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LeMondeJob: WMR2797--0001-0 WAS TMR2797-1 Op.: XX Rev.: 05-07-97 T.: 08:30 S.: 75,06-Cmp.:05,11, Base : LMQPAG 11Fap:99 N

o :0253 Lcp: 196 CMYK

Comment se fabriqueun hérosdefeuilleton

bTELEVISIONaRADIOHMULTIMEDIA

SEMAINE DU 7 AU 13 JUILLET1997

Internet à l'école :

la révolution d'octobre

Pages 32 et 33

ENQUÊTE

PRIX ITALIA 1997

Palmarès et

commentaires de la 49 e

édition.

Page 26

CINÉMA

" C'est arrivé près de chez vous ».

Un ®lm d'une

extrême noirceur, réalisé et interprété par trois jeunes Belges. Page 22

Ils sont devenus des héros familiers,les Navarro, Julie Lescaut, L'Instit...Mais comment naissent ces personnages ? Qui les imagine ? A quelles valeurs correspondent-ils ?Derrière leurs aventures, leur viequotidienne qui se déroulent surpetit écran, il y a lesproducteurs,leurs vrais pères, et beaucoup de travail. Quelles sont leursméthodes ? Leurs contraintes ?Enquête dans les coulisses des sériestélé. Pages 2, 3 et 4

LeMondeJob: WMR2797--0002-0 WAS TMR2797-2 Op.: XX Rev.: 05-07-97 T.: 08:48 S.: 75,06-Cmp.:05,11, Base : LMQPAG 11Fap:99 N

o :0254 Lcp: 196 CMYK

2 Le MondebTélévisionaRadioHMultimédiaDimanche 6 - Lundi 7 juillet 1997

TELEVISION

ENQUÊTE

Les héros

se fabriquent

à la chaîne

L

A chaîne n'y croyait pas

trop. Une héroïne de trente ans, c'était la pre- mière fois dans une série. Trop jeune pour accrocher la " ménagère de moins de cinquante ans » ! Trop jeune et trop jolie. Susceptible d'évoquer ces ®lles qui viennent vous ra¯er votre mari sous le nez ! " J'ai entendu

ça!», dit Pierre Grimblat, qui a dû se

bagarrer pour imposer son nouveau pro- totype. Aujourd'hui, bien sûr, on le félicite, la fringante commissaire s'est installée en quelques épisodes et " Quai n o

1» caracole

joyeusement avec 7 à 8 millions de télé- spectateurs (trices !) ®dèles. " Ce qui prouve bien qu'on avait besoin de ça », triomphe Pierre Grimblat.

Le PDG de Hamster a beau créer des

héros qui font exploser le PAF, il doit batailler dur parfois. Pas simple de bous- culer les schémas. Obnubilées par leurs objectifs d'audience, l'úil constamment braqué sur le Médiamat, les grandes chaînes françaises ne cessent de réclamer des idées mais paniquent à la moindre fan- taisie. Plus tard, le personnage redouté deviendra le nouveau modèle à suivre. Jeune et jolie, voilà la règle, il n'y en a pas d'autre, faites-moi des femmes-héros !

Ainsi voit-on se succéder les modes à la

télévision, les phénomènes de répétition. Les héros récurrents... rêve récurrent des chaînes qui cherchent à s'assurer une audience stable pour leurs annonceurs. Au producteur de les inventer, pour pas cher si possible, et dans un minimum de temps, mais avec obligation de résultat, sinon gare, ils devront attendre poliment devant la porte des diffuseurs. La ®ction lourde se porte bien en France. Nés avec l'arrivée des chaînes privées, les producteurs, fabriquent environ quelque trois centstélé®lms par an. Ils se sont extraordinaire- ment professionnalisés en peu de temps.

C'est tout juste s'ils pouvaient inscrire leur

salaire sur les devis il y a cinq ou six ans ; aujourd'hui leur rôle est reconnu, détermi- nant. Ils ont appris à coller au plus près des goûts du public. L'image des chaînes est désormais liée aux héros qu'ils ont peau®- nés. Pourtant on sent sourdre chez eux un malaise. Seraient-ils au bord de la crise de nerfs ? Pourquoi cet écart entre ce qu'ils disent ouvertement et ce que, soudain, ils con®ent discrètement ? Qui sont ces arti- sans responsables de notre imaginaire en prime time ? Des artistes, des industriels ?

Ils bossent du matin au soir, cherchent

des idées tout le temps, les trouvent par- fois au restaurant. On les voit dans les avions, ils ®lent au MIP TV à Cannes, reviennent à toute vitesse pour un rendez-vous au ®nal aléatoire. Autour d'un scotch, ils défendent leur projet. Leur ordinateur est bourré de noms d'auteurs, d'écrivains, de comédiens, de réalisateurs. Ils mettent un an à faire une " bible », jusqu'à deux ans pour la faire aboutir en images. Un jour peut-être (pas sûr !), les téléspecta- teurs vont découvrir des paysages, des visages, fruits d'interminables négocia- tions.

Négociations avec les diffuseurs d'un

côté (ces pragmatiques toujours sûrs d'eux), avec les scénaristes de l'autre (ces

écorchés vifs). Coincés entre la grosse

enclume des ®nanciers et le petit marteau des créateurs, de séminaires en réunions de travail, ils vont refaire une scène, reprendre un personnage, changer un comédien, introduire une action, mais là, tenir bon ! Etre producteur, c'est naviguer au milieu des contraintes, s'efforcer de comprendre les besoins des chaînes et de respecter la liberté de création des auteurs.

Le premier problème qu'ils affrontent,

c'est celui de la télévision, un média qui doit s'adresser au grand nombre. Chaque chaîne (sauf Arte) a ses impératifs d'audience dans le prime time, que les pro- ducteurs connaissent bien. 35 % de parts de marché sur TF1, 25 %-30 % sur

France 2, 20 %-22 % sur France 3, 16 % sur

M 6. Des quotas qui déterminent des

lignes éditoriales précises. Aux produc- teurs de s'adapter. Ne jamais oublier que derrière tout diffuseur il y a un annonceur qui sommeille, prêt à se réveiller dès que l'audience vacille. Pas de désordre dans les rangs des prévisions. " C'est la loi du genre », admet Fabienne

Servan-Schreiber, PDG de Cinétévé (Le

Cúur étincelant, Court toujours, Bonne fête papa). " On n'est plus dans un monde où l'on fait un ®lm que personne ne regarde. C'est réducteur mais c'est comme ça. » " Il y a six ou sept ans, quand une chaînebbb

On ne les connaît pas, mais c'est grâce à eux, qu'arrivent un jour, sur nos petits écrans,

tous les héros qui peuplent notre imaginaire. De " Navarro » à " Julie Lescaut », qui sont ces producteurs ? Des hommes au bord de la crise de nerf ?

CréditsphotosEn page1,de gaucheà droiteet de hauten bas :Morell/Kipa,B. Fau/Kipa,Kipa,R. Picard/France 2En page 2,de gaucheà droite :Alya,France 3,G. Schrempp/France 2

E. FOUGERE/KIPA

LeMondeJob: WMR2797--0003-0 WAS TMR2797-3 Op.: XX Rev.: 05-07-97 T.: 08:49 S.: 75,06-Cmp.:05,11, Base : LMQPAG 11Fap:99 N

o :0255 Lcp: 196 CMYK Dimanche 6 - Lundi 7 juillet 1997bTélévisionaRadioHMultimédiaLe Monde 3 Pierre Grimblat : " Pour Mitterrand, j'ai créé L'Instit»

Le père de toutes

les séries mythiques de la télévision française explique les secrets de ses héros récurrents R

APPELEZ-VOUS : " Série noire »,

c'était lui. Un choc dans le paysage audiovisuel français qui ronronnait dans le policier avec ses " Maigret » et autres " Commissaire Moulin ». Humour, méchanceté, rapidité, atmosphère sur- tout, des exercices de style codés avec de grandes signatures. Puis, il y a eu les " Navarro », " L'Instit », " Quai n 0

1», de

gros bolides qui, depuis plusieurs années, font tilt à l'Audimat, comme ses feuille- tons, " Le Château des oliviers », " Une femme en blanc », ses collections, " L'Heure Simenon » ou " Sentiments ».

Pierre Grimblat a été nommé deux fois de

suite l'Homme de l'année au MIP à

Cannes. Honneur exceptionnel, le titre

avait été décerné jusque-là à des diri- geants de chaîne comme André Rousselet,

Ted Turner et Silvio Berlusconi. La maison

Hamster, dont il est le PDG, a une réputa-

tion jusqu'aux Etats-Unis. Les Américains sont épatés par ce tourbillonnant agita- teur d'idées capable d'inventer des concepts qui assurent jusqu'à 50 % des parts de marché pour une chaîne pendant plusieurs années. Quoi de plus dif®cile que de fabriquer des héros récurrents ?

Il vient du cinéma, son univers, qu'il n'a

pas lâché (il aime bien rappeler qu'il a fait partie de la bande à Truffaut). On lui doit

L'Empire de la nuit, Slogan, Dites-le avec

des ¯eurs. Mais ce cinéphile, amoureux des séries B, adore aussi l'audiovisuel où il cumule les fonctions d'auteur, de réalisa- teur et de producteur. Pierre Grimblat s'est fait connaître par ses ®ctions " haut de gamme ». Il a fêté ses soixante-dix ans, mais cet " artisan » a toujours cent pro- jets sur le fourneau.

Navarro est né d'un hasard. " Je suis

tombé sur Roger Hanin dans un bar à

Monte Carlo. Entre deux scotchs, on a créé

Navarro. »Ensuite il a fallu établir la bible, travail de longue haleine, procédé repris aux Américains qui permet aux scéna- ristes et réalisateurs qui vont se succéder sur la série de garder le ®l. " Là, je rentre dans mon folklore, la balistique de l'histoire, dit Pierre Grimblat. On fait comme si la série allait durer vingt ans. Contrairement aux Américains qui changent le personnage en provoquant un accident (ensuite ils continuent avec la ®lle), chez nous, les per- sonnages vieillissent avec les téléspecta- teurs. Il faut prévoir tout ce qui peut arriver dans les vingt ans qui viennent. Ce n'est pas dif®cile, concernant leur vie professionnelle,

ça l'est davantage sur le plan familial et

sentimental. Avec les hommes, on s'en tire en jouant Lonesome cow-boy. On sait par exemple que la femme de Navarro a dis-

paru un jour et qu'il aime sa ®lle. Pour l'Ins-tit, j'ai écrit l'épisode ± que je ne montrerai

jamais ! ± où l'on découvre que sa femme et sa ®lle l'ont quitté alors qu'il était juge pour enfants. Il a commis une bavure, un môme s'est suicidé dans son cabinet. Il a laissé tomber le métier pour devenir instituteur.

On a imaginé son rôle sur dix ans.»

Le personnage de " L'Instit » est né sur

un bateau à aubes, à Genève. Pierre Grim- blat avait rejoint Roger Hanin sur le lac

Léman, où il tournait. Le comédien avait

pris à part le producteur, il avait un mes- sage du " président ». François Mitter- rand avait demandé à Hanin si " son ami » ne pourrait pas trouver une idée " avant les législatives» face à la montée du Front national. Grimblat s'est souvenu de son instituteur dans le 11 e arrondissement. " Le jour-même, j'ai téléphoné à Hervé

Bourges, alors président de France Télé-

vision : ªEst-ce qu'on pourrait se voir à

19h30? ºJ'ai pris l'avion. ªEst-ce possible

avant le premier tour ? º, m'a demandé

Bourges. ªJe vais essayerº. Huit mois plus

tard, on était à l'antenne. » " L'Instit » dis- tribue depuis six ans, régulièrement, ses valeurs républicaines à six millions de

®dèles. Message sans doute compris : la

collection de " L'Instit », inscrite parmi les livres " jeunesse » proposés aux biblio- thèques municipales françaises, a été refusée à l'achat par la municipalité (FN) d'Orange. " Qu'aujourd'hui une municipa- lité d'extrême droite raye de ses commandes cette collection publiée par Hachette prouve qu'ils sont logiques. » " Mon grand point d'honneur avec ªNavarroºet ªL'Institº, poursuit l'auteur- producteur, est de surfer sur les valeurs fon- damentales d'un petit gars élevé dans le 11 e et qui dispose d'une estrade où régu- lièrement huit ou dix millions de personnes s'installent. Avec ªL'Institº, je parle un lan- gage que les hésitants, les marginaux du

Front national peuvent comprendre et qui

passe rarement. Les beaux esprits, qui n'ont pas les bras au contact des choses, m'accusent de manichéisme, mais que font- ils tandis qu'on expose des idées simplement criminelles ? »

Huit mois pour camper un héros

récurrent, c'était une performance obli- gée. " Navarro » lui a pris deux ans, " Quai N o

1» aussi. " L'objet était de mon-

trer une héroïne de trente ans, pour la pre- mière fois, dans une série. Dans un envi- ronnement qui m'émeut, le monde du chemin de fer. » L'idée est de Didier

Decoin. L'ex-directeur de la ®ction sur

France 2 lui avait parlé d'un tableau de

Monet avec la verrière de la gare Saint-

Lazare. Il voulait une série qui se passe là- dedans. Hasard encore, Drucker l'appelleau même moment : " Tu as vu mon émis- sion d'hier ? J'ai présenté la première femme commmissaire divisionnaire, chef de la brigade des chemins de fer, Danièle Thierry, elle écrit.»Pierre Grimblat la ren- contre. Danièle Thierry lui parle de sa grand-mère, enfant trouvée dans une salle d'attente à Dijon, adoptée et élevée par les gens du rail. Son père adoptif l'avait appelée " Marie Gare ». " Quai n o

1» était parti.

Reste ensuite à délimiter le terrain,

" sud-sud-est, nord nord-ouest », selon la formule de Pierre Grimblat. Commence la deuxième période, avec le directeur de collection. Pour " Navarro », c'était Tito

Topin à qui il donne cette indication suc-

cincte :" Un grand mec, les pieds sur le bitume, avec une petite ®lle. Je veux voir ses gros pieds sur le bitume. Ce sera Hanin».

Ensemble, il élaborent leur première

bible : " Coexistent à Paris et région pari- sienne soixante-douze ethnies. Chacune avec son langage, ses coutumes. Navarro va nous permettre de mieux identi®er s'il y a délit ou pas délit dans une sale gueule.»Il y en aura d'autres, suite aux remaniements apportés par les auteurs auxquels on fait appel.

C'est Didier Cohen qui a élaboré la

bible de " L'Instit » et de " Quai n o

1». Les

deux écrivains échangent leur rôle. De co- auteurs sur une série, ils deviennent direc- teurs de collection sur l'autre. Ils amènent chacun d'autres auteurs qui vont entrer dans le rêve commun. Ce long travail s'accompagne en permanence de brain- storming avec les directeurs de ®ction

± Claude de Givray (TF1) est souvent "en

cuisine »± avec les conseillers techniques, commissaires, pédiatres ou avocats, capables de donner leur avis de spécia- liste.

Pierre Grimblat travaille toujours sur

une quarantaine de projets en même temps ; il développe ou achève actuelle-quotesdbs_dbs20.pdfusesText_26
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