Explosion lors de lassainissement de la décharge industrielle de
de bci Betriebs-AG et de la République et Canton du Jura du 7 juillet 2010
Notice dimpact sur lenvironnement
6 juin 2007 bci Betriebs-AG ... 4.1.7. Objectifs d'assainissement pour les lentilles et zones ... d'assainissement et non une concentration locale.
Sanierung der Deponie Bonfol/Schweiz
21 oct. 2014 Sanierungsträger: bci Betriebs-AG. Baseler Chemische Industrie ... 7. Juli 2010: Feststoff-Explosion in der Aushubhalle.
DR SCHLETTSTADTER
19 mai 2011 7. Avec un budget global de 29 millions d'€ la ville de Sélestat table pour l'année 2011 sur le même montant qu'en 2010.
Arrêté concernant les résultats de lélection des membres du
6 déc. 2021 Le « Journal officiel de la République et Canton du Jura » paraît chaque semaine le mercredi. Terme de la remise des publications: le lundi ...
Le commerce de détail déprime dans le canton de Neuchâtel
13 nov. 2013 3° 7°. SOMMAIRE. Cinéma P. 11 12 ET 14 Télévision PAGE 25 ... plosion de juillet 2010. ... coûts du projet: la bci Betriebs-. AG part du ...
Public Actors in International Investment Law (Open Access)
7 mars 2021 elements are 'location location
THE INFORMATION OF THE CITIZEN IN THE EU: OBLIGATIONS
capital and explosion of foreign ownership in the media field. Betriebs- und ... Medien AG has acquired national satellite broadcasting licenses for ...
JOURNAL OFFICIEL
1 janv. 2019 7. Rapport du Gouvernement sur les affaires exté- rieures 2017. 8. Postulat N° 386 ... signer entre la Commune et bci Betriebs AG et les.
MERCREDI 13 NOVEMBRE 2013| www.arcinfo.ch | N
041563 | CHF 2.50 | J.A. - 2300 LA CHAUX-DE-FONDS
Rue Neuve 14, 2300 La Chaux-de-Fonds / Tél. 032 910 20 00Abonnements 032 910 20 40 - E-mail: clientele@limpartial.chRédaction 032 910 20 01 -Fax 032 910 20 09 - E-mail: redaction@limpartial.chAnnonces 032 729 42 62 - E-mail: lachaux-de-fonds@publicitas.ch
9HRLEMB*aihaaa+[N\A\A\E\Q
Grand choix de véhiculesdoccasion expertisés etgarantis 1 an leasing dès 0,9%NeuchâtelLa Chaux-de-Fonds
Le Locle
www.3rois.ch24 NOVEMBRE 2013www.hopital-oui.ch
OUIÀ LHÔPITAL MULTISITE RÉORGANISÉ OUIAUDÉCRET(OBJETN°2)DES MISSIONS HOSPITALIÈRES RÉPARTIESSUR 2 SITES SUPPRIMENT LES DOUBLONS
ET PERMETTENT DES ÉCONOMIES!
PUBLICITÉ
PUBLICITÉ
PHILIPPINESAprès le choc, la solidarité est en marchePAGE 15
À LA PEINENombre de magasins et effectifs en baisse, stagnation des chiffres d'affaires:le commerce
de détail est en déclin dans le canton de Neuchâtel, selon une étude présentée hier. Le tourisme d'achats
vers d'autres cantons est montré du doigt. Mais les commerçants doivent aussi se remettre en question.PAGE 5HOCKEY SUR GLACE
BattuàOlten5-3,leHCC
voitlabarreserapprocherPAGE 21
MONTAGNES NEUCHÂTELOISES
Formationbienancrée
dansletissuéconomiquePAGE 7
Le commerce de détail déprimedans le canton de NeuchâtelDÉCHARGE DE BONFOL
L'assainissementcoûtera
30millionsdeplus
PAGE 8
KEYSTONE
LA MTO DU JOUR
ˆ 1000mpied du Jura
1¡5¡3¡ 7¡SOMMAIRE
CinémaP.11,12ET14TélévisionPAGE 25
FeuilletonPAGE 20CarnetP. 26 -2 7
DÉPARTCette fois-ci, c'est la cheffe du service d'ophtalmologie Nadja Tajouri qui quitte le bateau, à peine une année et demie après son arrivée.POURQUOI?La doctoresse n'a pas voulu com- menter son départ. Selon une source, c'est le signe d'un ras-le-bol. Pour l'Hôpital neuchâte- lois, simplement celui d'une vision différente.CRAINTESDes observateurs montent en ligne pour défendre un service jugé essentiel.Question de mission de soins publics dans
un domaine qui peut être rentable.PAGE 6
ARCHIVES CHRISTIAN GALLEY
L'EXPRESS-L'IMPARTIALMERCREDI 13 NOVEMBRE 2013
2FORUM
144Une situationqui ne peut durer
Suite aux différents articles pa-
rus dans la presse au sujet de la décentralisation du 144, je suis obligé de réagir face à la désin- formationorganiséeparlesréfé- rendaires.Eneffet,largumenta- tion principale mise en avant parlesréférendairesconcernele statut de pompier-ambulancier du personnel professionnel desSIS. Selon eux, la délocalisation
de la centrale 144 entraînerait labandon de ce double statut et une affectation fixe du person- nel à lune ou lautre des activi- tés. Cette affirmation est totale- ment fausse. Le maintien du double statut pompier-ambu- lancier fait partie intégrante de la décision du Grand Conseil. (...) Les effectifs nécessaires au niveau des intervenants sont uniquement dictés par le nom- bre et le type dinterventions etSi des adaptations de ces effec-
tifssontnécessaires,ceseracer- tainementàlabaisseparladimi- nution des interventions inutilesetuneplanificationcan- tonale des ressources plutôt quun esprit de clocher. Avec la délocalisationdu144,leperson- nel actuellement affecté aux centrales SIS ne sera pas licen- cié.Ilauralechoixparmilesop- tions suivantes: travailler à la centrale vaudoise, qui ouvre ses effectifsenprioritéauxNeuchâ-117-118 de la police neuchâte-
loiseou,finalement,intégrerleséquipes dintervention. (...)
Seule lactivité relative au traite-
mentdesappels144estchiffrée.Les activités de la médecine de
garde et de la hotline pédiatri- que sont simplement bottées en touche en mentionnant quil pourra être fait appel à des pres- tataires externes. Ces presta- tionsnesontpaschiffrées,cequi aberrant sachant que la méde- desappelsàtraiter.(...)Deplus, au niveau exploitation, le coût par habitant qui sera facturé par la centrale vaudoise est parmi les plus bas de Suisse et, dans touslescas,inférieuràceluidela solutiondesvilles.(...)Sileréfé- rendumpasselarampe,lasitua- tionactuelleenmatièredurgen- cessanitaires,qualifiéespartous delamentable,seprolongeraen- corelongtemps.(...)Alexandre Iseppi (Môtiers)
RAILFaisonsun rêve!
Excellente synthèse dans votre
Grosplandevendredi8novem-
bre 2013. Je reprends le titre "Après le Transrun, la voieétroite»! Faisons un rêve! Et sil
était proposé de réorganiser le
réseau du transport ferroviaire de notre Arc jurassien? Trans- formons donc notre réseau enécartement voie étroite sur un gabarit voie large: voie étroiteNeuchâtel-Besançon; voie
étroite Delémont-Glovelier (en
cours de réalisation); maintien des liaisons Le Locle-Les Bre- nets et La Chaux-de-Fonds-LesPonts-de-Martel.
Nous pourrons avoir ainsi un
seau performant à léchelon dune agglomération franco- suisse et dans un décor paysa- ger superbe de plusieurs parcs naturels en cours de réalisa- tion. Lévitement de Chambre- lien sera ainsi plus facilement réaménagé.Lavitessecommer- ciale pourra être améliorée sur les grandes courbes existantes avec un écartement métrique etunpetitPendolinoprototype sera testé! Le futur "Train Pa- noramique Jura Express» Be- sançon-Delémont nous attend voie1.Marc Ducommun
(La Chaux-de-Fonds)COMMEUNTABLEAUDans une atmosphère presque irréelle, des véliplanchistes s'éclatenten fin de journée sur un lac agité.
PHOTO ENVOYÉE PAR FABIENNE COSTA, DE NEUCHÂTEL de la médecine de garde ainsi que des cas pédiatriques à la centrale 144 du canton de Vaud. Au-delà de cet enjeu canto- nal, il nous a semblé utile dapporter un éclairage national nesannéesdanscedomaine. Un récent rapport de lOffice fédéral de la communication (Ofcom) relève que la Suisse compte 170 centrales dalarme placées sous responsabilité cantonale et même communale Dès la prise dun appel urgent, lopérateur doit dans un faciliter la prise en charge par les échelons suivants. Dans et adéquate. Les centrales dappels urgents 144 constituent donc le premier maillon de la chaîne de survie et font partie intégrante de la politique sanitaire des cantons. Logique- teurs du 144 doivent être intégrés dans des structures sanitaires et médicales dédiées afin de pouvoir bénéficier dune supervision adéquate. Autre élé- mentdécisif,lacentraledoitcouvrirun bassindepopulationdunecertaineim- portanceafindoffrirdesprestationsdeSeules des solutions régionales sont à
mêmederemplircesdeuxconditions.A ce jour, la Suisse connaît deux organisa- tionsdecetype.Toutdabord,lacentrale144delavilledeZürichquidesserttout
cecantonainsiqueceuxdeSchaffhouse etSchwytz(1 600 000habitants).Autre exemple, la Suisse centrale où les can- tons de Lucerne, Zoug, Uri, Obwald et Nidwald voient leurs appels 144 gérés par une centrale intégrée à lhôpital cantonal144 auprès du canton de Vaud devait être approuvée, cette
nouvelle centrale desservirait environ 730 000 personnes.Nous aurions donc 1/3 de la population suisse couverte par 3
raientrépartisentre22autrescentrales.Surleplaninternational,lexempledela
Finlande mérite dêtre mentionné. Ce
pays est sur le point dachever la mise en oeuvre dun concept de centrales dur- gence intégrées avec un seul numéro, le112. Tant les appels police, feu que sani-
ques,soitsixcentralespourlensembledu pays.Par conséquent, face à la complexifica-
tion toujours plus grande des systèmes dinformation et de communication, noussommesconvaincusquelarégionali- sation des appels sanitaires durgence est une nécessité. Elle seule permet doffrir des prestations professionnelles et de qualité, Car la prise en charge médicale en situation durgence ne peut souffrir dau- cune approximation ou retard. Pour ce faire, la Suisse devra Appels durgence: quelle stratégie pour la Suisse?L'INVITÉ
ANDRÉDUVILLARDDÉLÉGUE
AU RÉSEAU
NATIONAL
DE SÉCURITÉ,BERNE
bénéficierdune supervisionadéquate.COURRIERDES LECTEURS
LE CLIN D'OEIL
Pour nous joindre:Rédaction de L'Express, Pierre-à-Mazel 39, 2001 Neuchâtel - E-mail:redaction@lexpress.chRédaction de L'Impartial, Rue Neuve 14, 2300 La Chaux-de-Fonds - E-mail: redaction@limpartial.ch
INFO+Trop cher
Quest-cequirendlasuppressiondu
rebroussementdeChambreliensi minuteàcombiendemillions?Elibabar
Il fallait réfléchir avant
sappelleraterletrain!Ehoui,nosamisduTransTourneetlesopposantsqui,celaditen
ferroviaires(maisseulementpourlespetitsGo_RER_2
Soutenons nos autorités
nepastoujoursécouterlessirènesde nosautorités.Robeja
Seule une ligne directe...
passerautraindanscesconditions?La démocratie mérite mieux que cela
Après le Transrun,la voie étroite
VOS RÉACTIONS SUR
Un salaire minimumà3640francsest-il trop bas?
Participation: 112 votes
LAQUESTIOND'HIER
OUI37%
NON 63%VOTATIONSEn raison du
nombre de courriers reçus, tous ne pourront paraître.Merci de votre compréhension.
RÉSERVES
La rédaction se
réserve le droit de publier ou non, de titrer, d'illustrer ou de limiter le propos à l'essentiel.SIGNATURESLes textes
doivent être signés (nom et lieu). Ils seront accompagnés d'un numéro de téléphone auquel la rédaction pourra joindre l'auteur. La rédaction ne publie pas de courriers anonymes.RAPPEL
MERCREDI 13 NOVEMBRE 2013L'EXPRESS-L'IMPARTIAL
GROS PLAN3
RÉINSERTIONUne salle blanche pour les demandeurs demploi vient de souvrir.Elles travaillent loin de la poussière
Profiter dune période de chô-
mage pour travailler dans un univers confiné et ultrapropre, et ainsi souvrir des portes dans lesdomainesbiomédical,agroa- limentaireouencoredanslhor- logerie. Cest le défi des occu- pantes dela toutenouvellesalle blanche de lassociation Pôle in- dustrie, installée à Neuchâtel.Carsavoirsecomporterdansun
environnement où chaque par- ticule de poussière est traquée nest pas anodin. Aussi, les sept demandeuses demploi qui inaugurent la structure enten- dent souvrir des débouchés dans des domaines de pointe.Cettedémarche"professionnali-
sante» sinscrit dans la nouvelle politique nationale de réinser- tion.Ni manger, ni se maquiller
En arrivant devant les entre-
pôtsinstallésdanslequartierdeMaillefer,jamaisonnepenserait
quils hébergent un lieu de tra- vail à lair aussi épuré. Et pour- tant, en pénétrant dans le han- gar,onseretrouvesoudainfaceà unespacetoutenblancauxallu- res futuristes, surmonté de lar- ges tuyaux de ventilation et de filtres.Derrièrelesvitres,lesde- mandeuses demploi, portant blouse blanche et charlotte sur la tête, sactivent minutieuse- ment. Elles passeront six mois dans ces conditions, afin den maîtriser les stricts protocoles.Le tout dans un silence reli-
gieux. "Dansunesalleblanche,laprin- cipalesourcedecontaminationest le personnel, qui apporte 80% des particules. D"où l"importance d"un comportementrigoureuxetdures- pect de consignes précises.» ImadBahou est responsable de ce
nouvelatelierexploitéparlasso- ciation Pôle industrie, active dans la réinsertion, sur mandat du Service cantonal de lemploi. "C"estplusl"apprentissageducom- portement dans ce milieu particu- lier que les tâches effectuées qui comptent dans cette formation», ajoute Nicolas Frein, directeurde Pôle industrie. "Imaginez, dans une entreprise où l"on assem- bledespacemakers,parexemple,il faut veiller à ce qu"aucune parti- cule ne se dépose dessus», illustreImadBahou.
Pour lheure, les employées
saffairent à trier des petites piè- ces pour lhorlogerie. "Nous n"avons pas encore de mandats pourl"industrie.MaisleServicede l"emploi, via le groupe Pro Entre- prises, fait de la prospection.»A terme, lendroit pourra former à lafoisdixchômeursetdeuxper- sonnesàlaidesociale.Auxactivi- tés de tri sajouteront du décou-page, de lassemblage de précision ou du contrôle visuel au binoculaire. Les participan- cevront une attestation au bout desixmois.Dans la salle blanche de 50 m
2 lair est contrôlé en permanence.Autant dire quil ne suffit pas de
pousser une porte pour y entrer.Leniveaudepropretésemesureà
la quantité de particules en sus- pension. Classée ISO 7, celle deMaillefer contient un taux dem-
poussièrement maximal de 2930 particules de cinq microns par mètrecube."Çaneseraitpassuffi- sant pour des activités médicales», remarqueNicolasFrein.Leprotocoleestprécisetadap-
té à chaque entreprise. Ici, les employées doivent dabord pé- nétrer dans un sas, pour revêtir les surchaussures en plastique, la blouse, la charlotte et des gants en latex, dans cet ordre précis, pour éviter de véhiculer de la poussière. Dans ce vesti- bule, la pression de lair est infé- rieureàcelledelasalleblanche.Lairdecelle-ciestainsirepoussé
dans le sas par effet descalier.Un système de ventilation au
plafond pousse lair vers le bas, tandis que des bouches aspirentlair au sol. Entre 70 et 80% de lairestainsirecyclé.A lintérieur, les employés doi-
vent se déplacer lentement, pour ne pas contrarier les flux dair. Ils ne peuvent pas manger, boire, se maquiller, ni emporter desobjetsdelextérieur.Un investissement de 350 000
francs, inscrit dans le budget duSecrétariat dEtat à léconomie
(Seco),àBerne,aéténécessaire pour aménager cette salle. Cest la société spécialisée LogicAir, deSaint-Aubin,quienaconçula structure.Des chômeuses apprennent à se comporter dans un milieu ultrapropre, dans l'espoir de travailleur ensuite dans le biomédical ou l'horlogerie.
Nicolas Frein enfile ses surchaussures, sous l'oeil d'Imad Bahou. Ce dernier vérifie la pression de l'air dans le sas d'entrée de la salle blanche.
pantàdesprogrammesdoccupationpou- vaient cotiser durant ces périodes, ce qui leur permettait de prolonger la période durant laquelle ils avaient droit à des in-Pour se mettre à jour, le canton de Neu-
châtelaentreprisunemuedesesprogram- sants. Au travail durant six mois, les demandeurs demploi ne cotisent plus du- rant ces périodes, mais ils restent actifs tout en développant des compétences et augmententainsileurschancesderéinser- tion,expliquelacheffeduServicedelem- ploi, Sandra Zumsteg. "Avant, avec les ate-liers d"occupation, on atteignait un taux de tème,onviseplusde60pourcent.»Il y a deux modèles dateliers. De type
professionnel, les premiers permettent aux demandeurs demploi dévoluer dans des conditions similaires à celles du mar- ché du travail. Cest dans cette catégorie quesesituelasalleblanchedeNeuchâtel.Les autres ateliers sont de type sociopro-
fessionnel. A limage des Couturiers du temps, à La Chaux-de-Fonds, ils sont des- tinés à des personnes un peu plus éloi- gnées du circuit professionnel. Elles y dé- veloppent des compétences utilisables dansdifférentsdomaines. La refonte des programmes a pris delavance et devrait aboutir à Pâques 2014, au lieu de la fin de lannée prochaine. A terme,plusde140placesenatelierprofes- sionnel et une soixantaine de type socio- maines de lhorlogerie, du biomédical ou encore des services, dans le canton. Pour offrir cette opportunité aux demandeurs et par personne en atelier professionnel et60francsensocioprofessionnel.
A cela sajoutent 75 places pour laction
sociale et 5,5 pour le Service des migra- tions,soituntotalde280places.Cette réorganisation a nécessité un in-
vestissement de 1,8 million entre 2012La politique de réinsertion se réoriente
"Cet atelier m'ouvrira beaucoup de portes» "Je connais déjà l'environnement d'une salle blanche, car j'y ai travaillé comme opératrice, dans le domaine du textile. Je suis ici pour six mois, car je souhaite approfondir mes connaissances. Ça commence bien, je me sens à l'aise. J'aime le travail méticuleux et j'avais déjà une idée des procédures très strictes de comportement dans un espace comme celui-là. J'imagine que cet atelier m'ouvrira beaucoup de portes, dans le domaine médicalquotesdbs_dbs26.pdfusesText_32[PDF] BCI – Bureau de Coopération Interuniversitaire
[PDF] BCI-3/6 - UPrint - Anciens Et Réunions
[PDF] BCInet Conditions générales
[PDF] BCIR n°6 - CIR online
[PDF] BciShop.com - bci informatique
[PDF] BCL 1-KA - Active Receiving Antenna for 10 kHz–110 MHz
[PDF] BCL Bulletin 2013/2 - Banque centrale du Luxembourg - France
[PDF] bclogo version 2.24
[PDF] BCM Sports lance le Pro-Am Business Class au golf de Domont le - Anciens Et Réunions
[PDF] BCM-2700 : Laboratoire de biologie moléculaire et génie - Science
[PDF] BCM5221
[PDF] BCMP networks
[PDF] bcmr 2016 participation 955 dont bcmr 2016 - Anciens Et Réunions
[PDF] BCMRD Release Notes