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RESULTATS DU CONCOURS DACCES DEUG * (2021-2022) Liste
19 juil. 2021 RESULTATS DU CONCOURS D'ACCES DEUG * (2021-2022). Liste principale triée par ordre alphabétique des candidats sélectionnés.
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DEUG ECONOMIE ET GESTION
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La réussite en premier cycle universitaire (DEUG et DUT)
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Concours daccès en 3ème année des études pharmaceutiques
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Notes de cours de mathématiques DEUG MIAS premier niveau
DEUG MIAS premier niveau. Cours de mathématiques année 2003/2004. Guillaume Legendre legendre@math.uvsq.fr. (version révisée du 24 janvier 2018)
Diplôme du DEUG STAPS « Animateur technicien des activités
Diplôme du DEUG STAPS. « Animateur technicien des activités physiques pour tous ». (UFRAPS de Grenoble). Le diplôme du DEUG STAPS.
DEUG MIAS premier niveau
Cours de mathématiques
année 2003/2004Guillaume Legendre
legendre@math.uvsq.fr (version révisée du 24 janvier 2018) Ce document est mis à disposition selon les termes de la licenceCreative Commons " Attribution - Partage dans les mêmes conditions 4.0 International »Table des matières
1 Éléments de logique1
1.1 Assertions
11.1.1 Opérations sur les assertions
11.1.2 Tableaux de vérité
21.2 Quantificateurs
21.3 La démonstration en mathématiques
31.3.1 Démonstration directe
31.3.2 Démonstration par l"absurde
31.3.3 Démonstration par contraposée
31.3.4 Démonstration par récurrence
31.3.5 Le contre-exemple
4I Algèbre5
2 Ensembles et relations7
2.1 Ensembles
72.1.1 Appartenance
72.1.2 Inclusion
72.1.3 Partie d"un ensemble. Ensemble des parties
82.1.4 Opérations sur les ensembles
92.1.5 Produit d"ensembles
102.2 Relations
112.2.1 Généralités
112.2.2 Relations d"équivalence
122.2.3 Relations d"ordre
132.3 Applications
142.3.1 Définitions
142.3.2 Surjection. Injection. Bijection
152.3.3 Restrictions et prolongements
162.3.4 Composition des applications
162.3.5 Images directes ou réciproques de parties par une application
172.3.6 Familles
172.4 Ensembles finis et infinis
182.4.1 Équipotence
182.4.2 Ensembles finis
182.4.3 Ensembles infinis
193 Espaces vectoriels21
3.1 Généralités
213.1.1 Loi de composition interne
213.1.2 Loi de composition externe
213.1.3 Structure de groupe
22i
3.2 Structure d"espace vectoriel. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . 22
3.3 Sous-espaces vectoriels
243.3.1 Intersection de sous-espaces vectoriels
243.3.2 Sous-espace engendré par une partie
253.3.3 Somme de sous-espaces vectoriels
253.4 Familles génératrices, familles libres et bases
263.5 Théorie de la dimension
263.5.1 Généralités
263.5.2 Rang d"une famille de vecteurs
294 Applications linéaires31
4.1 Généralités
314.2 Opérations sur les applications linéaires
324.3 Projecteurs et symétries
334.4 Familles de vecteurs et applications linéaires
334.5 Cas de la dimension finie
345 Matrices37
5.1 Calcul matriciel
375.1.1 Notion de matrice
375.1.2 Matrice représentative d"une application linéaire
385.1.3 L"espace vectoriel(Mn,p(K),+,). . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .39
5.1.4 Multiplication des matrices
405.1.5 Matrices carrées
415.1.6 Matrices écrites par blocs
425.1.7 Rang d"une matrice
425.2 Changement de bases
436 Systèmes d"équations linéaires
456.1 Différentes interprétations d"un système d"équations linéaires
456.1.1 Interprétation géométrique
456.1.2 Interprétation matricielle
466.1.3 Interprétation en termes de combinaisons linéaires
466.1.4 Interprétation en termes d"une application linéaire
466.2 Méthode d"élimination de Gauss
476.2.1 Opérations élémentaires
486.2.2 Principe et mise en oeuvre de la méthode
496.2.3 Exemples
506.2.4 Autres applications de la méthode
52II Analyse55
7 Nombres réels57
7.1 Rappels
577.2 Majorant, minorant, bornes supérieure et inférieure
587.3 Propriétés des nombres réels
587.3.1 Théorème d"Archimède
587.3.2 Partie entière d"un réel
597.3.3 Valeur absolue d"un réel
597.3.4 Densité deQdansR. . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . . .59
7.4 Intervalles
597.5 Droite numérique achevée
60ii
8 Suites numériques61
8.1 Généralités
618.1.1 Définitions et propriétés
618.1.2 Opérations sur les suites
628.1.3 Suites extraites
628.1.4 Suites de Cauchy
628.1.5 Suites réelles monotones
638.2 Convergence d"une suite
638.2.1 Généralités
638.2.2 Suites réelles tendant vers l"infini
648.2.3 Suites adjacentes
648.2.4 Propriétés d"une suite réelle convergente
648.2.5 Propriétés d"ordre des suites réelles convergentes
658.2.6 Propriétés algébriques des suites convergentes
668.3 Existence de limites
698.4 Quelques suites particulières
728.4.1 Suite arithmétique
728.4.2 Suite géométrique
728.4.3 Suite arithmético-géométrique
738.4.4 Suite définie par récurrence
739 Fonctions d"une variable réelle
759.1 Généralités sur les fonctions
759.1.1 Opérations sur les fonctions
759.1.2 Relation d"ordre pour les fonctions réelles
759.1.3 Propriétés globales des fonctions
769.2 Limites
789.2.1 Notion de limite
789.2.2 Ordre et limite
819.2.3 Opérations algébriques sur les limites
819.2.4 Cas des fonctions monotones
839.2.5 Applications équivalentes au voisinage d"un point
849.3 Continuité
849.3.1 Définitions
849.3.2 Opérations algébriques sur les applications continues
869.3.3 Fonctions continues sur un intervalle
879.3.4 Continuité uniforme
889.3.5 Applications lipschitziennes
899.4 Fonctions hyperboliques
9010 Dérivabilité91
10.1 Dérivées
9110.1.1 Dérivabilité en un point
9110.1.2 Propriétés algébriques des fonctions dérivables en un point
9210.1.3 Application dérivée
9310.1.4 Dérivées successives
9310.2 Propriétés des fonctions dérivables
9510.2.1 Extrema locaux d"une fonction réelle dérivable
9510.2.2 Théorème de Rolle
9510.2.3 Théorème des accroissements finis
9610.2.4 Sens de variation d"une fonction dérivable
9610.3 Formule de Taylor-Lagrange
97iii iv
Chapitre 1
Éléments de logiqueNous rappelons ou introduisons dans ce chapitre préliminaire quelques éléments de logique et de vocabulaire
mathématique indispensables à la compréhension des démonstrations des chapitres suivants.
1.1 Assertions
Dans le cadre d"une théorie mathématique donnée, uneassertionest une phrase mathématique à laquelle on
peut attribuer une, et une seule,valeur booléenne, à savoirvrai(V en abrégé) oufaux(F en abrégé). Certaines
assertions sont déclarées vraiesa priori: ce sont lesaxiomes; sinon, la véracité d"une assertion doit résulter d"une
démonstration.Les assertions démontrées sont appeléesthéorèmesoupropositionssuivant leur importance. Unlemmeest un
résultat préalable utile à une démonstration plus conséquente, tandis qu"uncorollaireest une assertion vraie qui
découle d"un résultat précédent.1.1.1 Opérations sur les assertions
À une assertion, on peut associer sanégation, à deux assertions, leurdisjonctionou leurconjonction. Les valeurs
booléennes des ces assertions associées dépendent des valeurs des assertions de départ et sont données par les
définitions suivantes.Définition 1.1
Lanégationd"une assertion(P)se note(non P). L"assertion(non P)est vraie si et seulement si(P) est fausse.Définition 1.2
Étant données deux assertions(P)et(Q), on appelledisjonctionde ces deux assertions l"assertion (P ou Q)qui est vraie si et seulement si l"une au moins des assertions est vraie.Définition 1.3
Étant données deux assertions(P)et(Q), on appelleconjonctionde ces deux assertions l"assertion (P et Q)qui est vraie si et seulement si les deux assertions sont simultanément vraies.À ces trois opérations ouconnecteurs, on ajoute les opérations d"implicationet d"équivalence.
Définition 1.4
Étant données deux assertions(P)et(Q), on définit l"assertion "(P)implique(Q)», appeléeimplica-
tionet notée(P)Q), de la manière suivante : l"assertion(P)Q)est vraie quand(P)est fausse ou lorsque(P)et
(Q)sont vraies.On dit encore que"(P)est une condition suffisante pour(Q)»et que"(Q)est une condition nécessaire pour(P)».
L"assertion(P)est appelée l"hypothèseet(Q)laconséquence.Définition 1.5
Étant données deux assertions(P)et(Q), on définit l"assertion "(P)équivaut à(Q)», appelée
équivalenceet notée(P,Q), de la manière suivante : l"assertion(P,Q)est vraie si(P)et(Q)sont toutes les
deux vraies ou fausses.On dit encore que"(P)et(Q)sont équivalentes »ou que"(P)est une condition nécessaire et suffisante pour(Q)».
1CHAPITRE 1. ÉLÉMENTS DE LOGIQUE
1.1.2 Tableaux de vérité
La définition des assertions précédentes est résumée dans lestableaux de véritéci-dessous.(P)(nonP)VF
FV(P)(Q)(PouQ)VVV
VFV FVVFFF(P)(Q)(PetQ)VVV
VFF FVF FFF (P)(Q)(P)Q)VVV VFF FVVFFV(P)(Q)(P,Q)VVV
VFF FVFFFVLes opérations que nous venons d"introduire peuvent être répétées pour former des assertions dépendant
d"assertions initiales(P1),(P2),(P3), etc... Deux assertions ainsi construites sont ditessynonymessi elles ont le
même tableau de vérité.Exemple.
Montrons que lorsque l"on a simultanément(P)Q)et(Q)P), on a(P,Q). On établit pour cela le tableau de vérité suivant(P)(Q)(P)Q)(Q)P)((P)Q)et(Q)P))(P,Q)VVVVVVVFFVFF
FVVFFF
FFVVVV
Quelques synonymies classiques.Soient(P),(Q)et(R)trois propositions. On a alors -(non(PouQ))est équivalente à(nonPet nonQ), -(non(PetQ))est équivalente à(nonPou nonQ), -(P)Q)est équivalente à(nonQ)nonP), -(Pou(QetR))est équivalente à((PouQ)et(PouR)), -(Pet(QouR))est équivalente à((PetQ)ou(PetR)).La preuve des ces affirmations est laissée en exercice au lecteur (il suffit d"écrire les tableaux de vérité).
1.2 Quantificateurs
Lesquantificateurssont des symboles utilisés pour écrire des énoncés. Unephrase quantifiéeest une assertion
mathématique contenant un ou des quantificateurs.Le symbole9désigne lequantificateur existentiel. Ainsi,9xse lit" il existe au moins un élémentx»et9!xsignifie
" il existe un et un seul élément x ». Le symbole8désigne lequantificateur universelet8xsignifie" pour tout élément x ».La lettre affectée par un quantificateur est muette et peut être remplacée par n"importe quelle autre lettre n"ayant
pas déjà une signification dans l"énoncé.Exemple.
La notationx2Esignifie"xappartient àE». Soit par ailleursP(x)une assertion dépendant dex.Alors(8x2E,P(x)),(8y2E,P(y)),
(9x2E,P(x)),(9y2E,P(y)). Lanégation d"une phrase quantifiéese définit comme suit : (non(8x2E,P(x))),(9x2E, nonP(x)), (non(9x2E,P(x))),(8x2E, nonP(x)). 21.3. LA DÉMONSTRATION EN MATHÉMATIQUES
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