[PDF] JOURNAL OFFICIEL 22 nov. 1982 l 'éducation





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22 nov. 1982 l 'éducation nationale pour 1982



ALGÉRIE Date des élections: 5 mars 1982 But de la consultation

ALGÉRIE. Date des élections: 5 mars 1982. But de la consultation Le Parlement monocaméral de l'Algérie l'Assemblée populaire nationale



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Le lundi 10 mai 1982 à 17 heures la Cour tiendra une séance M. Mohammed Bedjaoui (Algérie)



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28 déc. 1982 Journal officiel de la République algérienne démo- cratique et populaire. Fait à Alger le 4 septembre 1982. P. le ministre des finances



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17 août 1982 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE ... Décret n° 82-265 du 14 août 1982 portant virement.



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Loi n° 82-01 du 6 février 1982 portant code de l'information p. 159. Mardi 9 février 1982. JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET 



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23 nov. 1982 de la République algérienne démocratique et populaire. Fait à Alger le 20 novembre 1982. ·. Chadli BENDJEDID. MINISTERE ...



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24 août 1982 JOURNAL OFFICIEL DE LA REPUBLIQUE ALGERIENNE DEMOCRATIQUE ET POPULAIRE ... Décret n° 82-291 du 21 août 1982 portant création.

* Annee 1982

N 46 A N

a l~:,,3•1H..1n; a; e•rnu 191.'

JOURNAL OFFICIEL

DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

DÉBATS PARLEMENTAIRES

ASSEMBLÉE NATIONALE

CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958

7

Législature

QUESTIONS ECRITES

REMISES A LA PM SID[NCE

PI

1. A` [.MHLE E

NA-1 IONALE

ET

REPONSES DES MINISTRES

SI)\tSIAIRI

1.Questions écritesIp 4'1)7)

2. Réponses desministres aux questions écrites (p 474N)

Premier nunht re Ip 474x).

A17iure, eurupcenne, (h4741)1

Alliure, wcnde, et ,uhd;ulle nauun,,le Ip 474`)1

Agriculture (p 47(es1

Anrten, eunth:tt liii, Ip 47711)

Budget Ip 47711

( (tnnnerce et.irll,;ut:u Ip 471+4) ( om mer,e e,lrneur Ip 47x(1 ( nnnnunleatiuii (p -174'1) ( un,ununalumIp47')41 ('nu per:.lIl et dr, rinpprntcnl (p 47)?1 ( L'hure (p 47)'(

I>ilen,e Ip 47'1i)

1 )ep:irlcmenh et territoire, dlntlte

et Ip 47'141.

Droit. de Li (crime Ip 4NI101.

I cnnunue et finance, (p 4x(11(.

I duc.unm nalnnnali ( p 4xnx)

I mplul Ip 4uI tl

1 IIetL'Ie 1p 41,141

I n,irunnetnenl Ip 4x171

I uncuun publique et telunne,.ulnunhunlne, 11,451'I

Illlerlellr et deceiur.11halnnl Ip 4X21)

Jeune"e et ,putt, Ip 4x2t1

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Rrrhrr he et IndiumK.Ip 4x'4)

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I Lln,purl,Ip41,12)

Il.n,ulIp4x i4)

I rheni,nle eI luçrin-iiIplx

3. Liste de rappel des questions écrites auxquellesil n'apas été

répondu dans les délais réglementairesIp 41,401

4.Rectificatifs Ip 4x411

22 Novembre 1982

ASSEMBLEE NATIONALE -- QUESTIONS ET REPONSES

4707

QUESTIONS ECRITES

Enseignement supérieur et posthacculauréat (établissements: Doubs).

23140. - 22 novembre 1982. - M.Christian Bergelinrappelle à

M.le ministre de l'éducation nationaleque le Centre de linguistique appliquée (C. L. A.) de Besançon jouit d'une réputation nationale et internationale bien établie qui contribue au rayonnement de la Franch e- Comté. En formant chaque année 2 600 étudiants et stagiaires, frança is et étrangers de toutes professions et ayant des préoccupations trè s variées, le personnel du C. L. A. a acquis la maîtrise de l'apprentissage rapide des langues propres à différents types d'activité. Le Centre constitue donc indiscutablement un élément important du développement écono mique par son aptitude à favoriser l'adaptation aux mutations des échanges commerciaux. En outre, les 300 professeurs étrangers formés chaque année à l'enseignement du français témoignent de l'impact culturel du C. L. A. et de sa large contribution à la diffusion de la langue française dan s le monde. Toutefois, cette double mission de service public est compromise par la grave menace qui pèse sur le personnel. L'intégration de ce personnel sur des postes d'état n'ayant pas été effectuée, c'est l'université qui doit assurer (sans parler des frais de fonctionnement) sa rémunération au moy en des ressources provenant des droits d'inscription des stagiaires. Cette pratique apparaît pour le moins paradoxale pour un centre qui est partie inté grante de la faculté des lettres et sciences humaines. N'ayant reçu du ministère de l'éducation nationale, pour 1982, ni les postes budgétaires indispen sables, ni une subvention d'équilibre suffisante, l'université n'est plus en mesure d'assurer le paiement des salaires. Elle vient de prélever, sur des fonds normalement affectés à d'autres missions, 250 000 francs pour payer la totalité des rémunérations d'octobre, mais il lui sera impossible de verser les traitements de novembre et de décembre, alors que le Centre a en char ge la formation de plusieurs centaines d'étudiants étrangers qui se sont inscrits pour l'année. Il lui demande en conséquence que dans un premier temps des mesures soient prises de toute urgence afin que le paiement des salaires puisse être assuré et que, d'autre part, un programme d'intégration progressive des personnels soit clairement établi dés 1983. Il est à souligner que d'autres dépàrtements ministériels pourraient coopérer au fina ncement de l'activité menée par le C. L. A. en raison même des différents buts de formation dispensée (ministères des relatians extérieures, de la coopération, du commerce extérieur, de la recherche et de l'industrie, de la cultu re.. ).

Handicapés (allocations et ressources).

23141. --22 novembre 1982. - M.Vincent Ansquerrappelle à

M. leministredesaffairessocialesetde la solidarité nationale que la loi de finances pou. 1982 (n' 81-1160 du 30 décembre 1981) prévoyait en son article 113 certaines modifications quant aux conditions d'attribution de l'allocation d'éducation spéciale aux mineurs han dicapés placés en internat, notamment en ce qui concerne les versements penda nt les périodes de présence au foyer. D'après certaines indications données à l'époque, le paiement du complément A. E.S. (première et deuxième catégorie) serait effectué pour des périodes non consécutiv es de trente jours et incluerait désormais les fins de semaine où l'enfant retourne a u foyer. Les allocations au titre de ces périodes seraient versées annuellement et en une seule fois. II semblequ'aucuntexte d'application ne soit venu préciser les dispositions de l'article précité. Il lui demande quand paraîtra le texte en cause. Assurance vieillesse: généralités (calculdes persions).

23142. - 22 novembre 1982. - M.Vincent Ansquerrappelle à

M. leministredéléguéchargédelacoopérationet du développement qu'auxtermes de la loi n' 65-555 du 10 juillet 1965, des personnes ayant exercé à l'étranger une activité professionn elle salariée ou nonsalariée ont la faculté d'acquérir des droits aux prestations d 'assurance- vieillessemoyennantle versement de cotisations afférentes à ces périodes. Par ailleurs, certainespériodes durant lesquelles les bénéficiaires de la loi précitée se sont trouvés empêchés d'exercer une activité salariée par suite de circonstancesd'origine militaire ou motivées par des troubles à l'ordre publics sont assimilées à des périodes d'activité salarié e et validées gratuitement,sans qu'il soit nécessaire d'en effectuer le rachat. (cf. décret n'45-0179du 29 décembre 1945, modifié par le décret n° 66-303 du 13 m ai

1966 etdécretn' 80-960 du27novembre 1980).IIappelleà ce sujet son

attention sur le cas des jeunes Français qui, à partir de 1963. ont fait un séjour de plusieurs années dans un pays étranger au titre de l'aide au tiers- monde et sous l'égide de l'Association française des volontaires du progrès. L'action menée par ces jeunes relève expressément du bénévo lat puisque l'association en cause est régie par la loi de 1901. Il lui demande si. par assimilation avec les dispositions réglementaires rappelées ci-des sus, dispositions appliquées entre autres aux appelés du contingent pen dant le temps du service légal, le bénéfice de la validation gratuite d e la période effectuée dans un pays du tiers-monde par les jeunes gens concerné s ne pourrait être envisagé. Une telle mesure, qui répondrait à un souci de logique et (.'équité, permettrait d'autre part de reconnaître l'ouvre méritoire accomplie bénévolement par des Français dans le cadre de l'assistance aux pays en voie de développement.

Enseignement (fonctionnement).

23143. --22 novembre 1982. - M.Pierre-Bernard Coustéappelle

l'attention de M.le ministre de l'éducation nationalesur la situation préoccupante de l'éducation artistique qui ne cesse de s'aggraver. Pourtant, l'importance d'un enseignement de l'art, rénové et suivi, de la ma ternelle à l'université, n'est pas discutable. Or, des dizaines de milliers d'enfants sont privés d'éducation artistique, pourtant obligatoire; trop souvent, on supprime dans les états horaires affectés aux lycées et collè ges des heures d'éducation musicale et plastique; des professeurs des disciplines artistiques sont menacés d'enseigner des matières pour lesquelles ils n'ont reçu aucune formation, tandis que l'inverse existe aussi sous prétexte de nécessité de services. Cette situation ne peut durer. II lui demande donc s'il ne considère pas nécessaire dans un premier temps: 1° de faire respecter la loi et honorer ies heures d'éducation artistique prévues aux programmes; 2° de titulariser les maîtres auxiliaires qui ont fait leurs preuves;. 3° de pourvoir à la formation des autres; 4° d'approfondir la formation pour les professions artistiques; et ce qu'il compte entreprendre pour réorganiser et rénover l'éducation artistique de la maternelle à l'université. Etahli.ssements d'hospitalisation, de soins et de cure (centres hospitaliers).

23144. - 22 novembre 1982. - M.Pierre-Bernard Cousté

demande à M. le ministrede la santé:1° s'il lui est possible de lui faire connaitre les prévisions de coût de la réforme portant suppress ion des lits privés à l'hôpital public, résultant de la loi n° 82-916 du 28 octobre 198 2;

2'sur quel budget seront imputées les indemnités compensatoires vers

ées

aux médecins concernés pour leur régime de retraite C. A. R. M. F. ;

3'l'incidence financière de la suppression des prix de journée du sect

eur privé sur les recettes d'exploitation des hôpitaux publics, et les solutions adoptées pour compenser leur diminution de ressources. Assurance maladie maternité (prestations en nature).

23145. --22 novembre 1982. M.Pierre-Bernard Cousté

demande à M.le ministre des affaires sociales et de la solidarité nationale:1° quelles mesures il envisage de prendre pour clarifier la lettre- clé K de la nomenclature des actes professionnels qui désigne indifféremment des actes chirurgicaux et non chirurgicaux; 2° s'il ne lui semble pas indiqué, au vu des nombreux éléments statistiques dé jà accumulés par la C. N. A.M. depuis plusieurs années, de dissocier cette lettre-clé en K chirurgical, et K d'explorations fonctionnelles, acte s qui s'opposent point par point; 3'si la valeur respective de ces deux nouvelles lettres ne doit pas être réappréciée, en fonction des diffé rents éléments qui entrent dans la réalisation des actes ainsi redéfinis. Parlement (relations entre le parlement et le gouvernement).

23146. - 22 novembre 1982. - M.Pierre-Bernard Coustésignale

à M. le ministre délégué chargé des relations avec le Parlement qu'il est appelé, de plus en plus fréquemment, semble-t-il, à p allier dans les 4708

ASSEMBLEE NATIONALE QUESTIONS ET REPONSES

22 Novembre 1982

débats législatifs l'absence ou le départ du (ou des) ministre chargé de soutenir la discussion d'un texte. II a, par exemple, assumé cette fonction de suppléance lors du récent examen du projet de loi portant diverses mesures re{anses à la sécurité sociale. Lorsque le cas se produit. les députés qui participent à la discussion ne manquent pas de rendre courtoisement hommage à la compétence du vicaire, mais aussi de remarquer que ce tte compétence ne saurait être égale à celle du ministre spéc ialisé (le contraire serait d'ailleurs inquiétant). II leur est généralement répondu que le ministre n'est pas unofrère ignorantin » et qu'il connaît bien le sujet. ce dont nul ne doute, mais ce qui n'est peut-être pas tout à fait suffisant. Afin, tout à la fois, de mesurer l'encyclopédisme des connaissances d'un membre du gouvernement, mais aussi une certaine dégradation du débat parleme ntaire, il lui demande de bien vouloir lui fournir la liste des débats lég islatifs de l'As,emhlée nationale dans lesquels, depuis !e début de la légi slature, il a exercé la suppléance décrite plus haut.

Politique extérieure (U.R.S.S. ).

23147. -22 novembre 1982. - M.Pierre-Bernard Coustéconstate

avec intérét et relève comme significatif que six semaines n'ont pas suffi à M. leministre des relations extérieurespour répondre à sa question n°20073du 20 septembre 1982, par laquelle il lui demandait si, à son avis, l'U. R. S. S. était un Etat totalitaire. II lui adresse donc à nouveau cette question. Relations extérieures: ministère (personnel).

23148. --22 novembre 1982. -- M.Pierre-Bernard Coustéappelle

l'attention de M.le ministre des relations extérieuressur le problème financier auquel se trouve confronté le personnel des amb assades du fait de la baisse permanente du franc par rapport aux monnaies étrangères (dollar, mark, franc suisse, etc.). C'est ainsi qu'aux Etats-Unis, le personnel français estime avoir perdu, par rapport au dollar, 36 p . 100 de son pouvoir d'achat. Il lui demande si cette perte importante est compensée par d'autres rvantages (primes..sides mesures particulières sont prévues pour régler cette situation qui, en raison de la conjoncture écono mique française, risque fort de se prolonger, voire de s'aggraver.

Police f /onrnurtm nuvu 1.

23151.22 novembre 1982. M.Charles Habyattire l'attention de

M. le ministre d'Etat, ministre de l'intérieur est de la décentralisation,sur l'urgente nécessité d'accroître les effectifs des fonctionnaires de police• et plus particulièrement des policiers en c ivil, afin d'assurer la sécurité des citoyens. II lui expose que les policiers en civil effectuent des missions qui, en raison de la qualification judiciaire nécessaire pour les accomplir et de leur spécificité, ne peuven t Mtre confiées même partiellement, à la police en tenue. II lui rappelle que pour l'année

1982• les effectifs de policiers en civil n'ont augmenté que de 1,5 p. 100, soit

seulement 292 créations d'emploi, alors que la seule réduction des horaires de travail en aurait exigé plus de 1500, et qu'il apparaît alors vital de recruter en nombre suffisant des inspecteurs de police. De plus, il apparait nécessaire de créer 150 emplois d'enquêteurs principaux dans le but de permettre de donner un déroulement de carrière plus juste à ce corps de la p lice nationale, d'autant que cette mesure n'entraine aucune incidence majeure au niveau du budget. Enfin, il lui rappelle l'engagement qu'il avait pris ès qualité de transformer 129 postes d'inspecteurs en postes d'inspecteurs divisionnaires, et ce dans le but de respecter les pourcenta ges de répartition dans les grades au sein du corps des inspecteurs de po lice. Il lui demande alors les suites qu'il compte donner à ces trois revendications.

Sécurité.curiale" c'onsutiun.sl

23152. -22 novembre 1982. --- M.YvesLancien expose à M.le

ministre des affaires sociales et de la solidarité nationaleque seuls les concierges qui sont dans l'impossibilité de se livrer à aucune besogne lucrative voient leurs cotisations de sécurité sociale cal culées sur la hase de leur rémunération réelle, augmentée de la valeur des avantages en nature, ceux qui peuvent exercer une activité annexe cotisant sur des hases forfaitaires extrêmement faibles, et lui demande: 1° quelles sont les raisons qui ont conduit à l'institution de cette hase forfaitaire alors que la rémunération réelle était retenue à l'origine; 2° à quel montant on peut estimer le manque de recettes résultant pour la sécurité social e de l'existence de ce forfait; 3° s'il n'estime pas le moment venu de renoncer à cette facilité afin que les employeurs de concierges et gardiens d'immeubles soient soumis aux mêmes obligations que l'ensemble des employeurs.

Voirie (auto-putes: Moselle).

Partis et groupements politiques "majorité).

23149. --22 novembre 1982. - M.Pierre-Bernard Coustécroit

devoir transmettre à M.le Premier ministrela question suivante, qui lui a été posée à de très nombreuses reprises depuis la mort de Pierre Mendés- France: comment se fait-il, alors que le Président de la République et l e Premier ministre ont rendu un solennel hommage aux qualités d'homme d'Etat de l'ancien président du Conseil, qu'à aucun moment, du 21 mai 1981 jusqu'à sa mort, le nouveau pouvoir n'ait fait appel à sa collaboration, ou. fontans moins, à ses conseils? Assurance maladie maternité (prestations en nature).

23150. - 22 novembre 1982. -- M.Charles Habyattire l'attention de

M. le ministre des affaires sociales et da la solidarité nationale sur le projet du gouvernement de procéder au remboursement de l'interruption volontaire de grossesse par le biais de la sécurité s ociale. Il lui rappelle qu'un décret du 29 janvier 1981, publié auJournal officieldu

1`rfévrier 1981, rend applicable en France le pacte international relati

f aux droits civils et politiques, qui garantit sans aucune restriction le dro it à la vie. Dans ces conditions, la loi française autorisant l'I.V.G. ainsi que tout texte ultérieur tel que celui qui aboutirait à l'obligation pour les cotisants de la sécurité sociale de financer automatiquement la destruction d'enfants à naître, sont d'ores et déjà contraires à ces dispositions nouvelles et essentielles de notre droit, puisqu'elles sont en contradiction avec les articles 6-1° et 5-2° d'un pacte ratifié par la France, qui s'impose à ses gouvernants, et que tout citoyen peut évoquer dans les recours qu'il aurait à entreprendre pour s'opposer aux viols de conscience dont il serait ainsi menacé. Il lui demande alors s'il ne lui paraîtrait pas plus opportun de développer une vraie politique familiale, dans un esprit de solidarit nationale, qui assurerait la protection de tous ces enfants nés et à naitre, et qui permettrait en particulier aux mères et futures mères d'avoir les moyens matériels et moraux de faire face à leurs difficultés et de pou voir mettre au inonde et élever leurs enfants; il le remercie par avance pour l'opinion gr.'il exprimera à ce sujet.

23153. - -22 novembre 1982. -- M. Jean-LouisMassonrappelle à

M.le ministre d'Etat, ministre des transports,qu'en réponse à une de ses questions relati' es au préfinancement par le département d e la Moselle de la section du contournement autoroutier B 32 qui coïncide avec la route de Guerre de Peltre, il lui a indiqué qu'une clé de répartition 30-70 serait utilisée pour ventiler la dépense entre les collectivité s locales et l'Etat. Compte tenu d ' ce que le tronçon concerné est situé en majeure partie en dehors du périmètre d'agglomération, il souhaiterait savoir s'il ne serait pas plus logique de prévoir une clé de répartition 15-85 pour toute la portion située hors agglomération et une autre clé de 45-55 pour la por tion située dans le périmètre de l'agglomération. Cette solution ne modifierait pas substantiellement la répartition globale des crédits et permettrai t localement de faciliter la prise en charge de la part des collectivités locales. Fonctionnaires et agents publies (rémunérations).

23154. - -22 novembre 1982. M.Jean-Louis Massonr. npelle à

M. le ministre délégué, chargé de la fonction publique et des réformes administratives,que le gouvernement a annoncé récemment qu'il envisageait de plafonner les primes dont bénéficient les foncti onnaires. Une telle mesure est susceptible de porter directement atteinte au pouvo ir d'achat des personnes concernées et, afin d'éviter une injustice grave en la matière, il souhaiterait qu'il lui indique si les modalités d'un éventuel écrêtement ne pourraient pas tenir compte de la situation familial e des agents de la fonction publique.

Voirie (autoroutes: Moselle).

23155. --22 novembre 1982. M.Jean-Louis Massonrappelle à

M. le ministred'Etat, ministre des transports,que la réalisation de la bretelle de contournement entre Mey et Vantoux à l'est de Metz, fi gure au cahier des charges de la S. A. N. E. F. Toutefois, cette société a bénéficié de dérogations successives pour différer systématiquement la mise en oeuvre des travaux. Compte tenu de l'intérêt de ce dossier, il souhaiterait savoir s 'il ne serait pas possible de faire étudier une solution prévoyant une

22 Novembre 1982

ASSEMBLEE NATIONALE

participation simultanée au financement des travaux de la part de l'Etat, de la société d'autoroutes et des collectivités locales. En echange de cette participation, il serait alors envisageable de demander à la socié té d'autoroutes de renoncer à instaurer un péage sur cette courte secti on. Dans la mesure où une telle solution pourrait être étudiée p ar les services du ministère des transports, il lui demande s'il serait possible de faire réaliser rapidement les travaux concernés.

Lait et produits laitiers (laid.

23156. - 22 novembre 1982. - M. Jean-Louis Masson rappelle à

Mme leministre de l'agricultureque le lait U. H.T. est actuellement traité pour être conservé durant une longue période. Toutefois, les qualités de ce produit sont quelque peu altérées lorsque la conservation du re trop longtemps. II souhaiterait donc qu'elle veuille bien lui indiquer s'il ne serait pas possible de demander aux fabricants de préciser sur chaque emball age la date de production. Matériels électriques et électroniques (recherche scientifique et technique).

23157. - 22 novembre 1982. - M. Jean-Louis Masson appelle

l'attention de M.le ministre d'Etat, ministre de la recherche et de l'industriesur le fait que le Conseil des ministres du 2sjuillet dernier a annoncé la mise en vigueur d'un Plan d'action filière électronique (P. A. F. E. ), incluant un programme de financement sur cinq ans (1982 à

1986) de 140 milliards de francs. Compte tenu de ce plan, il lui demande s'il

peut lui indiquer le montant des autorisations de programme qui seront allouées au Plan d'action filière électronique en 1982, ventilé pour chacun des grands ministères concernés par le P.A.F. E. (recherche et industrie, P.T.T., défense, éducation nationale, formation professionnelle, éco nomie et finances), et pour chacune des grandes sociétés nationales con cernées (C. G. E. , Thomson, C. 1. 1. -N.B., Matra), en précisant la part des dotations en capital qui seront affectées à ces quatre grandes soc iétés nationales.

Par:ers et cartons (emploi et activité).

23158. - 22 novembre 1982. - M. Jean-Louis Masson attire

l'attention de M.le ministre d'Etat, ministre de la recherche et de l'industrie,sur les difficultés actuelles de l'industrie papetière française. celle-ci devant faire face au renchérissement constant de ses approvisionnements, notamment sur le plan des achats de pàte. libellés en dollars. Afin d'endiguer la crise qui règne dans ce secteur, il lui demande s'il compte prendre des mesures allant dans le sens des regroupements d'entreprises, comme il en avait été question à plusieurs reprise s. II lui fait remarquer, en effet, que le maintien en survie des deux grands groupes papetiers - La Rochette-Cenpa et la Chapelle-Darblay - s'il n'est pas accompagné de véritables mesures de redressement et intégré dans un planquotesdbs_dbs48.pdfusesText_48
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