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MÉMORIAL DE VERDUN HISTORIAL DE LA GRANDE GUERRE

Somme batailles hautement emblématiques de la Première Guerre mondiale dont le sort Le bilan de la bataille de Verdun ... LE BILAN HUMAIN ET MATERIEL.



Histoire : Quel type de guerre est la bataille de la Somme ? - Eurekoi

18 novembre 1916 est la plus meurtrière des batailles de la. Première guerre mondiale après dans la Somme



La bataille de la Somme

une guerre particulièrement meurtrière - sujet d'étude décident de l'offensive de la Somme. ... 129 dresse un bilan humain de la bataille de la Somme.



1/13 La première guerre mondiale et ses conséquences

1916 : Bataille de Verdun (21 février au 18 décembre) et de la Somme (du 1 On cherchera donc à donner un bilan humain économique et social de la guerre ...



histoire 0

Les historiens s'accordent pour chiffrer le triste bilan humain : la Première Guerre Mondiale août 1914 et le début de la terrible bataille de la Somme.



Le château de Coucy pendant la Grande Guerre

1917 : la bataille de la Somme de juillet à novembre 1916



1916 la bataille de Verdun (Documents + vidéos YouTube

5) Quel est le bilan humain et tactique de cette bataille ? 1) Situez géographiquement et chronologiquement la bataille de la. Somme.





Comment la Grande guerre (1914/1918) a-t-elle bouleversée les

(Bataille de Verdun et de la Somme en 1916). Le bilan humain est très lourd (10 millions de morts) et ses conséquences durable sur les sociétés.



Thème 6 – La Première Guerre mondiale et la fin des empires

batailles des années 1915 (Champagne Artois)



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Le bilan de la bataille de Verdun MISE AU POINT SCIENTIFIQUE LE BILAN HUMAIN ET MATERIEL I Les pertes militaires II Un paysage dévasté à tout jamais



[PDF] La bataille de la Somme

l'offensive A partir du Zoom histoire et du doc 14 p 129 dresse un bilan humain de la bataille de la Somme 2ème partie : la bataille et son bilan



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11 jui 2018 · La bataille de la Somme 1er juillet-18 novembre 1916 ? HISTOIRE Après 141 jours de combat le bilan humain est extrêmement



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15 sept 2016 · Bataille de la Somme 1 er juillet - 18 novembre 1916 Il s'agit de la première offensive conjointe franco-britannique de la Grande guerre 



[PDF] dans la Première - Conseil départemental de la Somme

1 juil 2021 · Le département de la Somme a été l'un des territoires les plus meurtris par la Première Guerre mondiale tant au niveau de ses villes



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Les conditions de combat pendant les assauts En conclusion (non rédigée) - Réponse à la problématique - Le bilan humain de la bataille - Les conséquences 



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Pourtant cette année-là l'armée française a participé à une autre grande bataille dans la Somme au bilan humain tout aussi catastrophique Les Français ont 



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1916 : Bataille de Verdun (21 février au 18 décembre) et de la Somme (du 1 On cherchera donc à donner un bilan humain économique et social de la guerre 



La bataille de la Somme (1916) - Musée de la Grande Guerre

16 nov 2022 · Le bilan humain de la bataille est très lourd On compte environ : 170 000 morts et disparus pour l'armée allemande ;; 206 000 morts et disparus 

  • Quel est le bilan humain de la bataille de la Somme ?

    On compte environ : 170 000 morts et disparus pour l'armée allemande ; 206 000 morts et disparus pour l'armée britannique ; 67 000 morts et disparus pour l'armée fran?ise.16 nov. 2022
  • Quel est le bilan humain et matériel de la bataille de Verdun ?

    La bataille de 1916 prend fin après dix mois de combats intenses : elle a fait plus de 700 000 victimes : 305 000 tués et disparus et 400 000 blessés environ, avec des pertes presque identiques dans les deux armées adverses.
  • Comment Peut-on expliquer le bilan très lourd de la bataille de la Somme ?

    Cette bataille de plus de 4 mois fit plus d'1,2 million de morts, blessés ou disparus. L'Angleterre et l'Allemagne payent le plus lourd tribut avec près de 500 000 pertes dans leurs rangs respectifs, tandis que la France comptabilise 200 000 victimes.
[PDF] Bataille de la Somme 1

© septembre 2016

Bataille de la Somme

1er juillet - 18 novembre 1916

Il s'agit de la première offensive conjointe franco-britannique de la Grande guerre, conçue en

décembre 1915 par le général Joffre1, dans un secteur du front relativement calme durant l'année

1915. La deuxième conférence de Chantilly (14 février 1916) fixe le début de l'offensive au 1er

juillet 1916.

Joffre prépare l'opération avec l'armée française comme acteur principal et nomme Foch2,

commandant du Groupe d'Armées Nord, responsable de l'opération. Douglas Haig3 remplace John

French en décembre 1915 à la tête du corps expéditionnaire britannique dont les six divisions

professionnelles ont été décimées en 1914-1915. La nouvelle entité est composée de volontaires des

forces territoriales et de la nouvelle armée Kitchener. Si Haig collabore volontiers avec Joffre il

n'en souligne pas moins l'indépendance du corps expéditionnaire anglais.

Le 21 février 1916, l'Allemagne lance son attaque sur Verdun. Haig propose l'aide britannique mais

Joffre estime que l'armée française peut faire face sans l'appui anglais. Il le presse cependant de

mettre en place au plus tôt l'offensive de la Somme. L'engagement français à Verdun ponctionnant

de plus en plus de troupes françaises initialement prévues pour l'offensive de la Somme, fin mai

1916, l'armée britannique est désormais l'élément principal de l'opération. Elle se voit confier

l'offensive au nord du fleuve entre Méricourt et Bapaume, l'armée française étant au sud, entre

Méricourt et Lassigny. Le plan initial change : le front d'attaque se réduit, passant de 70 km à 40 et

surtout, il ne s'agit plus de réaliser une percée décisive mais d'user l'ennemi. 2

© septembre 2016

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© septembre 2016

Les Allemands ne prennent aucune disposition particulière dans cette zone : l'état-major s'attend à

une offensive alliée en Artois ou en Alsace et prend les préparatifs ennemis pour du bluff. Dans

cette zone, les troupes allemandes, aidées par la nature du terrain, ont constitué un réseau de

tranchées efficace pour une défense en profondeur.

Si les Alliés se positionnent de part et d'autre du fleuve et aménagent leurs arrières (gigantesques

entrepôts, chemins de fer, aérodromes, hôpitaux militaires), les forces allemandes occupent presque

toutes les hauteurs, la ligne de crêtes séparant les bassins de la Somme et de l'Escaut. Leur front se

découpe ainsi :

- une première position forte, avec des tranchées de première ligne, d'appui et de réserve, et

un labyrinthe d'abris profonds au confort moderne ; - une ligne intermédiaire, moins forte, protégeant des batteries de campagne ; - une seconde position un peu en arrière, presque aussi forte que la première.

- à l'arrière, se trouvent des bois et des villages fortifiés reliés entre eux constituant ainsi de

nouvelles lignes de défense bétonnées. Dans les territoires occupés, la terreur règne avec

déportation de population, réquisitions en argent et en nature, pillages, destructions...

La IIe armée allemande du général Fritz von Below4 comprend 8 divisions en ligne et 13 en réserve,

454 canons de campagne, 390 canons lourds (le tiers de la puissance de feu des Alliés) et 129

avions face aux 300 franco-britanniques.

Le Groupe d'armées du Nord du général Foch totalise 14 divisions en ligne, 4 de réserve et 4 de

cavalerie sur un front de 15 kilomètres. L'artillerie aligne quant à elle plus de 2 600 pièces de tous

calibres.

Le groupe d'armées du général Haig (troupes anglaises, écossaises, galloises, irlandaises,

canadiennes, australiennes, néo-zélandaises, sud-africaines et le corps des travailleurs chinois)

comprend 26 divisions en ligne et 3 de cavalerie sur un front de 25 kilomètres appuyées par plus de

1 200 pièces d'artillerie.

Le pilonnage d'artillerie initialement prévu pour durer cinq jours, débute le 24 juin. Après divers

tirs de réglage et de destruction, le bombardement des lignes allemandes s'intensifie à partir du 26,

systématique et continu, notamment grâce à des canons à longue portée sur voie ferrées de 380 et

400 mm. En une semaine, l'artillerie britannique tire 1 732 873 coups ; les tranchées allemandes des

premières lignes sont presque totalement détruites mais les abris souterrains restent intacts. Il tombe

les premiers jours une moyenne de cinq obus pour chaque soldat allemand. 4

© septembre 2016

Le 1er juillet 1916 à 6h25, le bombardement lançant l'offensive des Alliés débute. Les tirs

d'artillerie atteignent une cadence de 3 500 coups/minute, produisant un bruit si intense qu'il est

perçu jusqu'en Angleterre. L'armée anglaise a placé, sur 35 km, un canon tout les 18 mètres.

Le 1er juillet 1916 à 7h28, les sapeurs gallois placent 27 tonnes d'ammonal5 à 16 mètres de

profondeur à La Boisselle. L'explosion soulève une colonne de terre à 1 300 mètres de hauteur. Le

cratère de 100 mètres de diamètre et de 30 de profondeur est aussitôt occupé par les Britanniques.

Au même moment, une autre mine (18 tonnes d'ammonal) explose à Beaumont-Hamel. Le cinéaste

britannique Geoffrey Malins6 est témoin de l'explosion, sa caméra se trouvant à 500 mètres de là :

" Le terrain où je me tenais a été secoué par une énorme convulsion. Le sol a été secoué et balancé.

Je me suis agrippé à mon trépied pour ne pas tomber. Puis, pour tout le monde comme une

gigantesque éponge, la terre s'est expansée en l'air à jusqu'à une hauteur de centaines de pieds.

Elle montait de plus en plus haut, et avec un terrible rugissement la terre broyée est retombée sur

elle-même, ne laissant qu'une montagne de fumée. »

Le 1er juillet 1916 à 7h30, 66 000 soldats britanniques sortent des tranchées baïonnette au canon, à

l'assaut des tranchées ennemies. Lourdement chargés (plus de 30 kg d'équipement), ils ont ordre de

ne pas courir, le commandement anglais craignant que les troupes perdent le contact et se

dispersent. De plus, persuadé que les défenses allemandes ont été anéanties par l'artillerie, il exige

que les soldats avancent au pas. Les Allemands accueillent alors les Britanniques à la mitrailleuse,

les fauchant en masse. On estime à 30 000 le nombre de victimes (tués et blessés) dans les 6

premières minutes de la bataille.

Le 1er juillet 1916 à midi, l'état-major britannique annule l'ordre de marcher au pas, trop peu de

soldats pouvant atteindre les tranchées adverses. A l'issue de cette première journée de combat, la

plus meurtrière de toute l'histoire militaire britannique, le bilan est très lourd : 57 000 hommes hors

de combat soit près de 18 % de l'effectif engagé (320 000 hommes). Certaines unités comme le

Régiment royal de Terre Neuve est quasiment anéanti (92 % de ses effectifs - 865 hommes - sont à

terre à Beaumont-Hamel, une demi-heure environ après le début de l'attaque). Les pertes

allemandes sont estimées à seulement 6 000 hommes.

Suite à l'échec du 1er juillet, le commandement britannique souhaite arrêter l'attaque mais Joffre s'y

oppose, préparant la prise du saillant de Fricourt par un pillonnage d'artillerie.

Le 3 juillet 1916, la 9ème division écossaise occupe le bois de Bernafay (à l'est de Montauban).

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© septembre 2016

Le 4 juillet 1916, les Britanniques prennent La Boisselle.

Le 7 juillet 1916, ils lancent une série d'attaques simultanées sur les villages d'Ovillers,

Contalmaison et le bois de Mametz.

Le 10 juillet 1916, ils prennent le bois de Mametz en contournant le saillant de Fricourt. Mametz est

prise le 12 juillet par les Gallois de la 7e division britannique après 8 jours de combats acharnés et

de très lourdes pertes. En 10 jours, les Britanniques comptent 100 000 morts et 72 000 blessés.

Durant cette période, la VIe Armée française du général Fayolle7 progresse en profondeur sur un

front de près de 20 km, prenant le plateau de Flaucourt. Elle fait 12 000 prisonniers et s'empare d'un matériel considérable. Malgré cela, l'artillerie allemande domine toujours le terrain.

Du 3 au 13 juillet, la IVe armée britannique prépare l'assaut de la crête de Bazentin. Mais la

fragmentation de la préparation cause souvent plus de pertes dans les rangs britanniques (25 000 victimes) qu'allemands.

Le plan d'attaque d'origine (qui propose notamment une progression de nuit) est jugé trop

complexe par le général Haig, surtout pour des troupes inexpérimentées. Il propose un plan

alternatif impliquant d'attaquer à partir du bois de Mametz.

Le 14 juillet 1916 à 3h20, l'artillerie britannique bombarde intensément les tranchées allemandes.

Le 14 juillet 1916 à 3h25 les tranchées de seconde ligne sont visées pendant deux minutes,

permettant aux troupes britanniques de franchir le no man's land. Celles-ci se trouvent alors

confrontées à un complexe de tranchées allemandes fortement défendues au-delà duquel se trouve

le bois de Bazentin-le-grand. Les deux divisions du XVe corps capturent le village de Bazentin-le- petit en milieu de matinée. L'attaque menée vers Bazentin-le-grand depuis Montauban n'est pasquotesdbs_dbs2.pdfusesText_2
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