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MASLOW considère que l'être-humain connait 5 grands types de besoins que l'on peut classer de manière hiérarchique ou pyramidale : 1 Les besoins physiologiques 

  • Quels sont les 5 besoins selon Maslow PDF ?

    La pyramide de Maslow décrit les 5 types de besoins d'un client (psychologique, sécurité, amour/appartenance, estime et auto-réalisation).16 jui. 2021
  • Quelle est la théorie de Abraham Maslow ?

    Abraham Maslow explique que l'individu doit satisfaire le besoin de niveau 1 avant d'acquérir la motivation nécessaire à l'accomplissement du besoin de second niveau. Ceci est valable pour l'ensemble des étages de la pyramide de Maslow.20 août 2021
  • C'est quoi la pyramide de Maslow PDF ?

    La pyramide de Maslow est une classification hiérarchique des besoins humains. Maslow distingue cinq grandes catégories de besoins. Il considère que le consommateur passe à un besoin d'ordre supérieur quand le besoin de niveau immédiatement inférieur est satisfait.
  • Quels sont les leviers de la motivation selon la théorie des besoins de Maslow ?

    Les besoins physiologiques. Les besoins de sécurité Les besoins d'appartenance. Les besoins d'estime. Les besoins d'auto-accomplissement.
2 • Les théories des relations humaines

302• Les théories des relations humaines

Les premiers auteurs avaient eu une vision limitée en s'intéressant uni- quement à l'aspect quantitatif, à l'homme économique. Ingénieurs de forma- tion, Taylor et Fayol analysent le processus de production et d'organisation. Sociologue, Weber se penche sur le système d'autorité. Mais aucun d'eux ne s'intéresse aux ressources humaines. Toutefois, dès les années 30 apparaît l'éco- le des relations humaines et la notion d'homme social. a - Elton Mayo (1880-1949): l'homme social Son analyse est une réaction contre la conception rationnelle qui oublie la dimension humaine du travailleur. Elle émane des recherches réalisées dans l'usine de Hawthorne (près de Chicago) de la Western Electric par le psycho- logue Elton Mayo et son groupe de chercheurs de l'université de Harvard entre

1927 et 1934. Ceux-ci ont étudié les variations de rendement en fonction des

facteurs d'ambiance (éclairage, niveau sonore...) et de l'organisation du travail (pauses, durée...). Ces expériences ont démontré que l'homme a des besoins et des motivations et que le rendement augmente quand on les prend en compte. L'homme n'est donc pas seulement un être économique mais a aussi des moti- vations liées à l'intérêt du travail. Mayo va préconiser de prendre en compte tous ces besoins et de laisser se nouer des relations personnelles et de groupe dans l'entreprise lors de la définition de l'organisation du travail. b - Le développement des relations humaines

1. Abraham H. Maslow

Maslow définit une pyramide des besoins en partant des besoins physiolo- giques (primaires) vers des besoins moins objectifs comme le développement personnel. Il définit ainsi, sous forme d'une pyramide, 5 catégories de besoins hiérarchisés montrant que ceux de la catégorie inférieure doivent d'abord être satisfaits pour qu'apparaissent les suivants. Toutefois, dans la réalité, ces besoins ne sont pas hiérarchisés de la même façon par les salariés et les diri- geants. Il faut également souligner que le taylorisme centré sur les aspects écono- miques avait totalement écarté les besoins du sommet de la pyramide. C'est ce qui explique que lorsque le niveau de vie et d'éducation de la population s'est élevé permettant aux salariés de chercher à satisfaire les besoins d'appartenance sociale, d'estime, de considération, d'accomplissement, le taylorisme a été de plus en plus remis en cause.

2. Fred Herzberg

Herzberg essaie d'appliquer la théorie de Maslow à l'entreprise. Il dis- tingue deux types de facteurs qui influencent l'homme au travail. Tout d'abord, " les facteurs de conditionnement » qui ne motivent pas le travailleur mais sont des facteurs d'insatisfaction s'ils sont absents. Ils correspondent aux trois pre- miers niveaux de l'échelle de Maslow. Ensuite, " les facteurs de motivation » qui peuvent motiver à condition que les besoins élémentaires, les facteurs de condi- tionnement soient satisfaits. Herzberg préconise de les développer et d'enrichir les tâches.

3. Les théories X et Y de Douglas McGregor (1906-1964)

McGregor distingue deux analyses de l'homme au travail, les théories X et Y. En fonction de leurs caractéristiques respectives, on peut déduire le meilleur mode d'organisation du travail à adopter et les moyens pour y parvenir. McGregor considère que la théorie X d'inspiration taylorienne est utilisée dans trop d'entreprises. Il préconise une évolution vers un mode d'organisation du travail centré autour de la théorie Y. ?Documents 18 et 19 ?Document 17 ?Document 16 ?Document 16

1. Trouvez des exemples

personnels illustrant chacun de ces besoins.

2. Pensez-vous qu'il soit utile

de tenir compte de tous ces besoins pour gérer efficacement le personnel ?

Pourquoi ?

?Document 17

1. Pensez-vous que la

distinction d'Herzberg soit pertinente ?

2. Quelle application pourrait

en faire un chef d'entreprise ? ?Document 18

1. Pensez-vous que cette

distinction entre deux types d'individus X et Y corresponde à la réalité ?

2. Quels moyens utiliseriez-

vous pour impliquer et motiver chacun de ces types d'individus ? ?Document 19

1. Résumez le document.

2. D'après vous, qu'est-ce qui

est le plus efficace en management, le stress ou le consensus ?

311 • L'ENTREPRISE : STRUCTURE PRODUCTIVE ET GROUPEMENT HUMAIN

?Document 17

Les facteurs de motivation

Ceux d'Abraham, l'homme quiguide sa tribu, privilégiant sesbesoins d'accomplissement. ?Intérêt du travail?Possibilité d'avancement?Responsabilité?Reconnaissance ?Document 16 Besoin d'accomplissement(culture, idéaux, art, création, projets, collections...)

Besoin d'estime et de considération

(médailles, diplômes, honneurs, titres...)

Besoins d'appartenance sociale

(clubs, associations, partis...)

Besoins de sécurité

(assurances...)

Besoins physiologiques

(faim, soif, fatigue, froid...) ?Document 18

MCGREGOR : LES THÉORIES X ET Y

Caractéristiques• Évite les initiatives personnelles.• Évite les responsabilités, cherchela sécurité.• N'aime pas le changement.

Théorie X : L'employé moyen a une aversion pour le travail et mettra tout en oeuvre pour l'éviter.

Mode d'organisation à adopter• Basé sur la contrainte, le contrôle, la sanction.? Il a besoin de directives strictes, de se sentir dirigé, d'être contrôlé et puni pour atteindre ses objectifs.

Moyens d'y parvenir?Règlements?Divisions des tâches?Contrôles systématiques,direction autoritaire

Caractéristiques

• Son attitude au travail dépend de l'expérience : il sera conduit à l'apprécier. • Il peut s'investir au travail si ses résultats sont récompensés. • Il a des possibilités d'imagination et de créativité dans son travail. • Il peut aimer prendre des responsabilités si elles sont source d'enrichissement.

Théorie Y : L'employé moyen n'a pas d'aversion innée pour le travail qu'il ne considère ni agréable, ni déplaisant.

Mode d'organisation à adopter

• Souple. • Participatif. • Management basé sur la confiance.Moyens d'y parvenir ?Participation du personnel

à la fixation des objectifs

?Décentralisation des responsabilités ?Document 19

Le management par le stress est-il efficace ?

Qu'on le veuille ou non, l'entreprise

travaille désormais sous pression.

Mais certains dirigeants en rajou-

tent plutôt dans la terreur. Conduite risquée... Cinq ans après, les vitres de la Tour Total en tremblent en- core. Les colères du P.D.G. Serge

Tchuruk prenaient de telles propor-

tions que son étage était surnommé " le 30 e rugissant ».

Aujourd'hui, le 30

e ne rugit plus.

Successeur placide, Thierry Desma-

rest considère que la peur provoque la rétention d'informations, qu'il vaut mieux encourager ses collabo- rateurs à s'exprimer et leur faire confiance. Laxisme ! Pas précisé- ment. Le rachat de Pétrofina puis la conquête d'Elf montrent que cemode mineur n'est pas synonyme de mollesse.

C'est bien, en effet, la première ques-

tion qui vient à l'esprit. Qu'est-ce qui est le plus efficace en manage- ment : le stress ou le consensus ? Les penseurs ont beaucoup planché là- dessus. À la " théorie X » (l'être hu- main est paresseux, immature et a besoin d'être dirigé - vive le mana- gement autoritaire !), le psychoso- ciologue américain Douglas McGre- gor opposait en 1960 la " théorie Y » (l'homme a besoin de travailler, de s'accomplir, de prendre des respon- sabilité - vive le management parti- cipatif !). Chris Argyris, Abraham

Maslow, Peter Drucker et d'autres

gourous du " bien dirigé » ont en-suite ajouté leur grain de sel. À l'ar- rivée, une chose est sûre : le siècle se termine et tout le monde est stressé. En juin dernier, une étude du ministère du Travail sur les troubles du sommeil révélait que

45 % des cadres vivaient des situa-

tions de tension avec leur hiérarchie.

» Les choses nous semblent aller trop

vite par rapport à notre capacité à les appréhender, dit Françoise Colloc'h, directeur général du groupe Axa. Le stress fait maintenant partie de la vie des entreprises. "Détournant le titre d'un best-seller managérial, un psy- chologue explique que nous payons là, en quelque sorte, " le prix de l'ex- cellence ».

Bernard Lalanne,

Management, n° 57, novembre 1999.

LA PYRAMIDE DE MASLOW

SELON HERZBERG DEUX TYPES DE FACTEURS

INFLUENCENT L'HOMME AU TRAVAIL

Les facteurs de conditionnement

Ceux d'Adam qui doit satisfaire sesbesoins primaires pour ne pasmourir de faim, de douleur etlutter contre l'environnementhostile.?Hygiène?Ambiance?Relations avec les supérieurset les collègues?Avantages sociaux?Durée du travail?Salaire

323• Les mouvements empiriques néoclassiques

À partir du milieu du XX

e siècle, des auteurs comme Sloan, Drucker et Gélinier utilisent des méthodes empiriques afin de mettre en place des modèles d'organisation plus adaptés, plus flexibles, aux évolutions de l'environnement. L'Américain Peter Drucker pense que l'entreprise n'a pas pour seul objec- tif de produire pour réaliser un profit. Elle doit avoir un rôle social et s'intéres- ser au bien-être de son environnement et de son personnel. Un des moyens d'y parvenir est de gérer le personnel en lui fixant des objectifs clairs. a - La décentralisation Ce principe repose sur l'idée que toutes les compétences dans l'entreprise doivent être utilisées lors de la prise de décision. Au lieu de tout décider du sommet de la pyramide hiérarchique, il est souvent préférable de donner une autonomie réelle aux collaborateurs qui sont sur le terrain. Ceux-ci peuvent réagir vite, avec une parfaite connaissance du problème et des contraintes locales. Ainsi, non seulement la décision sera plus rapide, pertinente et adaptée aux besoins réels, mais le personnel sera plus impliqué, motivé, créatif et l'en- treprise y gagnera en flexibilité. b - La direction par objectifs (DPO) Drucker a vulgarisé le concept de la DPO présentant le dirigeant comme un chef d'orchestre qui doit " faire faire » en fixant des objectifs à chacun. Octave Gélinier, patron du Cegos en France, a repris cette idée en montrant l'in- térêt de fixer des objectifs à tous les niveaux de la pyramide hiérarchique. Cette méthode permet de motiver et de responsabiliser l'ensemble du per- sonnel qui ne se voit plus confier des tâches mais des objectifs à atteindre. Les objectifs fixés par l'équipe dirigeante sont transmis aux différents responsables qui négocient les moyens nécessaires pour les atteindre avec leur hiérarchie. Ainsi, l'entreprise implique son personnel et s'adapte mieux à son environne- ment fluctuant. Elle devient plus flexible. c - Une variante de la DPO : la direction participative par objectifs (DPPO) Le personnel est associé dès la réflexion sur les objectifs à atteindre qui ne sont plus définis par l'équipe dirigeante, mais par le personnel lors de réunions.

4• L'analyse systémique des organisations

Dans les années 80, des auteurs comme Lawrence, Lorsch et Mintzberg vont envisager l'entreprise comme un système en interaction avec son environ- nement. Henry Mintzberg, l'un des principaux théoriciens actuels des organisa- tions, ne pense pas, comme Drucker, que le dirigeant est un chef d'orchestre. Il considère qu'une multitude de problèmes doivent être gérés quotidiennement et que seule l'intuition et l'analyse peuvent permettre au dirigeant de réussir. a - La théorie de la contingence Cette théorie montre que des facteurs de contingence comme la taille de l'entreprise, son âge, son style de commandement et son environnement évo- luent avec l'entreprise et l'influencent. b - La théorie des organisations Henry Mintzberg fait une analyse systémique de l'entreprise prenant en compte toutes les influences qu'elle peut subir. Il les résume en six éléments de base : une idéologie, un sommet stratégique, une ligne hiérarchique, un centre opérationnel, un technocentre et un support logistique. ?Document 22 ?Document 21 ?Document 20 ?Document 20

1. Résumez le document.

2. Commentez la phrase

soulignée.

3. Quels sont les avantages et

les inconvénients de la décentralisation ? ?Document 21

1. Quel est l'intérêt de la

théorie de la contingence ?

2. Donnez des exemples

d'influences de l'entreprise sur son environnement et vice versa. ?Document 22

1. Quel est l'intérêt de la

théorie des organisations ?

2. Qu'est-ce que la culture

d'entreprise et comment peut-elle influencer l'entreprise ?

331 • L'ENTREPRISE : STRUCTURE PRODUCTIVE ET GROUPEMENT HUMAIN

?Document 20

Salariat : des révolutions au goût amer

D iplômes, tertiarisation, déconcentration, fémi- nisation..., en trente ans, le monde du travail a été profondément bouleversé. Et ces changements se sont sou- vent traduits par une dégrada- tion de la situation des salariés.

Moins de un salarié sur cinq

travaillait dans un établisse- ment de moins de 10 personnes en 1975, ils sont plus de un sur quatre aujourd'hui, et la majo- rité d'entre eux travaille désor- mais dans un établissement rassemblant moins de 50 sala- riés. A contrario, plus d'un tiers des salariés était employé en 1975 dans un établissement de plus de 200 salariés. Ils sont moins d'un quart aujourd'hui.

Une évolution bien sûr liée à la

tertiarisation de l'économie,mais pas uniquement. Le mou- vement est sensible au sein de chaque secteur, même dans l'industrie.

Attention : établissement ne si-

gnifie pas entreprise. Beau- coup de ces établissements de petite taille dépendent de grands groupes. De même, pe- tite entreprise indépendante ne signifie pas non plus retour à l'artisanat local. Quoi de plus industriel et de plus multina- tional, en effet, qu'un restau- rant McDonald's avec ses vingt employés ? Et pourtant, il s'agit d'une PME indépen- dante. Sans cesser de concen- trer toujours davantage la conception des produits, des services et des moyens de les produire, le capitalisme est parvenu à rompre la logique séculaire qui l'amenait paral-lèlement à concentrer toujours davantage les salariés. Un mouvement antérieur à l'appa- rition des puissants moyens de communication dont nous commençons à disposer, mais qui devrait encore s'accélérer avec leur diffusion.

Cette révolution a profondé-

ment déstabilisé un mouve- ment ouvrier qui s'était fait une spécialité d'organiser les salariés de ces forteresses ou- vrières. Une dynamique ren- forcée par le droit social fran-

çais qui soumet l'accès à la

plupart des droits des salariés

à des seuils élevés. Dix sala-

riés au minimum, mais le plus souvent 50, comme pour les délégués syndicaux et les co- mités d'entreprise. Cette dé- concentration a eu des effets contradictoires. Elle donnesouvent aux salariés le senti- ment, et les moyens, de peser davantage sur leur environne- ment immédiat que dans les grandes unités du passé. D'où sa perception comme un pro- grès et son rôle dans l'intégra- tion des salariés aux objectifs des entreprises.Mais, dans le même temps, elle rend plus difficile la compréhension de la stratégie globale de firmes bien souvent devenues mon- diales. Cette contradiction

éclate au moment des restruc-

turations et des fermetures d'établissements, laissant aux salariés un goût d'autant plus amer que, quand tout allait bien, ils avaient l'impression d'avoir eu leur mot à dire.

Guillaume Duval

Alternatives économiques,

Hors Série n° 37, juin 1998.

?Document 21

LES FACTEURS DE CONTINGENCE

TailleOn peut la faire varierpar des fusions,scission...ÂgeL'entreprise vieillit quand elle n'estplus capable de s'adapter à son environnementStyles de commandementDéterminent le mode de coordination des activités et donc l'évolution de l'entrepriseEnvironnementL'entreprise influence son environnementL'entreprise est influencée par son environnement

?Document 22

Sommet

stratégique

Objectif :

décider Ligne hiérarchique

Objectif :

établir une autorité

entre le sommet stratégique et le centre opérationnel

Support

logistique

Objectif :

fournir les biens et services nécessaires au bon endroit, au bon moment, au moindre coût...

Technocentre

Objectif :

fournir les spécialistes, les analystes...

Centre opérationnel

Objectif :

accomplir le travail...

MINTZBERG RÉSUME EN SIX ÉLÉMENTS

DE BASE LES INFLUENCES

QUE L'ENTREPRISE PEUT SUBIR

Une idéologie :

autour d'une culture d'entreprise matérialisée par un projet

D'après H. Mintzberg,

Le Management, 1990, Éditions d'Organisation.

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