan des oeuvres scientifiques médiévales3. Depuis une trentaine d'années en
effet, la part des études sur la vernacularisation des savoirs (terme moins ambigu que celui de vulgarisation) s'est accrue, mettant en lumière la divulgation, sous forme de traductions ou d'écritures en langues vulgaires, dans des aires géographiques diverses, d'un grand nombre de textes dans les domaines techniques, scientifiques et médicaux. La Catalogne, loin d'échapper à ce phénomène, s'y révèle au contraire un terrain particulièrement fécond.3 Antònia Carré, dans une longue introduction, remet en perspective la premièretraduction catalane du Regimen sanitatis, oeuvre la plus diffusée parmi la riche
production d'Arnaud puisqu'on conserve 68 manuscrits datés des XIVe-XVe siècles de la version originale en latin, sans compter donc des adaptations en catalan, en hébreu, enfrançais, en allemand et en italien, dès les XIVe et XVe siècles, et, aux XVIe-XVIIe siècles,
une nouvelle version française et une castillane. Cette première transposition encatalan fut réalisée du vivant même de l'auteur et très peu de temps après la rédaction
latine, entre 1305 et 1309 sans doute. Elle est l'oeuvre du chirurgien de cour Berenguer Sarriera, lui-même issu d'une lignée de chirurgiens, et fut composée à la demande de lareine Blanche d'Anjou, épouse de Jacques II, décédée en 1310. Cette entreprise témoigne
du rôle joué, dans la transmission en langues vulgaires des savoirs médicaux, par le patronage curial et par ces chirurgiens lettrés, formés dans les studia à la chirurgie rationnelle (c'est-à-dire à une discipline fondée sur les savoirs médicaux scolastiques) et à la langue latine. Avant Berenguer Sarriera, et comme le montrent les travaux de M. R. McVaught, Guillem Corretger et Bernat de Berriac avaient transposé en catalan la chirurgie de Teodorico Borgognoni. La deuxième version catalane du Regimen sanitatis date elle aussi du premier quart du XVIe siècle et si son auteur demeure anonyme, il y a fort à croire, selon les recherches d'Antònia Carré, qu'on se situe dans un même milieu professionnel.4 S'il ne reste aujourd'hui que très peu de témoins des deux versions catalanes duRegimen, l'étude des possesseurs, menée à partir d'inventaires post mortem, souligne une
diffusion variée qui s'étend de la cour et des milieux aristocratiques au monde urbainlettré, où figurent, aux côtés d'un notaire et d'un juriste, des membres de la profession
médicale au sens large (un médecin, trois chirurgiens et un apothicaire), soit unlectorat qui, au Moyen Âge, s'est toujours montré friand de cette littérature diététique
volontiers didactique et divulgative, y compris lorsqu'elle est rédigée en latin. Qui dit traduire ne dit pas automatiquement trahir, pour reprendre le jeu de mot que permet la langue italienne, de tradurre à tradire. Et même si le texte d'Arnaud, à l'image de sesdevanciers du XIIIe siècle, ne révèle pas de véritable difficulté en raison de son caractère
pratique, la traduction de Berenguer Sarriera se montre en général fidèle à son modèle,
suivant la technique du mot à mot (de verbo ad verbum) généralement utilisée par lesauteurs. Les erreurs de lectures ou d'interprétation sont plus sûrement imputables soitArnau de Vilanova, Regiment de sanitat per al rei d'Aragó. Aforismes de la me...
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au copiste, soit au manuscrit que le traducteur a utilisé. L'éditrice propose ici une étude serrée de la langue employée dans les manuscrits et des pratiques de traduction.5 Judicieusement accompagnée par la translation en catalan des Aphorismi de memoria
d'Arnaud de Villeneuve (qui prisait fort un genre d'écriture en vogue depuis l'Antiquité dans le discours médical, car ils délivrent principalement des règles d'hygiène pour améliorer les capacités mémorielles), l'ouvrage d'Antònia Carré vient apporter unenouvelle pierre substantielle à l'édifice éditorial des Opera omnia Arnaldi de Villanova, en
éclairant leur diffusion en vulgaire. Celle-ci témoigne, en cette fin de Moyen Âge, d'un intérêt marqué pour la vernacularisation des savoirs en réponse à une demande sociale toujours aussi forte, en matière notamment d'hygiène et de soins du corps. Le régime d'Arnaud de Villeneuve, qui allait devenir dans sa version latine un véritable " best-seller » de la littérature diététique, ne pouvait guère échapper à une telle entreprise,
dont l'auteur put même voir la concrétisation de son vivant. NOTES1. ARNALDI DE VILLANOVA regimen sanitatis ad regem Aragonum : un tractat de dietètica de l'any 1305, éd.
A. TRIAS TEIXIDOR, Barcelone, 1994 ; ID., Opera medica Omnia, X.1, Regimen sanitatis ad regem Aragonum,
éd. L. GARCÍA BALLESTER et M. R. MCVAUGH, Barcelone, 1996.2. ARNAU DE VILANOVA, Obres catalanes, vol. II, éd. M. BATLLORI, Barcelone, 1947.
3. L. CIFUENTÈS, La ciència en català a l'Edat Mitjana i el Renaixement, Barcelone/Palma, 2e éd., 2006.
AUTEURS
MARILYN NICOUD
Université d'Avignon - UMR 5648Arnau de Vilanova, Regiment de sanitat per al rei d'Aragó. Aforismes de la me...
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