Chapitre VII Les bases de données déductives
la base de données intentionnelle. 246. Exemple : Base de données extensionnelle : Prédicat parent `a 2 arguments (ou relation parent `a 2 attributs).
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Par exemple R pourrait être la relation FILM (No_exploitation Titre Realisateur) 1) Quelle est la clé primaire de R ? Dans quelle forme normale se trouve
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Avantages de l'approche Base de Données Exemples de SGBD 3 Quelques rep`eres historiques 4 Place des BD dans l'informatique 5 BD et emploi Odile PAPINI
Quelles sont les bases de données les plus utilisées ?
Les bases de données prédominantes sont aujourd'hui les suivantes : SQL, NoSQL et bases de données cloud.Quels sont les trois types de bases de données ?
Il existe bien sûr d'autres SGBD d'entreprise en plus des trois principaux. Parmi les plus courants, Teradata, SAP Sybase et Informix offrent toutes les fonctionnalités d'entreprise, mais sont surtout cantonnés à certaines niches.Quels sont les 3 SGBD les plus utilisés ?
Une base de données est une collection de données organisées. Par exemple, une base de données peut regrouper toutes les informations sur les clients ou sur les transactions. Les bases de données sont conçues de manière à ce que les données qu'elles contiennent soient accessibles et manipulables.
![Implémentation dune base de données géospatiale NoSQL MongoDB Implémentation dune base de données géospatiale NoSQL MongoDB](https://pdfprof.com/Listes/17/17663-17Holemans_Amandine_TFE_2017.pdf.pdf.jpg)
þÿImplémentation d une base de données géospatiale NoSQL MongoDBAuteur : Holemans, AmandinePromoteur(s) : Donnay, Jean-PaulFaculté : Faculté des SciencesDiplôme : Master en sciences géographiques, orientation géomatique et géométrologie, à finalité spécialiséeAnnée académique : 2016-2017URI/URL : http://hdl.handle.net/2268.2/3136Avertissement à l'attention des usagers : Tous les documents placés en accès ouvert sur le site le site MatheO sont protégés par le droit d'auteur. Conformément
aux principes énoncés par la "Budapest Open Access Initiative"(BOAI, 2002), l'utilisateur du site peut lire, télécharger,
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indexer, s'en servir de données pour un logiciel, ou s'en servir à toute autre fin légale (ou prévue par la réglementation
relative au droit d'auteur). Toute utilisation du document à des fins commerciales est strictement interdite.Par ailleurs, l'utilisateur s'engage à respecter les droits moraux de l'auteur, principalement le droit à l'intégrité de l'oeuvre
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un document par extrait ou dans son intégralité, l'utilisateur citera de manière complète les sources telles que
mentionnées ci-dessus. Toute utilisation non explicitement autorisée ci-avant (telle que par exemple, la modification du
document ou son résumé) nécessite l'autorisation préalable et expresse des auteurs ou de leurs ayants droit.
UNIVERSITÉ DE LIÈGE
Faculté des sciences
Sciences géographiques
Implémenta
Création à partir de données du
réMémoire présenté par :
Amandine Holemans
Master en sciences géographiques, orientation géomatique et géométrologieAnnée académique :
2016-2017
UNIVERSITÉ DE LIÈGE
Faculté des sciences
Sciences géographiques
NoSQLà partir de données du
réseauMémoire présenté par :
Amandine Holemans
Master en sciences géographiques, orientation géomatique et géométrologieAnnée académique :
2016-2017
A. HOLEMANS MongoDB
2REMERCIEMENTS
s conseils, son accompagnement et sa patience. Je remercie également M. Schmitz et M. KasprzykJe veux également
géospatiales. e et supportée tout le long de ce travail, ainsi que mes grands-parents pour leurs attentions particulières.A. HOLEMANS MongoDB
3Table des matières
Remerciements ..................................................................................................................................... 2
1. Introduction ................................................................................................................................... 7
1.2 Apparition du NoSQL ............................................................................................................. 8
1.3 Le Big Data et la géographie .................................................................................................. 8
2.1 Systèmes de gestion base de données ................................................................................ 10
2.2 Modèle relationnel .............................................................................................................. 10
2.2.1 Caractéristiques principales ........................................................................................ 10
2.2.2 Désavantages du système relationnel ......................................................................... 11
2.3 NoSQL .................................................................................................................................. 12
2.3.2 Désavantages .............................................................................................................. 13
2.3.3 Le NoSQL et le géospatial ............................................................................................ 14
2.4 Type modèle de SGBD NoSQL ............................................................................................. 14
2.4.1 Base de données clé-valeurs ....................................................................................... 15
2.4.2 Base de données orientées colonne ........................................................................... 15
2.4.3 Base de données graphes ............................................................................................ 16
2.4.4 Base de données orientées document ........................................................................ 17
2.5 Choix de la base de données NoSQL ................................................................................... 19
2.5.1 Comparaison des outils de gestion des BD NoSQL ...................................................... 19
2.5.2 Présentation rapide de MongoDB ............................................................................... 20
2.5.3 Quelques utilisateurs connus de MongoDB : .............................................................. 22
2.6 Comparaison des performances par rapport au relationnel .............................................. 23
3. Contexte et hypothèse ................................................................................................................ 26
3.1 AIDE ..................................................................................................................................... 26
3.2 Type de données ................................................................................................................. 26
3.3 Correspondance avec le modèle orienté document ........................................................... 29
3.4 Type de demande ................................................................................................................ 30
A. HOLEMANS MongoDB
43.5 Hypothèse ........................................................................................................................... 30
4. Développement ........................................................................................................................... 31
4.1 Notions de base de MongoDB ............................................................................................. 31
4.1.1 Introduction ................................................................................................................. 31
4.1.2 Schéma ........................................................................................................................ 31
4.1.3 JSON et GeoJSON......................................................................................................... 34
4.1.4 Modélisation................................................................................................................ 35
4.1.6 Validation de documents ............................................................................................ 37
4.1.7 " Sharding » ou distribution horizontale ..................................................................... 37
4.1.8 Sécurité ........................................................................................................................ 38
4.1.9 GridFs ........................................................................................................................... 39
4.2 Installation MongoDB et choix des outils ............................................................................ 40
4.2.1 Version ......................................................................................................................... 40
4.2.2 Quel pilote ? ................................................................................................................ 40
4.2.3 Quelle interface ? ........................................................................................................ 41
4.3 Fonctions de base ................................................................................................................ 43
4.3.1 Importation ................................................................................................................. 43
4.3.2 Requêtes de base ........................................................................................................ 43
4.3.3 Requêtes Spatial .......................................................................................................... 44
4.4 Solutions complémentaires ................................................................................................. 46
4.4.1 QGIS et Plugins ............................................................................................................ 46
5. Application .................................................................................................................................. 47
5.2 Traitement des données ..................................................................................................... 47
5.2.1 Schémas ....................................................................................................................... 47
5.2.2 Base de données Access .............................................................................................. 48
5.2.3 Données géolocalisées ................................................................................................ 48
5.2.4 Données non géolocalisées ......................................................................................... 49
5.3 Importation des données .................................................................................................... 49
5.3.1 Format GeoJSON compatible avec MongoDB ............................................................. 49
5.3.2 Remarques globales .................................................................................................... 50
A. HOLEMANS MongoDB
55.3.3 Données géoréférencées ............................................................................................ 50
5.3.4 Données CSV ............................................................................................................... 52
5.3.5 Images ......................................................................................................................... 52
5.4 Requêtes (détail) ................................................................................................................. 52
5.4.1 Type de requêtes ......................................................................................................... 52
5.5 Visualisation des résultats ................................................................................................... 54
5.5.1 Via Compass ................................................................................................................ 54
5.5.2 Via QGIS ....................................................................................................................... 54
5.5.3 Via un explorateur ....................................................................................................... 54
6. Conclusion ................................................................................................................................... 56
6.1 Schéma ................................................................................................................................ 56
6.2 Géospatial ............................................................................................................................ 56
6.3 Images ................................................................................................................................. 57
6.4 Requêtes .............................................................................................................................. 57
6.5 Global .................................................................................................................................. 57
6.6 Perspectives ........................................................................................................................ 58
Bibliographie ....................................................................................................................................... 60
Annexes ............................................................................................................................................... 65
A. HOLEMANS MongoDB
6Liste des illustrations
Figure 1 Illustration d'une BD clé-valeur (Digora, s.d.) ...................................................................... 15
Figure 2 Illustration d'une BD orienté colonne (Digora, s.d.) ............................................................. 16
Figure 3 Illustration d'une BD orienté graphe (Digora, s.d.) ............................................................... 17
Figure 4 Illustration d'une BD orienté document (Digora, s.d.) .......................................................... 18
Figure 5 Visualisation des différents SGBD (Hurst, 2010) ................................................................. 19
Figure 6 architecture de connexion de MongoDB (MongoDB, s.d.) .................................................. 21
Figure 7 Graphe des intersections par rapport au temps (Sarthak et al., 2015) ................................... 24
Figure 8 Graphe du temps de recherche de point dans une zone par rapport au temps(Sarthak et al.,2015) ................................................................................................................................................... 24
Figure 9: Schéma des relations entre les données .............................................................................. 27
Figure 10: Visualisation des regards ................................................................................................... 28
Figure 11: Visualisation des parcelles du cadastre .............................................................................. 29
Figure 12 Jointure préliminaire des données d'un SGBDR vers un document MongoDB (MongoDB,2015) ................................................................................................................................................... 33
Figure 13 Schématisation d'un objet JSON (JSON, s.d.) .................................................................... 35
Figure 14 Schématisation d'un tableau JSON ..................................................................................... 35
Figure 15 Schématisation des différents types de valeur contenu dans un document JSON .............. 35
Figure 16 Visualisation de la structure d'un index B-Tree (Winand, s.d.) .......................................... 36
Figure 17 Visualisation indexation Quadtree (Johnson, 2009) ........................................................... 37
Figure 18 Vision des options disponibles de Compass ....................................................................... 41
Figure 19 Visualisation de l'affichage des points géospatiaux dans MongoDB Compass .................. 42
Figure 20 Modèle conceptuel des données sélectionnées ................................................................... 47
Figure 21 Modèle adapté à MongoDB ................................................................................................ 48
.................................... 55Tableau 1 Comparaison de système de BDD NoSQL géospatiales (de Souza Baptista et al., 2014) . 20
m, 2016) ................................ 23Tableau 3 Commande principales de mongofiles ............................................................................... 39
Tableau 4 Options de mongoimport() ................................................................................................. 43
Tableau 5 Options de la fonction find() .............................................................................................. 44
Tableau 6 Opérateurs principaux pour une requête ............................................................................. 44
Tableau 7 Option de la projection ....................................................................................................... 44
A. HOLEMANS MongoDB
71. INTRODUCTION
Le domaine des bases de données représente une problématique clé de notre époque. La capacité de
tion constitue la base de toute application web ou mobiles, elles facilitent notre quotidien et sont de plus en plus nombreuses et complexes.Pour répondre à cette évolution, les bases de données et, en particulier, pour répondre
à une évidence : le développement récent d, le web 2.0. Le Web 2.0 est apparu dans les années 2000. Cette tendance est définie par une innovation des utilisation par les internautes, mais aussi par une complexification interne dû au progrès des technologies. Léchanges sur le net décupler (forum, réseau sociaux, commerce, etc.). ainsi de spectateur à acteur et cela a une conséquence sont en activité, plus de créations apparaissent, et donc plus de données. apparition du Big Data et de ses enjeux en termes de systèmes de gestion de bases de données.1.1 -ce que le Big data ?
Le Big Data consiste à proposer une alternative à la gestion traditionnelle des données. Les données
peuvent être chargées facilement et rapidement sur un grand nombre de plateformes ce qui crée un
comportement différent quant à la production de données. Chaque année 2,5 quintillions de bytes sont produits (IBM, 2012). La plupart des données sontproduites par les réseaux sociaux, elles représentent plus ou moins 90% des données disponibles
(Sharma, 2015). Pour Twitter, 400 millions de tweets ont été publiés par jour en 2014, 9100 tweets par
seconde (Huang & Xu, 2014). Plus de données sont créées, mais on ne possède pourtant pas plus de
moyens pour les stocker. Il faut donc trouver un moyen de gérer plus de données à un moindre coût.
De plus, les données de réseaux sociaux sont également composées de types de formats variés. 80 %
des données sauvegardées mondialement sont non ou semi-structurées (Carolin, 2014). Sous forme de
u de vidéos, les données doivent toutes être stockées dans un même modèlede bases de données et cela avec des attentes de performances toujours plus importantes. Les données
non structurées et le besoin de plus de performances sont deux problématiques supplémentaires pour
le Big Data.Les sources responsables de cet amas de données se retrouvent partout : des capteurs pour les analyses
de climats, des photos et des vidéos, des enregistrements de transactions, des coordonnées GPS des
Pour résumer, on parle souvent de la théorie de 3 V (certains vont même jusque 5). Le premier est pour
Valeur et Variabilité) (Bulk, 2011).
A. HOLEMANS MongoDB
81.2 Apparition du NoSQL
Le NoSQL est une des solutions au Big Data. Le NoSQL est apparu au départ pour subvenir auxbesoins de certaines applications particulières confrontées au Big Data (Oussous et al. , 2015). Des
bases de données pensées autrement ont été créées par des sociétés et organisations pour répondre à
leurs propres besoins et ont été par la suite qualifiées de " NoSQL » (Funck et al., 2011).
Les BDD NoSQL sont également apparues pour permettre la meilleure gestion des données non ui puisse convenir à desLe terme NoSQL est utilisé pour la première fois en 1998 pour une base de données relationnelle qui
onze ans plus tard pour qualifier, cette fois-ci, une base dedonnées non relationnelle (Oussous et al. , 2015). NoSQL signifierait donc ici plutôt " Not only SQL »
que " pas de SQL ».Le NoSQL est donc une adaptation aux nouvelles tendances, une révision de la manière de concevoir
les bases de données.1.3 Le Big Data et la géographie
Les données géolocalisées sont aussi concernées par le Big Data. Elles présentent les mêmes
caractéristiques que les autres données : la grande quantité, le type de données non structurées ainsi
que la demande de vitesse de réponse.Pourtant, ces données sont particulières et présentent des caractéristiques impossibles à gérer de la
même manière que le reste des informations. Les systèmes de gestion de bases de données NoSQL
vont donc attirer notre attention. Le géospatiale représente très rarement une problématique de premier
s NoSQL fonctionnels sont connu. Des exemples inexploités de ce type de données pouvant constituer un SIsgéographiques), il en existe beaucoup. Une grande partie des sociétés créent un paquet de données de
types documentaires et géolocalisables. Ces types de données offrent des possibilités intéressantes en
termes de SIG, mais très peu exploitées. Ls constituent un exemple intéressant. Elles sont nombreuses enBelgique, ces sociétés gèrent les réseaux électriques, la télédistribution, la téléphonie, la distribution
x usées, etc.IDE fait partie de ces compagnies. Elle gère les zones de démergements et les réseaux
assainissement des eaux usées dans la province de Liège. Leurs données peuvent atteindre des
grandes quantités mais surtout présenter des types et relations fortement variées. Ce modèle de données
peut poser des difficultés avec les types de bases de données relationnelles. Ainsi données NoSQL géospatiale.A. HOLEMANS MongoDB
9La question de ce travail serait donc : Comment introduire et gérer efficacement les données
documentaires non structurées sélectionnées géomatique existante au e société commeCe travail permettra également de tester
NoSQL -elles supporter les
données structurées ? Le schéma peut-il être modifié et comment ?Enfin ce travail permettra également de tester les capacités de gestions des données géoréférencées
dune base de données NoSQL.pour fournir les informations nécessaires au choix du type de système de base de données NoSQL
présenté. Cette étape amène à la formulation de dans son contexte. Ensuite, les thèmes sont approfondis afin de pouvoir passeune présentation des conclusions de ce travail.A. HOLEMANS MongoDB
102. ETAT DE LART
2.1 Systèmes de gestion base de données
Les systèmes de gestion de bases de données constituent une grande problématique de nos jours. Ce
rangement facile et rapide des informations. Dans un programme, les BD (base de données) permettent
de stocker à long terme ce que les variables enregistrent à court terme. , entre autres, base de données aux types de données et aux ex Il faut donc pouvoir déceler àquelle situation correspond quel SGBD (système de gestion de base de données) et quelles sont les
bonnes pratiques pour en augmenter les performances.Les bases de données les plus utilisées actuellement sont les bases de données relationnelles. Ce sont
les premières base de données qui ont connu un succès général.Pendant des années, ce sont ces systèmes de gestion relationnels qui ont constitué la base du stockage
de bases de données géospatiales. Les SGBDR sont utilisés avec une extension pour pouvoir gérer les
données géospatiales. Ces systèmes sont encore utilisés mais se confrontent aux mêmes problèmes que
les systèmes non spatiaux : volume, rapidité demandée et la variabilité des composants de la base de
données.2.2 Modèle relationnel
2.2.1 Caractéristiques principales
(Losson, S.d.). En 10 ans,elles prennent la tête du marché. Voici les caractéristiques générales des systèmes de gestion de bases
de données relationnelles afin de pouvoir comprendre leur fonctionnement et les comparer aux SGBDNoSQL.
Les SGBDR sont définis par un schéma rigide qui demande des données structurées. Les données sont
classées en plusieurs tables, contenant chacune plusieurs lignes (aussi appelés tuples). Chaque table
possède s -à-dire nées. Ainsi, un type de données qui a tendance à se retrouver plusieurs fois dans l ville, par exemple) severra isolé dans une autre table et lié aux autres informations par une clé. Cette particularité implique
un nombre plus important de tables que la modélisation logique des données en aurait créé (Parker et
al. , 2013).Les SGBDR assurent également . Cela signifie
que les données visibles par les utilisateurs sont tou du système.A. HOLEMANS MongoDB
11 Ces deux caractéristiques sont acquises aux dépend bonne performance et provoque uninvestissement en coût et en temps plus important (Oussous et al. , 2015). Il faut savoir que les bases
de données relationnelles et NoSQL héritent toutes deux leurs caractéristiques du théorème CAP
(cohérence, disponibilité, tolérance à la partition) énoncé par Éric Brewer. Ce théorème souligne que
seules deux des trois caractéristiques peuvent être respectées simultanément pour une base de données
(Cattell, 2010). er une sécurité sur les données. Ce point est ile pour certaines applications comme par exemple, les transactions bancaires. Cela signifie que tous les utilisateurspeuvent à tout moment avoir accès en même temps aux mêmes données (Amirian et al., 2014).
La demande de structure des SGDR apporte un grand avantage car il ctions prédéfinies qui rendent la gestion de la base de données plus facile.implanté toute la base de données pour pouvoir déjà concevoir des manipulations car le schéma est
Les SGBD relationnels respectent les termes " ACID » qui signifient : Atomicité, cohérence, isolation
et durabilité. Le langage de requête du relationnel est le bien connu Structured Query Language (SQL). Voici quelques systèmes existants présents sur le marché : - MySQL - Oracle - Access - PostgreSQL2.2.2 Désavantages du système relationnel
de données pose problème à uncertain moment. Les bases de données relationnelles ont le désavantage de ne pouvoir évoluer que de
manière verticale vertical scalabilitydes ressources déjà existantes. -à-dire, par exemple, augmenter la capacité de stockage du serveur
ou améliorer la puissance de son processeur. Par contre, une évolution horizontale (la puissance grâce à la connexion de plusieurs serveurs travaillant comme un seul) est complexe à
mettre en place dans un système relationnel car les joints qui relient les tables des différents serveurs
ralentissent les performances dans un système distribué (Funck et al., 2011). Une évolution verticale
difficile à mettre en place. La gestion des changements pose donc problème dans le cas de SGBD relationnels et pas uniquement dans le .pour la création de la BD, ce qui implique des complications si les données sont non structurées ou si
elles évoluent au cours du temps. Des processus existent pour modifier une table (Alter table), mais ils
sont très couteux en termes de performance.géométries fortement variables, pouvant prendre des formes différentes, ce qui se heurte au schéma
structuré des bases de données relationnelles.A. HOLEMANS MongoDB
12base de données et plus elle sera large, plus la requête prendra du temps. Cette disposition a des
désavantages car le joint est un des processus les plus couteux en termes de calcul informatique(Amirian et al., 2014). Dans certains cas, on peut éviter les joints par la dénormalisation, ce qui peut
incohérence lors de la mise à quantité de données peut rapidement ralentir un SGBD relationnel comme mentionné plus haut.Les SGDBR ne sont pas crééigine pour gérer le " sharding ». Cette notion rassemble différentes
techniques permettant de stocker les données sur des machines différentes. Pourtant, cette capacité a
été ajoutée par la suite aux techniques des SGBDR (Oussous et al. , 2015). Ainsi, le " sharding »
fonctionne mal Les tables sontdivisées en plusieurs " shard » et un schéma de cette division est stocké pour permettre au système de
réassembler les données quand des requêtes ou transactions le demandent.Ces affirmations amènent également à comprendre que les SGBDR ne correspondent pas non plus aux
environnement Cloud (Oussous et al. , 2015). En grande partie à cause de leur faible capacité
2.3 NoSQL
2.3.1 BD NoSQL
bases de données NoSQL ne signifie pasque les bases de données relationnelles sont dépassées, mais elles répondent plutôt à un nouveau type
de demande. Le NoSQL et les bases de données relationnelles ne sont pas apparues à la même époque.
Le relationnel apparait à une époque où
système tandis que les BD NoSQL sont nées à une époque où travail des développeurs qui a le plus de valeur (MongoDB, 2015).La plupart des systèmes NoSQL sont open source. Ce terme fait même partie des points définissant le
NoSQL (NoSQL, 2011).
Les SGDB NoSQL sont, cette fois-ci, évolutifs horizontalement. Ainsi, pour gérer une grande quantité
de données, il faut ajouter un serveur et non en augmenter sa capacité ou ses performances (plus facile
et moins cher) (Oussous et al. , 2015). Le " sharding » dans lperformances, la plupart des systèmes sont conçus à une époque où le " sharding » est une solution
évidente aux problèmes de limitation des bases de données. Ainsi les BD NoSQL peuvent gérer un
plus grand nombre de données et de transactions. Le NoSQL peut donc offrir plus de performances pour moins de coûts. e offrent aux bases de données NoSQL une grande capacité qui lui permet de tourner sur plusieurs serveurs (McKnight Consulting Group, 2014).A. HOLEMANS MongoDB
13 Elles offrent plus de flexibilité ce (Oussous et al. ,2015). Les transactions qui modifient les données prennent parfois du temps à être prises en compte
par le système de gestion. Ainsi, les versions de la base de données visibles par les différents clients
ne sont pas toujours identiques. Cette fois-ci, ce type de caractéristiques correspond plus à des
applications moins exigeantes en termes les sites de réseaux sociaux. Les systèmes de gestion bases de données NoSQL à tous les types de données carils supportent les données structurées comme les non structurées. Ainsi, certains schémas
La réplication des bases de données NoSQL est pensée autrement que pour les bases de données
classiques. Les réplications sont effectuées automatiquement dans les clusters (ensemble de plusieurs
serveurs) et dans les centres de données. Cle le processus " Map/Reduce ».système de traitement qui gère le partitionnement tout en assurant le fonctionnement du système en cas
de pannes. La fonction " Map » collecte les données demandées par la fonction et " Reduce » fournit
le résultat agrégé (Carolin, 2014). Contrairement au relationnel la réplication dans le NoSQL ne
La réplication en temps réel permet une grandedisponibilité des données. Les données sont divisées et stockées dans des serveurs différents, ce qui
r à fonctionner si un problème avec un serveur apparait. Mais cette (Oussous et al. , 2015).Le NoSQL utilise une programmation orientée objet beaucoup plus facile à manipuler et à modifier
ude de programmer.Enfin, le Nosql est basé sur le principe de BASE (" basically avaliable, soft state, enventual
consistency »). Ce qui signifie que le système doit toujours être accessibl rimordiale.2.3.2 Désavantages
Premièrement, le langage de requêtes ne connait pas de standard, chacun des systèmes de gestion de
base de données possède son propre langage et son propre système de gestion. Ceux-ci ne sont pas
toujours performants et ne connaissent pas encore toutes les capacités fonctionnelles des systèmes
relationnels (Carolin, 2014). Ces problèmes sont souvent dus à la jeunesse du système. Il faut donc
à chacun des systèmes utilisés. Dans ce cas-ci, la gestion de requêtes plus complexes devient
plus difficile (Oussous et al. , 2015). De plus de nombreuses opérations de base desbases de données relationnelles ne sont pas encore disponibles (exemples : opérations atomiques
disponibles uniquement sur un document) (Parker et al. , 2013). comme déjà mentionné, et cela peut représenter un ications.Un autre point posant problème est la question de la sécurité. Les chercheurs sont toujours en train
à ces problèmes : pas de sécurité du serveur client lors desA. HOLEMANS MongoDB
14 communications et parfois ns. Certains systèmes ont un login et un mot de passequi sont stockées dans des fichiers internes donc offrent peu de sécurité (Oussous et al. , 2015).
Les systèmes NoSQL ne sont pas matures, et sont en constante évolution, ce qui offrent une quantité
de désavantages, du moins, actuellement. concernant les formats ou les langages utilisés pour les SGBD NoSQL.2.3.3 Le NoSQL et le géospatial
posant les BigData ont souvent une caractéristique commune : un composant géospatial (qui peut apparaître sous des
formes variées). Les données géospatiales sont une grande opportunité pour un grand nombre
s. Pour le particulier, les commerçants pour des analyse du marché, les scientifiques Lesdonnées géospatiales existent sous plusieurs formes et viennent de plusieurs sources. Les données
raster géolocalisées peuvent provenir de caméras emportées, caméra de sécurité et satellites qui
provoquent chaque jours la création de grandes quantités de données (Lee et al., 2015). Certaines
complexité des données. Les données spatiales augmentent également avec les services Web
géospatiaux de plus en plus nombreux En lien avec cette tendance, les besoins de rapidité aux requêtes augmentent également (Sarthak et al., 2015).quotesdbs_dbs28.pdfusesText_34[PDF] data base
[PDF] les différents types de bases de données
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