Point de vue Flash presse Fiche pratique SOS LMC France
14-Oct-2017 CML Horizons le congrès mondial des associations de patients touchés par la LMC
Génomique des hémopathies malignes
30-Oct-2020 Université de Lorraine – Faculté de Médecine ... Panorama mutationnel des SMP BCR-ABL négatifs. ... une bourse de l'Association SILLC).
Présentation des activités académiques
Le cadastre des activités académiques du CHU UCL Namur de l'année 2015 est un instantané qui nous présente les différents secteurs dans lesquels les médecins
RECUEIL
associations des espèces qui la composent et des phénotypes humains. UMR S910 Faculté de Médecine de Marseille
T H È S E
LA FACULTÉ DE MÉDECINE DE MARSEILLE Etudiant. : Elise DOMINJON ... Merci pour toutes ces réunions sans fins celles qui se finissent en apéros et les ...
Évaluation des performances analytiques de nouveaux outils
24-Sept-2018 Université d'Aix-Marseille – Faculté de Pharmacie – 27 bd Jean ... absence de critères évoquant une LMC avec gène de fusion BCR-ABL une.
Les-cancers-en-France-edition-2015.pdf
des AAP « associations » entre 2006 et 2015 ? 168. [ Figure 77 ] Recours aux dépistages des cancers des personnes handicapées ? 175.
Institut National du Cancer
Dépistage des cancers du col utérin en médecine générale Une réunion des 9 sites de dépistage expérimentaux (anciens et nouveaux sites soit 13 dépar-.
Les métiers du diagnostic biologique du cancer :
Par exemple la médecine nucléaire et la radiologie pour d'autres approches Les associations d'internes et la Société française de biologie clinique.
Analyse chimogénomique dans les Leucémies Aiguës
29-Aug-2019 DE MARSEILLE. Le 29 Mai 2019. Par Madame Aude COLLIGNON. Née le 23 février 1989 à Hyeres (83). Pour obtenir le grade de Docteur en Médecine.
Juillet / Août / Septembre 2017
2016JanvieFévrier/20
* Périodique de formation médicaleRetrouvez nos publications
sur le site www.intercomsante.comGrand angle : Néoplasies myéloprolifératives : les avancéescoordonné par Christophe Marzac
JAK2 CALRm MPLm CALRm CALRm MPLm MPLm JAK2 JAK2 P53 ETV6 RUNX1 SRSF2 ASXL1 EZH2DNMT3EZH2
Différentiation
Prolifération
ERKMEKRAFGAB2
GBR2 SHC RAS * active RAS inactiveC-CBL *
17% SHP2* 35%JAK2GM-CSF
STAT5 NF1 * 20% Mécanismes d"activation constitutive de la voie RAS et d"hypers ensibilité au GM-CSF das la LMMJHypersensibilité au GM-CSF pSTAT5* Mutations dans la LMMJSHP2 35%CBL 17%RAS 25%NF1 10-25% SOS P GDPGTPPaysage mutationnel dans la LMMC
de patients présentant la mutation
6050
40
30
20 10 0 TET2 ASXL1
DNMT3A
EZH2 IDH2 SRSF2 U2AF1 SF3B1 ZRSR2LUC7L2
CBL KRAS NRAS NF1 JAK2 RUNX1 PHF6 BCOR ETNK1 RégulationépigénétiqueEpissage Signalisation AutresSuspicion
NMP BCR- ABL1 JAK2 V617F JAK2 exon12MPL exon10 SH2B3 JAK2TotalMPL
TotalASXL1, EZH2, TET2,
IDH1/IDH2, SRS2,
SF3B1...Positif
Positif
PositifPositifNégatif
NégatifNégatifNégatifSuspicion
NMP / SMDlMc
NMPBoM : Présence de
ğNMP
PVtE / MP
cAlR csF3R sEtBP1 EtNK1Panel NGS diagnostique restreint :
JAK2, MPL, CS3R, SETBP1, ETNK1
SH2B3Panel NGS myéloïde étendulNclMca
JANSSEN-CILAG, S.A.S. au capital social de 2.956.660 Euros, immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de Nanterre sous le n° B 562 033 068, dont le
siège social est au 1, rue Camille Desmoulins, TSA 91003, 92787 Issy-les-Moulineaux.Ce médicament fait l"objet d"une surveillance supplémentaire qui permettra l"identication rapide de nouvelles informations relatives à la sécurité. Les professionnels de la santé
déclarent tout effet indésirable suspecté. Pour une information complète, se référer aux mentions légales d"IMBRUVICAPHFR/IMB/0417/00017392 - 17/04/63012197/PM/011
Place dans la stratégie thérapeutique
(4)La monothérapie par IMBRUVICA
est un traitement de deuxième ligne etLa HAS stipule que IMBRUVICA
n"a pas de place dans la stratégie thérapeutique en 1ère
ligne en l"absence de données dans cette situation.Place dans la stratégie thérapeutique (3)IMBRUVICA
en monothérapie est un traitement de recours chez les patients atteints de lymphome à cellules du manteau en rechute ou réfractai re.IMBRUVICA
, en monothérapie, est indiqué pour le traitement des patients adultes atteints d"une (LLC) non précédemment traités (voir rubrique " Propriétés pharmaco dynamiques »). (1)Place dans la stratégie thérapeutique
(3)Dans les autres cas de LLC, IMBRUVICA
en monothérapie est un traitement de deuxième ligne et plus, au même titre que l"idélalisib en association au rituximab.Place dans la stratégie thérapeutique (2)IMBRUVICA
en monothérapie reste un traitement de première ligne de la LLC en cas de délétion 17p ou de mutation TP53. Chez les patients non porteurs de ces mutations, IMBRUVICA en monothérapie représente une nouvelle option thérapeutique en première ligne, chez les patients adultes atteints d"une LLC, non précédemment traités et non éligi bles à un Patients âgés de 65 ans ou plus. Les patients entre 65 et 70 ans présentaient nécessairement au moins une comorbidité qui empêchait l"util isation en le cyclophosphamide et le rituximab.IMBRUVICA
, en monothérapie ou en association à la bendamustine et au rituximab (BR), est indiqué pour le traitement des patients adultes atteints d"une LLC ayant reçu au moins un traitement antérieur.* (1)IMBRUVICA
, en monothérapie, est indiqué pour le traitement des patients adultes atteints d"un (LCM) en rechute ou réfractaire. (1)IMBRUVICA
, en monothérapie, est indiqué pour le traitement des patients adultes atteints d"une (MW) ayant reçu au moins un traitement antérieur, ou comme traitement de première intention chez les patients pour lesquels une chimio-immunothérapie n "est pas appropriée. (1) AP Remonter les lignes 21x29,7_v15.indd 102/06/2017 09:34 Horizons // Juillet / Août / Septembre 2017// Volume 07 // Numéro 03Éditorial
Éditorial
es Néoplasmes Myéloprolifératifs : un paradigme de la médecine de précision. Il y a cinq ans nous vous proposions un numéro très détaillé consacré aux syndromes myéloprolifératifs (SMP) désormais dénommés Néoplasmes
MyéloProlifératifs (NMP). À l"époque nos esprits rés onnaient encore de la découverte des mutations de JAK2, MPL puis de TET2 dans les SMP dits " classiques » ou encore de l"apparition des inhibiteurs de tyr osine kinase de seconde génération et des premiers essais d"arrêt de traitem ent dans la leucémie myéloïde chronique. Depuis lors les connaissances se sont encore e nrichies toujours plus de critères histologiques et de données généti ques (mutations des gènes de la calréticuline, des protéines des complexes d"é pissages, des régulateurs épigénétiques, découverte de nouveaux gènes de prédisp osition). Cette nouvelle néoplasies mixtes myélodysplasiques/myéloprolifératives. Les laboratoires de biologie moléculaire ont un rôle déterminant dans la caracté risation de ces hémopathies myéloïdes chroniques dont nous commençons à e ntrevoir la réelle complexité grâce notamment à l"étude ciblée de panels de gènes. Certains de ces gènes mutés constituent d"ores-et-déjà des cibles thér apeutiques " actionnables » (JAK2, CALR, CSF3R, KIT,..), d"autres le deviendront rapidement (IDH1/2, splicéosome), rappelant l"intérêt majeur des essa is thérapeutiques dans l"amélioration continue du pronostic de ces hémopathies po ur lesquelles les données épidémiologiques font parfois cruellement défaut . Les prises en łğthérapeutique initial ou de l"adaptation de traitement dans la leu cémie myéloïde chronique, de la prise en compte de la qualité de vie des patients da ns ces choix, ou de la prévention des risques thrombotiques dans les SMP classiques . Malgré ces progrès constants le dogme de l"allogreffe comme seul traiteme nt curateur reste d"actualité pour les patients présentant une maladie ré sistante ou évolutive. La médecine de précision à laquelle nous apportons tous au quotidien notre savoir-faire, chacun dans nos domaines respectifs, ne saurait occulter la médecine personnalisée. La prise en compte de l"individu dans s
a globalité au sein de l"archipel des standards internationaux de diagnostic et d e prise en charge constitue plus que jamais l"enjeu central de l"évolution de la médecine. De la recherche fondamentale jusqu"au parcours patient, abordé au sein d"une nouvelle rubrique " Point de vue » que nous inaugurons dans ce numéro, c"est
là tout le paradigme de la prise en charge des syndromes myéloprol ifératifs dont nous avons tenté de nous faire l"écho en demandant aux dif férents spécialistes de nous résumer les avancées des cinq années é coulées. La rédaction les remercie chaleureusement pour le brillant exercice de synthèse auquel ils se sont livrés.Bonne lecture !
Coordinateur du "Grand Angle"
Rédacteur en chef adjoint
christophe.marzac@gustaveroussy.frJANSSEN-CILAG, S.A.S. au capital social de 2.956.660 Euros, immatriculée au Registre du Commerce et des Sociétés de Nanterre sous le n° B 562 033 068, dont le
siège social est au 1, rue Camille Desmoulins, TSA 91003, 92787 Issy-les-Moulineaux.PHFR/IMB/0417/00017392 - 17/04/63012197/PM/011
1 er inhibiteur puissant de la Tyrosine Kinase de BrutonPrix Galien
France et USA 2015
Place dans la stratégie thérapeutique
(4)La monothérapie par IMBRUVICA
est un traitement de deuxième ligne etLa HAS stipule que IMBRUVICA
n"a pas de place dans la stratégie thérapeutique en 1ère
ligne en l"absence de données dans cette situation.Place dans la stratégie thérapeutique (3)IMBRUVICA
en monothérapie est un traitement de recours chez les patients atteints de lymphome à cellules du manteau en rechute ou réfractai re.Explorez de nouveaux horizons
IMBRUVICA
, en monothérapie, est indiqué pour le traitement des patients adultes atteints d"uneleucémie lymphoïde chronique (LLC) non précédemment traités (voir rubrique " Propriétés pharmacodynamiques »). (1)Place dans la stratégie thérapeutique
(3)Dans les autres cas de LLC, IMBRUVICA
en monothérapie est un traitement de deuxième ligne et plus, au même titre que l"idélalisib en association au rituximab.Place dans la stratégie thérapeutique (2)IMBRUVICA
en monothérapie reste un traitement de première ligne de la LLC en cas de délétion 17p ou de mutation TP53. Chez les patients non porteurs de ces mutations, IMBRUVICA en monothérapie représente une nouvelle option thérapeutique en première ligne, chez les patients adultes atteints d"une LLC, non précédemment traités et non éligi bles à un Patients âgés de 65 ans ou plus. Les patients entre 65 et 70 ans présentaient nécessairement au moins une comorbidité qui empêchait l"util isation en le cyclophosphamide et le rituximab.IMBRUVICA
, en monothérapie ou en association à la bendamustine et au rituximab (BR), est indiqué pour le traitement des patients adultes atteints d"une LLC ayant reçu au moins un traitement antérieur.* (1)IMBRUVICA
, en monothérapie, est indiqué pour le traitement des patients adultes atteints d"un lymphome à cellules du manteau (LCM) en rechute ou réfractaire. (1)IMBRUVICA
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