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  • Comment reconnaître une forme sonate ?

    La sonate tend à devenir à trois mouvements, parfois deux, alternant ou non des tempi lents et vifs. Lent-vif-lent à l'église ou vif-lent-vif au profane. Au cours du XVIIIe si?le la sonate est souvent soliste ou en trio (Bach, les fils Bach, Mozart).
  • Qui a inventé la forme sonate ?

    Mais ce schéma, même s'il est globalement respecté, subira bien des évolutions au fil du temps. Selon le musicologue Carl de Nys, c'est Carl Philipp Emanuel Bach qui a dans les années 1730 « mis au point la "forme sonate", "inventée" par son frère aîné, Wilhelm Friedman » (Dictionnaire de la musique, 1986).
  • Comment Ecrire une sonate ?

    Il est écrit aussi en trois parties, de type A – B – A – A : thème initial ; B : section centrale ; A : reprise du A avec parfois quelques modifications. 3. MENUET OU SCHERZO : mouvement au caractère vif, plutôt gai et généralement court. Sa forme, comme son rythme, est ternaire.
  • - La symphonie est interprétée par un orchestre symphonique, tous les instruments ont un rôle égal. - Le concerto est interprété par un orchestre symphonique et un instrument soliste qui dialogue avec l'orchestre. - La sonate est interprétée par un seul instrument (sonate pour piano, sonate pour flûte…)

LA SONATE

Il existe deux acceptions du mot " sonate » :

Il y a le genre sonate qui est une référence à une composition instrumentale pour soliste ou petit ensemble, souvent de

plusieurs mouvements qui forment un tout.

La forme sonate est une construction (une forme) ternaire qui inclut une réexposition du thème dans le ton où il avait été

exposé. Cette forme sonate s'applique à un des mouvements d'un genre sonate mais aussi à des pièces ne s'appelant pas

sonate comme par exemple le quatuor à cordes, la symphonie, l'ouverture).

La sonate, même si c'est une forme, n'est pas un moule qu'on rempli. Elle ne préexiste pas aux oeuvres : c'est même exactement le

contraire qui s'est passé. Cette forme a été active puis a décliné, et la théorisation à son sujet (c'est à dire sa description) fut

tardive. Et il ne suffit pas "d'ouvrir un bouquin" pour comprendre mais il faut passer par l'écoute des oeuvres... Au début du 17

ème

siècle, règne la plus grande confusion terminologique, ainsi les formes de suites, de sonates, symphonies,

canzone s'attribuent à des pièces de même genre.

Vers 1630-1650 (= époque du monothématisme) deux genres émergent : la sonate de chambre (sonata da camera) et la sonate

d'église (sonata da chiesa) parallèlement à la sonate en trio. C'est le stade du monothématisme.

Vers 1700

, les deux genres de sonate (da chiesa et da camera) fusionnent au profit de la sonate d'église qui finalement s'appellera

sonate. Dans la deuxième moitié du 18

ème

siècle (à partir de 1750) le bithématisme s'impose et c'est le triomphe de la sonate pour instrument seul (piano essentiellement : cf. Mozart, Haydn).

La forme sonate est la forme privilégiée du classicisme : c'est la forme reine. Elle est fondée sur l'opposition de tonalités simples

puis elle se raffine au 19

ème

siècle.

A la fin du 19

ème

siècle, avec la chute du système tonal, la sonate est en désuétude.

L'atonalité ne fonctionne pas avec la forme sonate. Par contre le genre sonate peut être présent au 20ème

Berg).

Vers 1730 environ, dans la plupart des pays d'Europe, la sonate prend une forme particulière qui va dominer la musique

instrumentale pendant plus de 150 ans : c'est la forme sonate bithématique. Les sonates des années 1730-1760 sont

bithématiques pour à peu près la moitié d'entre elles (c'est la génération des fils de Bach). Le bithématisme deviendra très fréquent

chez Haydn et systématique chez Mozart.

La sonate comporte désormais 3 mouvements : allegro - andante - allegro (c'est la sonate dite classique). L'andante s'oppose aux

autres mouvements par son rythme et sa tonalité différente (dominante, sous-dominante ou relatif de la tonalité globale).

Allegro de sonate bithématique (= premier mouvement) :

C'est le seul mouvement dont la forme soit obligée est le premier qui est un " allegro de sonate bithématique » = forme sonate.

Il peut s'ouvrir par une très brève introduction lente sans rapport thématique avec la suite (ce qui est relativement rare à la période

classique et plus fréquent chez les romantiques).

L'exposition

On expose deux thèmes :

Thème A à la tonique (ton principal).

Thème B à la dominante (ou relatif majeur). On peut passer directement de A à B par une modulation brusque ou par l'intermédiaire d'un pont modulant (ou d'une transition). Il est possible que A se prolonge par une esquisse, une amorce de déve loppement avant B, ou

que A s'achève par une petite coda d'exposé de A et que B s'achève par une coda d'exposition

qui peut présenter des éléments de A, de B, ou de A et B (mais B s'achève dans sa propre

tonalité). Après la coda d'exposition, il y a la double barre de reprise :|| (qui sera supprimée avec les

compositeurs romantiques...)

Le développement

Après l'exposition, il y a le développement qui est un lieu tonal, lieu des modulations, instable , commençant dans le ton de B puis on répète dans diverses tonalités un motif thématique bien caractérisé (issu de A en principe) avec des variat ions mélodiques ou

rythmiques. Le développement est assez libre mais il faut de toute façon l'orienter vers le ton de

la tonique pour aboutir à la réexposition. Au cours du 19

ème

siècle, le développement a pris de plus en plus d'ampleur et l'usage de reprendre l'exposition s'est perdu.

La réexposition

Elle reprend l'exposition de façon plus ou moins textuelle. Le thème A apparaît à la tonique

suivi de la coda d'exposé (ou du pont mais non modulant) pour enchaîner sur le thème B dans le

ton initial (de la tonique).

L'ensemble se conclut par une coda générale qui peut reprendre des éléments du thème A : on

parlait à l'époque de la " glorification du thème A », c'est le triomphe de A. Finalement, les deux thèmes sont antagonistes (p ar la tonalité) au début (dans l'exposition).

Cette antagonisme est résolue dans la réexposition (car A et B sont dans la même tonalité).

Plus on avance dans le siècle, plus le contraste est grand entre les thèmes A et B. Mais A reste primordial c'est pourquoi on le

qualifie de masculin (il est rythmique ou mélodique) alors que B est féminin (souvent de caractère mélodique, nuances plus

douces, ...). La forme sonate est une forme qui se caractérise par sa réexposition tonale.

La musique, ça s'écoute d'abord, ça se lit et ça s'étudie ensuite DANS LES PARTITIONS.

La forme sonate chez Beethoven

Dans ses dernières oeuvres, Beethoven fait deux choses : dans certaines oeuvres, il pousse la forme sonate

aux confins de ce qu'elle est capable de produire, et dans d'autres il s'en écarte de plus en plus. Il

s'est aussi tourné vers les deux genres qui l'ont beaucoup occupé à la fin de sa vie : les miniatures

(bagatelles pour piano) et les variations.

Dans l'exposition Beethoven a tendance, à l'habitude de faire éclater le thème en plusieurs éléments thématiques (A

1 , A 2 A 3 , B 1 , B 2 ...) : on parlera de groupe thématique ou groupe de thème.

Par exemple :

A 1 A 2 A 3 B 1 B 2

I ----------------------- V

Cette formule peut être diversifiée :

A 1 A 2 A 3 B 1

I ------------------------ V

Ou encore : A

1 A 2 A 3 B I -------------- V --------- autre tonalité ------- V (on a 3 plages tonales)

Dans ce dernier cas A

3 est une incursion tonale.

Malgré ces aménagements A

1 et B 1 restent en principe dans le ton de la tonique et de la dominante.

Les thèmes A et B ont un caractère propre : A est qualifié de masculin et B de thème féminin. Beethoven aime parfois

inverser la nature de ces thèmes.

Beethoven va renoncer progressivement à la double barre de reprise de l'exposition (et ceci à partir de la sonate pour

piano n°23 dite " Appassionata »). Dans l'exposition il y a non seulement des thèmes secondaires mais il y a aussi très

souvent des petits éléments de développement. D'ailleurs les deux choses se confondent : on pourrait presque dire dans certains cas que A 2 est un petit développement de A 1 (ou A 3 est un petit développement de A 1

On a donc une exposition qui est aérée : elle ne se cantonne plus à la présentation stricte des thèmes.

Le développement dans les sonates beethoveniennes (le premier mouvement...) est, contrairement à l'usage romantique,

court, bref.

Par contre il s'éloigne beaucoup plus du centre tonal (plus que chez Mozart), beaucoup plus modulant (tonalités plus

éloignées).

La réexposition n'est jamais textuelle mais ramène les tonalités à la tonique.

En dehors de cela, la réexposition peut présenter de nouveaux éléments de développement (que l'on a pas entendu

auparavant : l'exposition et le développement). Il n'est pas impossible qu'on introduise un nouveau thème dans la

réexposition (c'est un passage nouveau, on peut parler d'interpolation).quotesdbs_dbs41.pdfusesText_41
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