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VIVRE SA VRAIE VIE…

Jan 29 2020 la co-direction avec Axelle De Brandt. • Pourquoi "Imagine"? Le nom du Centre est un hommage à la chanson éponyme de John Lennon



Nos racines créoles : les origines la vie et les moeurs

fortune et la loi succède toujours une inégalité imaginaire qui a ses racines Blanc Pays ou Blanc Caraïbe : En Guadeloupe Blanc descendant des anciens ...



« De la musique avant toute chose ?»

Jan 30 2016 instruments de musique



Catalogue des lieux publics ouverts aux événements privés

différents types d'événements tels que séminaires et réunions



Special Beatles studies

Mar 22 2016 ancien étudiant de Cambridge aujourd'hui spécia- ... Bien que rien ne confirme ma salle « imaginaire »



Tu vois ce que je veux dire? : illustrations métaphores et autres

Je remercie également mes amis plus anciens ceux qui habitent d'imaginer ma professeure choisir par hasard





GUIDE PÉDAGOGIQUE

parler des Beatles ! 6. Ma nouvelle prof de français ! Ce jour est le plus beau / le meilleur de ma vie. ... ville sont pour la campagne mais j'imagine.



LACTU

lieu de rencontres intergénérationnelles 23 Les Beatles Days au Creusot ... rue de Charolles disposant d'un ancien local commercial et de trois.



À la redécouverte du Prétoire

réunions une cuisine fonctionnelle

Volume !

La revue des musiques populaires

12 : 2 | 2016

Special Beatles studies

Beatles Studies Special Issue

Olivier

Julien

et

Grégoire

Tosser

(dir.)

Édition

électronique

URL : https://journals.openedition.org/volume/4703

DOI : 10.4000/volume.4703

ISSN : 1950-568X

Éditeur

Association Mélanie Seteun

Édition

imprimée

Date de publication : 22 mars 2016

ISBN : 978-2-913169-40-1

ISSN : 1634-5495

Référence

électronique

Olivier Julien et Grégoire Tosser (dir.),

Volume !

, 12 : 2

2016, "

Special Beatles studies

» [En ligne], mis

en ligne le 22 mars 2019, consulté le 28 juillet 2022. URL : https://journals.openedition.org/volume/ 4703
; DOI : https://doi.org/10.4000/volume.4703

Tous droits réservés

INTRODUCTION DE LA PUBLICATION

Près d'un demi-siècle après l'adoubement des Beatles par Luciano Berio, ce numéro de

Volume !

propose un tour d'horizon de la recherche scienti que sur le groupe dont John

Lennon a

rmait qu'il était encore " plus populaire que Jésus ». Outre une imposante bibliographie couvrant les 50 premières années de ce qu'il est désormais convenu d'appeler les "

Beatles Studies

», on y découvrira entre autres que la

British Invasion

est passée par Paris, que les popular music studies ont débuté par l'étude musicologique des musiques populaires, que la théorie des vecteurs harmoniques peut s'appliquer à la musique pop ou encore que l'album

Abbey Road

mérite d'être analysé à la lumière des concepts développés par Marshall McLuhan. Nearly half a century after Luciano Berio praised the Beatles in his "Commenti al Rock" (1967), this special issue of

Volume!

surveys the research carried out on the band that was, according to John Lennon, "more popular than Jesus". In light of an impressive bibliography covering the rst 50 years of what we now call "Beatles Studies", one learns, for example, that the British Invasion originated in Paris, that Popular Music Studies began with the musicological study of popular music, that the theory of harmonic vectors can help analyze pop music or that Marshall McLuhan's concepts shed an interesting light on albums such as

Abbey Road

SPÉCIAL BEATLES STUDIES

dossier coordonné par Olivier Julien et Grégoire Tosser Cet ouvrage a été publié avec le concours du laboratoire SLAM (axe RASM) de l'université Évry-Val-d'Essonne

Volume ! n° 12-2

2

Volume ! La revue des musiques populaires est une publication semestrielle des éditions Mélanie Seteun, fondée

en 2002 par Samuel Étienne, Gérôme Guibert et Marie-Pierre Bonniol.

Comité de Rédaction

Directeur de la publication

Gérôme Guibert (Université Paris III)

Conseil de rédaction

Emmanuel Parent, Matthieu Saladin, Jedediah Sklower

et Michael Spanu.RéalisationSecrétariat de rédactionEmmanuel ParentMise en page : Béatrice Ratréma

Graphisme de couverture : Matthieu Saladin

Comité de lecture

Arnaud Baubérot (Université Paris-Est Créteil Val-de-Marne)

Andy Bennett (Griffith University)

Christian Béthune (chercheur indépendant)

Hugh Dauncey (Newcastle University)

Simon Frith (University of Edinburgh)

Hervé Glevarec (CNRS)

Éric Gonzalez (Université de Rennes II)

?eodore Gracyk (Minnesota State University Moorhead)

Joël Guibert (Université de Nantes)

Ian Inglis (Northumbria University)

Olivier Julien (Université de Paris IV)

Barbara Lebrun (University of Manchester)

Béatrice Madiot (Université de Picardie II)

Éric Maigret (Université de Paris III-Sorbonne Nouvelle)

Christian Marcadet (Université de Paris I)

Denis-Constant Martin (IEP Bordeaux)

Costin Miereanu (Université de Paris I-Panthéon Sorbonne)

Virginie Milliot (CNRS)

Jean-Claude Moineau (Université de Paris VIII)

Gaëlle Pantin-Sohier (Université d'Angers)

Catherine Pessin (Université de Grenoble)

Christophe Pirenne (Université catholique de Louvain)Roger Pouivet (Université de Lorraine)Dominique Sagot-Duvauroux (Université d'Angers)Jean-Marie Seca (Université de Lorraine)

Will Straw (McGill University)

Philippe Teillet (IEP Grenoble)

Florence Tamagne (Université Lille III)

Marc Touché (MuCem/CNRS)

Sheila Whiteley (University of Salford) †

Patrick Williams (CNRS)

Masahiro Yasuda (University of Leicester)

Comité de parrainage

Howard S. Becker (chercheur indépendant, États-Unis)

Emmanuel Ethis (Université d'Avignon)

Jean-Louis Fabiani (EHESS)

Philippe Gumplowicz (Université de Bourgogne / EHESS)

Antoine Hennion (École des Mines de Paris)

Marc Jimenez (Université de Paris I Panthéon-Sorbonne)

Serge Lacasse (Université de Laval, Québec)

David Looseley (University of Leeds)

Numa Murard (Université de Paris VII)

Bruno Pequignot (Université de Paris III-Sorbonne nouvelle) Philip Tagg (Universities of Salford & Huddersfield) Volume ! est indexée par le Répertoire International de Littéra- ture Musicale (RILM), l'International Index to Music Periodicals

(IIMP) et le Music Index.Les articles sont disponibles sur :- Cairn.info (www.cairn.info/revue-volume.htm) - Revues.org (volume.revues.org/).

Éditions Mélanie Seteun - association loi 1901

15 La Locquenais - 35 580 Guichen

www.seteun.net / editions@seteun.net

Distribution / diffusion : Les presses du réel

http://www.lespressesdureel.com/editeur.php?id=192&menu=2Dépôt légal : mars 2016

ISBN : 978-2-913169-40-1

ISSN : 2117-4148Abonnement : voir p

age 238

Membres de l'association

Catherine Guesde, Gérôme Guibert, Emmanuel Parent, Béatrice Ratréma, Dario Rudy, Matthieu Saladin, Jedediah Sklower,

Michael Spanu et Cécile Verschaeve.

sommaire

D?????? S?????? B?????? S??????

Introduction

Grégoire T?????, " Musicological Fields Forever » ? Les Beatles et la musique au programme 7

Olivier J?????, 50 ans de Beatles studies 15

Les Beatles dans l'histoire

Sarah P??????, Les Beatles et la naissance de la culture jeune en Grande-Bretagne 55 Jeremy T??????, " Within You Without You » : les Beatles et la gauche britannique 75 Ian I????? & Charlotte W??????, L'histoire, l'endroit et le moment : le déclenchement de la British Invasion 87

Sgt. Pepper : paroles et musique

Sheila W???????, " Tangerine trees and marmalade skies » : bouleversement culturel ou simple besoin d'évasion ? (document) 109 Matthieu T???????, L'utilisation du studio d'enregistrement dans Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band 129

Volume ! n° 12-2

4

Que peut la musicologie ?

?omas M??F??????, Une approche mosaïque d'Abbey Road 145 et computationnels au service des Beatles 161 Philippe C????, La nostalgie chez les Beatles : vers une application de la théorie des vecteurs harmoniques à la musique pop (note de recherche) 181

Enseigner les Beatles

Michael Brocken, ?e Beatles, Popular Music and Society - ou comment rapprocher l'université et l'industrie du tourisme lié aux Beatles (tribune) 193

H??? ???????

Hommage

Tribute to Sheila Whiteley : Sheila, Take a Bow 205

Notes de lecture 217

Par Richard M???????. 218

Lee M??????? ? Dave L???? (eds.), Popular Music Matters, Essays in Honour of Simon Frith,

Farnham, Ashgate, 2014.

Par Jeremy Joseph V?????. 220

Nick C???????, Networks of Sound, Style and Subversion: ?e Punk and Post-punk Worlds of Manchester, London, Liverpool and Sheffield, 1975-1980, Manchester,

Manchester University Press, 2015.

Par Loïc R???. 223

Toronto, University of Toronto Press, 2015.

Par Russell R??????. 225

5

Volume ! n° 12-2

Toronto, University of Toronto Press, 2009.

Par Craig J?????. 228

Biographies des auteurs 231

Catalogue 238

7

Volume ! n° 12-2

Quand, en mai 2014, paraît le pro-

gramme des épreuves du concours littéraire d'admission à l'École normale supérieure pour la session 2015, la nouvelle question de l'option musique en khâgne, qui doit s'inscrire dans l'ère chronologique " de 1750 à nos jours », prend de court les enseignants comme les étu- diants. Simplement libellé " ?e Beatles », assorti de la mention de deux " albums de référence 1 » (en lieu et place des habituelles " partitions de réfé- rence »), Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band et

Abbey Road, le thème retenu succède à la problé-matique " Schubert après Beethoven (mars 1827 -

novembre 1828) » et côtoie une question intitulée " Le chromatisme : 1550-1750 2 ». Il n'a échappé à personne que, depuis quelques années, les pro- grammes des examens et des concours de musique et d'éducation musicale et chant choral (bacca- lauréat, CAPES, agrégation...) proposent, de plus en plus fréquemment, des questions et des théma- tiques qui induisent un élargissement des zones géographiques, historiques, mais aussi stylistiques d'ordinaire fréquentées par la musicologie 3. Certes,

les objets d'étude de la musicologie universitaire se parGrégoire Tosser *Université d'Évry-Val-d'Essonne

" Musicological Fields Forever » ?

Les Beatles et la musique au programme Intro

duction 8

Volume ! n° 12-2

Grégoire Tosser

font aujourd'hui plus variés et ne concernent plus seulement ce que l'on a coutume de nommer la " musique savante occidentale », qui correspondait auparavant (et il y a encore peu) au domaine de la quasi-totalité des questions de concours, mais aussi des articles, des mémoires de master, des thèses de doctorat, etc. Cependant, le programme " musique » des CPGE (Classes Préparatoires aux Grandes Écoles) faisait figure de dernier bastion où le blues, le jazz, le rock, le rap, la chanson, le chant pygmée (liste non exhaustive) et même, faut-il le préciser, la musique immédiatement contemporaine, n'avaient pas encore pénétré. Loin de moi la volonté d'exa- miner ici la teneur et la portée politiques ou idéo- logiques qui sous-tendraient le fait même d'inclure les Beatles dans un programme de concours, loin de moi le désir de reprendre le combat de la " basse culture » contre la " haute culture » : le fait est que l'affichage dont la question " Beatles » jouissait dans un programme de concours remettait sur la table la question, non pas tant de sa légitimité, mais de sa perception par les enseignants de musique et musi- cologie dans leur approche pédagogique, même s'il n'y avait pas à rechercher longtemps une bibliogra- phie sur la question, certes récente et marquée par les universitaires anglophones, mais abondante et substantielle 4. Néanmoins, devant le désarroi manifeste des pré- parateurs, et face à l'absence d'une bibliographie

scientifique francophone conséquente, c'est, dans un premier temps, pour aider les étudiants de khâgne à préparer le concours d'entrée qu'a été orga-

nisée, le 6 novembre 2014, une journée d'étude, à l'université d'Évry-Val-d'Essonne. Intitulée " ?e Beatles : approches historiques, sociologiques et musicologiques », elle a réuni des collègues cher- cheurs et universitaires qui abordent la musique des Fab Four selon trois angles principaux : l'histoire, la civilisation britannique et la musicologie 5. Le contexte institutionnel d'une question de concours a permis de mobiliser les chercheurs sur ces trois axes - ce qui montre que la situation française, même si elle reste assez éloignée de celle qui permet l'ouverture d'un master estampillé " Beatles » tel que le décrit Michael Brocken dans ce dossier, est riche d'une recherche qui, certes, n'accorde pas une place décisive à la musicologie, mais revendique en revanche, à la manière des popular music studies depuis le début des années 1980, un fort ancrage pluridisciplinaire et est ainsi parcourue par des études universitaires qui tendent à s'accroître et à se diversifier (études anglophones, langues et littéra- tures étrangères, histoire culturelle, histoire sociale, fan studies, sociologie de la réception, etc. 6). Le présent dossier, " spécial » à plus d'un titre, est donc né de la volonté de produire un outil de référence, collectif et en langue française, sur les Beatles. Animée par le dialogue avec le champ des Beatles studies, la recherche qui se donne à lire ici emprunte des chemins qui sont ceux d'une musi-

* L'auteur adresse ses plus vifs remerciements à Inès Taillandier-Guittard et aux collègues du département Arts-

Musique de l'université d'Évry-Val-d'Essonne et du laboratoire SLAM (Synergies Langues Arts et Musique), ainsi

qu'à Emmanuel Parent. " Musicological Fields Forever » ?9

Volume ! n° 12-2

cologie consciente des enjeux des études cultu- relles contemporaines et requérant pleinement son inscription dans les sciences humaines. Décision fut prise de s'appuyer sur les contributions de la journée " Beatles » de 2014 en les assortissant d'articles issus du monde anglophone, écrits et/ou traduits pour l'occasion. La recherche sur les Beat- les se heurte à ce constat paradoxal, relevé par de nombreux auteurs : il s'agit d'une musique connue de tous, mais dont l'étude scientifique a tardé à se construire. Cela tient en partie au fait que les musiques appartenant à une " t radition phonogra- phique 7 » constituent encore pour la musicologie un champ d'investigation récent - loin d'être inédit, mais pourtant encore inhabituel, dans lequel l'analyse de la partition et de la trace écrite laisse place à une focalisation sur le son. La dif- ficulté d'appréhension du corpus est d'autre part souvent combinée à la nécessité d'une légitimation scientifique de l'objet d'étude " Beatles ».

L'introduction

d'Olivier Julien met en perspective la problématique de la légitimation et de l'accré- ditation scientifiques dans le panorama historio- graphique de " 50 ans de Beatles studies » ; pour ce faire, il livre et commente une bibliographie dense, actualisée, sur les Beatles, montrant que l'objet d'étude " Beatles » préside à l'émergence des popular music studies et explique l'intérêt sus- cité pour les musiques populaires, dans le cadre des sciences humaines et de la musicologie. Repre- nant cet aspect dans le domaine historique, Ber- trand Lemonnier se fait également l'écho de cet aspect, premier et fondamental. Dans son article - dont le titre fait d'emblée apparaître le " H » du

mot " Histoire » qui semble bel et bien le sym-bole d'un bien-fondé majuscule -, il rappelle, en préambule de ce qu'il nomme une " ego-histoire »

tout à fait édifiante, que l a " légitimation de l'objet historique "Beatles" n'a pas été si évidente à éta- blir ». En coda de cet exercice réflexif, l'étonnante tribune de Michael Brocken revient sur la création d'un master a priori improbable, car intégralement consacré à un groupe de musique : l'objet " Beat- les » est alors envisagé comme paradigme des musiques populaires, mais aussi comme institu- tion patrimoniale et véritable ressort économique et touristique à l'heure des villes créatives. Les champs culturels et politiques explorés par les historiens et les civilisationnistes (Guereña, 2007) concernent, dans les années 1960, les transfor- mations et les bouleversements auxquels les Beat- les ont pleinement pris part ou qu'ils ont parfois même initiés. Ainsi, Sarah Pickard relie clairement, dans le contexte sociologique des baby-boomers des années 1960, la naissance de la culture des jeunes (teenagers) à l'essor d'une musique qui leur est ouvertement destinée. Dans ce même contexte de Beatlemania, Jeremy Tranmer étudie les circons- tances dans lesquelles la gauche britannique s'est vue contrainte de se positionner vis-à-vis des Beat- les - ouvrant ainsi la voie aux relations complexes qui relient les instances politiques et les personna- lités musicales, entre politisation de la production musicale et médiatisation des goûts culturels et musicaux de la classe politique. Ces phénomènes à l'ampleur inédite, et dans lesquels les Beatles ont joué un rôle prépondérant, touchent également la diffusion musicale et commerciale : les Fab Four sont à l'origine de la British Invasion, dont Ian Inglis et Charlotte Wilkins détaillent " l'histoire, 10

Volume ! n° 12-2

Grégoire Tosser

l'endroit et le moment », c'est-à-dire le déclenche- ment " parisien » de janvier 1964. Tout en inondant le marché américain du disque, les Beatles inflé- chissent fortement le cours de l'histoire musicale des années 1960 - puisque de nombreux groupes anglais s'engouffrent dans la brèche, tandis que la réponse américaine ne se fait pas attendre. Après l'annonce de leur décision de ne plus se pro- duire sur scène, les Beatles se consacrent pleine- ment, à partir de la fin de l'année 1966, au studio d'enregistrement, considéré comme un outil musi- cal à part entière. Matthieu ?ibault en décrit l'utilisation, dans le premier album qui consacre cette nouvelle façon d'envisager la production musicale, Sgt. Pepper's Lonely Hearts Club Band (1967). Souvent décrit comme la bande son du

Summer of Love, cet album majeur a suscité des

analyses dans des domaines divers et variés, qui insistent tour à tour sur son aspect contre-culturel ou sur sa portée psychédélique, examinant la véra- cité de la notion de concept album, etc. S'attachant prioritairement aux paroles des chansons de cet album, Sheila Whiteley

8, dans un article de 2008

dont est proposée ici la traduction, s'interroge sur la perception de Pepper en tant que " tournant culturel » ou manifestation d'un " simple besoin d'évasion » tout en jetant un regard rétrospectif sur sa première analyse du disque (1992). Enfin, la dernière section du dossier propose des perspectives analytiques qui montrent plusieurs facettes de la musicologie adossée aux sciences humaines ou aux mathématiques. Se donne ici à lire un défrichage méthodologique pluriel dans lequel est plongée la musicologie depuis plusieurs années 9.

Le plus souvent, les chercheurs mettent en oeuvre les outils analytiques adaptés à la musique savante (et généralement tonale) pour les appliquer aux musiques populaires. Le saut épistémologique, inhé-

rent à toute pratique interdisciplinaire dès lors que l'objet observé est neuf, est d'une certaine manière domestiqué par un cadrage critique et scientifique serré. S'inspirant des lois des médias de Marshallquotesdbs_dbs26.pdfusesText_32
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