[PDF] Libéralisme et interventionnisme : Analyse comparée des opinions





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Libéralisme et interventionnisme : Analyse comparée des opinions

Au début des années. 1980 le retournement de l'opinion a donc été aussi brutal qu'inattendu. Revue de l'OFCE n° 68 / janvier 1999. Page 2. (Duhamel



Le libéralisme social demeure-il une alternative

Jean-Luc Gaffard Sciences Po-OFCE



Working Paper

Jean-Luc Gaffard Sciences Po-OFCE



Le libéralisme social demeure-t-il une alternative?

23 nov. 2020 Nice Sophia Antipolis) Xavier Timbeau (Sciences Po





POLITIQUES EUROPEENNES DE CONCURRENCE ET

30 nov. 2010 OFCE - Centre de recherche en économie de Sciences Po ... b) Ordo-libéralisme et économie sociale de marché : quelles prescriptions de ...



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Libéralisme et interventionnisme - ResearchGate

Libéralisme et interventionnisme Analyse comparée des opinions sur le rôle économique de l’Etat et du gouvernement Revue de l’OFCE n°68 / janvier1999 (Duhamel 1985) Des idées



THÉORIE ÉCONOMIQUE ET PHILOSOPHIE DE LA MESURE - OFCE

sous l’effet de luttes sociales et désormais comme conséquence inéluctable de la contrainte écologique Le message d’une nécessaire régulation du marché par l’intervention publique porteuse d’un libéralisme social ou d’un social libéralisme semble appartenir à un passé révolu



Revue 134 ENG - OFCE

Philippe Weil a présidé l’OFCE de 2011 à 2013 à la suite de Jean-Paul Fitoussi qui a succédé en 1989 au fondateur de l'OFCE Jean-Marcel Jeanneney Le président de l'OFCE est assisté d'un conseil scientifique qui délibère sur l'orientation de ses travaux et l'utilisation des moyens Présidents Jean-Luc Gaffard et Henri Sterdyniak



Dirigisme et libéralisme : l'Etat dans l'industrie - JSTOR

Au moment où fait fureur le retour au libéralisme et la condamnation sous toutes ses formes des méfaits ou de l'inefficacité du dirigisme il peut paraître utile de s'interroger plus prosaïquement sur la portée et la signification de cet interventionnisme de l'État dans le domaine industriel Rappelons au

Qui a inventé le libéralisme?

    Il fut notamment illustré par des penseurs comme Léon Bourgeois, premier président de la Société des Nations et Prix Nobel de la paix, ou le philosophe Alain. Libéralisme : une doctrine ou un répertoire de valeurs ?

Quelle est la théorie du libéralisme ?

    1.1 Selon la théorie du libéralisme, il faut laisser les individus libres de se faire compétition pour favoriser la performance et l’innovation. 1.3 Les écologistes croient que l’humain n’est pas supérieur aux autres éléments de la nature et qu’il doit vivre de manière équilibrée avec son environnement plutôt que de chercher à le dominer. 16

Quelle est la différence entre le libéralisme et l'interventionnisme ?

    Aux termes des meilleurs dictionnaires économiques, le libéralisme affirme en effet que le meilleur système est celui qui garantit le libre jeu des initiatives individuelles ; l'interventionnisme consiste à compter principalement sur des interventions des pouvoirs publics pour obtenir les principaux résultats visés par la politique générale.

Quel est le fondement de l’interventionnisme ?

    L’« exceptionnalisme » est aussi au fondement de l’interventionnisme. La force morale des institutions américaines fait un devoir aux États-Unis d’intervenir pour défendre à l’extérieur les valeurs sur lesquelles ils ont été créés, et cette défense correspond à leurs intérêts nationaux.
Libéralisme et interventionnisme : Analyse comparée des opinions

Libéralisme et interventionnisme

Analyse comparée des opinions sur le rôl

e

économique de l'Etat et du gouvernemen

t dans six pay s

Michel Fors

Directeur de recherche au CNR

S

Conseiller scientifique à l'OFC

E Une analyse comparée des opinions sur le rôle économique de l22Etat e t du gouvernement dans six pays peut être menée à partir d'un sondag e réalisé dans le cadre de l 'International Social Survey Programen 1996 ou

1997. Ces opinions économiques se structurent selon deux pôles très tra

n- ché s: libéralisme et interventionnisme, qui constituent deux attitudes ayant chacune une forte cohérence interne Les Espagnols se révèlent être les plus interventionnistes, alors que le s Américains sont les plus libéraux. Allemands, Suédois, Tchèques e t Français sont moins radicaux, mais ces derniers sont les plus proches d e la position libérale américaine. Il s'agit là de positions relatives. Dans l a plupart des cas, les opinions interventionnistes restent majoritaires e n France. Elles le sont d'ailleurs souvent aussi aux Etats-Unis. Toutefois, e n moyenne et relativement aux autres pays, elles le sont moins Alors que dans chaque pays les caractéristiques politiques ou sociale s des enquêtés expliquent bien, et de façon assez similaire, le degré d'adh sion au libéralisme, il est frappant de constater que la hiérarchie des pay s quant à ce degré d'adhésion n'est pas corrélée avec des indicateurs co u- rants de conjoncture macroéconomique ou politique. En fait, les attitude s économiques varient selon des facteurs de plus long terme que ceux qu i sont en jeu dans la seule conjoncture L'idée selon laquelle le progrès économique se réalise au travers d e l'action publique a en France des racines fort anciennes (Kuisel, 1984) dont l'évocation nous ferait remonter jusqu'au colbertisme, et qui expl i- quent la persistance de "la centralité de la figure de l'Etat» (Rosanvallon, 1990). Les années de forte croissance et de plein emplo i qui ont suivi la Seconde guerre mondiale présentaient toutes les cara c- téristiques pour que l'interventionnisme continue à avoir très largemen t les faveurs des Français (Suleiman et Courty, 1997). Au début des année s

1980, le retournement de l'opinion a donc été aussi brutal qu'inattend

uRevue de l'OFCE n°68 / janvier1999 (Duhamel, 1985). Des idées relevant du libéralisme économique trou- vaient pour la première fois un écho favorable. Ce mouvement s'es t poursuivi et même amplifié jusqu'au début des années 1990. E n1993 e t1994, plusieurs enquêtes témoignent en effet d'un relatif reflux. Sans retrouver les niveaux des années 1960, des indicateurs très différents tr a- duisent cet effritement. Par exemple, en analysant les réponses à un e question comme "Pour faire face aux difficultés économiques, pensez- vous qu'il faille faire confiance aux entreprises et leur donner plus d e liberté, ou qu'il faille au contraire que l'Etat les contrôle et les régl e- mente plus étroitemen t? », Guy Michelat et Michel Simon (1996) cons- tatent que "le terme 'libéral' de l'alternative, minoritaire en 1978 et (à un moindre degré) en 1980, devient majoritaire en 1982, culmine en 198 6 (6

5% contre 26% à 'contrôle de l'Etat') et 1990, pour ne plus faire que

jeu égal avec l'option contraire en 1994 (4

4% contre 45%)».

Le libéralisme économique ne se confond pas avec le libéralisme cu l- turel. Ils concernent des populations en majorité différentes socialemen t ou politiquement, mais les deux ont au total, et malgré ce dernier rev i- rement, progressé au cours des trente dernières années, marquant de c e fait le progrès d'un "système de valeurs anti-autoritaires» (Grunberg et Schweisguth, 1990). Les Français demandent toujours à l'Etat d'assure r son rôle protecteur, mais ils critiquent de plus en plus les exécutifs lor s- qu'ils prennent des mesures ou adoptent des réformes sans concertatio n préalable avec ceux qui sont concernés (Hérault et Lapeyronnie, 1998) Comme le note Denis Olivennes (1997) à partir d'un sondage réalisé e n

1996, 7

2% des personnes interrogées pensent que la réforme de l'Etat

est urgente Compte tenu de ces évolutions, les Français sont-ils aujourd'hui e n matière d'opinions économiques dans une position aussi originale qu e certains le pensen t? En comparant les réponses à un sondage réalisé de manière identique dans vingt-cinq pays en 1996 ou 1997, notamment su r ce thème de l'intervention économique de l'Etat, il va être possible d e mieux cerner cette position. Pour simplifier et pour des raisons de disp o- nibilité de données, nous ne retiendrons dans cette étude que six pays outre la France (avec un échantillon de taille négale à 1312): l'Allemagne (n=3518), l'Espagne (n=2494), la Suède (n=1238), la

Tchéquie

(n=1100) et les Etats-Unis (n=1332) - voir l'annexe pour la description technique de cette enquête L 'emprise de l'Etat sur trois secteurs économique sUne première série de questions concerne l'emprise économique de l'Etat. Doit-il gérer l'électricité, les hôpitaux et les banques ou faut-i l recourir au secteur priv é? Pour une majorité de Français (74% de ceux qui se prononcent), les banques devraient relever du secteur privé. Il e n 22

0Michel Forsé

va de même, quoique dans une mesure un peu moindre (57%), de l'é- lectricité. En revanche, 7

1% pensent que le secteur hospitalier est de la

compétence de l'Etat Le type de commune de résidence et le sexe n'introduisent pas d e fortes différences d'appréciation. Tout au plus, les hommes et les urbain s penchent davantage que la moyenne pour une gestion privée de s banques. Il en va de même des plus jeunes, y compris pour l'électricité mais l'avancée en âge est davantage corrélée avec le choix d'une gestio n privée des hôpitaux. Plus on est à droite, plus on souhaite dans tous le s domaines une privatisation. Les indépendants et les cadres y sont le s plus favorables. Ensuite, cette attitude décline à mesure que l'on descen d dans la hiérarchie socioprofessionnelle des salariés Les autres pays membres de l'Union européenne présentent un profi l identique à celui de la France pour la gestion des hôpitaux et des banque s (tablea u1). Le contraste est moins fort en Espagne pour les banques (5

6% pour le privé, parmi ceux qui ont une opinion) ou beaucoup plus

accentué en Suède pour les hôpitaux (

6% pour le privé). En revanche,

contrairement à la France, ces autres pays préfèrent confier l'électricité l'Etat. La Tchéquie fait davantage confiance à l'Etat dans tous les doma i- nes (avec des scores de l'ordre de 8

0%), tandis qu'à l'autre extrême les

Américains préfèrent à peu près dans les mêmes proportions et dan s tous les cas une gestion privée. Au total, la France s'avère ici être le pay s d'Europe le plus proche de la position libérale américaine Opinions sur le libéralisme et l'interventionnism e21 1

.Degré d'approbation d'une gestion privée plutôt qu'étatiquedans trois secteurs économiques selon les pays

E n%, parmi ceux qui se prononcent *ElectricitéHôpitauxBanques Franc e56,629,174,2

Allemagn

e46,729,563,0

Espagn

e38,720,855,5

Suèd

e35,76,263,3

Tchéqui

e18,916,924,3

Etats-Uni

s79,773,877,9* Ceux qui ne se prononcent pas ou ne peuvent choisir entre une gestion privée ou publique représentent

respectivement pour l'électricité, les hôpitaux et les banques, en France 7, 8 et 1

1% de l'ensemble des

enquêtés, en Allemagne 14, 11 et 1

6%, en Espagne 24, 15 et 25%, en Suède 13, 7 et 17%, en Tchéquie

9, 5, et

9% et aux Etats-Unis 12, 13 et 13%.

Sourc e: Enquêtes ISSP 1996 (1997 pour la France).

Les domaines de l'intervention économique

Ceci n'empêche pas les Français de penser à une très large majorit (environ 8

0% et plus de ceux qui ont une opinion) qu'il incombe au

gouvernement de contrôler les prix, d'assurer les soins de santé, de do n- ner un niveau de vie décent aux personnes âgées et aux chômeurs, d e donner des bourses aux étudiants issus des milieux les plus défavorisés de réduire les écarts entre riches et pauvres, d'assurer un logemen t décent aux plus démunis, de faciliter le développement industriel tout e n imposant des lois strictes pour préserver l'environnement, de souteni r financièrement la création d'emploi et les industries pour développe r des technologies nouvelles. Ils sont un peu moins nombreux, mais tou t de même 7

3%, à souhaiter que le gouvernement trouve les moyens de

garantir un emploi à chacun. Ils sont moins sûrs (6

6%) qu'il revient au

gouvernement d'assouplir la réglementation du commerce et des affaire s ou (7

0%) qu'il faille soutenir les industries en difficulté pour sauver les

emplois qui y sont menacés. Mais c'est finalement, dans ce contexte trè s interventionniste, l'opinion selon laquelle le gouvernement devrai t contrôler les salaires qui recueille le moins de suffrages (5

3%). Juste

après (5

9%), et donc parmi les mesures les moins populaires, vient l'i-

dée que le gouvernement devrait réduire la durée du travail pour crée r des emplois nouveaux D'une manière générale, moins on est diplômé ou plus on est proch e des catégories populaires, plus on est interventionniste. Bien sûr cett e attitude est d'autant plus fréquente que l'on est à gauche. Les femme s apparaissent également plus interventionnistes que les hommes. Elle s sont 6

4%, contre 52% des hommes, à penser que le gouvernement

devrait réduire la durée du travail. Les indépendants sont plus libéraux bien que les agriculteurs soient favorables au contrôle des prix. L'âge n e joue pas systématiquement dans le même sens. Plus on est âgé, plus o n soutient l'idée d'un contrôle des prix ou des salaires, mais dans la pl u- part des cas plus on est jeune, plus on est interventionniste Ces corrélations montrent que les termes de libéralisme et d'inte r- ventionnisme utilisés ici ne sont pas à entendre en un sens strictemen t doctrinal. L'adhésion à l22interventionnisme est le fait des groupes sociau x les plus fragiles économiquement. Elle traduit donc un besoin de prote c- tion. C'est d'ailleurs moins la doctrine de tel ou tel économiste ou group e d'économistes qu'une attitude d'ensemble vis-à-vis des problèmes éc o- nomiques que vise l'un ou l'autre de ces deux termes A l'instar de la France, tous les pays d'Europe penchent pour le s mesures interventionnistes, l'Espagne étant le plus radical. Une mesur e comme le contrôle étatique des salaires y est davantage approuvé e qu'ailleurs. Il en va de même pour le soutien aux entreprises en diff i- culté, qui est en revanche une mesure très désapprouvée par le s Tchèques. Les Suédois sont ceux qui souhaitent le plus une réduction d e 22

2Michel Forsé

la durée du travail, réduction sur laquelle les Espagnols sont d'ailleurs plus réservés. Comme précédemment, les Américains sont les plus lib raux, bien que sur la majorité des questions les réponses interventio n- nistes l'emportent. Ils ont à peu près la même attitude que les Suédoi s pour ce qui est du soutien aux industries en difficulté, mais ils rejoignen t les Tchèques pour rejeter la réduction de la durée du travail (tablea u2). Opinions sur le libéralisme et l'interventionnism e2232.Opinions sur le soutien aux entreprises en difficulté et la réduction de la durée du travail selon les pay s E n%

Soutenir les industries en difficult

Ou iNonNi Oui,Ne se pro- Ni No nnoncent pas Franc e67,214,515,33,0

Allemagn

e67,515,215,12,2

Espagn

e78,35,410,65,7

Suèd

e49,821,725,13,4

Tchéqui

e36,336,920,26,6

Etats-Uni

s47,724,724,53,2

Réduire la durée du travai

l Ou iNonNi Oui,Ne se pro- Ni No nnoncent pas Franc e57,225,015,42,4

Allemagn

e51,324,422,22,1

Espagn

e47,424,416,811,3

Suèd

e59,518,419,22,8

Tchéqui

e21,546,225,46,9

Etats-Uni

s26,742,328,22,8Source: Enquêtes ISSP 1996 (1997 pour la France).

Les dépenses publique

sCette attitude relativement interventionniste dans tous les pays n'em- pêche pas les enquêtés de souhaiter que l'Etat réduise ses dépenses Mais tous les secteurs du budget ou de l'économie ne sont pas égal e- ment touchés par ce souhait

En France, dépenser plus pour la défense (

8% sont d'accord), la cul-

ture (15,

3%), les allocations de chômage (24,3%), les retraites (37,4%),

la police (40,

5%) ou l'environnement (42,9%) recueillent une minorité

de suffrages parmi ceux qui ont une opinion. En revanche, la sant (52,

1%) et surtout l'éducation (62,9%) apparaissent comme des sec-

teurs prioritaires qui nécessitent une augmentation des budgets qui leu r sont d'ores et déjà consacrés Education, culture et environnement sont d'autant plus prisés que l'on est jeune. La santé et les allocations de chômage sont surtout l e souci des âges intermédiaires, tandis que les retraites, la police et l a défense ont davantage les faveurs des plus de 60 ans. Le désir de voir le s postes budgétaires de l'environnement et de la culture s'accroître est peu près d'autant plus fort que le niveau de diplôme est élevé. La rel a- tion est inverse pour les autres dépenses. Un effort supplémentaire pou r l'éducation fait l'objet d'un consensus (sauf chez ceux qui ont quitté l' cole avant le lycée ou les plus diplômés du supérieur). Parmi les salariés l'effet de la catégorie socioprofessionnelle va relativement dans le mêm e sens que celui du diplôme, mais ce sont les employés et les profession s intermédiaires qui réclament le plus une augmentation des dépense s pour l'éducation. Les indépendants sont peu favorables à l'augmentatio n des dépenses de l'Etat, bien que les agriculteurs plaident pour un accroi s- sement du budget de la police ou de l'armée et soient surtout sensible s à une augmentation des retraites. Le sexe n'introduit pas de différence s d'appréciation en ce qui concerne l'environnement, la santé ou les retra i- tes, mais les hommes sont plus nombreux à vouloir une augmentatio n des dépenses pour la police ou l'armée, alors que les femmes accorden t la priorité à l'éducation, la culture et aux allocations de chômage. L e type de commune de résidence n'entraîne pas d'écarts de réponses forts On note toutefois une tendance à demander davantage de dépenses pou rquotesdbs_dbs31.pdfusesText_37
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