LA COLLECTIVITE TERRITORIALE DE MARTINIQUE : QUESTIONS
QUESTIONS ET REPONSES. PAR. Emmanuel JOS. Professeur émérite de droit public. La création de la Collectivité Territoriale de Martinique pouvait-elle se.
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Monsieur le Professeur Emmanuel JOS pour l'aide précieuse qu'il m'a apportée dans Ancien Doyen de la Faculté de Droit et d'Economie de la Martinique.
JO Débats parlementaires Questions-Réponses Sénat
4 févr. 2021 Index analytique des questions ayant reçu une réponse ... 20456 Cohésion des territoires et relations avec les collectivités territoriales.
Procédure législative et QPC : Recherche pluridisciplinaire sur de
Revue du droit public et de la science politique en France et à l'étranger. Rec. Recueil du Conseil constitutionnel. RFDC. Revue française de droit
Université des Antilles et de la Guyane
11 janv. 2011 Maurice BURAC professeur émérite à l'Université des ... droit public
CIMETIÈRES ET PATRIMOINE FUNÉRAIRE
Régis Bertrand professeur émérite d'histoire moderne
![Procédure législative et QPC : Recherche pluridisciplinaire sur de Procédure législative et QPC : Recherche pluridisciplinaire sur de](https://pdfprof.com/Listes/20/17432-20202010_qpc2020_synthese_aixmarseille_0.pdf.pdf.jpg)
Rapport définitif
Janvier 2019
Recherche réalisée à l'occasion des dix ans de la QPC, avec le soutien du Conseil constitutionnel Recherche réalisée sous la direction de : Sophie De Cacqueray (MCF, HDR, UMR 7318, DICE, ILF-Gerjc, AMU) et Sophie Hutier (MCF, UMR 7318, DICE, ILF-Gerjc AMU). Equipe de recherche : Bachert-Peretti Audrey (docteur, UMR 7318, DICE, ILF-Gerjc, AMU) ; Benessiano William (MCF, HDR, UMR 7318, DICE, ILF-Gerjc, AMU) ; Combrade Bertrand- Léo (MCF, Université Picardie Jules Verne) ; De Montis Audrey (MCF, Université de Rennes1) ; Domingo Laurent (Maître des requêtes, Conseil d'Etat) ; Evangelisti Adriano (doctorant,
UMR 7318, DICE, ILF-Gerjc, AMU) ; Fourmont Alexis (MCF, Paris I) ; Garcia Bastien (doctorant contractuel ; UMR 7318, DICE, ILF-Gerjc, AMU) ; Ghevontian Richard (Professeur émérite, UMR 7318, DICE, ILF-Gerjc, AMU) ; Guerrini Marc (MCF, Université Paris 1) ; Jensel-Monge Priscilla (MCF, UMR 7318, DICE, ILF-Gerjc, AMU) ; Lamouroux Sophie (MCF, HDR, UMR 7318, DICE, ILF-Gerjc, AMU) ; Leothier Laurent (docteur, UMR 7318, DICE, ILF-Gerjc, AMU) ; Martin Valentine (Doctorante, Université de Lille) ; Oliva Eric (Professeur, UMR 7318, DICE, ILF-Gerjc, AMU) ; Perrier Jean-Baptiste (Professeur, Ispec, Amu) ; Rubio Nathalie, Audrey (MCF, FEG, AMU) ; Vidal-Naquet Ariane (Professeur, UMR7318, DICE, ILF-Gerjc, AMU) ; Ytier David (Docteur, Ceff, AMU).
Le présent document constitue le rapport scientifique d'une recherche réalisée avec le soutien
du Conseil constitutionnel. Son contenu n'engage que la responsabilité de ses auteurs. Toute reproduction, même partielle, est subordonnée à l'accord du Conseil constitutionnel.Sommaire
SOMMAIRE 5
TABLE DES ABREVIATIONS 7
PARTIE 1 : SYNTHESE GENERALE 9
A) LA RECONFIGURATION DES RAPPORTS INSTITUTIONNELS INFLUENCES PAR LA QPC 12B) UN LEGISLATEUR SOUS CONTRAINTE 19
C) UN REMANIEMENT DU CONTROLE DE CONSTITUTIONNALITE 23 PARTIE 2 : RAPPORTS CONCLUSIFS DES MEMBRES DE L'EQUIPE 29 CHAPITRE 1 : INTRODUCTION SUR LES RAPPORTS ENTRE LA QPC ET LES INSTITUTIONS 29 CHAPITRE 2 : LA QPC ET L'ELABORATION DE LA LOI : DE LA GENESE A L'ADOPTION DEFINITIVE DE LA LOI 40 CHAPITRE 3 : REFLEXIONS SUR LES NOUVEAUX ECHANGES INSTITUTIONNELS : EXECUTIF, PARLEMENT ET CONSEILCONSTITUTIONNEL 104
CHAPITRE 4 : LA PROCEDURE LEGISLATIVE ET LE CONTROLE A POSTERIORI : LES EXEMPLES ETRANGERS 171TABLE DES MATIERES 205
Table des abréviations
AN Assemblée nationale
BVerfGE Recueil des décisions de la Cour constitutionnelle fédérale allemandeCC Conseil constitutionnel
CE Conseil d'Etat
Cons. Considérant
Cass. Cour de cassation
dir. Sous la direction deéd. Édition
Giur. Cost Giurisprudenza italienna
Ibid. Ibidem
J.O.A.N. Journal officiel de l'Assemblée nationale J.O.R.F. Journal officiel de la République françaiseJ.O.S. Journal officiel du Sénat
Leb. Recueil Lebon
LGDJ Librairie générale de droit et de jurisprudenceLPA Les Petites Affiches
n° NuméroNCCC Nouveaux cahiers du Conseil constitutionnel
obs. ObservationPUAM Presses Universitaires d'Aix-Marseille
PUF Presses Universitaires de France
R.A.N. Règlement de l'Assemblée nationale
RDP Revue du droit public et de la science politique en France et à l'étrangerRec. Recueil du Conseil constitutionnel
RFDC Revue française de droit constitutionnelR.S. Règlement du Sénat
Sect. Section du contentieux du Conseil d'Etat
spéc. Spécialement s. Suivantes t. TomeVol. Volume
Partie 1 : Synthèse générale
Par Sophie de Cacqueray
Sophie Hutier
" La révolution était possible ; la révolution n'a pas eu lieu » 1 . Alors qu'en 1981, Jean Rivero évoquait en ces termes les rapports entre les articles 34 et 37 de la Constitution, il estaisé aujourd'hui pour nous de reprendre le parallèle. Si en 2008, un véritable bouleversement
s'est produit dans notre ordre juridictionnel avec l'int roduction d'un contrôle deconstitutionnalité a posteriori, la révolution n'a en fait pas eu lieu s'agissant de la procédure
législative.Objectifs et problématique :
L'introduction de la question prioritaire de constitutionnalité (QPC) constitue un enjeu décisif
pour les acteurs de la procédure législative, qui ne disposent plus de la maîtrise de leurs actes.
Ainsi, en permettant au justiciable en application de l'article 61-1 de la Constitution de contesterla validité de la loi, le constituant du 23 juillet 2008 a autorisé, en cas de contrariété aux droits
et libertés garantis par la Constitution, une remise en cause de la loi, qui demeure le produitissu des travaux des assemblées parlementaires. Ce changement a inévitablement entraîné des
répercussions sur l'adoption de la loi et sur ses acteurs. Dans ce contexte, la recherche s'interroge sur les modalités de la prise en compte de la QPC etses conséquences lors de la préparation des textes législatifs. Il s'agit plus particulièrement
d'identifier dans quelle mesure le Gouvernement et le Parlement anticipent le contrôle deconstitutionnalité a posteriori ou encore de quelle manière ces institutions ont endossé un rôle
spécifique dans le processus de la QPC pour permettre son effectivité.Pour répondre à ces problématiques, une démarche pluridisciplinaire a été retenue nécessitant
de réunir au sein de l'équipe de recherche des juristes, spécialisés en droit constitutionnel, droit
comparé, droit privé ainsi que des économistes 2 1Jean Rivero, " Rapport de synthèse », in Louis Favoreu (dir.), Le domaine de la loi et du règlement, 2
eéd., Paris,
Economica, 1981,p. 263.
2L'équipe de recherche était composée de : Audrey Bachert-Peretti (docteur, AMU) ; William Benessiano (MCF,
AMU) ; Bertrand-Léo Combrade (MCF, Université Picardie Jules Verne) ; Audrey De Montis (MCF, Université de
Rennes 1) ; Laurent Domingo (Maître des requêtes, Conseil d'Etat) ; Adriano Evangelisti (doctorant, AMU) ; Alexis
Fourmont (MCF, Paris I) ; Bastien Garcia (doctorant contractuel, AMU) ; Richard Ghevontian (Professeur émérite,
AMU) ; Marc Guerrini (MCF, Université Paris 1) ; Priscilla Jensel-Monge (MCF, AMU) ; Sophie Lamouroux (MCF,
AMU); Laurent Leothier (Docteur, AM U) ; Valentine Martin (Doctorante, Université de Lille) ; Eric Oliva
(Professeur, AMU) ; Jean-Baptiste Perrier (Professeur, Amu) ; Nathalie, Audrey Rubio (MCF, FEG, AMU) ; Ariane
Vidal-Naquet (Professeur, AMU) ; David Ytier (Docteur, AMU).Synthèse générale
10 Enonciation et justification des choix méthodologiques effectués :La recherche a été conduite en plusieurs étapes. Elle a d'abord été lancée par la mise en place
d'une recherche quantitative ainsi que d'une recherche qualitative puis s'est poursuivie par une phase de réflexion et d'analyse entre les membres de l'équipe de recherche. La recherche quantitative a eu pour objet d'identifier de quelle manière et dans quelles conditions la Constitution ainsi que les décisions du Conseil constitutionnel sont mobilisées lors de toutes les étapes de la procédure législative. Pour y parvenir, nous avons collecté différentes données sur la période 2009-2018. Cettecollecte de données a servi à mettre en relation les conditions d'adoption de la loi et notamment
les références constitutionnelles s'y trouvant avec les contrôles de constitutionnalité effectués
sur ces lois pendant la même période. Nous avons recherché l'ensemble des occurrences du mot
" Constitution » ai nsi que " Conseil constitutionnel » dans les différent es phases de la
procédure législative à travers les documents disponibles. L'intérêt était d'identifier à chacun
des stades de la procédure : la nature de la référence constitutionnelle, son auteur ainsi que son
incidence sur le texte examiné. Parallèlement, nous avons identifié dans les décisions QPC, la nature de la dispositionlégislative contestée ainsi que les décisions dans lesquelles le Cons eil constitutionnel a
demandé au législate ur d'apporter une réponse lé gislati ve afin de remédi er aux inconstitutionnalités constatées.Afin de compléter la recherche quantitative, nous avons réalisé un questionnaire d'enquête qui
a été soumis à différents acteurs de la procédure législative pour identifier comment le contrôle
de constitutionnalité est intégré au processus décisionnel.Au terme de cette collecte d'informations, notre équipe s'est réunie afin de dégager les axes de
recherche suivants : - Les évolutions de l'écriture de la loi depuis l'entrée en vigueur de la QPC. - Le changement de dialogue institutionnel entre l'Exécutif, le Parlement et le Conseil constitutionnel. - Les rapports entre procédure législative et contrôle de constitutionnalité dans lessystèmes juridiques étrangers : trois systèmes juridiques ont été retenus dont certains
connaissent depuis de nombreuses années un contrôle de constitutionnalité a posteriori (Allemagne, Italie) et un systèm e qui ne connaît qu'un contrôle de conventionalité (Royaume-Uni).En fonction de ces axes de recherche, chaque membre de l'équipe a rédigé un rapport permettant
de dégager plusieurs constats qui ont ensuite été discutés lors d'une journée d'études. Les
conclusions des membres de l'équipe sont reprises tout au long de la présente synthèse et figurent intégralement dans la seconde partie du rapport.Synthèse générale
11 Terrains ou données ayant servi de support à la recherche : Notre recherche a porté sur 451 lois adoptées sur la période 2009-2018 3 , 238 décisions QPC et129 décisions DC.
Parallèlement, nous avons auditionné dix personnes dont des parlem entaires , des administrateurs des assemblées, ainsi que de s membres travaillant au sein de l'équipe gouvernementale et du Conseil constitutionnel.En conséquence, la recherche a été menée en intégrant non seulement les données qualitatives
et quantitatives mais également en prenant en considération les conditions de création de la
QPC.Les principales conclusions de la recherche :
La QPC, qui a été appréciée comme la " fille » 4 du Parlement, a d'abord pris naissance au sein des institut ions françaises après plusieurs " tentatives manquées » 5 d'introduire un telprocessus. Le contrôle de constitutionnalité institué en 1958 a été initialement vécu comme une
immixtion anormale dans le débat parlementaire et la souveraineté du Parlement. Il a falluattendre le début des années 1980 pour que se développe en France une véritable " culture de
constitutionnalité » 6 . C'est d'ailleurs au cours de cette décennie que sera envisagée la créationd'un contrôle a posteriori. Robert Badinter, alors président du Conseil constitutionnel, soumit
cette proposition qui fût reprise par le président Mitterrand lors d'un entretien télévisé le 14
juillet 1989. Ce dernier souhaitait faire " une sorte de cadeau institutionnel aux Français » 7 pourcélébrer le bicentenaire de la Révolut ion. L'hostilité du Sénat, associée à un défaut
d'enthousiasme, justifia l'abandon d'une telle réforme. Trois ans plus tard, la proposition de la Commission Vedel visant à permettre aux citoyens de contester la constitutionnalité d'une loi rencontra un destin similaire. Il faudra attendre un contexte renouvelé pour que soit de nouveau envisagé un contrôle a posteriori dans le système juridique français et notamment " l'imprégnation de plus en plusimportante des droits et libertés fondamentaux » ainsi que " l'importance prise par le contrôle
de conventionalité dans la protection des droits et libertés fondamentaux » 8Cette réforme constitutionnelle emporte des incidences décisives sur les acteurs de la procédure
législative. Alors que le contrôle a priori d'origine apparaît clairement comme une étape de la
procédure législative par la possibilité d'une intervention du Conseil constitutionnel à l'issue
du vote de la loi par le Parlement, l'ajout dans la Constitution de l'article 61-1 a modifié lasituation. Désormais, le contrôle a posteriori ne peut s'apparenter à une étape de la procédure
législative puisqu'il peut intervenir largement en aval de celle-ci et fait apparaître une nouvelle
entité : le citoyen. 3Certaines lois ont été exclues du champ de l'étude notamment les lois organiques, les lois de ratification, les
lois en lien avec une loi organique. 4 Guy Carcassonne, " Le Parlement et la QPC », Pouvoirs, n° 137, 2011, p. 79. 5 Termes retenus dans le rapport de R. Ghevontian, p.30. 6Guy Carcassonne, " Le rôle du contrôle de constitutionnalité dans l'élaboration et le vote de la loi », in Le Conseil
constitutionnel a 40 ans, Paris, LGDJ, 1999, p. 84. 7 Constat établi dans le rapport de R. Ghevontian, p.30. 8 Constats établis dans le rapport de P. Jensel-Monge, p.66.Synthèse générale
12En invoquant ses droits et libertés fondamentaux, le citoyen devient un acteur de la défense de
l'Etat de droit. Par la même, il s'est invité de manière indirecte dans le jeu institutionnel qui,
antérieurement, était l'apanage des pouvoirs publics constitutionnels.Depuis l'introduction de la QPC plusieurs évolutions se font jour qui amènent à trois constats :
- une reconfiguration des rapports institutionnels - une augmentation de la contrainte pesant sur le législateur - une refonte du contrôle de constitutionnalité A) La reconfiguration des rapports institutionnels influencés par la QPC Depuis l'instauration de la QPC, le législateur doit tenir compte d'un nouveau paramètre dans l'élaboration de la loi. La QPC a mis fin à " l'intangibilité de la loi promulguée » 9 favorisant une " fragilité constitutionnelle » 10 qui est désormais intégrée lors du travail d'élaboration de la loi. Ce fa isant, l'on cons tate un accroissement des réfle xes cons titutionnels et une transformation du lien entre le législateur et le Conseil constitutionnel.1. La QPC accroît l'intensité des réflexes constitutionnels
La QPC doit être appréhendée comme " un maillon de l'insécurisation de la loi au profit de la
sécurité juridique » 11 . Cette forme d'insécurité dont souffre la loi se répercute à chaque étape de la procédure législative, sauf à risquer une possible remise en cause de celle-ci.L'obligation d'intérioriser ce risque constitutionnel a renforcé le développement d'un réflexe
constitutionnel déjà connu des institutions intervenant dans le processus législatif. Déjà, la
circulaire du 27 mai 1988 invitait les ministres à " tout faire pour déceler et éliminer les risques
d'inconstitutionnalité susceptibles d'entacher les projets de loi, les amendements et lespropositions de loi inscrites à l'ordre du jour », et ce, " même dans les hypothèses où une saisine
du Conseil constitutionnel [était] peu vraisemblable » 12 . Dans le même sens, les parlementaires intégraient le questionnement constitutionnel notamment au travers d'une motion de procédure. A l'Ass emblée nationale, l'exception d'irrec evabilité avait ainsi pour obj et " de faire reconnaître que le texte proposé e st cont raire à une ou plusieurs dispositions constitutionnelles » 13 Toutefois, il est à relever que la " QPC incite le Parlement, tout comme le Gouvernement, àintensifier leur lecture préventive et anticipatrice du contrôle de constitutionnalité au moment
de l'élaboration de la loi afin de pouvoir conserver la maîtrise et l'initiative des réformes
9 Guillaume Tusseau, " La fin d'une exception française ? », Pouvoirs, 2011, n° 137, p. 7. 10 Constat établi dans le rapport de V. Martin, p. 33. 11Termes employés par Georges Bergougnous lors d'une journée d'études organisé à Aix en Provence en octobre
2019.12
Circulaire du 25 mai 1988 relative à la méthode de travail du Gouvernement, JORF du 27 mai 1988 p. 7383.
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