[PDF] Monographies ALBE pour le site de Racines





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dosenseig- castleau 3.qxp

au nord jouxtant le comté d'Auvergne et le duché de Guyenne. de Turenne



1ers seigneurs de Gourdon

5 févr. 2022 Barons de Castelnau-Montratier ; seigneurs de Gourdon Gaiffier



Monographies ALBE pour le site de Racines

vers 930 à l'abbaye de Beaulieu par le vicomte Frotard. Un peu plus tard ( 987 ) le seigneur de Gramat



Guély Vicomté de Turenne 2 tidied

La frontière entre ces deux peuples est parfaitement artificielle traversant les étendues calcaires et plates du Causse



Dictionnaire de la noblesse contenant les généalogies

http://www.corpusetampois.com/che-18-lachesnayedesbois2ed02.pdf



CYCLE 4 HISTOIRE. CLASSE DE CINQUIEME THEME 2. SOCIETE

Or Raimon II acquit en 1178 la seigneurie de Saint-Séré du comte d'Auvergne. Encerclant ainsi la baronnie de Castelnau le vicomte de Turenne tint à devenir le 



Untitled

pour choisir entre Castelnau et Saint-Céré paraissent dépassées



Le nord du Lot

Le nord du Lot est un territoire de transition entre le Massif Central et le Bassin Aquitain 3.2 – La puissance de la vicomté de Turenne.



Archives départementales de la Corrèze - Série H. Clergé régulier

Fondée entre 857 et 859 l'abbaye bénédictine Saint-Pierre de Beaulieu était un des plus avec le vicomte de Turenne ; avec le chapelain de Collonges.



Le nord du Lot

Le nord du Lot est un territoire de transition entre le Massif Central et le Bassin Aquitain 3.2 – La puissance de la vicomté de Turenne.

Albe monographies des paroisses Transcription G. Peyrot (2004) 1/517

Monographies des paroisses

autour de Thémines (entre Causse et Limargue) chanoine Edmond Albe

Transcription :

Gérard Peyrot

Avec la participation de Paulette Aupoix

Editions du ver luisant

Albe monographies des paroisses Transcription G. Peyrot (2004) 2/517

PREFACE du 10/01/2017

de la section histoire locale Ce livre, imprimé en 2005 par l'Association RACINES, actuellement épuisé, ne sera pas réédité, c'est pourquoi nous avons pensé intéressant de le mettre à votre disposition sur ce site.

Liste des paroisses de l'ouvrage

"monographie des paroisses autour de Thémines" : (pages 5 à 302)

Albiac

Alvignac

Assier

Aynac Bio

Cardaillac

Carlucet

Corn

Couzou

Durbans Espédaillac Fontanes-Lunegarde Gramat Grèzes Lacapelle-Marival et St-Maurice Livernon Mayrinhac-Lentour Miers Quissac Reilhac Reyrevignes Rudelle Rueyres Saignes St-Simon Scelles Sonac Thémines Théminettes

Vous trouverez à la fin du livre les transcription par Gérard Peyrot de monographies d'autres paroisses qui n'apparaissaient pas sur l'ouvrage imprimé, il nous a permis de les utiliser. Qu'il soit vivement remercié de les mettre ainsi à disposition de tous ceux qui seront intéressés. Liste de ces autres paroisses (voir détail à partir de la page 303) :

Anglars

Autoire

Boussac

Brengues

Calès

Cambes

Camburat

Espeyroux

Ginouillac

Issepts Labathude Lacave Le Bastit Le Bourg Le Bouyssou Loubressac Molières Montfaucon Montvalent Padirac Reilhaguet Rignac Rocamadour St-Pierre-Toirac Séniergues St-Bressou Mialet Ste-Colombe Terrou Thégra

Albe monographies des paroisses Transcription G. Peyrot (2004) 3/517

Edmond Albe (1861-1926)

Notice bibliographique

Edmond Albe naît à Figeac le 18 septembre 1861, dans une famille nombreuse. Il commence ses études classiques au collège de cette ville, puis les continue au petit séminaire de Montfaucon et ensuite au grand séminaire de Cahors. Il est ordonné prêtre le 20 septembre 1884. L'évêque de Cahors l'envoie suivre les cours de l'Institut catholique et de la faculté des Lettres de Toulouse. Il occupera ensuite la chaire de rhétorique à Montfaucon, avant d'y enseigner l'histoire. Il sera envoyé à Rome pour étudier l'histoire religieuse du Quercy dans les archives vaticanes. Il y passera trois années en tant que chapelain à St Louis des Français. Il fera ensuite de longs séjours à Paris pour travailler à la Bibliothèque et aux Archives nationales. Il partira à Londres dans l'espoir d'y trouver des informations sur les relations entre le Quercy et l'Angleterre, mais il en revient déçu. L'évêque de Cahors lui confie la direction de la paroisse de Notre Dame de Saint-Georges à Cahors, puis le nomme archiviste diocésain ou il pourra se consacrer à ses études. Rédacteur en chef de la Revue religieuse de Cahors et de Rocamadour, il sera également aumônier de l'institution Jeanne d'Arc à

Cabessut.

Chanoine honoraire depuis 1905, il deviendra titulaire en 1917. Membre correspondant de la Société des Etudes du Lot depuis 1896, il en sera le président à partir de 1911, mais son état de santé faiblissant, il sera nommé président d'honneur. Edmond Albe laissa d'importants travaux publiés, avec de nombreuses notes manuscrites. Sa santé ne lui laissera pas le temps de publier, avec A. Viré, le dictionnaire des paroisses du diocèse de Cahors comprenant 452 monographies.

Edmond Albe meurt à Cahors, le 28 juin 1926.

Albe monographies des paroisses Transcription G. Peyrot (2004) 4/517

AVANT-PROPOS

Lecteurs, avant de tourner cette page, la décence à votre égard m'oblige à justifier ce recueil. Après une vie bien remplie, lorsque la vie bascule vers cette dernière étape au crépuscule de la vie, on se trouve souvent attiré par l'aventure du retour en arrière. Ayant décidé de revenir vivre à Thémines je fus d'autant plus surpris de découvrir tout le poids du passé des lieux de nos ancêtres à la lecture d'une monographie écrite par un ancien instituteur M. Cros. Ma curiosité fut entière face à cette histoire du village et des familles qui ont depuis plusieurs siècles accompagnés mes ancêtres. La passion aidant, me voilà pris d'une envie d'en savoir davantage sur le passé du village qui a bercé mon enfance. Une approche bibliographique s'imposait et ce fut le chanoine Albe, historien de grande notoriété, et auteur de nombreuses monographies de toute la région, qui eu la primeur de ma soif de connaissance. Aussi pour mieux m'imprégner de tout le travail du chanoine, il m'est apparu qu'il était préférable de transcrire les textes pour éviter les survols d'une lecture trop rapide. Thémines représentant à la fois le village et l'illustre famille du même nom, il a fallu dans un premier temps, limiter les recherches à la période allant de l'origine de cette famille jusqu'à son transfert sur Gourdon, et limiter les communes qui ont eu de près ou de loin une interaction sur cette famille des Thémines ainsi que sur les autres familles qui se sont illustrées dans la gestion de cette Commune. Le transcripteur n'a eu d'autre ambition, en écrivant ces pages, que celle de les consacrer à la mémoire de son village ainsi que de rendre la lecture plus facile à tous ceux qui manifesteront de la curiosité à cette région. Que ce lecteur face preuve de toute son indulgence pour les imperfections qu'il relèvera. Nous avons choisi une transcription fidèle des documents originaux, y compris les annotations, afin de laisser le soin au lecteur l'analyse et la compréhension du texte. L'oeuvre du chanoine Albe correspond plutôt à des notes qu'à un document définitif, aussi on sera parfois surpris par le style. La richesse de sa documentation et la pertinence de ses remarques font de ces monographies des documents de référence. Malgré la relecture et les conseils avisés de Madame Aupoix, il est arrivé que certains mots soit restés illisibles.

Gérard PEYROT

Albe monographies des paroisses Transcription G. Peyrot (2004) 5/517

ALBIAC

Histoire

Le nom en latin. Il est toujours de Albiaco ; en français, dès le XVIe siècle

1. Il prend la forme Albias, comme pour la petite ville quercynoise des

bords de l'Aveyron, et suit les mêmes changements. On dira également : le

Bias, du Bias, au Bias. Encore au XIX

e siècle on trouve ces dernières formes, notamment dans les lettres de 1835 adressées par le curé de Bio au sujet de la mort du curé d'Albiac " comme le plus près voisin d'Albias il annonce la mort du recteur dudit Bias ».

La paroisse

Albiac est une toute petite paroisse assez souvent unie, sous un même curé, à la paroisse de Bio. Elle a cependant son importance historique. Elle existe en effet de longue date. Un acte du vieux cartulaire de Cahors, rapporté par Baluze, nous apprend que l'église Saint-Pierre d'Albiac, en la vicairie d'Aynac, en Quercy, appartenait d'abord à l'abbaye de Marcillac. Elle passa, probablement par suite d'une de ces spoliations dont le X e siècle fut coutumier, entre les mains des barons de Gramat. Vers la fin de ce siècle, elle revint en des mains cléricales, mais non pas dans celles des moines de la vallée du Célé. En effet l'église d'Albiac est donnée par Hugues de Castelnau et sa femme Hermendrude à l'église de Cahors. Comme il s'agit, dans l'acte en question, d'un renouvellement de donation, nous pensons que la première donation était en réalité une restitution à Marcillac, mais cette abbaye, fille du chapitre de Cahors, dut conclure un arrangement avec les chanoines, et voilà pourquoi c'est à ceux-ci que fut faite la seconde donation. L'église servait de titre clérical au fils des donateurs, Pétrone, qui devait être reçu au nombre des chanoines. Ils ajoutaient à cela diverses possessions dans le pays environnant. La date donnée est 986 ou 987, d'après Lacoste. ( I, p. 384 ). Foulhiac préférait celle de 937, n'admettant pas d'autre évêque du nom de Frotaire que celui qui gouverna l'église de Cahors de 936 à 971.

2 Il est question d'Albiac dans le testament de ce Ranulphe qui fonda le

monastère de Fons ( 972), et qui donna au ( prieuré ) d'Albiac le mas de Roumegoux qui dépend de Saint-Laurent : " mansum de Romegos sancti

Laurentie ad Albiaco remaneat. »

1 Il avait cette forme beaucoup plus tôt, et notamment au XIIIe. Voir la donation de Gisbert de Thémines fondateur

de l'Hôpital-Beaulieu 1253 (Doat 123, f. 196)

2 Il est question d'Albiac dans le testament de ce Ranulphe qui fonda le monastère de Fons ( 972 ), et qui donna au

prieuré d'Albiac le mas de Roumegoux qui dépend de Saint-Laurent " mansum de Romagos sancti Laurentii ad Albiaco

remaneat ». Albe monographies des paroisses Transcription G. Peyrot (2004) 6/517 On trouve Saint-Pierre d'Albiac, tantôt comme annexe de Saint-Hilaire de Bio, tantôt comme paroisse isolée. En 1298, guillaume de Saint-Cyr en était le recteur ; sur sa résignation, l'église fut conférée, en 1309, à Bertrand de St-Vincent ; un Bertrand de la Tour la régissait avant 1348 ; son neveu Pierre de la Tour l'obtient par bulle du 24 octobre ; elle passait l'année suivante aux mains d'Hugues Amblard, après avoir été possédée par Raymond Delbos. Elle fut donnée, en 1376, à Guillaume de Carayrol, qui la tenait encore en 1388. Ces détails empruntés aux archives Vaticanes sont les seuls que nous ayons sur Albiac comme paroisse indépendante de Bio. Dès le XV e siècle, elle suit au point de vue religieux, les destinées de cette dernière paroisse. Albiac et Bio faisaient partie de l'archiprêtré de Thégra et de la congrégation foraine de Bio.

Quelques noms de vicaires desservant Albiac

Durand Vaysset ou Vayssole, 1603- 1615 - Guillaume Malvezi, 1624- 1632 - Falsimagnes, 1618 - Jean Castel, 1640 -Géraud Castanié, 1645 - Pierre Faure,

1643 - Jean Labories, 1650 - Ferrières, 1676 - Joseph Clarety, 1746

3 - Guillaume Clamagir, 1766. Il refusa le serment comme son curé Marbo et fut remplacé par le vicaire de Rueyres, Rey Géraud, curé constitutionnel d'Albiac. Voir la liste des curés et vicaires de Bio. EN 1770, la paroisse comptait 110 communiants.

La seigneurie

Elle appartenait à la famille des Thémines mais relevant de la baronnie de Gramat : en 1242, Gisbert de Thémines, hommagea au Roi, entre autres choses pour le fort d'Albiac ( fortericium ). Cette seigneurie passa ensuite à une branche de la famille de Castelnau de Gramat, ( XIV e ) puis à la famille de Roquemaurel par mariage aux La Tour d'auvergne ( XVIII e). On trouve aussi une famille noble du nom d'Albiac. Jean d'Albiac, qui était le chef, condamné, nous ne savons pas pourquoi, peut-être pour avoir été du parti anglais au début de la guerre de cent ans, quoiqu'il en soit, ses biens furent saisis et mis aux enchères. Ces biens furent achetés par un bourgeois de Figeac, Me Delbreil ( de Brolio ), avocat au parlement. Barasc de Castelnau, chevalier, coseigneur de Thémines, suscita des embarras à Belesgarde, veuve de l'acheteur et à ses enfants, pour s 'emparer de la directe de ces biens. Le Parlement donna raison à Belesgarde et à son fils Pierre Delbreil, héritier de Guillaume et de son frère aîné Bertrand. Le chevalier fut débouté (1351) ( Archives du Parlement de Paris ).

3 Celui-ci dépose en 1676 au sujet de la guérison de noble Joseph de Roquemaurel, fils du

seigneur d'albiac par l'intercession d'Alain de Solminiac. Albe monographies des paroisses Transcription G. Peyrot (2004) 7/517 Il est question des possessions de cette famille Delbreil dans le testament (1360 ) de Marguerite de Castelpers, fille et dernière héritière de

Guillaume ( collection Doat, 44 ).

Les Roquemaurel, venus d'Auvergne au XV

e siècle comme héritiers des Castelnau de Thémines, ils furent également seigneurs de Thémines et d'Albiac

4. Ils eurent des difficultés avec la Prieure des Fieux (près de Miers),

Marguerite de Vayrac ( 1536), qui soutenait contre le chevalier Aymeric de Roquemaurel, que Barascon de Thémines avait donné à sa maison de l'ordre des Hospitaliers de Saint-Jean, la moitié du lieu d'Albiac. Il y eut une transaction,

et jusqu'à la Révolution, le prieuré des Fieux, puis le prieuré de L'Hôpital-

Beaulieu, auquel il fut uni au début du XVII

e siècle, perçurent une certaine quantité de rentes sur cette paroisse ( Archives de la Haute-Garonne, fonds de Malte ) et, d'après un état de 1630, il avait la moitié de la seigneurie. 5 En 1668, ces rentes se montaient en grains à 242 livres, 2 sols, 2 deniers, en argent, à 4 livres, 17 sols 10 deniers. Un membre de cette famille de Roquemaurel, Louis, se disait en 1668, prieur d'Albiac dans un acte d'hommage rendu au Roi, comme fondé de pouvoir de son neveu Jean-Joseph, fils de Jean-Marc et héritier de la terre et seigneurie d'Albiac. Cette famille a donné deux chefs à l'abbaye de Figeac. Begon de Roquemaurel, élu en 1410, approuvé par le Pape en 1413. Il prit possession par l'intermédiaire d'Aymeric de Roquemaurel prieur de Saint-Félix et gouverna le monastère jusqu'à sa mort. Antoine de Roquemaurel fut le dernier abbé régulier de la célèbre abbaye, puis c'est sous son gouvernement qu'elle fut sécularisée, en 1536, par Paul III et changée en collégiale. Par mariage de la dernière héritière de cette famille qui eut de très belles alliances, Marianne de Roquemaurel, la seigneurie d'Albiac, passa à une branche de la maison de La Tour d'Auvergne ( fin XVIIIe ). Il faut lire, dans les généalogistes, la série des Roquemaurel d'Albiac.

Autres seigneuries d'Albiac

Il faut relever le nom du château de la Pèze, qui n'a eu quelque importance qu'aux XV e et XVIe siècles : Alliances avec les Pontanier du Saulon et les Turenne d'Aynac ( 1540, noble Jean de la Pèze, écuyer, seigneur de la Pèze, 1449, Bernard donzel résidant à Castelnau ) et celui du château de Las

Combes.

Aux XVII

e Et XVIIIe siècles une branche des du Faure de Prouillac qui habitait Las Combes est partie de la commune de Bio. ( voir Bio ) Les de Colomb de Loumagne avaient des biens dans la paroisse d'Albiac.

4 Ils le restèrent presque jusqu'à la Révolution.

5 Voir hommage et dénombrement, en 1503, de ce Guillaume de Roquemaurel (papiers Greil 138, f. 152v) moitié de la

seigneurie d'Albiac, justice haute, moyenne et basse, moulins dont il paie rente à la prieure des Fieux.

Albe monographies des paroisses Transcription G. Peyrot (2004) 8/517 La commanderie du Bastit avait certaines rentes dont lui faisait reconnaissance, en 1557, Begon de Roquemaurel (Arch. Hte-Garonne ), elles lui venaient de Barascon de Thémines. Le village d'Aygues, entre La Pèze et Albiac, fut donné, en 1256 à l'abbesse de Leyme, par Hugues de Thémines. La notice sur Albiac se complète par celle de Bio. Le seigneur d'Albiac avait dans Albiac la direction de plusieurs métairies : Nicolle, le Ségala, qu'il arrente à part. Plusieurs articles d'Albiac étaient de la mouvance d'Aynac. Signalons une importante famille bourgeoise : les Nabinal ( XVII- XVIII e siècles) voir Bio. L'abbesse de l'hôpital Beaulieu avait cent sétiers de rentes en blé sur Bio et Albiac, conséquence de la fondation, en 1253, par Gisbert de Thémines. Albe monographies des paroisses Transcription G. Peyrot (2004) 9/517

ALVIGNAC

Au premier abord, il semble que ce nom soit le même qu'Albignac, Aubignac, ( et Aubigné, Aubigny etc ). Du latin Albini-arum. La chose n'est pas tout à fait aussi sûre quand on voit faire des donations à l'abbaye d'Aubazine, dans la région, par les membres d'une famille de Livignac ( da livinhac ), XII e siècle. Mais le nom de Alviniaco se trouve beaucoup plus tôt ( Xe siècle ), et le même Cartulaire d'Aubazine nous mentionne un lieu de Vieil Alvinhac entre Roc-Amadour et Calès. Il faut donc nous en tenir à l'étymologie courante.

Historique

Notre Alvignac avait une certaine importance, puisque d'après un document du Cartulaire de Beaulieu, il fut le chef-lieu d'une vicairie, qui comprenait au moins la villa de Mayronne, le port sur la Dordogne et la roche aussi, ( moutem mandronensem ) d'où sourd le Limon qui vient d'Alvignac ( Deloches, n° XLVIII). Quelques mas dépendant de cette villa étaient donnés vers 930 à l'abbaye de Beaulieu par le vicomte Frotard. Un peu plus tard ( 987 ), le seigneur de Gramat, Hugues de Castelnau, donnait à l'église de Cahors quelques terres situées dans Alvignac. Au siècle suivant, dans les premières années de son épiscopat, l'évêque Géraud ( 1068 à

1083 ) donna plusieurs églises au nouveau prieuré de Carennac. Parmi ces

églises se trouve celle de Rignac. Nous pouvons conclure qu'Alvignac était compris dans le don, bien que la charte ne le nomme pas, car les deux églises étaient souvent annexes l'une de l'autre. D'ailleurs la bulle de 1175 les nomme toutes les deux parmi les possessions du prieuré ( Cartulaire de Cluny ) Toute la seigneurie d'Alvignac n'était pas donnée au prieuré avec la paroisse ou la possession ecclésiastique. De là de nombreuses difficultés provenant de cequotesdbs_dbs14.pdfusesText_20
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