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  • Quelles sont les bases de données les plus utilisées ?

    Les bases de données prédominantes sont aujourd'hui les suivantes : SQL, NoSQL et bases de données cloud.
  • Quels sont les trois types de bases de données ?

    Il existe bien sûr d'autres SGBD d'entreprise en plus des trois principaux. Parmi les plus courants, Teradata, SAP Sybase et Informix offrent toutes les fonctionnalités d'entreprise, mais sont surtout cantonnés à certaines niches.
  • Quels sont les 3 SGBD les plus utilisés ?

    Une base de données est une collection de données organisées. Par exemple, une base de données peut regrouper toutes les informations sur les clients ou sur les transactions. Les bases de données sont conçues de manière à ce que les données qu'elles contiennent soient accessibles et manipulables.
Implémentation dune base de données géospatiale NoSQL MongoDB

þÿImplémentation d une base de données géospatiale NoSQL MongoDBAuteur : Holemans, AmandinePromoteur(s) : Donnay, Jean-PaulFaculté : Faculté des SciencesDiplôme : Master en sciences géographiques, orientation géomatique et géométrologie, à finalité spécialiséeAnnée académique : 2016-2017URI/URL : http://hdl.handle.net/2268.2/3136Avertissement à l'attention des usagers : Tous les documents placés en accès ouvert sur le site le site MatheO sont protégés par le droit d'auteur. Conformément

aux principes énoncés par la "Budapest Open Access Initiative"(BOAI, 2002), l'utilisateur du site peut lire, télécharger,

copier, transmettre, imprimer, chercher ou faire un lien vers le texte intégral de ces documents, les disséquer pour les

indexer, s'en servir de données pour un logiciel, ou s'en servir à toute autre fin légale (ou prévue par la réglementation

relative au droit d'auteur). Toute utilisation du document à des fins commerciales est strictement interdite.Par ailleurs, l'utilisateur s'engage à respecter les droits moraux de l'auteur, principalement le droit à l'intégrité de l'oeuvre

et le droit de paternité et ce dans toute utilisation que l'utilisateur entreprend. Ainsi, à titre d'exemple, lorsqu'il reproduira

un document par extrait ou dans son intégralité, l'utilisateur citera de manière complète les sources telles que

mentionnées ci-dessus. Toute utilisation non explicitement autorisée ci-avant (telle que par exemple, la modification du

document ou son résumé) nécessite l'autorisation préalable et expresse des auteurs ou de leurs ayants droit.

UNIVERSITÉ DE LIÈGE

Faculté des sciences

Sciences géographiques

Implémenta

Création à partir de données du

Mémoire présenté par :

Amandine Holemans

Master en sciences géographiques, orientation géomatique et géométrologie

Année académique :

2016-2017

UNIVERSITÉ DE LIÈGE

Faculté des sciences

Sciences géographiques

NoSQL

à partir de données du

réseau

Mémoire présenté par :

Amandine Holemans

Master en sciences géographiques, orientation géomatique et géométrologie

Année académique :

2016-2017

A. HOLEMANS MongoDB

2

REMERCIEMENTS

s conseils, son accompagnement et sa patience. Je remercie également M. Schmitz et M. Kasprzyk

Je veux également

géospatiales. e et supportée tout le long de ce travail, ainsi que mes grands-parents pour leurs attentions particulières.

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3

Table des matières

Remerciements ..................................................................................................................................... 2

1. Introduction ................................................................................................................................... 7

1.2 Apparition du NoSQL ............................................................................................................. 8

1.3 Le Big Data et la géographie .................................................................................................. 8

2.1 Systèmes de gestion base de données ................................................................................ 10

2.2 Modèle relationnel .............................................................................................................. 10

2.2.1 Caractéristiques principales ........................................................................................ 10

2.2.2 Désavantages du système relationnel ......................................................................... 11

2.3 NoSQL .................................................................................................................................. 12

2.3.2 Désavantages .............................................................................................................. 13

2.3.3 Le NoSQL et le géospatial ............................................................................................ 14

2.4 Type modèle de SGBD NoSQL ............................................................................................. 14

2.4.1 Base de données clé-valeurs ....................................................................................... 15

2.4.2 Base de données orientées colonne ........................................................................... 15

2.4.3 Base de données graphes ............................................................................................ 16

2.4.4 Base de données orientées document ........................................................................ 17

2.5 Choix de la base de données NoSQL ................................................................................... 19

2.5.1 Comparaison des outils de gestion des BD NoSQL ...................................................... 19

2.5.2 Présentation rapide de MongoDB ............................................................................... 20

2.5.3 Quelques utilisateurs connus de MongoDB : .............................................................. 22

2.6 Comparaison des performances par rapport au relationnel .............................................. 23

3. Contexte et hypothèse ................................................................................................................ 26

3.1 AIDE ..................................................................................................................................... 26

3.2 Type de données ................................................................................................................. 26

3.3 Correspondance avec le modèle orienté document ........................................................... 29

3.4 Type de demande ................................................................................................................ 30

A. HOLEMANS MongoDB

4

3.5 Hypothèse ........................................................................................................................... 30

4. Développement ........................................................................................................................... 31

4.1 Notions de base de MongoDB ............................................................................................. 31

4.1.1 Introduction ................................................................................................................. 31

4.1.2 Schéma ........................................................................................................................ 31

4.1.3 JSON et GeoJSON......................................................................................................... 34

4.1.4 Modélisation................................................................................................................ 35

4.1.6 Validation de documents ............................................................................................ 37

4.1.7 " Sharding » ou distribution horizontale ..................................................................... 37

4.1.8 Sécurité ........................................................................................................................ 38

4.1.9 GridFs ........................................................................................................................... 39

4.2 Installation MongoDB et choix des outils ............................................................................ 40

4.2.1 Version ......................................................................................................................... 40

4.2.2 Quel pilote ? ................................................................................................................ 40

4.2.3 Quelle interface ? ........................................................................................................ 41

4.3 Fonctions de base ................................................................................................................ 43

4.3.1 Importation ................................................................................................................. 43

4.3.2 Requêtes de base ........................................................................................................ 43

4.3.3 Requêtes Spatial .......................................................................................................... 44

4.4 Solutions complémentaires ................................................................................................. 46

4.4.1 QGIS et Plugins ............................................................................................................ 46

5. Application .................................................................................................................................. 47

5.2 Traitement des données ..................................................................................................... 47

5.2.1 Schémas ....................................................................................................................... 47

5.2.2 Base de données Access .............................................................................................. 48

5.2.3 Données géolocalisées ................................................................................................ 48

5.2.4 Données non géolocalisées ......................................................................................... 49

5.3 Importation des données .................................................................................................... 49

5.3.1 Format GeoJSON compatible avec MongoDB ............................................................. 49

5.3.2 Remarques globales .................................................................................................... 50

A. HOLEMANS MongoDB

5

5.3.3 Données géoréférencées ............................................................................................ 50

5.3.4 Données CSV ............................................................................................................... 52

5.3.5 Images ......................................................................................................................... 52

5.4 Requêtes (détail) ................................................................................................................. 52

5.4.1 Type de requêtes ......................................................................................................... 52

5.5 Visualisation des résultats ................................................................................................... 54

5.5.1 Via Compass ................................................................................................................ 54

5.5.2 Via QGIS ....................................................................................................................... 54

5.5.3 Via un explorateur ....................................................................................................... 54

6. Conclusion ................................................................................................................................... 56

6.1 Schéma ................................................................................................................................ 56

6.2 Géospatial ............................................................................................................................ 56

6.3 Images ................................................................................................................................. 57

6.4 Requêtes .............................................................................................................................. 57

6.5 Global .................................................................................................................................. 57

6.6 Perspectives ........................................................................................................................ 58

Bibliographie ....................................................................................................................................... 60

Annexes ............................................................................................................................................... 65

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6

Liste des illustrations

Figure 1 Illustration d'une BD clé-valeur (Digora, s.d.) ...................................................................... 15

Figure 2 Illustration d'une BD orienté colonne (Digora, s.d.) ............................................................. 16

Figure 3 Illustration d'une BD orienté graphe (Digora, s.d.) ............................................................... 17

Figure 4 Illustration d'une BD orienté document (Digora, s.d.) .......................................................... 18

Figure 5 Visualisation des différents SGBD (Hurst, 2010) ................................................................. 19

Figure 6 architecture de connexion de MongoDB (MongoDB, s.d.) .................................................. 21

Figure 7 Graphe des intersections par rapport au temps (Sarthak et al., 2015) ................................... 24

Figure 8 Graphe du temps de recherche de point dans une zone par rapport au temps(Sarthak et al.,

2015) ................................................................................................................................................... 24

Figure 9: Schéma des relations entre les données .............................................................................. 27

Figure 10: Visualisation des regards ................................................................................................... 28

Figure 11: Visualisation des parcelles du cadastre .............................................................................. 29

Figure 12 Jointure préliminaire des données d'un SGBDR vers un document MongoDB (MongoDB,

2015) ................................................................................................................................................... 33

Figure 13 Schématisation d'un objet JSON (JSON, s.d.) .................................................................... 35

Figure 14 Schématisation d'un tableau JSON ..................................................................................... 35

Figure 15 Schématisation des différents types de valeur contenu dans un document JSON .............. 35

Figure 16 Visualisation de la structure d'un index B-Tree (Winand, s.d.) .......................................... 36

Figure 17 Visualisation indexation Quadtree (Johnson, 2009) ........................................................... 37

Figure 18 Vision des options disponibles de Compass ....................................................................... 41

Figure 19 Visualisation de l'affichage des points géospatiaux dans MongoDB Compass .................. 42

Figure 20 Modèle conceptuel des données sélectionnées ................................................................... 47

Figure 21 Modèle adapté à MongoDB ................................................................................................ 48

.................................... 55

Tableau 1 Comparaison de système de BDD NoSQL géospatiales (de Souza Baptista et al., 2014) . 20

m, 2016) ................................ 23

Tableau 3 Commande principales de mongofiles ............................................................................... 39

Tableau 4 Options de mongoimport() ................................................................................................. 43

Tableau 5 Options de la fonction find() .............................................................................................. 44

Tableau 6 Opérateurs principaux pour une requête ............................................................................. 44

Tableau 7 Option de la projection ....................................................................................................... 44

A. HOLEMANS MongoDB

7

1. INTRODUCTION

Le domaine des bases de données représente une problématique clé de notre époque. La capacité de

tion constitue la base de toute application web ou mobiles, elles facilitent notre quotidien et sont de plus en plus nombreuses et complexes.

Pour répondre à cette évolution, les bases de données et, en particulier, pour répondre

à une évidence : le développement récent d, le web 2.0. Le Web 2.0 est apparu dans les années 2000. Cette tendance est définie par une innovation des utilisation par les internautes, mais aussi par une complexification interne dû au progrès des technologies. Léchanges sur le net décupler (forum, réseau sociaux, commerce, etc.). ainsi de spectateur à acteur et cela a une conséquence sont en activité, plus de créations apparaissent, et donc plus de données. apparition du Big Data et de ses enjeux en termes de systèmes de gestion de bases de données.

1.1 -ce que le Big data ?

Le Big Data consiste à proposer une alternative à la gestion traditionnelle des données. Les données

peuvent être chargées facilement et rapidement sur un grand nombre de plateformes ce qui crée un

comportement différent quant à la production de données. Chaque année 2,5 quintillions de bytes sont produits (IBM, 2012). La plupart des données sont

produites par les réseaux sociaux, elles représentent plus ou moins 90% des données disponibles

(Sharma, 2015). Pour Twitter, 400 millions de tweets ont été publiés par jour en 2014, 9100 tweets par

seconde (Huang & Xu, 2014). Plus de données sont créées, mais on ne possède pourtant pas plus de

moyens pour les stocker. Il faut donc trouver un moyen de gérer plus de données à un moindre coût.

De plus, les données de réseaux sociaux sont également composées de types de formats variés. 80 %

des données sauvegardées mondialement sont non ou semi-structurées (Carolin, 2014). Sous forme de

u de vidéos, les données doivent toutes être stockées dans un même modèle

de bases de données et cela avec des attentes de performances toujours plus importantes. Les données

non structurées et le besoin de plus de performances sont deux problématiques supplémentaires pour

le Big Data.

Les sources responsables de cet amas de données se retrouvent partout : des capteurs pour les analyses

de climats, des photos et des vidéos, des enregistrements de transactions, des coordonnées GPS des

Pour résumer, on parle souvent de la théorie de 3 V (certains vont même jusque 5). Le premier est pour

Valeur et Variabilité) (Bulk, 2011).

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8

1.2 Apparition du NoSQL

Le NoSQL est une des solutions au Big Data. Le NoSQL est apparu au départ pour subvenir aux

besoins de certaines applications particulières confrontées au Big Data (Oussous et al. , 2015). Des

bases de données pensées autrement ont été créées par des sociétés et organisations pour répondre à

leurs propres besoins et ont été par la suite qualifiées de " NoSQL » (Funck et al., 2011).

Les BDD NoSQL sont également apparues pour permettre la meilleure gestion des données non ui puisse convenir à des

Le terme NoSQL est utilisé pour la première fois en 1998 pour une base de données relationnelle qui

onze ans plus tard pour qualifier, cette fois-ci, une base de

données non relationnelle (Oussous et al. , 2015). NoSQL signifierait donc ici plutôt " Not only SQL »

que " pas de SQL ».

Le NoSQL est donc une adaptation aux nouvelles tendances, une révision de la manière de concevoir

les bases de données.

1.3 Le Big Data et la géographie

Les données géolocalisées sont aussi concernées par le Big Data. Elles présentent les mêmes

caractéristiques que les autres données : la grande quantité, le type de données non structurées ainsi

que la demande de vitesse de réponse.

Pourtant, ces données sont particulières et présentent des caractéristiques impossibles à gérer de la

même manière que le reste des informations. Les systèmes de gestion de bases de données NoSQL

vont donc attirer notre attention. Le géospatiale représente très rarement une problématique de premier

s NoSQL fonctionnels sont connu. Des exemples inexploités de ce type de données pouvant constituer un SIs

géographiques), il en existe beaucoup. Une grande partie des sociétés créent un paquet de données de

types documentaires et géolocalisables. Ces types de données offrent des possibilités intéressantes en

termes de SIG, mais très peu exploitées. Ls constituent un exemple intéressant. Elles sont nombreuses en

Belgique, ces sociétés gèrent les réseaux électriques, la télédistribution, la téléphonie, la distribution

x usées, etc.

IDE fait partie de ces compagnies. Elle gère les zones de démergements et les réseaux

assainissement des eaux usées dans la province de Liège. Leurs données peuvent atteindre des

grandes quantités mais surtout présenter des types et relations fortement variées. Ce modèle de données

peut poser des difficultés avec les types de bases de données relationnelles. Ainsi données NoSQL géospatiale.

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9

La question de ce travail serait donc : Comment introduire et gérer efficacement les données

documentaires non structurées sélectionnées géomatique existante au e société comme

Ce travail permettra également de tester

NoSQL -elles supporter les

données structurées ? Le schéma peut-il être modifié et comment ?

Enfin ce travail permettra également de tester les capacités de gestions des données géoréférencées

dune base de données NoSQL.

pour fournir les informations nécessaires au choix du type de système de base de données NoSQL

présenté. Cette étape amène à la formulation de dans son contexte. Ensuite, les thèmes sont approfondis afin de pouvoir passeune présentation des conclusions de ce travail.

A. HOLEMANS MongoDB

10

2. ETAT DE LART

2.1 Systèmes de gestion base de données

Les systèmes de gestion de bases de données constituent une grande problématique de nos jours. Ce

rangement facile et rapide des informations. Dans un programme, les BD (base de données) permettent

de stocker à long terme ce que les variables enregistrent à court terme. , entre autres, base de données aux types de données et aux ex Il faut donc pouvoir déceler à

quelle situation correspond quel SGBD (système de gestion de base de données) et quelles sont les

bonnes pratiques pour en augmenter les performances.

Les bases de données les plus utilisées actuellement sont les bases de données relationnelles. Ce sont

les premières base de données qui ont connu un succès général.

Pendant des années, ce sont ces systèmes de gestion relationnels qui ont constitué la base du stockage

de bases de données géospatiales. Les SGBDR sont utilisés avec une extension pour pouvoir gérer les

données géospatiales. Ces systèmes sont encore utilisés mais se confrontent aux mêmes problèmes que

les systèmes non spatiaux : volume, rapidité demandée et la variabilité des composants de la base de

données.

2.2 Modèle relationnel

2.2.1 Caractéristiques principales

(Losson, S.d.). En 10 ans,

elles prennent la tête du marché. Voici les caractéristiques générales des systèmes de gestion de bases

de données relationnelles afin de pouvoir comprendre leur fonctionnement et les comparer aux SGBD

NoSQL.

Les SGBDR sont définis par un schéma rigide qui demande des données structurées. Les données sont

classées en plusieurs tables, contenant chacune plusieurs lignes (aussi appelés tuples). Chaque table

possède s -à-dire nées. Ainsi, un type de données qui a tendance à se retrouver plusieurs fois dans l ville, par exemple) se

verra isolé dans une autre table et lié aux autres informations par une clé. Cette particularité implique

un nombre plus important de tables que la modélisation logique des données en aurait créé (Parker et

al. , 2013).

Les SGBDR assurent également . Cela signifie

que les données visibles par les utilisateurs sont tou du système.

A. HOLEMANS MongoDB

11 Ces deux caractéristiques sont acquises aux dépend bonne performance et provoque un

investissement en coût et en temps plus important (Oussous et al. , 2015). Il faut savoir que les bases

de données relationnelles et NoSQL héritent toutes deux leurs caractéristiques du théorème CAP

(cohérence, disponibilité, tolérance à la partition) énoncé par Éric Brewer. Ce théorème souligne que

seules deux des trois caractéristiques peuvent être respectées simultanément pour une base de données

(Cattell, 2010). er une sécurité sur les données. Ce point est ile pour certaines applications comme par exemple, les transactions bancaires. Cela signifie que tous les utilisateurs

peuvent à tout moment avoir accès en même temps aux mêmes données (Amirian et al., 2014).

La demande de structure des SGDR apporte un grand avantage car il ctions prédéfinies qui rendent la gestion de la base de données plus facile.

implanté toute la base de données pour pouvoir déjà concevoir des manipulations car le schéma est

Les SGBD relationnels respectent les termes " ACID » qui signifient : Atomicité, cohérence, isolation

et durabilité. Le langage de requête du relationnel est le bien connu Structured Query Language (SQL). Voici quelques systèmes existants présents sur le marché : - MySQL - Oracle - Access - PostgreSQL

2.2.2 Désavantages du système relationnel

de données pose problème à un

certain moment. Les bases de données relationnelles ont le désavantage de ne pouvoir évoluer que de

manière verticale vertical scalability

des ressources déjà existantes. -à-dire, par exemple, augmenter la capacité de stockage du serveur

ou améliorer la puissance de son processeur. Par contre, une évolution horizontale (

la puissance grâce à la connexion de plusieurs serveurs travaillant comme un seul) est complexe à

mettre en place dans un système relationnel car les joints qui relient les tables des différents serveurs

ralentissent les performances dans un système distribué (Funck et al., 2011). Une évolution verticale

difficile à mettre en place. La gestion des changements pose donc problème dans le cas de SGBD relationnels et pas uniquement dans le .

pour la création de la BD, ce qui implique des complications si les données sont non structurées ou si

elles évoluent au cours du temps. Des processus existent pour modifier une table (Alter table), mais ils

sont très couteux en termes de performance.

géométries fortement variables, pouvant prendre des formes différentes, ce qui se heurte au schéma

structuré des bases de données relationnelles.

A. HOLEMANS MongoDB

12

base de données et plus elle sera large, plus la requête prendra du temps. Cette disposition a des

désavantages car le joint est un des processus les plus couteux en termes de calcul informatique

(Amirian et al., 2014). Dans certains cas, on peut éviter les joints par la dénormalisation, ce qui peut

incohérence lors de la mise à quantité de données peut rapidement ralentir un SGBD relationnel comme mentionné plus haut.

Les SGDBR ne sont pas crééigine pour gérer le " sharding ». Cette notion rassemble différentes

techniques permettant de stocker les données sur des machines différentes. Pourtant, cette capacité a

été ajoutée par la suite aux techniques des SGBDR (Oussous et al. , 2015). Ainsi, le " sharding »

fonctionne mal Les tables sont

divisées en plusieurs " shard » et un schéma de cette division est stocké pour permettre au système de

réassembler les données quand des requêtes ou transactions le demandent.

Ces affirmations amènent également à comprendre que les SGBDR ne correspondent pas non plus aux

environnement Cloud (Oussous et al. , 2015). En grande partie à cause de leur faible capacité

2.3 NoSQL

2.3.1 BD NoSQL

bases de données NoSQL ne signifie pas

que les bases de données relationnelles sont dépassées, mais elles répondent plutôt à un nouveau type

de demande. Le NoSQL et les bases de données relationnelles ne sont pas apparues à la même époque.

Le relationnel apparait à une époque où

système tandis que les BD NoSQL sont nées à une époque où travail des développeurs qui a le plus de valeur (MongoDB, 2015).

La plupart des systèmes NoSQL sont open source. Ce terme fait même partie des points définissant le

NoSQL (NoSQL, 2011).

Les SGDB NoSQL sont, cette fois-ci, évolutifs horizontalement. Ainsi, pour gérer une grande quantité

de données, il faut ajouter un serveur et non en augmenter sa capacité ou ses performances (plus facile

et moins cher) (Oussous et al. , 2015). Le " sharding » dans l

performances, la plupart des systèmes sont conçus à une époque où le " sharding » est une solution

évidente aux problèmes de limitation des bases de données. Ainsi les BD NoSQL peuvent gérer un

plus grand nombre de données et de transactions. Le NoSQL peut donc offrir plus de performances pour moins de coûts. e offrent aux bases de données NoSQL une grande capacité qui lui permet de tourner sur plusieurs serveurs (McKnight Consulting Group, 2014).

A. HOLEMANS MongoDB

13 Elles offrent plus de flexibilité ce (Oussous et al. ,

2015). Les transactions qui modifient les données prennent parfois du temps à être prises en compte

par le système de gestion. Ainsi, les versions de la base de données visibles par les différents clients

ne sont pas toujours identiques. Cette fois-ci, ce type de caractéristiques correspond plus à des

applications moins exigeantes en termes les sites de réseaux sociaux. Les systèmes de gestion bases de données NoSQL à tous les types de données car

ils supportent les données structurées comme les non structurées. Ainsi, certains schémas

La réplication des bases de données NoSQL est pensée autrement que pour les bases de données

classiques. Les réplications sont effectuées automatiquement dans les clusters (ensemble de plusieurs

serveurs) et dans les centres de données. Cle le processus " Map/Reduce ».

système de traitement qui gère le partitionnement tout en assurant le fonctionnement du système en cas

de pannes. La fonction " Map » collecte les données demandées par la fonction et " Reduce » fournit

le résultat agrégé (Carolin, 2014). Contrairement au relationnel la réplication dans le NoSQL ne

La réplication en temps réel permet une grande

disponibilité des données. Les données sont divisées et stockées dans des serveurs différents, ce qui

r à fonctionner si un problème avec un serveur apparait. Mais cette (Oussous et al. , 2015).

Le NoSQL utilise une programmation orientée objet beaucoup plus facile à manipuler et à modifier

ude de programmer.

Enfin, le Nosql est basé sur le principe de BASE (" basically avaliable, soft state, enventual

consistency »). Ce qui signifie que le système doit toujours être accessibl rimordiale.

2.3.2 Désavantages

Premièrement, le langage de requêtes ne connait pas de standard, chacun des systèmes de gestion de

base de données possède son propre langage et son propre système de gestion. Ceux-ci ne sont pas

toujours performants et ne connaissent pas encore toutes les capacités fonctionnelles des systèmes

relationnels (Carolin, 2014). Ces problèmes sont souvent dus à la jeunesse du système. Il faut donc

à chacun des systèmes utilisés. Dans ce cas-ci, la gestion de requêtes plus complexes devient

plus difficile (Oussous et al. , 2015). De plus de nombreuses opérations de base des

bases de données relationnelles ne sont pas encore disponibles (exemples : opérations atomiques

disponibles uniquement sur un document) (Parker et al. , 2013). comme déjà mentionné, et cela peut représenter un ications.

Un autre point posant problème est la question de la sécurité. Les chercheurs sont toujours en train

à ces problèmes : pas de sécurité du serveur client lors des

A. HOLEMANS MongoDB

14 communications et parfois ns. Certains systèmes ont un login et un mot de passe

qui sont stockées dans des fichiers internes donc offrent peu de sécurité (Oussous et al. , 2015).

Les systèmes NoSQL ne sont pas matures, et sont en constante évolution, ce qui offrent une quantité

de désavantages, du moins, actuellement. concernant les formats ou les langages utilisés pour les SGBD NoSQL.

2.3.3 Le NoSQL et le géospatial

posant les Big

Data ont souvent une caractéristique commune : un composant géospatial (qui peut apparaître sous des

formes variées). Les données géospatiales sont une grande opportunité pour un grand nombre

s. Pour le particulier, les commerçants pour des analyse du marché, les scientifiques Les

données géospatiales existent sous plusieurs formes et viennent de plusieurs sources. Les données

raster géolocalisées peuvent provenir de caméras emportées, caméra de sécurité et satellites qui

provoquent chaque jours la création de grandes quantités de données (Lee et al., 2015). Certaines

complexité des données. Les données spatiales augmentent également avec les services Web

géospatiaux de plus en plus nombreux En lien avec cette tendance, les besoins de rapidité aux requêtes augmentent également (Sarthak et al., 2015).quotesdbs_dbs28.pdfusesText_34
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