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Quelle est le rôle des médias ?
Ils recueillent dans un premier temps des informations auprès de sources d'information, en leur assurant la protection des sources d'information, ce qui leur permet d'acquérir une audience, et valorisent, dans un second temps, leur audience par la vente d'espaces publicitaires.Quelles sont les avantages des médias ?
L'écoute excessive de la télévision contribue à un accroissement de l'incidence d'obésité juvénile (8,9). L'écoute excessive de la télévision peut avoir un effet nuisible sur l'apprentissage et le rendement scolaire (10). L'écoute de certaines émissions peut favoriser des comportements sexuels irresponsables (11).Quels sont les impacts des médias ?
Ce faisant, les médias contribuent à marquer les processus de socialisation par les manières dont ils décrivent et interprètent les évènements de la vie publique (Lippman, 1992), rendent visibles ou invisibles certaines catégories de personnes ou certains faits, ou encore, produisent et diffusent des modèles et des
Médias : Promouvoir la diversité culturelle
Monique Dagnaud,
Marie Bonnet,
Sylvie Depondt
Commissariat général du Plan (CGP)2000
Avant - Propos par Jean- Michel Charpin, Commissaire au Plan...............3 PRÉFACE par Monique Dagnaud, présidente du groupe..............5 Chapitre Premier - Les usages des médias : une entrée très progressive dans l"univers Les pratiques audiovisuelles domestiques : permanence et diversification..... 13 L"Internet : des pratiques encore difficiles à cerner .............. 20 L"univers plurimédiatique des jeunes...................... 23 Chapitre II - Une offre profondément bouleversée...............27 L"attrait du " nomadisme » et la flexibilité des supports................ 27 La thématisation....................................... 28 L"interactivité au service d"une plus grande personnalisation.............. 31 Les réseaux et le multimédia, appendices des médias fédérateurs............. 32 Chapitre III - La permanence des missions de l"État....................34 Une politique jusqu"ici marquée par les objectifs politiques, culturels et sociaux..... 35 L"État et l"audiovisuel : au service de la liberté de la communication.......... 35L"État et les technologies de l"information et de la communication : un projet de société . 36
Des objectifs rendus plus impérieux dans l"univers numérique............... 38 Chapitre IV - Une action prioritaire en faveur des jeunes....................52 Médias et système éducatif : une relation ambiguë.................... 52 La mobilisation de l"offre audiovisuelle................................ 56 Le développement du multimédia..................................... 59 Chapitre V Une nouvelle politique en faveur des contenus...................61Mettre au coeur de la politique audiovisuelle les réseaux à vocation civique et culturelle .. 62
Transformer la politique d"aide aux contenus......................... 71 Annexe 1 Chaînes généralistes et chaînes thématiques : quelle évolution ?....94 Annexe 2 Segmentation et thématisation : les magazines montrent la voie....97 Annexe 3 Télévision numérique, convergence : quelques remarques sur les mutations en cours................................................ 103 Annexe 4 Les pratiques médiatiques des jeunes Européens................. 109 Annexe 5 Les perspectives de développement du média radiophonique à l"aune de l"introduction des technologies de l"information et de la communication (TIC)......... 111 Annexe 6 Composition du groupe de travail........................ 115 Annexe 7 Liste des auditions...................................... 117 - 3 - Avant - Propos par Jean- Michel Charpin, Commissaire au PlanJusqu"à une période encore récente, les médias audiovisuels ont bénéficié d"un environnement
technologique et économique assez stable. De ce fait, la régulation publique revêtait des formes
simples : allouer la ressource rare, c"est-à-dire les fréquences hertziennes, aux opérateurs de radio
et de télévision ; subordonner les autorisations d"émettre à des obligations qui devaient contribuer
à des missions d"intérêt général, respect du pluralisme et honnêteté de l"information, valorisation
de la création culturelle, protection de l"enfance et respect des personnes, etc. Le cadreréglementaire national, bien que régulièrement modifié, renforçait donc la stabilité d"un paysage
audiovisuel où la concurrence - même vive - s"exerçait selon des lignes de partage identifiées.
L"univers numérique dans lequel évoluent désormais les médias audiovisuels change radicalement
cette donne. On passe à la fois d"une économie de la rareté à une économie de l"abondance, et
d"une offre de masse à une offre sur mesure. Câble, satellite, numérique hertzien et hauts débits
vont autoriser les consommateurs à diversifier leurs pratiques médiatiques. Diffuseurs, producteurs,
créateurs, distributeurs mais aussi publicitaires devront donc modifier leurs stratégies et construire
des offres adaptées aux goûts et aux modes de vie de chacun. En même temps, de vastes créneaux
vont s"ouvrir à de nouveaux entrants, qu"il s"agisse d"opérateurs étrangers ou de chaînes de
télévision et de stations de radio thématiques.Comment les médias généralistes surmonteront-ils ces bouleversements qui remettent en cause un
équilibre économique sur lequel ils ont établi leur puissance ? Poser cette question, c"est engager le
débat sur de nouvelles formes d"intervention publique adaptées à la nouvelle économie de l"audiovisuel. Les enjeux sont d"importance. Enjeu culturel d"abord puisque le secteur de lacréation et de la production audiovisuelles reste très dépendant des médias généralistes, publics et
privés : non seulement ceux-ci sont dotés de moyens financiers importants, mais, en outre, ils sont
soumis à des obligations d"investissement qui assurent le maintien d"une industrie de programmesnationale. Enjeu de société ensuite : les pouvoirs publics se montrent sensibles au rôle fédérateur
joué par les médias généralistes et, en particulier, aux missions de service public qu"ils assument.
Enjeu économique enfin puisque le rayonnement de la production française doit pouvoir être confié
à des groupes audiovisuels de dimension internationale, capables de concurrencer les opérateurs
américains qui ont su, avant tous les autres, conquérir des parts de marché bien au-delà de leur
territoire.Symétriquement au groupe présidé par Éric Baptiste, qui avait étudié les stratégies industrielles des
médias, le groupe de travail présidé par Monique Dagnaud a procédé à une analyse approfondie des
usages. Il a aussi passé en revue, en auditionnant de nombreux experts et acteurs du secteur, les principaux enjeux de la nouvelle économie de l"audiovisuel afin de mieux cerner les réformes souhaitables de l"intervention publique. Je remercie vivement la présidente Monique Dagnaud, les rapporteures Marie Bonnet, Sylvie Depondt et Jocelyn Pierre, ainsi que tous les membres dugroupe, qui ont su, grâce aussi aux avis éclairés de Patrice Flichy et d"André Gauron, identifier les
lignes de force du changement dans un secteur par nature complexe. Il ressort des analyses du rapport que les pratiques de consommation audiovisuelle évoluent d"unefaçon si progressive que les opérateurs de médias sauront s"y adapter. Ils le prouvent d"ailleurs déjà
en cherchant à tirer le meilleur parti des possibilités nouvelles offertes par les technologies de
l"information : interactivité, diversification des terminaux et des modes d"accès, élargissement de
l"horizon de diffusion grâce à l"Internet. Quant aux créateurs de contenus, un champ d"innovation
immense s"ouvre devant eux.L"Etat peut faciliter le changement en simplifiant la réglementation, en concentrant ses aides sur la
création et en reconsidérant les dispositifs anti-concentration. Mais son action ne peut plus se
limiter à un cadre exclusivement français : l"Etat doit aussi, et peut-être surtout, encourager le
secteur des médias à s"inscrire dans une dynamique internationale, notamment par le biais departenariats européens, seuls susceptibles d"être à l"échelle de la nouvelle économie des médias.
- 5 - PRÉFACE par Monique Dagnaud, présidente du groupeCe rapport rassemble beaucoup d"analyses et de réflexions élaborées par le groupe de travail. Il
propose en outre des solutions précises (parfois sur des éléments ponctuels, parfois sur des enjeux
centraux de l"action publique) pour faire évoluer la régulation des médias audiovisuels à l"ère
numérique. Les nombreuses données et propositions qui nourrissent ce texte ne doivent pas faire
perdre de vue qu"il est organisé sur quelques idées-forces.Deux éléments majeurs incitent à réviser fortement la politique dite de " l"exception culturelle » :
La valorisation de la diversité culturelle correspond à la sensibilité des générations futures
Dans le contexte de l"économie mondialisée, de la construction européenne, du lacis des références
identitaires et des échanges entre les peuples, défendre de manière radicale et protectionniste la
culture française signe une maladresse. Le cybermonde, univers de référence des cadres supérieurs
et des étudiants, mais aussi le modèle de la banlieue, tel que les comportements et les musiques le
reflètent, accentuent le tropisme vers le cosmopolitisme et surtout le métissage des cultures. Une
vision trop hexagonale dans laquelle le partage entre la défense de lobbies professionnels etl"intention légitime de protéger une culture et un patrimoine n"est pas toujours clair, peut paraître
vieillotte, dépassée, voire inacceptable, pour de nouvelles générations. En revanche, un discours sur
la valorisation des identités et la diversité des appartenances culturelles correspond davantage à la
sensibilité de l"époque, à celle des couches diplômées et à celle des jeunes. Le cadre européen,
marqué précisément par cette hétérogénéité culturelle, paraît le lieu propice pour le revendiquer.
Autrement dit, remplacer le thème de l"exception culturelle par la formule de la diversité culturelle
ne peut être tenu pour un artifice de langage, une habileté pour mieux habiller une politique, mais
signifie une approche différente de la question des contenus. Elle marque simultanémentl"attachement à une culture (ce qui justifie une politique publique en faveur des programmes) et la
reconnaissance de l"altérité : l"ouverture vers les autres cultures (ce qui signifie l"accueil envers les
programmes étrangers) et le souhait de faire circuler à l"étranger nos propres productions.L"avènement d"une société plurimédiatique conduit à envisager la vidéosphère comme un
toutLe fait contemporain, c"est l"allongement du temps consacré à des pratiques d"écran, dans toutes
leurs diversités : sur un mode solitaire ou familial, selon une relative " passivité » ou une frénésie
participative, pour s"évader, pour s"informer ou travailler. La raison majeure pour ne pas opposer
les anciens et les nouveaux médias vient de l"usager lui-même, qui entre progressivement dans la
logique des outils d"interactivité sans aucunement abandonner celle des médias de masse.Ce rapport aborde la vidéosphère comme un tout, même si bien évidemment des différences
notables existent entre médias traditionnels, fondés sur une offre plus ou moins ambitieuse deprogrammes, et univers des réseaux qui combine des offres très segmentées de contenus et services
et de la communication privée. Les premiers délivrent plutôt du spectacle alors que les seconds
tiennent, selon les moments, du magazine, de la boutique et du café 1 . Les téléviseurs et lesappareils de radio continueront à être d"abord utilisés pour du divertissement. L"ordinateur sera
(1) Pour reprendre la formule d"Isabelle Falque-Pierrotin lors du colloque sur l"Internet organisé par le
CSA, le 14 octobre 1999.
surtout sollicité pour obtenir des services et de l"information ponctuelle. Mais le numérique qui
autorise le transport de mêmes contenus sur des supports différents rapproche ces deux mondes : la
radio et la télévision procurent des offres de plus en plus segmentées et peuvent être articulées à
des services interactifs, cependant que l"Internet diffuse de la musique, du broadcast et des films.Dès lors, les raisons qui fondent l"action de l"État dans les médias classiques trouvent aussi un
point d"application dans les médias en réseaux. Ces derniers participent comme les premiers à
l"élaboration de l"espace public ; et les questions de l"ordre public, de l"éthique des contenus et de
la diversité culturelle y sont tout autant brûlantes. Enfin les concentrations capitalistiques qui
s"opèrent sur Internet rendront rapidement d"actualité un problème classique de la télévision à
péage : les rapports entre les fournisseurs d"accès et les éditeurs de programmes.La mutation culturelle, horizon cosmopolite et affirmation des identités, sape les fondements d"une
défense frileuse de la culture française. Elle incite à porter le combat au niveau européen sous le
flambeau de la diversité des appartenances culturelles. La transformation technico-économique de
la convergence et des réseaux intensifie les capacités de diffusion et débouche sur la création de
nouveaux types de programmes et de contenus. Dans ce vaste marché en émergence, les dispositifs
réglementaires, établis il y a quinze ans pour alimenter les chaînes nationales en programmes
français, méritent d"être repensés. Trois orientations stratégiques devraient alors guider l"action de
l"État : Mettre au coeur du paysage audiovisuel les médias essentiels à la constitution d"une espacequotesdbs_dbs2.pdfusesText_2[PDF] evolution des médias
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