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Méthode Recommandations pour la pratique clinique

ARGUMENTAIRE SCIENTIFIQUE

Décembre 2017

Ce document

RECOMMANDATION DE BONNE PRATIQUE

Ce document a été adopté par le Collège de la Haute Autorité de Santé en décembre 2017.

© Haute Autorité de Santé 2017

Les recommandations et leur synthèse sont téléchargeables sur www.has-sante.fr

Haute Autorité de Santé

Service Communication Information

5, avenue du Stade de France F 93218 Saint-Denis La Plaine Cedex

Tél. : +33 (0)1 55 93 70 00 Fax : +33 (0)1 55 93 74 00

Tableau 1. Grade des recommandations

A

Preuve scientifique établie

Fondée sur des études de fort niveau de preuve (niveau de preuve 1) : essais comparatifs

randomisés de forte puissance et sans biais majeur ou méta- randomisés, analyse de décision basée sur des études bien menées B

Présomption scientifique

Fondée sur une présomption scientifique fournie par des études de niveau intermédiaire de

preuve (niveau de preuve 2), comme des essais comparatifs randomisés de faible puissance, des études comparatives non randomisées bien menées, des études de cohorte. C

Faible niveau de preuve

Fondée sur des études de moindre niveau de preuve, comme des études cas-témoins (niveau de

preuve 3), des études rétrospectives, des séries de cas, des études comparatives comportant des

biais importants (niveau de preuve 4). AE recommandations ne sont pas pertinentes et utiles. Elle doit, en revanche, inciter à engager des

études complémentaires.

Les recommandations de bonne pratique (RBP) sont définies dans le champ de la santé

comme des propositions développées méthodiquement pour aider le praticien et le patient à

rechercher les soins les plus appropriés dans des circonstances cliniques données. professionnel de santé de faire preuve de discernement dans sa prise en charge du patient, des préférences des patients.

Cette recommandation de bonne pratique a été élaborée selon la méthode résumée en

annexes 1 et 2. Elle est précisément décrite dans le guide méthodologique de la HAS

disponible sur son site : Élaboration de recommandations de bonne pratique Méthode

Recommandations pour la pratique clinique.

CNGOF - HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / décembre 2017 3

Table des matières

Abréviations et acronymes ................................................................................................................................. 5

1. Définition, description, formes anatomo-cliniques, pathogenèse et histoire

................................................................................................ 6

2. Sig

questionnaires de symptômes, de douleur et qualité de vie .......................................... 27

3. --IRM/CT

................................................................. 45 4.

5. Performance des endoscopies diagnostiques (coloscopie, fertiloscopie,

............................... 89

6. ............................................................. 104

7. ....... 113

8. Groupe épidémiologie-diagnostic .................................................................................. 130

9.

l'évolution des lésions par traitement hormonal. .......................................................... 139

10. Antalgiques et alternatives thérapeutiques non médicamenteuses

pluridisciplinaires. ........................................................................................................... 172

11. Place des nouveaux traitements médicaux ................................................................... 186

12. ..................... 200

13. Traitement médical pour la prise en charge

infertilité) : Synthèse ....................................................................................................... 204

14. Endométriose minime à modérée : Résultats du traitement chirurgical sur la

thérapeutiques ? .............................................................................................................. 212

15. Traitement chirurgical des endométriomes. Modalités et résultats en termes de

douleur, fertilité et récidive des techniques chirurgicales et de leurs alternatives .... 221

16. ..... 243

17. Moyens de prévention des complications anastomotiques digestives dans la

............................................................................ 253 18.

prise en charge chirurgicale ........................................................................................... 262

19. Prévention des séquelles fonctionnelles urinaires et digestives, " nerve sparing »

: résultats et modalités techniques ................................................................................ 277

CNGOF - HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / décembre 2017 4 20.

WUDLWHPHQWFKLUXUJLFDOGHO

HQGRPpWULRVH ....................................................................... 286

21. Endometriose extra-génitale : Atteinte pariétales, thoraciques, diaphragmatiques

et nerveuses. .................................................................................................................... 293

22. ...................................... 306

23. n première intention hors FIV ..................................... 311

24. ............................................................. 322

25. Endométriome et prise en charge en FIV ....................................................................... 341

26. Endométriose profonde et infertilité............................................................................... 356

27. Endométriose et préservation de la fertilité ................................................................... 376

28.

29. Validation ......................................................................................................................... 387

Annexe 1. Méthode de travail ....................................................................................................................... 388

Annexe 2. Recherche documentaire............................................................................................................. 391

Annexe 3. Glossaire ...................................................................................................................................... 392

Participants ................................................................................................................................. 393

Remerciements ........................................................................................................................... 396

Fiche descriptive ......................................................................................................................... 397

CNGOF - HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / décembre 2017 5

Abréviations et acronymes

Add-back therapy Hormonothérapie stroprogestative de substitution

AINS Anti-inflammatoires non stéroïdiens

AMM Autorisation de mise sur le marché

AMP Assistance médicale à la procréation

Colo-CT Colo-scanner

COP Contraception stroprogestative

CRV Cloison recto-vaginale

DMO Densité minérale osseuse

DMPA Acétate de médroxyprogestérone

EE Éthinylestradiol

EER Écho-endoscopie rectale

EEV Échographie endovaginale

EP Endométriose sous-péritonéale profonde COC Contraception orale combinée (stroprogestative)

EVA Échelle visuelle analogique

EVS Échelle verbale simple

EN Échelle numérique

FIV Fécondation in vitro

GnRHa Agonistes de la GnRH

IC 95 % Intervalle de confiance à 95 %

ICSI Intracytoplasmic sperm injection

IRM Imagerie par résonance magnétique

LNG Lévonorgestrel

LUS Ligaments utérosacrés

NP Niveau de preuve

OR Odd ratio

RSG Rectosonographie

RV+ ou RV- Rapport de vraisemblance positif ou négatif

Se. Sensibilité

SERM Selective estrogen receptor modulator

SIU Système intra-utérin

SOGC Société des obstétriciens et gynécologues du Canada

Sp. Spécificité

SPRM Selective progesterone receptor modulator

THM Traitement hormonal de la ménopause

TU Torus utérin

TV Toucher vaginal

VPN Valeur prédictive négative

VPP Valeur prédictive positive

CNGOF - HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / décembre 2017 6

1. pILQLWLRQGHVFULSWLRQIRUPHVDQDWRPR-

RPC CNGOF-HAS 2017.

Definition, description, clinicopathological features, pathogenesis and natural history of endometriosis

Résumé

systématiquement pathologique ; elle est considé ovarien et l -

fréquemment multifocale et touche principalement les structures suivantes : ligaments utérosacrés,

cul-de-sac vaginal postérieur, vessie, uretères et tube digestif (rectum, jonction rectosigmoïdienne,

appendice) (NP2).

postérieur du pelvis et à gauche (NP3). Tous les facteurs favorisant le reflux menstruel

mécanismes principaux f

associées à des degrés divers chez une même patiente. La typologie des douleurs

(dysménorrhée, dyspareunie profonde, signes fonctionnels digestifs ou urinaires) est corrélée à la

plusieurs mécanismes non exclusifs : un facteur pelvien, lié

fécondation ; un facteur ovarien, lié à la qualité et/ou la quantité ovocytaire ; un facteur utérin

fécondation in vitro arienne

génétiques et environnementaux. Le risque de développer une endométriose pour les apparentées

perturbateurs endocriniens, est plausible, mais non démontré. temps, que ce soit en termes de volume ou de nombre des lé digestive aiguë ou de perte fonctionnelle

semble exceptionnel. Ces complications ont été révélatrices de la maladie dans la grande majorité

des cas rapportés. La fécondation in vitro CNGOF - HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / décembre 2017 7 suspect à actuellement débattu. -types rares de claires) (NP2). Cependant, le risque

relatif est très modeste (estimé autour de 1,3) (NP2), et le lien de causalité entre endométriose et

des mesures de réduction du risque chez les patientes endométriosiques. CNGOF - HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / décembre 2017 8

Abstract

Endometriosis and adenomyosis are histologically defined. The frequency of endometriosis cannot be precisely estimated in the general population. Endometriosis is considered a disease when it causes pain and/or infertility. Endometriosis is a heterogeneous disease with three well-recognized

subtypes, that are often associated with each other: superficial endometriosis (SUP), ovarian

endometrioma (OMA), and deep infiltrating endometriosis (DIE). DIE is frequently multifocal and

mainly affects the following structures: the uterosacral ligaments, the posterior vaginal cul-de-sac,

the bladder, the ureters, and the digestive tract (rectum, recto-sigmoid junction, appendix). The role of menstrual reflux in the pathophysiology of endometriosis is major and explains the asymmetric distribution of lesions, which predominate in the posterior compartment of the pelvis

and on the left (NP3). All factors favoring menstrual reflux increase the risk of endometriosis (early

menarche, short cycles, AUB, etc.). Inflammation and biosteroid hormones synthesis are the main mechanisms favoring the implantation and the growth of lesions. The pain associated with endometriosis can be explained by nociception, hyperalgia, and central sensitization, associated to

varying degrees in a single patient. The typology of pain (dysmenorrhea, deep dyspareunia,

digestive or urinary symptoms) is correlated with the location of the lesions. Infertility associated

with endometriosis can be explained by several non-exclusive mechanisms: a pelvic factor

(inflammation), disrupting natural fertilization; an ovarian factor, related to oocyte quality and/or

quantity; a uterine factor disrupting implantation. The pelvic factor can be fixed by surgical excision

of endometriosis lesions that improves the chances of natural conception (NP2). The uterine factor can be corrected by an ovulation-blocking treatment that improves the chances of pregnancy by in vitro fertilization (NP2). The impact of endometrioma surgery on the ovarian reserve (NP2) should be considered when surgery is scheduled.

Endometriosis is a multifactorial disease, resulting from the combined action of genetic and

environmental factors. The risk of developing endometriosis for first-degree relatives is five times higher than in the general population (NP2). The identification of the genetic variants involved in the disease is ongoing and for the moment has no implication for clinical practice. The role of environmental factors, particularly endocrine disrupters, is plausible but not demonstrated. Literature analysis does not support the progression of endometriosis over time, either in terms of the volume or the number of the lesions (NP3). The risk of acute digestive occlusion or functional loss of a kidney in patients followed for endometriosis seems exceptional. These complications were revealing the disease in the majority of cases. IVF does not increase the intensity of pain associated with endometriosis (NP2). There is little data on the influence of pregnancy on the lesions, except the possibility of a decidualization of the lesions that may give them a suspicious aspect on imaging. The impact of endometriosis on the course of pregnancy is currently being debated. There is an epidemiological association between endometriosis and subtypes of ovarian cancer

(endometrioid and clear cell carcinomas) (NP2). However, relative risk is moderate (estimated

around 1.3) (NP2) and the causal relationship between endometriosis and ovarian cancer is not demonstrated so far. In view of the low incidence of ovarian cancer associated with endometriosis, there is no argument to propose screening or risk reducing strategies in endometriosis. CNGOF - HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / décembre 2017 9

Recherche documentaire

avec le meilleur niveau de preuve, les plus récents, et préférentiellement les essais contrôlés

randomisés, les revues systématiques, les méta-analyses et les recommandations internationales.

Medline avec référencement des articles les plus

pertinents. Les termes utilisés pour la recherche ont été les suivants : " endometriosis »,

" etiology », " pathogenesis », " infertility », " pain », " progression », " ovarian cancer ». La

recherche a été limitée aux articles publiés dans des revues anglophones avec comité de lecture,

sans limitation de temps. CNGOF - HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / décembre 2017 10

Définitions

systématiquement responsable de symptômes cliniques. Il existe un consensus pour parler

physiologiques ou transitoires (24). landes et/ou de stroma endométrial dans le myomètre avec inflammation et hypertrophie myométriale associées (68) (NP2), suggérant une origine qui pourrait être commune.

cette estimation a été faite au sein de populations de femmes hospitalisées et non dans la

pelviennes chroniques varie de 2 à 74 % dans 11 études (9). Ces études sont très hétérogènes, et

ométriose chez les patientes ayant des algies pelviennes aiguës

serait supérieure à 33 % (9) (NP2). Une incidence annuelle autour de 0,1 % a été rapportée parmi

les femmes âgées de 15 à 49 ans (10) (NP3). La maladie semble plus fréquente chez les

adolescentes souffrant de douleurs pelviennes chroniques : une revue systématique portant sur 15 pelviennes chroniques résistantes aux antalgiques usuels, et chez 70 % des adolescentes avec

sévérité de la maladie pouvait être suspectée au vu de la qualité des études retenues (11) (NP2).

qualité de vie, et les coûts directs et indirects ulation générale sont inconnues, en

raison de la nécessité de réaliser une hystérectomie pour avoir un diagnostic de certitude. Sur la

fréquente chez les multipares autour de la quarantaine, pourrait en fait être rencontrée chez près

Au total :

douleurs et/ou une infertilité.

Formes anatomo-cliniques

ns la cavité pelvienne, mais pas exclusivement. Elles peuvent également se trouver dans la cavité abdominale, au niveau du diaphragme et dans la plèvre. Les formes intra-parenchymateuses (foie, poumon, cerveau, etc.) sont exceptionnelles.

On distingue classiquement trois formes anatomo-

péritonéale liquidien couleur chocolat ; CNGOF - HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / décembre 2017 11

en profondeur à plus de 5 mm sous la surface du péritoine (14). Cette définition étant peu

reproductible et difficile à appliquer pour les anatomopathologistes, il a été proposé de parler

abdomino-pelvien cul-de--25 %), représenté majoritairement par la face

antérieure du rectum et la jonction rectosigmoïdienne, la vessie (10 %), les uretères (3 %) et, au-

touchent en fait le septum rétro-cervical et non la cloison recto-vaginale stricto sensu, qui est

située plus bas 1 et impliquent plus fréquemment les uretères et/ou le tube digestif (22,23) (NP3). sont différentes des autres kyst-kyste », dans la mesure où son origine semble extra- également cruciale pour le développement des endométriomes ovariens, notamment par ent vers un nombreux foyers de glandes et/ou stroma endométrial

précises du myomètre (32). Kishi et coll. ont proposé en 2012 une classification en quatre sous-

types, à partir de critère

myomètre interne (appelée zone jonctionnelle en IRM) ; le sous-type II correspond à une atteinte

du myomètre externe ; le sous-type III correspond à une forme focalisée intra-murale ; et enfin le

sous-

Au total :

ométriose est une maladie hétérogène. On distingue classiquement trois formes, souvent

profonde sont fréquemment multifocales et touchent principalement les structures suivantes :

ligaments utérosacrés, cul-de-sac vaginal postérieur, vessie, uretères et tube digestif (rectum,

jonction rectosigmoïdienne, appendice) (NP2). CNGOF - HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / décembre 2017 12 Rôle du reflux menstruel, inflammation et biosynthèse stéroïdienne menstruelle (34). Cette théorie envisage que des fragments

régurgités, au moment des règles, au travers des trompes de Fallope, puis être déversés dans la

pelviennes, comme dans le cas de selon le principe de la gravité, chez une femme assise ou debout, expliquant la fréquence des

localisations préférentielles autour du cul-de-sac de Douglas (cul-de-sac vaginal postérieur,

ligaments utérosacrés, face antérieure du rectum), qui est le point le plus déclive de la cavité

abdomino-pelvienne (16). Plus de 90 % des lésions profondes se trouvent ainsi dans le

compartiment postérieur du pelvis, contre seulement 10 % dans le compartiment antérieur du

pelvis (vessie) (16) (NP3). La répartition anatomique des lésions dans le pelvis est également

asymétrique, prédominante

droit, en raison du flux horaire du liquide péritonéal et de particularités anatomiques, comme le

niveau pleural, il existe également une préférence pour le côté droit (près de 95 % des cas) (35)

niveau de la coupole diaphragmatique où ils subiraient un passage trans-diaphragmatique au sein

est également renforcée par le fait que tous les facteurs qui augmentent le reflux menstruel, dans

ménarche précoce, des règles prolongées et abondantes, des cycles menstruels courts (37)

(NP2). De nos jours, d

serait beaucoup plus élevé à notre époque (38). Cela reste cependant une hypothèse, un biais

, comme la théorie de la métaplasie

müllérienne, la théorie des emboles lymphatiques et vasculaires, ou encore celles reposant sur le

rôle des cellules souches endométriales ou de progéniteurs issus de la moelle osseuse (3942).

Cependant, aucune de ces théories ne perme

Elles ne sont donc pas retenues pour expliquer la majorité des endométrioses, mais seulement pour rendre compte de certaines formes particulières, comme les localisations intra- parenchymateuses (cerveau, poumon, par exemple). Le reflux menstruel ne pouvant à lui seul

expliquer la greffe endométriale et la survenue de la maladie, il est possible que plusieurs

effet favorisées par certaines caractéristiques moléculaires et cellulaires spécifiques de

: (i) une biosynthèse des

stéroïdes anormale, avec une expression altérée des récepteurs hormonaux (surexpression du

CNGOF - HAS / Service des bonnes pratiques professionnelles / décembre 2017 13 récepteur aux estrogènes, résistance à la progestérone, surexpression

néoangiogenèse plus marqué grâce à une surexpression des métalloprotéinases, du VEGF, etc. ;

(iii) et enfin une réponse inflammatoire très i-6, de

TNF, de stress oxydatif, etc. (1,43,44).

Au total :

dans le compartiment postérieur du pelvis et à sa partie gauche (NP3). Tous les facteurs favorisant

hyperménorrhée, ménorra croissance des lésions. Corrélation entre endométriose et symptômes (douleur, infertilité) (atteinte digestive, par exemple), être parfaitement asymptomatique sur le plan douloureux et de femmes e

donc pas toujours synonyme de maladie. En particulier, la relation causale entre les lésions

de randomisée

portant sur 101 patientes, qui ne retrouve pas de différence significative en termes de fertilité entre

le groupe traité (ablation des lésions péritonéales) et le groupe non traité (45) (NP2). Il a été

triose péritonéale chez 16 % des femmes au premier Fquotesdbs_dbs50.pdfusesText_50
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