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Support de cours PDF à télécharger gratuitement sur le Système de Gestion de Base de Données (SGBD) et aux base de données support de formation en 47 pages
Quels sont les systèmes de gestion de base de données ?
Microsoft SQL Server1989 Microsoft MySQL 1995 Oracle Corporation et MySQL AB OpenOffice.org Base 2002 Oracle Corporation Oracle Database 1979 Oracle Corporation C'est quoi un SGBD PDF ?
Un SGBD est un système permettant de gérer et de manipuler la base de données, et une base de données est une collection de données en relation qui sont: 1. partagées par de multiples applications (utilisateurs et/ou programmes), 2. stockées avec une redondance minimum, 3.Quels sont les 3 SGBD les plus utilisés ?
Il existe bien sûr d'autres SGBD d'entreprise en plus des trois principaux. Parmi les plus courants, Teradata, SAP Sybase et Informix offrent toutes les fonctionnalités d'entreprise, mais sont surtout cantonnés à certaines niches.- Qu'est ce qu'un SGBD ? Un Système de Gestion de Bases de Données permet de décrire, gérer et sécuriser les données du système d'informations d'une entreprise. C'est un ensemble de programmes assurant la structuration, le stockage, la mise à jour et la recherche des données.
![DÉVELOPPER UN SYSTÈME DE GESTION DE DONNÉES POUR DÉVELOPPER UN SYSTÈME DE GESTION DE DONNÉES POUR](https://pdfprof.com/Listes/17/17664-17m__moire_de_stage_M2_Boulnemour_Medhi.pdf.pdf.jpg)
Aix-Marseille Université
Master Sciences et Technologie
Mention Bioinformatique, Biochimie structurale et Génomique Spécialité professionnelle Bioinformatique et Génomique2015-2016
DÉVELOPPER UN SYSTÈME DE
GESTION DE DONNÉES POUR
LE SUIVI DES DISPOSITIFS
EXPÉRIMENTAUX
AGRONOMIQUES
BOULNEMOUR MEDHI
Encadrement du stage
Sandrine Auzoux, David Pot, Lauriane Rouan
Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement (Cirad)Avenue Agropolis
34398 Montpellier cedex 5
2 3REMERCIEMENTS
Je tiens à remercier toutes les personnes qui ont contribué au succès de mon stage.7RXP G·MNRUG Ó·MGUesse mes remerciements à Mme Nabila Yahiaoui chercheuse dans
O·805 $JMS TXL P·M SHUPLV GH SRVPXOHU GMQV ŃH ŃHQPUH GH UHŃOHUŃOH HP GH PURXYHU ŃH VPMJH
qui était en totale adéquation avec mes attentes. Je tiens à remercier vivement mes maitres de stage, Mme Sandrine Auzoux, LQIRUPMPLŃLHQQH GMQV O·85 $wGM Mme Lauriane Rouan chercheuse biostatisticienne dans O·805 $JMS HP M. GMYLG 3RP ŃOHUŃOHXU GMQV O·805 $JMS HP UHVSRQVMNOH GX SURÓHP %)), pour leur accueil, le temps passé ensemble et le partage de leur expertise au quotidien.Grâce j OHXU ŃRQILMQŃH Ó·ML SX P·MŃŃRPSOLU PRPMOHPHQP GMQV PHV activités. Je les remercie
aussi pour leurs lectures et les corrections apportées à ce manuscrit. -H UHPHUŃLH pJMOHPHQP PRXPH O·pTXLSH HG HQPpJUMPLRQ GHV GRQQpHV GH O·805 $gapSRXU OHXU MŃŃXHLO OHXU HVSULP G·pTXLSH HP OHXU MLGH SUpŃLHXVH TXL a contribué à la réussite de
ce projet.0HV UHPHUŃLHPHQPV V·MGUHVVHQP MXVVL SHUVRQQHOOHPHQP j PRXV OHV SURIHVVHXUV GH PM
discipline. Je tiens aussi à remercier PRXPH O·XQLPp $JMS SRXU Oeur agréable accueil, et toutes les SHUVRQQHV TXL P·RQP MLGpHV HP VRXPHQXHV GH SUqV ŃRPPH GH ORLQ GMQV OM UpMOLVMPLRQ GH ŃH travail. Je remercie également Emilie et tous mes amis pour leur soutien. Enfin, je tiens à dédier ce travail à mes chers parents MLQVL TX·j PRXPH PM IMPLOOHB 4 5TABLES DES MATIÈRES
Remerciements .................................................................................................................... 3
Tables des matières ............................................................................................................. 5
Glossaire .............................................................................................................................. 7
3UpVHQPMPLRQ GH O·RUJMQLVPH G·MŃŃXHLO ................................................................................ 11
PRESENTATION DU CIRAD .................................................................................................................... 11
LE PROJET BIOMASS FOR THE FUTURE ............................................................................................... 13
Introduction ........................................................................................................................15
DU GENOTYPE AU PHENOTYPE : CONTEXTE ................................................................................... 15
INITIATIVES EXISTANTES...................................................................................................................... 15
Ecofi : la base de données experimentale du cirad ..................................................................................... 17
Ephesis OH V\VPqPH G·LQIRUPMPLRQ GH O·XUJL .............................................................................................. 17
Le breeding management system de O·LNS .................................................................................................. 19
Phenome networks et agrobase ................................................................................................................. 21
Conclusion .............................................................................................................................................. 21
DAPHNE ................................................................................................................................................... 21
Le cahier des charges ............................................................................................................................... 23
Les caractéristiTXHV GX V\VPqPH G·LQIRUPMPLRQV .......................................................................................... 23
Matériels et méthodes........................................................................................................ 25
VOLUMETRIE ET COMPLEXITE DES DONNEES ................................................................................. 25
APPROCHE DE DEVELOPPEMENT ....................................................................................................... 27
LA BASE DE DONNEES ........................................................................................................................... 27
3UpVHQPMPLRQ GHV SMŃNMJHV HP ŃMV G·XPLOLVMPLRQV .......................................................................................... 27
LE FRAMEWORK ..................................................................................................................................... 31
MODELE-VUE-CONTROLEUR ............................................................................................................... 33
Le contrôleur ........................................................................................................................................... 33
La vue .................................................................................................................................................... 33
Le modèle ............................................................................................................................................... 33
SYTEME DE GESTION DE VERSIONS : GIT .......................................................................................... 35
Résultats et discussion ...................................................................................................... 37
IMPLEMENTATION DE LA BASE DE DONNEES .................................................................................. 37
IMPLEMENTATION DE L·APPLICATION WEB ..................................................................................... 41
Fonctionnalités ........................................................................................................................................ 41
DIFFICULTES RENCONTREES ............................................................................................................... 45
Les objectifs ............................................................................................................................................. 45
I·MJLOLPp .................................................................................................................................................. 45
La généricité et les méta-données .............................................................................................................. 45
Conclusion et perspectives ................................................................................................ 49
References ..........................................................................................................................51
Annexes ............................................................................................................................. 53
ANNEXE 1 : LES OUTILS DE DEVELOPPEMENTS .............................................................................. 53
La base de données .................................................................................................................................. 53
I·MSSOLŃMPLRQ RHN .................................................................................................................................... 53
ANNEXE 2 : L·ARCHITECTURE 3 TIERS ............................................................................................... 54
ANNEXE 3 : SCHEMA UML DE DAPHNE .............................................................................................. 55
ANNEXE 4 : POSTER SCIENTIFIQUE DE DAPHNE ............................................................................. 56
6 7GLOSSAIRE
AGAP Amélioration génétique et adaptation des plantes méditerranéennes et tropicales Back-end Partie du code qui est exécuté coté serveur, il comprend JpQpUMOHPHQP OM PMQLSXOMPLRQ HP O·LQPHUURJMPLRQ GH NMVH GH données. Dans notre cas le langage utilisé est exclusivement écrit en PHP. Biomasse Quantité de matière vivante contenue dans une unité déterminée de surface ou de volume de l'environnement. Bloc Ensemble de parcelles où toutes les modalités sont représentées une seule fois, le bloc est homogène et la répartition des modalités est aléatoire. Un bloc correspond à une répétition. CIRAD Centre de coopération internationale en recherche agronomique pour le développement Cotylédon Expansion latérale de l'embryon végétal qui, généralement, est charnue et contient les réserves nutritives nécessaires au premier développement de la plante.Dispositif
expérimental (QVHPNOH G·XQLPpV SO\VLTXHV SUpVHQPMQP XQH GLVSRVLPLRQ particulière et caractéristique en vue de mettre en évidence, ou QRQ O·HIIHP G·XQH MŃPLRQ VXU OM ŃXOPXUH Épandage Technique agricole consistant à répandre divers produits sur des zones cultivées. Framework Ensemble cohérent de composants logiciels structurels, qui sert à ŃUpHU OHV IRQGMPLRQV MLQVL TXH OHV JUMQGHV OLJQHV GH PRXP RX G·XQH partie d'un logiciel (architecture). Front-end Partie du code qui est exécuté sur la plate-IRUPH GH O·XPLOLVMPHXU, GMQV QRPUH ŃMV Ń·HVP OH ŃRGH H[pŃXPp SMU OH QMYLJMPHXU RHNBLangages : HTML, JavaScript, CSS.
Full-stack GpYHORSSHPHQP G·XQH MSSOLŃMPLRQ GMQV VRQ HQVHPNOH Ń·HVP j GLUH back-end et front-end.IHM Interface homme-machine
Interopérabilité Capacité que possède un système informatique à fonctionner avec G·MXPUHV SURGXLPV RX V\VPqPHV LQIRUPMPLTXHV H[LVPMQPV RX IXPXUV VMQV UHVPULŃPLRQ G·MŃŃqV RX GH PLVH HQ ±XYUH. ITK I·LPLQpUMLUH PHŃOQLTXH ŃXOPXUMO UHSUpVHQPH O·HQVHPNOH GHV interventions menées sur une parcelle.Mafor 0MPLqUH IHUPLOLVMQPH G
RULJLQH UpVLGXMLUH ŃRPSUHQMQP O·HQVHPNOH GHV GpŃOHPV G·RULJLQH MQPOURSLTXH OLpV MX[ MŃPLYLPpV LQGXVPULHOOHV domestiques, urbaines ou agricoles et qui peut être valorisé en tant TX·HQJUMLV RX MPHQGHPHQP SRXU O·MJULŃXOture. 8 9 Métadonnée Donnée servant à définir ou décrire une autre donnée. Monocotylédone *URXSH G·HVSqŃHV YpJpPMOHV SUpVHQPMQP XQH SOMQPXOH j XQ cotylédon. Parcelle Unité expérimentale de base, où, selon un protocole, est appliquée une Placette Partie, j O·LQPpULHXU G·XQH SMUŃHOOH SRXU pYLPHU OHV HIIHPV GH bordure, sur laquelle sont réalisées des observations et/ou PHVXUHV QRPMPLRQ GH O·HQOHUNHPHQP SHVpH GH ŃMQQHV pŃOMQPLOORQGH VRO"B
UMR Unité mixte de recherche
UR Unité de recherche
10 11PRÉSE17$7H21 G( I·25*$1H60( G·$FF8(HI
PRÉSENTATION DU CIRAD
Le CIRAD (Centre de coopération Internationale en Recherche Agronomique pour leDéveloppement) est un établissement public à caractère industriel et commercial créé en
1984B F·HVP XQ RUJMQLVPH IUMQoMLV de recherche agronomique et de coopération
internationale pour le développement durable des régions tropicales et méditerranéennes. Cet organisme travaille en partenariat avec les pays du Sud. Il produit et transmet de nouvelles connaissances pour accompagner leur développement agricole et contribuer au GpNMP VXU OHV JUMQGV HQÓHX[ PRQGLMX[ GH O·MJURQRPLHB GX ORŃMO MX JORNMO OH CIRAD faitMYMQŃHU OM VŃLHQŃH HP O·MJULŃXOPXUH MX VHUYLŃH GH PRXVB Le CIRAD mène des activités de
coopération avec plus de 90 pays. Il met à disposition de la communauté scientifique nationale et internationale, un dispositif important de recherche et de formation. Le CIRAD ŃRPSUHQG MXÓRXUG·OXL 16D0 SHUVRQQHV GRQP 800 ŃOHUŃOHXUV TXL PUMYMLOOHQP avec les pays du Sud. Le CIRAD est composé de 3 départements scientifiques que sont Performance des systèmes de production et de transformation tropicaux (Persyst),Environnement et sociétés (ES) et Systèmes biologiques (Bios), dans lesquels sont répartis
34 XQLPpV GH UHŃOHUŃOH GRQP O·XQLPp Pixte de recherche Agap (Amélioration génétique et
adaptation des plantes méditerranéennes et tropicales) qui fait partie du département Bios. $LQVL TXH O·85 $wGM Agroécologie et intensification durable des cultures annuelles) qui fait partie du département Persyst (Figure 1). I·85 $wGM M SRXU RNÓHŃPLI O·pPXGH OM ŃRQŃHSPLRQ HP OM SURSRVLPLRQ GH V\VPqPHV GH cultures annuels (canne à sucre, cotonnier, riz...), répondant aux exigences de performances agronomiques, technologiques et environnementales.I·805 $JMS ±XYUH HQ IMYHXU GH la création de matériel végétal adapté aux systèmes
de productions impliquant les principales espèces végétales tropicales et méditerranéennes
(riz, blé, sorgho, bananiers, canne à sucre, etc.). Elle est composée de douze équipes de
recherche, dont : - I·pTXLSH 3$0 ŃRQŃHQPUH VHV MŃPLYLPpV VXU O·pŃRSO\VLRORJLH GHV PRQRŃRP\OpGRQHV principalement le riz, le sorgho et le palmier à huile, tout en y associant des recherches en histologie, biochimie, statistiques et informatique. 12Figure 1 Organigramme du CIRAD
13 (OOH ŃRQPULNXH j O·RSPLPLVMPLRQ GH OM SHUIRUPMQŃH GHV ŃXOPXUHV HP GpYHORSSH GHV connaissances et des modèles intégrés des processus morpho-physiologiques G·MGMSPMPLRQ GHV SOMQPHV MX milieu agro-écologique - I·pTXLSH G·LQPpJUMPLRn de données (ID). Elle se consacre au développement G·outils et de méthodes bio-informatiques RULJLQMOHV TXL V·MSSXLHQP VXU XQ grand nombre G·HVSqŃHV HP G·MSSURŃOHV POpPMPLTXHV pPXGLpV GMQV O·805. Le but est de permettre XQH MQMO\VH LQPpJUpH GH O·MGMSPMPLRQ GHV SOMQPHV ŃXOPLYpHV PURSLŃMOHV HP méditerranéennes aux facteurs environnementaux, divers et changeants. C'est dans l'équipe ID de l'unité Agap que j'ai été accueilli pour réaliser mon stage de fin d'étude.LE PROJET BIOMASS FOR THE FUTURE
BFF (Biomass For the Future) est un projet de recherche scientifique multipartenaires, SXNOLTXHV HP SULYpV TXL V·pPHQG VXU la période 2012 à 2020. Il ambitionne de développer des systèmes de production et de valorisation de la biomasse issus de 2 espèces cibles : Le sorgho-fibre, une graminée résistante à la sécheresse annuelle à haut rendement adaptée à l'Europe méridionale. Le miscanthus, une graminée pérenne adaptée à des climats plus tempérés, avec un allongement de la saison de croissance et une dépendance moindre aux engrais et aux composés phytosanitaires que les espèces annuelles. Ces cultures ont l'avantage de combiner un fort potentiel de production de biomasse, avec un impact minimal sur l'environnement. Pour répondre aux défis liés à la mise en place de filières de production et de valorisation de la biomasse, ce projet vise à optimiserles itinéraires techniques et développer des variétés dédiées aux valorisations ciblées en
mobilisant les nouveaux outils de la génomique. Ensuite, le développement de petites et moyennes industries ancrées localement et fondées sur la biomasse doit servir de cas d'école. Cela permet de surmonter les obstacles technologiques, sociologiques etinstitutionnelles pour le développement futur à grande échelle de biomatériaux, des
biocarburants de la deuxième génération et des industries de bioraffinage, qui à leur tour
contribueront à consolider l'industrie locale. Cela doit créer un élan positif vers une
adoption généralisée d'une bio-économie basée sur la connaissance en France. 14 15INTRODUCTION
DU GÉNOTYPE AU PHÉNOTYPE : CONTEXTE
Le développement de variétés améliorées implique la compréhension fine du GpPHUPLQLVPH JpQpPLTXH GHV ŃMUMŃPqUHV G·LQPpUrPV MJURQRPLTXHV HP LQGXVPULHOVB FHPPHcomSUpOHQVLRQ SHUPHP HQ HIIHP G·RSPLPLVHU O·HIILŃMŃLPp GH OM VpOHŃPLRQ YMULpPMOH HQ
optimisant O·LGHQPLILŃMPLRQ GHV croisements à effectuer, en réduisant les coûts
G·H[SpULPHQPMPLRQ VpOHŃPLRQ NMVpH VXU OH JpQRP\SH HP QRQ VXU OH SOpQRP\SH HP HQ MŃŃpOpUMQP
leV Ń\ŃOHV GH VpOHŃPLRQB 1pMQPRLQV O·LGHQPLILŃMPLRQ GHV IMŃPHXUV JpQpPLTXHV ŃRQPU{OMQP OM
YMULMNLOLPp GHV ŃMUMŃPqUHV G·LQPpUrP nécessite la mise en relation de données hétérogènes.
Le phénotype (P) résulte des effets conjoints de 3 composantes : le génotype (G), O·HQYLURQQHPHQP ( HP O·LQPHUMŃPLRQ HQPUH OH JpQRP\SH HP VRQ HQYLURQQHPHQP * [ (B FHŃL est résumé par la formule suivante : P = G + E + G x E Puisque O·H[SUHVVLRQ d'un gène n'est pas indépendante du milieu dans lequel ce gène s'exprime, il est important de pouvoir stocker les informations relatives à ces différentes composantes (informations génétiques, informations environnementales) et à leurs conséquences sur les phénotypes. 6L MXÓRXUG·OXL GH QRPNUHX[ V\VPqPH SRXU VPRŃNHU RXexploiter les ressources génétiques existent, Ń·HVP TX·RQ M ŃRPSULV O·LPSRUPMQŃH GH O·MŃŃqV j
ces informations. Cependant, nous sommes forcés de constater la difficulté de trouver unV\VPqPH G·LQIRUPMPLRQ JpQpULTXH SRXU MŃŃXHLOOLU les données de ces interactions génotype-
environnement en agronomie.INITIATIVES ÉXISTANTES
GMQV O·pPMP MŃPXHO ŃOMTXH MJURQRPH/généticien/sélectionneur gère ses données de
manière individuelle OH SOXV VRXYHQP j O·MLGH GH PMNOHXUV. La quantité, la diversité
O·hétérogénéité des formats de stockage de ces données sont importantes. Cette méthode
de gestion des données a montré ses limites sur plusieurs plans : O·accès, la qualité et la
traçabilité des informations. Les données sont parfois redondantes et éparpillées sur
plusieurs fichiers et plusieurs supports physiques. En conséquence, le temps passé à rechercher une information devient considérable. 16 17 FHV GLIILŃXOPpV LPSRVHQP OH GpYHORSSHPHQP G·RXPLOV SHUIRUPMQPV SRXU OH VPRŃNMJH HPO·H[SORLPMPLRQ GHV GRQQpHVB (Q RXPUH OM UpMOLVMPLRQ G·MQMO\VH LQPpJUMPive est généralement
rendue très difficile par la dispersion des données et leur absence de qualification. Suite à
ŃH ŃRQVPMP OHV pTXLSHV GX SURÓHP %)) RQP GpŃLGp G·pPXGLHU OHV VROXPLRQV H[LVPMQPHV dans le
domaine.ECOFI : LA BASE DE DONNEES EXPERIMENTALE DU CIRAD
ECOFI est une base de données expérimentale développée par le CIRAD pour lagestion des essais en agroécologieB F·HVP XQH NMVH GH GRQQpHV UHOMPLRQQHOOH conçue à partir
de l'analyse des jeux de données issus d'essais pluridisciplinaires sur la canne à sucre. FH V\VPqPH SHUPHP O·LQPpJUMPLRQ GHV GRQQpHV SOpQRP\SLTXHV de plusieurs espèces, à différentes échelles issues de plusieurs domaines (agronomie, entomologie, écophysiologie, malherbologie). Il utilise la technologie des métadonnées lui permettant d'ajouter librement autant de variables que O·RQ YHXP sans altérer la structure de la base de données. Dans les bases de données standards, chaque variable observée implique généralement une mise à jour du modèle de la base de données existante. Le modèle de données d'ECOFI ne nécessite pas une telle modification. La prise en compte d'une nouvelle variable est très facile et consiste seulement à l'ajout d'un nouvel enregistrement dans une table demétadonnées générique, après avoir mémorisé le nouveau libellé de la variable et sa
définition (unité, type, échelle). Cette technologie réduit le nombre de tables, de colonnes
et de cellules vides, et améliore les performances des requêtes de base de données (AuzouxSandrine, 2016).
En revanche, ce système ne propose aucune gestion des échantillons, le dictionnaire GHV GRQQpHV G·(F2)H Q·HVP SMV HQ UHOMPLRQ MYHŃ OHV RQPRORJLHV H[LVPMQPHV GMQV OH GRPMLQHB (P LO Q·HVP SMV ŃMSMNOH GH JpUHU SOXVLHXUV XPLOLVMPHXUV HP SMUPHQMLUHVB GH SOXV Oa descriptiondes dispositifs expérimentaux est limitée à 3 niveaux hiérarchiques, ce qui diminue
JUMQGHPHQP OM ŃMSMŃLPp GH O·RXPLO j LQPpJUHU OHV GLVSRVLPLIV SOXV ŃRPSOH[HVB EPHESIS : LE SYSTÈ0( G·H1)250$7H21 G( I·URGI I·85*H HVP XQH XQLPp GH UHŃOHUŃOH HQ génomique et bio-LQIRUPMPLTXH GH O·H15$GpGLpH MX[ SOMQPHV HP OHXUV SMPORJqQHVB 6RQ MŃPLYLPp GH UHŃOHUŃOH SRUPH VXU O·LQPpJUMPLRQ GHV
données, la structure et la dynamique du génome. De plus, I·XQLPp OpNHUJH XQH SOMPH-forme bio-informatique française, Elixir. 18 19 F·HVP MX PUMYHUV GH ŃHPPH SOMPH-IRUPH TXH O·85*H est en train de développer Ephesis,XQ V\VPqPH G·LQIRUPMPLRQ GpGLp j O·pPXGH GHV LQPHUMŃPLRQs génotype-environnement. F·HVP
OH V\VPqPH SULQŃLSMOHPHQP XPLOLVp SMU OHV ŃOHUŃOHXUV HP MJURQRPHV GH O·H15$. Il permet O·LQPpJUMPLRQ GHV HVVMLV H[SpULPHQPMX[ et des données environnementales. Mais il permet aussi de YpULILHU OM TXMOLPp GHV GRQQpHV HQ pPMNOLVVMQP GHV OLHQV MYHŃ G·MXPUHV V\VPqPHV TXLréférences les ressources génétiques (ex : les données passeport). De plus, il dispose de
dictionnaires de variables lié aux ontologies agronomiques notamment pour les espèces de maïs, tomates et vigne (C. Pommier, 2009). Cependant, ce système ne permet pas le suivi des interventions techniques réalisé surun essai ni le suivi des échantillons. Par ailleurs, le système ne permet pas la caractérisation
GHV RUJMQHV RX PRXP MXPUH HQPLPp VH PURXYMQP j XQH pŃOHOOH LQIpULHXUH j ŃHOOH G·XQH XQLPpexpérimentale. Ephesis ne permet pas non plus le suivi des informations de généalogies lié
aux génotypes. En plus de ces aspects fonctionnels, il existe des aspects techniques qui posent problème. Ephesis HVP Qp G·XQ NHVRLQ LQVPLPXPLRQQHO GH O·H15$ LO HVP par nature difficilement transférable à un autre institut. De plus, il est toujours en cours de développement ce qui engendre des difficultés pour travailler correctement.LE BREEDING MANAGEMENT 6K67(0 G( I·H%3
I·H%3 (The Integrated Breeding Platform), M SRXU RNÓHŃPLI G·MŃŃpOpUHU la création et la
distribution de variétés de plantes améliorées pour répondre à la demande alimentaire
croissante dans le monde. Pour ce faire, la plateforme fournit des outils et des services professionnels pour la ŃRQGXLPH G·MŃPLYLPpV GH SOpQRP\SMJH HP de génotypage, dont le BMS (Breeding Management S\VPHPB IH %06 HVP XQ HQVHPNOH G·RXPLOV ORJLŃLHOV qui intègre une base de donnéespermettant de gérer les informations de pédigrée, de caractérisation phénotypique et
d'évaluation de matériel végétal. De plus, il inclut des dictionnaires de caractères
" ontologiques » pour 10 espèces dont le sorgho, un gestionnaire de ressource génétique et
G·HVVMLV MLQVL TX·XQ RXPLO SHUPHPPMQP OH VXLYL GHV ŃURLVHPHQPVB7RXPHIRLV ŃH V\VPqPH QH SHUPHP SMV O·LQPpJUMPLRQ GHV Gonnées phénotypiques
historiques, ce qui est un point important pour des projets tel que BFF qui possèdent déjà des jeux de données complets répartis sur plusieurs années. 20 21GH SOXV I·MUŃOLPHŃPXUH GX %06 QH SHUPHP SMV GH PUMYMLOOHU VXU SOXVLHXUV ŃXOPXUHs avec
une seule instance du système. Chaque instance du système est dédiée à une seule espèce.
$ O·LQVPMU G·(SOHVLV, le BMS ne permet pas la gestion des RNVHUYMPLRQV j O·pŃOHOOH GHV organes et Ń·HVP XQ V\VPqPH GLVPULNXp JUMPXLPHPHQP PMLV SMV open-source on ne peut donc pas le faire évoluer librement.PHENOME NETWORKS ET AGROBASE
G·MXPUHV V\VPqPHV PHO TXH $JURNMVH RX 3OHQRPH 1HPRRUNV SUpVHQPH GHVfonctionnalitpV LQPpUHVVMQPHV ŃH VRQP GHV V\VPqPHV G·LQIRUPMPLRQV RULHQPps vers la sélection
variétale et qui intègrent touP GHX[ GHV RXPLOV SRXU O·LGHQPLILŃMPLRQ GHV PMUTXHXUV JpQpPLTXHV
affectant les traits étudiés. Néanmoins, ces systèmes sont complètement opaques de par
leur nature commerciale ce qui empêche toute modification visant à améliorer ces systèmes
sans intervention de leurs propriétaires. De plus, ils ont un coût financier notable.CONCLUSION
(Q ŃRQŃOXVLRQ ŃOMTXH V\VPqPH G·LQIRUPMPLRQV GpYHORSSp SRXU OM JHVPLRQ GHV HVVMLV agronomiques propose des fonctionnalités intéressantes. En revanche, la majorité de sessolutions QRXV ŃRQIURQPH MX[ GLIILŃXOPpV GH PMLQPHQMQŃH HP G·pYROXPLRQ GH ŃHV V\VPqPHV
critères importants pour leur pérennité au sein du CIRAD MLQVL TX·MX PMQTXH GH
fonctionnalité (ex : gestion des organes, des données historiques, gestion de plusieursHVSqŃHV" etc.).
DAPHNE
Il existe des outils qui répondent aux besoins GH VPRŃNMJH HP G·H[SORLPMPLRQ GHV GRQQpHVgénétiques et génomiques. Cependant, la compréhension du phénotype nécessite
O·LQPpJUMPLRQ GH ŃHV GRQQpHV mais aussi, des données expérimentales. F·HVP SRXUTXRL Les équipes du projet BFF ont décidé de développer un systèmegénérique pour la gestion des données phénotypiques et environnementales. F·HVP dans ce
but TXH Ó·ML pPp UHŃUXPp HQ PMQP TXH VPMJLMLUHB %)) HVP XQ ŃMV G·pPXGH SRXU le développement
GH ŃH V\VPqPH O·LGpH pPMQP GH OH GpSOR\HU SOXV OMUJHPHQPB FHP RXPLO GRLP VHUYLU j G·MXPUHV projets agronomiques TXH %)) HP j O·pPXGH G·MXPUHV HVSqŃHV TXH VRUJOR HP PLVŃMQPOXVB 2223
LE CAHIER DES CHARGES
Les objectifs de ce stage sont doubles :
Construire une base de données permettant de centraliser, stocker et sécuriser les données actuelles produites dans le cadre du projet BFF et à venir, issues des différents domaines suivants : agronomie, écophysiologie, météorologie, génétique, sélection, histologie, biochimie. GpYHORSSHU XQH MSSOLŃMPLRQ RHN SHUPHPPMQP O·MOLPHQPMPLRQ HP O·LQPHUURJMPLRQ GH cette base de données par les différents partenaires publiques et privés.LES CARACTERISTIQUES G8 6K67(0( G·H1)250ATIONS
Ce système de gestion des données doit intégrer :La description des dispositifs expérimentaux.
La gestion des itinéraires techniques
La gestion des données météorologiques et solLa gestion des échantillons produits
La description des ressources génétiques
La gestion des résultats G·MQMO\VHV
La gestion des observations à toutes les échelles IO GRLP MXVVL SUpYRLU O·LQPHUopérabilité avec les ontologies existantes (PLANT2172I2*K F523 2172I2*K $*52120K 2172I2*K" HPŃB et les
collections de ressources génétiques du CRB (Centre de Ressource Biologique). De plus,OH V\VPqPH GRLP MXVVL SHUPHPPUH O·intégration des données correspondant à plusieurs espèces
dans un même essai pour pouvoir décrire des dispositifs de culture en association. En relation avec les attentes du système d'information, -·ai proposé le nom DAPHNE (DAtabase PHenotype plaNt intEgration) qui a été retenu. 2425
MATÉRIELS ET MÉTHODES
VOLUMETRIE ET COMPLEXITE DES DONNEES
Les données produites par un centre de recherche agronomique sont de nature trèshétérogène. Rien que poXU OH SURÓHP %)) TXL VH ŃMQPRQQH j O·pPXGH GH 2 HVSqŃHV Ń·HVP
O·MQMO\VH G·HQYLURQ 3000 JpQRP\SHV HQ VHPLV UpSMUPLV VXU XQH PUHQPMLQH G·HVVMLV HP VXU 10 OLHX[ G·H[SpULPHQPMPLRQV depuis 2012 (Figure 2). Chacun des dispositifs expérimentaux mis en place peut être plus ou moins complexe et définit sur plusieurs niveaux (blocs, parcelles, places, placettes, etc.). Sur chacune desunités expérimentales que décrit le dispositif, s·applique une ou plusieurs modalités (Figure
3). Chaque essai est mené en suivant un itinéraire technique qui comprend toutes les
interventions réalisées sur chacune des unités du dispositif (fertilisation, travail du sol,
irrigation, etc.).Ajoutés à cela, les essais agronomiques recensent des données liées aux caractéristiques
des sols TX·LOV VRLHQP géo-localisés ou non (profondeur, type de sol, humidité) et desdonnées liées aux conditions climatiques (température, humidité, vent, rayonnement)
récoltées toutes les minutes par des capteurs météorologiques. Ils récoltent aussi des
données au champ sur une cinquantaine de caractères liés aux phénotypes des plantes(hauteurs, diamètres, nombre de feuilles QRPNUH G·HQPUHQ±XGV HPŃB) ou à leur phénotype
étendu (ex PMX[ G·HQYMOLVVHPHQP SMU les mauvaises herbes) (Figure 4). GH SOXV ŃHV pPXGHV MJURQRPLTXHV JpQqUHQP GHV TXMQPLPpV LPSRUPMQPHV G·pŃOMQPLOORQVrécoltés à toutes les échelles et à différents stades. Ces échantillons sont transférés à de
nombreux laboratoires pour les analyser sur une trentaine de caractères histologiques, physiologiques et biochimiques. 26Figure 2 Exemple de fichier contenant des données liées aux accessions des génotypes du projet BFF pour
O·HVSqŃH VRUJORB
Figure 3 Exemple de schéma G·XQ dispositif expérimental. An, Bn, Cn : parcelles ; Mn : modalités ; Blocn : répétition 27APPROCHE DE DÉVELOPPEMENT
4X·LO V·MJLVVH GH PRGpOLVMPLRQ RX GH ŃRQŃHSPLRQ GH O·LQPHUIMŃH RHN et de la base de
données, nous avons mis en pratique une organisation agile de développement très similaire à la philosophie de la méthode SCRUM (Ken Schwaber, 2001). Au cours deUpXQLRQV G·pTXLSH OHNGRPMGMLUHV QRXV MYRQV défini des tâches à réaliser j OM VXLPH G·XQ
pŃOMQJH G·LGpHV MYHŃ OHV HQŃMGUMQPV GX VPMJH et des experts des différents domaines abordés
par le projet. Ces intervenants ont souvent éclairé nos débats afin de proposer les
meilleures solutions pour répondre aux attentes des utilisateurs notamment sur la gestionGHV GRQQpHV G·MŃŃHVVLRQV RX HQŃRUH OHV Qotions de vocabulaire contrôlés en lien avec les
ontologies (phénotypique, agronomique, génétique)LA BASE DE DONNÉES
$ O·LQVPMU G·(F2)H LO M pPp GpŃLGp G·LPSOpPHQPHU OM NMVH GH GRQQpHV sous PostgreSQL. F·HVP un système de gestion de base de données relationnelle-objet (SGBDRO). Il est puissant et open-sourceB F·HVP MXVVL O·XQ GHV 6*%G les plus stables sur le marché. (Voir en annexe 1, la liste des outils utilisés pour le développement de la base de données) PRÉSENTATION DES PACKAG(6 (7 F$6 G·87HIH6$7IONS IM SUHPLqUH pPMSH SRXU ŃRQŃHYRLU XQ V\VPqPH G·LQIRUPMPLRQ HVP OM PRGpOLVMPLRQ GH OM base de données. Pour ce faire il est important de définir ce que le système devra ou non gérer comme données. On a défini des sous-systèmes (packages) qui permettent de regrouper la structure de la base de données par champ thématiques (Figure 5). Chacun de ŃHV SMŃNMJHV UpSRQG j XQ RX SOXVLHXUV ŃMV G·XPLOLVMPLRQVB HOV ont servi de guide pour construire le schéma relationnel de la base.Gestion des utilisateurs et des accès
Une composante importante du système d'information est l'authentification del'utilisateur, pour pouvoir lui donner un accès et lui attribuer des droits en lecture, écriture
RX PRGLILŃMPLRQ GHV GRQQpHV ŃRQPHQXHV GMQV OM NMVHB 3RXU ŃHOM LO GRLP V·MXPOHQPLILHU j O·MLGH
G·XQ QRP G·XPLOLVMPHXU HP G·XQ PRP GH SMVVHB HO GRLP MXVVL SRXYRLU SMUPMJHU HP ŃRQPU{OHU OM
visibilité de ses données. Il peut créer un jeu de données et décider de qui peut lire, ajouter
ou modifier les données. 28Figure 4 Exemple de fichier contenant des données morphologiques Figure 5 Représentation des packages principaux du système d'information 29
Gestion des dispositifs expérimentaux
I·XPLOLVMPHXU GRLP SRXYRLU SUpŃLVHU OH dispositif expérimental G·XQ HVVML PLV HQ SOMŃH MX
champ. Pour cela il doit définir le projet dans lequel cet essai a OLHX OM ORŃMOLVMPLRQ GH O·HVVML
et décrire le dispositif ainsi que les modalités (traitements) affectées à chacune des unités
expérimentales (parcelles, placettes, etc.).Gestion des accessions
I·XPLOLVMPHXU GRLP SRXYRLU MÓRXPHU OHV JpQRP\SHV TXL IRQP SMUPLH GHV PRGMOLPpV G·XQ RX plusieurs dispositifs. Pour ce faire, il doit renseigner des accessions qui seront stockéesdans la base de données. Une accession est définie par un taxon (le plus souvent une variété
ou une espèce) produit sur un lieu donné et à une date donnée.Gestion des échantillons
I·XPLOLVMPHXr doit pouvoir suivre les échanPLOORQV LVVXV G·XQH SMUŃHOOH G·XQH SOMŃHPPH ou
G·XQH SOMQPH LQGLYLGXHOOH G·XQ HVVML PRXP OH ORQJ GH OHXU GXUpH GH YLHB HO GHYUM SRXYRLU MYRLUMŃŃqV j PRXP PRPHQP MX OLHX HP MX SMUPHQMLUH TXL GpPLHQP O·pŃOMQPLOORQ HP PUMŃHU Oes divisions
et toutes les opérations TX·MXUM VXNLP O·pŃOMQPLOORQBGestion des observations et des analyses
I·XPLOLVMPHXU GRLP SRXYRLU VPRŃNHU PRXV OHV UpVXOPMPV G·MQMO\VHV NLRŃOLPLTXHquotesdbs_dbs28.pdfusesText_34[PDF] les différents types de bases de données
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