[PDF] La Première Guerre mondiale et ses conséquences en Europe





Previous PDF Next PDF



La première guerre mondiale et ses conséquences

manifestations en 1917. Le monde entier est concerné : Mobilisation des hommes dans les colonies. CONCLUSION : La guerre est devenue l'affaire de tous civils 



NUMÉRO DEXAMEN: ATTENDRE LAUTORISATION AVANT D

L'espérance de vie était plus élevée aux États-Unis et chez ses alliés. Quel a été l'impact de la Première Guerre mondiale sur le front civil?



La Première Guerre mondiale et ses conséquences

Première Guerre mondiale et ses conséquences » du bloc 1 « Guerres démocratie



LEurope au début La Première Guerre mondiale et ses

et ses conséquences (3 min.) Le premier conflit mondial constitue une rupture majeure dans l'histoire de l'Europe. • 1914 (28 juin) 



C:BOBHSCExams 05Suppshistoire aug 05.wpd

rétablir Kerensky dans ses fonctions de premier ministre. (C) désigner Trotsky comme son successeur. (D) retirer la Russie de la Première Guerre mondiale.



Regroupement 2 : Lémergence dune nation (1914 à 1945)

décrire l'implication du Canada dans la Première Guerre mondiale et les précise ses intervenants principaux



1/13 La première guerre mondiale et ses conséquences

La première guerre mondiale et ses conséquences. Proposition de séquence autour de la violence de guerre. Par Nicolas Smaghue Professeur au collège 



LA PREMIERE GUERRE MONDIALE ET SES CONSEQUENCES

avoir des connaissances et des repères relevant du temps : début de la Première. Guerre mondiale (aout 1914) armistice franco-allemand (11 novembre 1918).



La Première Guerre mondiale et ses conséquences en Europe

Séquence 13-HG11. 341. La Première Guerre mondiale et ses conséquences Vous sont rappelées les principales phases de la 1re Guerre Mondiale ; c'est une ...



LA PREMIERE GUERRE MONDIALE ET SES CONSEQUENCES

3 nov. 2011 LA PREMIERE GUERRE MONDIALE ET SES CONSEQUENCES. ***. Sujet : La première guerre mondiale une guerre totale. ? CONSIGNES :.

La Première Guerre mondiale et ses conséquences en Europe

Séquence 13-HG11 341

La Première Guerre

mondiale et ses conséquences en Europe>© Cned Ð AcadŽmie en ligne Chapitre 1 > La Grande Guerre 14-18, les événements 345
A

L"échec de la guerre de mouvement : 1914

B La guerre de position ou l"enfer des tranchées : 1915-1916 C

1917, crises et renouveau

D

1918, le dénouement

E

Bilan de la guerre

Chapitre 2 > La Grande Guerre, une mobilisation générale 351
A

Des hommes et des armes : la mobilisation humaine

La vie quotidienne des Poilus La révolte : les mutineries de 1917 B

La mobilisation des esprits

L"encadrement de l"opinion La religion C

La mobilisation économique et sociale

Devoir type n° 3

359

Faire un plan détaillé de composition

Sujet : En quoi la première Guerre mondiale a-t-elle ébranlé la puissance européenne ? Sommaire séquence 13-HG11342© Cned Ð AcadŽmie en ligne

Sommaire séquence 13-HG11 343

Chapitre 3 > La révolution russe

26
A

1917, l"année des révolutions

Un État désorganisé par la guerre La révolution de février 17, essai d"une démocratie parlementaire Lénine et le coup d"État bolchevick B

La consolidation du communisme en Russie

Les premières mesures Le communisme de guerre Chapitre 4 > L'illusion d'un nouvel ordre international 37
A

1919-1920 : la paix des vainqueurs

Des négociations difficiles Des traités controversés Une nouvelle Europe B

L"espoir d"une sécurité collective

La Société des Nations Premières contestations de l"ordre issu de la Grande Guerre C

Les relations franco-allemandes de 1919 à 1931

1919-1924 : tensions franco-allemandes au sujet des réparations de guerre
L"esprit de Genève© Cned Ð AcadŽmie en ligne

© Cned Ð AcadŽmie en ligne

Séquence 13-HG11 345

Objectif de ce chapitre :

Vous sont rappelées les principales phases de la 1 re Guerre Mondiale ; c'est une approche traditionnelle

et événementielle. Vous ne devez retenir que les phases principales, le détail des événements n'a que

peu d'intérêt. Il importe cependant que vous puissiez replacer tel ou tel document dan s son contexte.

Ce chapitre pose le contexte du suivant.

Plan : traitement

de la problématiqueNotions Clés

L'échec de la guerre de mouvement : 1914Etats-majors - Plan Schlieffen - Plan XVII - offensives -" Course à la mer » - front

B La guerre de position ou l'enfer des tranchées : 1915 -

1916Tranchées - fortifications - " Poilus » - armement - " stra-tégie de l'usure » - approvisionnement - Duplice - Entente - blocus

C

1917, crises et renouveauChars - mutineries - désertions - grèves - permissions

- paci-fisme - consensus d'Union Sacrée - " gouvernements forts » - neutralité - Congrès - Gouvernement Provisoire russe -

Paix immédiate - Bolcheviks

D

1918, le dénouementArmistice - République - Révolution - Spartakistes - "

Coup de poignard dans le dos »

E Bilan de la guerrePertes humaines - infirmes - " gueules cassées » - dé

ficit des naissances - pertes financières - emprunts - dettes de guerre - inflation - dépréciation des monnaies - évolu

tion de la condition féminine - détresse morale - " der des de r » - génocide des Arméniens

La Grande Guerre 14-18,

les événements

A© Cned Ð AcadŽmie en ligne

Séquence 13-HG11 346

Tableau chronologique de la Grande Guerre

Fronts Francais et Italien Front RusseFront Balkanique 1 9 1

4AOÛT

Inv asion de la Belgique

L'Offensive allemande atteint Meaux

SEPTEMBRE

Joffre, par la bataille de la Marne repousse l'armée allemande jusqu'à l'Aisne

OCTOBRE

Bataille des Flandres. " Course à la mer ».

NOVEMBRE

Stabilisation du front

Fin de la guerre de mouvement et émergence de

la guerre de positionDébut AOÛT : petits succès russes Fin AOÛT : Hindenburg et Ludendorff écrasent à

Tannenberg, puis aux lacs Mazures les armées

russes. Mais le deuxième front subsisteLes Serbes reprennent Belgrade 1 9 1

5AVRIL

Entrée en guerre de l'Italie

Echec des offensives franco-anglaises en

Champagne et en ArtoisOffensive victorieuse des Allemands de la Baltique au Dniestr : recul considérable du front.

Echec des alliés aux Dardanelles

La Bulgarie se joint aux empires centraux.

OCTOBRE

Ecrasement de la Serbie.

Débarquement Franco-anglais à Salonique

1 9 1 6

La guerre d'usure

FÉVRIER - DÉCEMBRE

L'offensive allemande contre Verdun échoue

JUIN

Bataille navale du Jutland

JUILLET - OCTOBRE

Offensive française sur la SommeContre-offensive russe (Broussilov)MaisEchec car l' " intendance » ne suit pas.

AOÛT

La Roumanie est avec les Alliés.

DÉCEMBRE

Ecrasement de la Roumanie

1 9 1 7

Extension de la guerre sous-marine.

AVRIL

Entrée en guerre des Etats-Unis.

Echec de l'offensive française au chemin des

dames.

Mutineries dans l'armée française.

OCTOBRE

Défaite Italienne à CaporettoFÉVRIERRévolution russeAbdication du TsarEffondrement de l'armée Russe

OCTOBRE

Deuxième Révolution russe

DÉCEMBRE

ArmisticeJUINLa Grèce aux côtés des alliés 1 9 1 8

Reprise de la Guerre de Mouvement

MARS

Offensive allemande en Picardie.

Foch devient Général en chef des armées mais l'offensive allemande de Champagne atteint

Château-Thierry

JUILLET

Contre offensive victorieuse de Foch en

Champagne

SEPTEMBRE - OCTOBRE

Offensive victorieuse des alliés sur tous les

fronts

OCTOBRE

Les Italiens battent les Autrichiens à Vittorio

Vénéto.

6 NOVEMBRE

Abdication de Guillaume II, proclamation de la

République Allemande (9 novembre)

11 NOVEMBRE

ArmisticeMARSTraité de Brest-Litovsk (Allemagne - Russie)

SEPTEMBRE

Offensive des alliés en Bulgarie

Capitulation de la Bulgarie

3 NOVEMBRE

L'Autriche-Hongrie signe l'armistice© Cned Ð AcadŽmie en ligne

Séquence 13-HG11 347

C'est l'attentat de Sarajevo le 28 juin 1914 qui mit le feu aux po udres ; l'Autriche déclarant la guerre à

la Serbie un mois plus tard. Par une application stricte et rigide des alliances, le conflit s'internationalise :

la Russie décrète la mobilisation générale le 30 juillet. Le 1 er août, l'Allemagne fait de même et entre en

guerre le 3 août. Entre temps, la France, fidèle à ses engagements, a décrété la mobilisation générale.

L'Angleterre entre à son tour dans la guerre le 4 août. L'empressement des puissances européennes à

en découdre par les armes s'explique par l'illusion que la guer re sera courte. Chez les soldats, c'est la résignation devant le devoir à accompli qui domine.

Les forces en présence

En août 1914, la France et l'Allemagne disposent d'un même nombre de soldats dans l'armée active et

peuvent rapidement en mobiliser un million d'autres. Le Royaume-Uni ignore la conscription et ne peut

donc fournir qu'un corps expéditionnaire modeste. Du côté russe, les troupes sont lentes à mobiliser

et mal équipées. L'armée française n'est pas prête même si elle dispose du canon " 75 » , très léger ;

elle manque de mitrailleuses et d'artillerie lourde. Surtout, les fantassins français, souvent sans casque

portent un pantalon rouge, cible immanquable pour les troupes adverses alors que les soldats des empires centraux (Reich, empire austro-hongrois) sont déjà vêtus de gris. Aussi importante que l'armement et les hommes fut la résolution de s mobilisés et de leurs dirigeants :

l'Union Sacrée se met en place en France mais aussi en Allemagne. Partout l'on se croit agressé, partout

on adopte un réflexe de patriotisme défensif .

Les états-majors pensent unanimement que la guerre sera brève, en conséquence ils adoptent un plan

offensif. Les Allemands reprennent le plan Schlieffen, établi en 1905, selon lequel l'armée française devait

être écrasée en moins de 6 semaines avant la mobilisation effective des Russes. De leur côté, les Français

dans le plan XVII envisageaient une offensive rapide en Lorraine et en Alsace. Malheureusement, le chef

d'état-major français, le général Joffre négligeait les risques d'invasion allemande par la Belgique.

Dès l'été 1914, les grandes offensives échouent sur le front ouest. La bataille de Lorraine engagée

le 19 août échoue à enfoncer les forces allemandes. Les Français prennent Mulhouse mais doivent

refluer et l'affaire se termine lamentablement par une sanglante dé faite dans laquelle la responsabilité

du haut commandement français est évidente : le 22 août 27 000 fantassins se font faucher par les

mitrailleuses allemandes.

Le plan Schlieffen est mis en oeuvre et semble réussir. Les troupes allemandes de von Moltke envahissent

la Belgique neutre puis déferlent sur le Nord de la France et se dirigent vers Paris, transformé en camp

retranché par le général Gallieni ; elles arrivent jusqu'à Senlis. Le gouvernement français est évacué à

Bordeaux le 2 septembre. L'effet de surprise a joué à plein. Gallieni réagit, et le 6 septembre démarre

une héroïque contre-offensive, ce fut la bataille de la Marne (6 - 13 septembre 1914). La garnison de

Paris, transportée notamment par des taxis réquisitionnés, oblige les Allemands à reculer au-delà d'une

ligne Verdun - Reims - Lille.

En octobre-novembre 1914, les adversaires cherchent à se déborder, c'est la " course à la mer » ; le

front se stabilise de la mer du Nord à la Suisse sur plus de 700 km, on y creuse les premières tranchées.

Fin 1914, les risques d'enlisement sont nets mais les empires centraux ont l' avantage de se battre en territoire ennemi et d'occuper des régions industrielles important es . A l'Est, les Russes ont mené une spectaculaire offensive dès août 1914 mais subirent 2 graves revers, à

Tannenberg, les 26 et 27 août et aux lacs Mazures (décembre 1914). Les Russes, mal équipés, doivent

céder face aux des généraux allemands Hindenburg et Ludendorff.Rappel AL'échec de la guerre de mouvement : 1914© Cned Ð AcadŽmie en ligne

Séquence 13-HG11 348

Dans l'incapacité de vaincre sur le front occidental, les Allemands retournent leurs plans et attaquent la

Russie. De mai à septembre 1915, les Allemands et Austro-Hongrois reprennent la Galicie, s'emparent

de la Pologne russe, font reculer les Russes de plus de 500 km et mettent hors de combat 2 m illions de soldats. Toutefois, là encore, pas de victoires décisives sur ce front.

A l'Ouest, la guerre de position succède à la guerre de mouvement, prenant la forme d'une guerre de

tranchées. Sur 700 km de front (de la Mer du Nord à la Suisse), les 2 adversaires s'enterrent, bâtissant des

lignes de fortifications reliées entre elles par des boyaux, protégés de barbelés et de champs de mines.

La vie des " Poilus » devient particulièrement pénible. La tenue des soldats évolue, le casque métallique

s'impose partout (le casque à pointe allemand disparaît), les Français adoptent un uniforme moins

voyant de couleur bleu horizon, les Anglais choisissent le kaki, les Allemands le Feldgrau. Spectaculaire

est le perfectionnement des armes : mitrailleuses, gaz asphyxiants, lance-flammes, mortiers (dont le tir

courbe permet d'atteindre l'intérieur des tranchées adverses ), grenades. En 1916, sont mis en service les premiers tanks ; l'aviation, de reconnaissance, sert aux bombardements. Dans ces conditions, la puissance des tranchées comme système de fortifications voue à l'échec toute tentative de percée.

Pourtant, les états majors persistent...

Les Alliés lancent des offensives en 1915, en Artois puis en Champagne. Irréalistes, mal préparées, elles

se concluent toutes par des échecs sanglants : l'armée française perd 349 000 hommes en 1915 contre

300 000 morts en 1914.

Du côté adverse, Falkenhayn (nouveau commandant en chef allemand) invente la " straté gie de l'usure ».

il ne s'agit plus de conquérir du terrain, Falkenhayn a pris acte de l'impossibilité de rompre le front

français, mais d'user l'adversaire jusqu'au moment où celui-ci ne ser a plus en état de combattre, le saigner à blanc. C'est sur cette base que fut engagée le 21 février 1916 la bat aille de Verdun, une

bataille où les Français, obligés de se battre dans des conditions difficiles, subiraient de lourdes pertes.

Malgré un pilonnage extrême (8 millions d'obus en 2 mois !), les Français résistent. De février à juin

1916, les combats sont intenses. Pétain assure un approvisionnement régulier du front grâce au

défilé

incessant des camions sur la " voie sacrée ». Le bilan, une fois de plus, est accablant : 240 000 morts

allemands, 275 000 pour l'Entente !

Dans la même logique, les Anglais et Français lancent la bataille de la Somme, de juillet à novembre

1916 : plus d'un million de morts et blessés de tout côté pour des

gains territoriaux dérisoires...

1915 marque l'extension du conflit ; chaque camp s'assure de nouveaux alliés. Déjà en 1914, l'empire

ottoman, verrouillant les Détroits, était entré en guerre au côté de la Duplice ; la rejoint en 1915 la

Bulgarie. L'Entente se renforce de l'Italie en 1915 à laquelle les accords secrets de Londres (avril 1915)

promettent les " terres irrédentes », renfort de peu de poids car l'armée italienne n'était pas p

rête. L'Angleterre et la France engagent leurs empires coloniaux, recrutant dans les colonies soldats et

travailleurs. Les théâtres d'opérations ne cessent de s'élargir : les fronts occidental, oriental, balkani-

que, moyen-oriental où les Anglais utilisent le nationalisme arabe contre les Turcs grâce à leur agent

Lawrence d'Arabie. On se bat également sur mer ; les Allemands se lancent dans la guerre sous-marine

en Atlantique Nord pour briser le blocus franco-anglais visant à asphyxi er l'économie allemande. La

seule grande bataille navale de la guerre eut lieu en mai 1916, la bataille du Jutland opposant la flotte

britannique à la flotte allemande, indécise, elle eut comme résultat l'inaction de la Kriegsmarine.

Fin 1916, aucune issue n'apparaît.

Dans toutes les armées, la guerre d'usure et les attaques meurtrières sont jugées inut iles. En France,

le général Joffre lance une seconde bataille de la Somme, convaincu que les Allemands ne tiendraient

pas. Son successeur Nivelle reprend la même tactique de la grande offensi ve. Le 16 avril 1917, une grande offensive française est lancée sur le chemin des dames acco mpagnées de chars d'assaut. Rien

n'y fait, la défaite est terrible : 150 000 tués et blessés. Nivelle est relevé de son commandement. Les

Britanniques perdent 250 000 hommes (tués et blessés) à Passchendaele (Belgique) lors des offensives

BLa guerre de position ou l'enfer des tranchées

1915-1916

C1917, crises et renouveau© Cned Ð AcadŽmie en ligne

Séquence 13-HG11 349

des Flandres sans résultats concrets. La lassitude et l'exaspération gagnent les soldats qui ne compren

nent plus l'intérêt de telles offensives. Les mutineries débutent dès avril 1917 dans l'armée franç aise pour atteindre leur maximum en juinquotesdbs_dbs28.pdfusesText_34
[PDF] CONCLUSIONES La televisión, en definitiva, es el medio masivo

[PDF] Discussion/Conclusion : Une maladie de Lapyronie qui révèle un

[PDF] Le vote, une condition de la Démocratie, paragraphe argumenté La

[PDF] QU 'EST-CE QUE LA- NÉGRITUDE?

[PDF] Tourisme en France D 'où vient-on ? Où va-t-on - Université Paris 1

[PDF] TP-1 Etude expérimentale de la charge d 'un condensateur ? - Free

[PDF] L 'EPREUVE ORALE DES TPE

[PDF] tpe 2012-2013 consignes pour rediger et presenter la - Lyon

[PDF] CONCLUSIONES Y RECOMENDACIONES -

[PDF] Analisis critico de la lectura Por qué fracasan los paisespdf

[PDF] 14 Conclusionespdf

[PDF] IMPACTO DE LA APLICACIÓN DE LAS NIIF EN LAS EMPRESAS

[PDF] concordance strong française - LeVigilantcom

[PDF] Concordance

[PDF] Les « temps » en anglais - Lyon