[PDF] Jospin-Chirac : le réquisitoire du président





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Editorial/Éditorial Volume 48 Issue 1

La résolution interactive de problèmes est le sujet du quatrième article. en ligne ouverts et massifs de systèmes de gestion de l'apprentissage ...



Explication des messages derreur de la suite Business Intelligence

Mar 2 2017 rencontré des problèmes ou le serveur Enterprise est peut-être hors connexion. ... Champs de paramètre : {0} sont en cours d'utilisation et ...



SOLUTIONS IT & LOGICIELS n°22 - juillet-août

version hostée d'Exchange 2010. EX 10 est une offre donnant accès à toutes les fonctions du serveur de messagerie de Microsoft et de SharePoint 



Jospin-Chirac : le réquisitoire du président

Mar 30 2018 sant les réformes afin de parvenir « en 2010



2013 II

2010 p. 237-252. FIW-Schriftenreihe ; Heft 234. 7219. Murphy

Jospin-Chirac : le réquisitoire du président

LeMondeJob: WMQ2902--0001-0 WAS LMQ2902-1 Op.: XX Rev.: 28-02-00 T.: 11:10 S.: 111,06-Cmp.:28,11, Base : LMQPAG 33Fap: 100 N

o : 0478 Lcp: 700 CMYK 56
e

ANNÉE ± N

o

17136 ± 7,50 F - 1,14 EURO FRANCE MÉTROPOLITAINEFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIMARDI 29 FÉVRIER 2000Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 10 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 48 FB ; Canada, 2,50 $ CAN ;Côte-d'Ivoire, 900 F CFA ; Danemark, 15 KRD ;Espagne, 225 PTA ; Gabon, 900 F CFA ; Grande-Bre-tagne, 1£ ; Grèce, 500 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 3000 L ;Luxembourg, 46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvège, 14 KRN ;Pays-Bas, 3 FL ; Portugal CON., 270 PTE ; Réunion, 10 F ;Sénégal, 900 F CFA ; Suède, 16 KRS ; Suisse, 2,20 FS ;Tunisie, 1,4 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.

www.lemonde.fr

LE MONDE ...CONOMIEaPatrons, justi®ez

vos (gros) salaires ! aEmploi : 12 pages d'annonces classées

International...............2

France............................6

R•gions..........................16

Carnet............................17

Abonnements.......17, 40

Horizons........................18

Entreprises...................23

Communication..........25

Tableau de bord..........26

Aujourd'hui..................30

M•t•orologie...............34

Jeux.................................34

Culture...........................35

Guide culturel.............37

Immobilier/annonces38

Kiosque..........................40

Radio-T•l•vision.........41

Jérusalem, "ville juive»?

LA VISITE " miraculeuse », du

point de vue isra•lien, de Lionel

Jospin en Isra—l et en Palestine,

marqu•e par sa d•claration contro- vers•e sur le " terrorisme »du Hez- bollah, a •clips• le fait qu'elle avait commenc• par un autre " couac » : juste avant son arriv•e, le ministre des affaires •trang˜res de l'Etat h•- breu, David L•vy, avait en effet tir• parti d'une " erreur » du Quai d'Or- say ± dont les services avaient omis de citer le nom de J•rusalem dans le programme initial de la visite de

M. Jospin ± pour •voquer une " r•-

voltante n•gligence »franØaise. Peu importait que cet " oubli » eut •t• pr•cipitamment recti®• trois jours plus tþt par le Quai. L'occasion •tait sans doute trop belle. David

L•vy, dans son tardif courroux, a

donc pr•cis• qu'il expliquerait au premier ministre franØais " de fa-

Øon claire et nette que J•rusalem est

la capitale d'Isra—l et qu'elle ne sera jamais redivis•e ».

Le probl˜me est que, " de faØon

claire et nette », “ peu pr˜s per- sonne, dans la communaut• inter- nationale, ne partage cette vision.

Au contraire. Depuis la cr•ation de

l'Etat d'Isra—l en 1948 et la conqu-te d'une partie de J•rusalem par l'ar- m•e isra•lienne (et de l'autre par la

Jordanie), presque aucun Etat n'a

reconnu la ville comme capitale de l'Etat juif. A ce jour, “ trois excep- tions pr˜s (de pays " mineurs »), les ambassades sont toutes install•es “Tel Aviv. Engag• sous Bill Clinton, le projet de construction d'une am- bassade am•ricaine “ J•rusalem n'a toujours pas abouti.

Le statut de J•rusalem n'a of®-

ciellement plus •t• •voqu• par Lio- nel Jospin et ses hþtes durant leurs discussions. Mais le premier mi- nistre, lors d'une r•ception au consulat de France, a exprim• un point de vue cette fois en totale convergence avec la position fran-

Øaise traditionnelle : " La question

de J•rusalem, a-t-il dit, doit recevoir une solution n•goci•e qui respecte les aspirations et les droits, y compris politiques, de toutes les parties concern•es ; qui tienne compte de l'unit• de la ville et de sa saintet• pour les trois religions du Livre ».

Ainsi donc, pour Paris comme

pour la communaut• internatio- nale, les parties isra•lienne et pa- lestinienne, dont les populations se partagent la ville, ont des " droits politiques » sur J•rusalem. C'est ce qu'Isra—l n'admet pas. Et si, comme l'a rappel• son ambassadeur “ Pa- ris, Eliahou Ben Elissar, les " sus- ceptibilit•s isra•liennes »sont en- core plus exacerb•es sur le sujet de

J•rusalem, c'est sans doute parce

que l'Etat h•breu s'y retrouve, di- plomatiquement, en position de faiblesse.

Sylvain Cypel

Lire la suite page 22

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JEAN-CLAUDE FASQUELLE

LE D...PART de Jean-Claude

Fasquelle, qui laisse “ Olivier Nora

la direction de la maison Grasset, tourne une page dans l'histoire de l'•dition. R•put• pour ses silences et ses manúuvres, cet acteur de l'ombre de la com•die litt•raire n'envisage pas de publier ses M•- moires : il continuera de se taire.

Lire page 18

Le " taiseux »

de Grasset

MUSIQUE

Oasisrock'n'roll

Le groupe phare de la pop anglaise,

Oasis, rend hommage aux maîtres du

rock des années 60. A l'occasion de la sortie de Standing on the Shoulder of

Giants, Noel Gallagher (photo), guita-

riste et auteur-compositeur qui s'est détaché des drogues, évoque dans un entretien au Mondeses projets. p. 35

ENQUÊTE

Combattre la"malbouffe»

1. Farines et" vache folle »

Peut-on manger sans danger ? Au len-

demain de l'ouverture du Salon de l'agriculture, la sécurité alimentaire et la guerre à la " malbouffe » sont dans tous les esprits. Cette semaine, Le

Monde publie des analyses sur les

risques et les peurs, des reportages.

Aujourd'hui, le combat contre la

" vache folle » en Bretagne.p.16

REUTERSMONFOURNY/INROCKUPTIBLESJAVA

PRÊT-À-PORTER

Le Parisiende Milan

La première collection du Parisien Marc

Audibet pour Salvatore Ferragamo

(photo) a offert une démonstration d'élégance aux dé®lés de Milan. C'était un prélude à la semaine de pré- sentation du prêt-à-porter de l'hiver

2000-2001, qui débute à Paris. p. 32

Les tout petits enfants américains se soignent aux psychotropes

NEW YORK

de notre correspondante

Les parents am•ricains des ann•es 90

connaissaient la propension des p•diatres et •ducateurs “ diagnostiquer des troubles de l'attention et de l'hyperactivit• chez l'enfant d'"ge scolaire, surtout de sexe masculin. Ce syndrome est si commun•ment accept• aux

Etats-Unis qu'il y est connu sous un simple

sigle, l'ADHD (Attention De®cit and Hyperacti- vity Disorder), et qu'il touche, selon des chiffres of®ciels du Center for Disease Control, quel- que deux millions d'enfants. Les Am•ricains s'•taient aussi habitu•s “ ce que ces troubles soient trait•s “ l'aide de m•dicaments psycho- tropes, pour la plupart des stimulants de type amph•tamines dont le plus connu est la Rita- line. Le recours “ ces m•dicaments pour les en- fants de cinq “ quatorze ans a consid•rable- ment augment• dans les ann•es 90 ± et s'•tend maintenant aux ®lles ± au point que, aujourd'hui, les Am•ricains consomment 85 % de la production mondiale de Ritaline.

Ces m-mes parents viennent cependant de

d•couvrir une nouvelle r•alit•, gr"ce “ une •tude publi•e par leJournal of the AmericanMedical Association(JAMA) : ce ne sont plus seulement les enfants d'"ge scolaire et les ado- lescents que l'on traite “ la Ritaline, aux anti- d•presseurs ou aux neuroleptiques, mais aussi les plus jeunes, les deux “ quatre ans. Le nombre d'entre eux soumis “ ce type de traite- ment a, selon la revue, " augmenté de manière spectaculaire ». L'•tude du JAMA, la premi˜re jamais r•alis•e aux Etats-Unis sur la prescrip- tion de m•dicaments psychotropes “ cette ca- t•gorie d'"ge, r•v˜le qu'entre 1991 et 1995 le nombre d'ordonnances prescrivant des stimu- lants de type Ritaline “ des enfants de deux “ quatre ans a tripl•. Le nombre d'ordonnances leur prescrivant des antid•presseurs a doubl• et le recours “ la clonidine, un m•dicament g•- n•ralement utilis• pour l'hypertension, a forte- ment augment• pour traiter l'insomnie li•e aux troubles de l'attention chez le petit enfant. Interrog•s par les m•dias am•ricains sur ces statistiques, de nombreux experts ont exprim• leur surprise ± et leur inqui•tude. Le directeur de l'Institut national de la sant• mentale, le docteur Steven Hyman, s'est d•clar•" plus que choqué »par la banalisation de la prescription

de m•dicaments psychotropes “ des enfantsd'"ge pr•scolaire. Des p•diatres ont soulign•

la dif®cult• du diagnostic d'ADHD chez les en- fants plus "g•s et donc, a fortiori, chez des en- fants de deux ou trois ans, un "ge auquel ce qui peut -tre consid•r• “ l'•cole comme un symptþme d'hyperactivit• (incapacit• de res- ter en rang ou de se tenir tranquille) est en r•alit• un comportement normal. Autre motif d'inqui•tude, mis en avant par l'un des com- mentateurs de l'•tude, le docteur Joseph Coyle, psychiatre “ Harvard : ce type de traite- ment intervient" à un stade critique du déve- loppement du cerveau et nous en ignorons en- core toutes les conséquences ».

Comment expliquer cet engouement pour

un rem˜de aussi radical ? Il y a la pression des parents et des enseignants sur les m•decins pour qu'ils •tablissent un diagnostic d'ADHD sur des enfants agit•s, la pression des compa- gnies d'assurance-maladie qui, par souci d'•conomie, privil•gient un traitement m•di- camenteux plutþt que par psychoth•rapie, et le rþle croissant du personnel m•dical en •tablis- sements scolaires.Sylvie Kauffmann

L'euro

au plus bas a

LA MONNAIE europ•enne

a subi, lundi matin 28 f•vrier

“ Tokyo, son plus violent mouve-

ment de baisse depuis son lance- ment. Elle est tomb•e jusqu'“

0,9390 dollar, un nouveau plancher

historique, avant de l•g˜rement se ressaisir. L'euro est victime des an- ticipations de remont•e des taux d'int•r-t aux Etats-Unis : celles-ci ont •t• renforc•es par l'annonce d'une croissance record de 6,9 % de l'•conomie am•ricaine au qua- tri˜me trimestre. En Europe, au contraire, plusieurs hauts diri- geants de la banque centrale ont •cart• l'•ventualit• d'un prochain resserrement de la politique mo- n•taire. Ces •volutions divergentes incitent les investisseurs “ acheter des dollars plutþt que des euros.

Lire page 24

Mar•e noire :l'Etat paie

aLe gouvernement débloque plus d'un milliard supplémentaire pour le littoral aPriorité au tourisme et

à l'environnement

aDans un entretien au " Monde »,

Dominique Voynet

demande un suivi médical pour les bénévoles

Lire pages 10 et 11,

et notre éditorial page 22 Jospin-Chirac : le réquisitoire du président

bLe chef de l'Etat dénonce la " désinvolture » du premier ministre, qui n'a pas voulu s'expliquer

immédiatement sur ses déclarations en Israël bIl l'accuse d'avoir déséquilibré la politique de la France au Proche-Orient bLa droite quali®e le chef du gouvernement d'" irresponsable »

LIONEL JOSPIN a pr•vu de r•-

pondre, mardi 29 f•vrier, “ l'Assem- bl•e nationale, aux questions de l'opposition sur ses d•clarations du

24 f•vrier en Isra—l et les incidents

qui ont suivi sa visite “ l'universit• palestinienne Bir Zeit. Plusieurs membres de l'opposition ont d•non- c• " l'irresponsabilit• »du premier ministre. Samedi 26 f•vrier, “ son re- tour “ Paris, Lionel Jospin n'a pas d•- f•r• “ la demande de Jacques Chirac, qui lui avait demand• de " prendre contact »avec lui. Le pr•sident de la

R•publique, outr• de la" d•sinvol-

ture »du premier ministre, a d•cro- ch• lui-m-me son t•l•phone pour avoir avec M. Jospin une conversa- tion d'un quart d'heure. L'Elys•e a publi• ensuite un communiqu• se- lon lequel M. Chirac a indiqu• au premier ministre que " remettre en cause »l'" impartialit• »de la poli- tique de la France au Proche-Orient " serait porter atteinte “ la cr•dibilit• de notre politique •trang˜re et “ la ca- pacit• de la France d'agir pour la paix ». Le chef de l'Etat avait adress• “ M. Jospin, vendredi 25 f•vrier, unmessage •crit, que l'Elys•e et Mati- gnon ont refus•, lundi matin, de rendre public. Dans cette lettre,

Jacques Chirac rappelle “ Lionel Jos-

pin la n•cessaire " concertation » entre l'Elys•e et Matignon.

Dimanche, au " Grand Jury RTL-

Le Monde-LCI », Hubert V•drine,

ministre des affaires •trang˜res, a pr•sent• l'ensemble des d•clarations de M. Jospin en Isra—l et en Palestine comme inspir•es par une " d•- marche de paix »exprim•e "avec conviction ». M. Jospin, a-t-il dit, "a, je crois, laiss• parler et son •motion et son cúur ». Des manifestations contre la France ont eu lieu au Liban, mais les responsables gouverne- mentaux n'entendent pas dramati- ser les propos de M. Jospin. Les res- ponsables palestiniens ont dress• un bilan contrast• de son voyage, met- tant en balance ses critiques contre la colonisation isra•lienne en Cisjor- danie et la complaisance “ l'•gard de l'Etat h•breu.

Lire pages 6, 7 et 19,

et les chroniques pages 40 et 42

LeMondeJob: WMQ2902--0002-0 WAS LMQ2902-2 Op.: XX Rev.: 28-02-00 T.: 10:19 S.: 111,06-Cmp.:28,11, Base : LMQPAG 33Fap: 100 N

o : 0479 Lcp: 700 CMYK 2

INTERNATIONAL

LE MONDE / MARDI 29 FÉVRIER 2000

L'Europe par le centre

En position isol•e par rapport “ ses coll˜gues europ•ens qui sont en grande majorit• socialistes et sociaux-d•mocrates, Jos• Maria Aznar se veut le chef de ®le de ce qu'il nomme le " centre réfor- miste »et il avance que " la solution pour l'Europe est centriste ». Eu- rop•en convaincu, il veut faire progresser l'" intégration »en pous- sant les r•formes a®n de parvenir " en 2010, au plein emploi »parmi les Quinze. A cet effet, il a transmis au pr•sident de l'Union en exer- cice, Antonio Gutteres, une lettre de proposition qui d•®nit trois •tapes : avant 2001: promouvoir la soci•t• d'information en aidant le e-commerce et les petites entreprises ; avant 2004 : lib•raliser en- ti˜rement les march•s des t•l•communications, de l'•nergie et du transport a•rien et installer un march• europ•en du capital-risque ; avant 2010, r•former le syst˜me de s•curit• sociale.

LÉGISLATIVESAlors que la

campagne électorale pour les élec- tions législatives du 12 mars a été of-

®ciellement ouverte vendredi 25 fé-

vrier, le terrorisme a fait une nouvellefois irruption dans le débat politique après l'attentat à la voiture piégée qui a tué un dirigeant socialiste et son garde du corps mardi 22 février. bLE PRÉSIDENT du gouvernement,José Maria Aznar, af®rme dans un entretien au Monde qu'il veut "la paix, rien que la paix », en soulignant qu'il a été " le premier chef de gou- vernement espagnol à autoriser descontacts directs avec l'ETA ». Il estime aussi que " l'Espagne d'aujourd'hui est dynamique, optimiste, créative et a con®ance en elle ». bLE MANDAT des 350 députés de la Chambre, ac-tuellement dominée de justesse par le centre droit (38,79 % pour le Parti populaire, et 37,63 % pour le Parti so- cialiste), sera renouvelé pour quatre ans. La campagne électorale s'est ouverte dans une Espagne endeuillée et irritée

L'attentat perpétré par l'ETA a provoqué au Pays basque une rupture entre le bloc des partis démocratiques nationaux, les nationalistes modérés

et les indépendantistes radicaux. Les bons résultats économiques donnent un avantage au gouvernement sortant de centre droit

MADRID

de notre correspondante

Le terrorisme a fait, “ nouveau,

irruption dans la politique espa- gnole. Et c'est sous le signe du deuil, de la violence et de la m•-

®ance que vient de s'ouvrir la cam-

pagne •lectorale pour les •lections l•gislatives du 12 mars, oŸ le man- dat des 350 d•put•s sera renouvel• pour quatre ans. Mardi 22 f•vrier, l'organisation s•paratiste basque

ETA a fait exploser une voiture pi•-

g•e, “ Vitoria, au Pays basque, tuant un dirigeant socialiste, Fer- nando Buesa, et son garde du corps. C'est le deuxi˜me attentat meurtrier depuis que l'ETA a mis un terme, le 3 d•cembre 1999, “ la tr-ve qu'elle observait depuis qua- torze mois.

Et m-me si le th˜me basque

± d'un commun accord entre partis

politiques ± ne devait pas faire l'objet d'affrontements •lectoraux, la situation, sur place, a d•rap•.

Ainsi samedi, au Pays basque, dans

un mouvement qui se voulait, “ l'origine, un rejet unanime de la violence, cent cinquante mille per- sonnes sont descendues dans la rue, mais en trois manifestations, nettement s•par•es et hostiles les unes envers les autres. Montrant ainsi avec •clat la rupture qui existe d•sormais entre le " bloc » des partis d•mocratiques " natio-naux » ± Parti populaire (PP) de

M. Aznar et Parti socialiste ouvrier

espagnol (PSOE) ±, les nationa- listes mod•r•s du Parti nationalistequotesdbs_dbs30.pdfusesText_36
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