Une ontologie du quatuor à cordes: philosophie de la musique pour
15 juil. 2015 Les quatuors de Beethoven ont longtemps fourni un modèle aussi bien pour leur ... instruments à cordes
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1 juil. 2012 Jeudi un tribunal local avait annoncé la fin des travaux d'exhuma- ... ment de leur système. ... judiciaire entre la France et le Maroc.
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système judiciaire ukrainien. Le choix de tribunaux ukrainiens n'est donc pas un élément motivant pour des investisseurs internationaux.
Annexes
FRED ET JAMY A LA DECOUVERTE DU SYSTEME SAUVETAGE DU PATRIMOINE ARCHITECTURAL. 02h07m27s. SCIENCE 2 ... TRIBUNAL D INSTANCE SILENCE ON FERME. 01h44m36s.
M. Jospin souligne la « confusion » à droite
1 juin 2022 ment et les cours et tribunaux ». Seul le pouvoir judiciaire semble échap- per à la coupe présidentielle l'article 12 soulignant que la ...
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20 nov. 2001 patrimoine mondial de l'Unesco la maison ... compulsé les archives du tribunal de Cracovie ... cès ou le recours à nos systèmes finan-.
La littérature à lécole
Au cycle 3 la lecture des textes fictionnels s'accompagne encore de difficultés de repérage dans le système des personnages comme dans le système
20 ANS DE CHANSONS A LAUTOMNE DE LA VIE
Music engineer: Ian Terry. Additional piano performances by Richard Gresko. “ Always Saying. Goodbye” . Performed by Rex Smith. Music by Lewis Furey. Lyrics by
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9 avr. 2019 Pierre Allart 50 ans
LE COUPLE STAR DE LOPÉRA
30 avr. 2020 Romances pour violon et orchestre Symphonie n° 1 op. 21
INTRODUCTION
8 9 10 11 12 13 14 15 16 17PARTIE 1
UNE ONTOLOGIE
DE LA FORMATION INSTRUMENTALE
18 19 CHAPITRE 1. LE QUATUOR À CORDES, UN OBJET TRIPLE1. PRÉSUPPOSÉS DÉFINITIONNELS ET THÉORISATION DU QUATUOR COMME
ENSEMBLE
Le quatuor à cordes désigne tout à la fois trois réalités différentes. Il est, de prime abord, une
formation composée de deux violons (premier violon 2violoncelle. Il est ensuite, et par extension, un genre né dans la seconde moitié du XVIIIème
musique pure. ĜĜĜ :tous les styles et toutes les évolutions esthétiques. Son répertoire est donc immense comme en
ĜĜRépertoire universel du
quatuor à cordes 3 . Pour sa première édition 4Ĝ 300 compositeurs et plus de
26000 quatuors. La démarche est claire : répertorier tous les quatuors existants. Un index
chronologique des compositeurs par pays complète le recensement alphabétique, ce quiĜatuor sur la quantité,
quatuors dans 102 pays 5 . De ce point de vue, il est véritablement un genre de premier plan 2Le terme de " Premier violon Ĝ
ce rôle. En Allemagne et en Autriche, on parle de " Primarius Ĝ En Angleterre, le terme employé est celui de " leader Ĝ des autres. 3 Francis Vuibert, Répertoire universel du quatuor à cordes, Paris, Proquartet, 2012. 4Une seconde édition est à paraître prochainement, puis une troisième également dans quelques
annéesĜ 5 Francis Vuibert, Ibidem, Ĝ : " Les compositeurs de quatuor à cordes figurant dans leLes pays répertoriés (par ordre alphabétique) : Afrique du Nord, Albanie, Allemagne, Argentine,
Arménie, Australie, Autriche, Azerbaïdjan, Belgique, Biélorussie, Bolivie, Bosnie-Herzégovine,
Brésil, Bulgarie, Cambodge, Canada, Chili, Chine, Chypre, Colombie, Congo, Corée du Sud, Costa Rica, Croatie, Cuba, Danemark, République Dominicaine, Egypte, El Salvador, Equateur, Espagne,Estonie, Etats-Unis, Finlande, France, Géorgie, Ghana, Grève, Guatemala, Haïti, Hongrie, Inde,
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2. LES CARACTERISTIQUES ESSENTIELLES DU QUATUOR A CORDES
Le quatuor possède selon nous quatre caractéristiques essentielles ĜHomogénéité des timbres
quatre instruments de la même famille, de même facture ; quatre instruments à cordes frottées,
à la sonorité très proche Ĝ
dans son : Les violons surtout peuvent se prêter à une foule de nuances en apparence inconciliables. Ils ont (en masse) la force, la légèreté, la grâce, les accents sombresĜsavoir Ĝ
Ĝe calculer pour eux, comme pour les instruments à vent, la Ĝtenue, de leur ménager de temps en temps des silences ; on est bien sûr que la respiration ne leur manquera pas. Les violons sont des serviteurs fidèles, intelligens, actifs et infatigables. 35cordes graves a un mordant particulier, ses notes aigues brillent par leur accent fait égal à celui des seconds violons, et les qualités expressives de ce timbre sont si saillantes que, dans les très rares occasions où les anciens compositeurs le mirent en 36
Le violoncelle est un chanteur au timbre langoureux : rs, leur timbre sur les deux cordes
Ĝ Ĝ lus
voluptueusement mélancolique et plus propre à bien rendre les thèmes tendres etĜĜsur la chanterelle. Ils
compositeur, à choisir les cordes sur lesquelles la phrase sera exécutée. Les deux 35Hector Berlioz, Paris, Ed. Henry Lemoine, 1952, p. 33.
La partie consacrée au violon
: p. 2-33. 36IbidemĜ : p. 34-38.
33Violon 1 Note la plus grave :
SOL 2 environ* clef de sol AiguViolon 2 Note la plus grave :
SOL 2 environ* clef de sol Medium-aiguAlto Note la plus grave :
DO 2 environ* clef ǯ͵ et clef de sol Medium-graveVioloncelle Note la plus grave :
DO 1 environ* clef de fa, et clef de sol Grave 3435
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quatre parties, donc des accords de quatre sons, fondements Ĝ
Bernard Fournier précise ainsi, en note :
Sauf doublement de certaines lignes, avec pour effet de réduire la densité des accords, ou utilisation dans le cas des instruments à cordes de doubles, triples ou quadruples cordes, ce qui ne peut être ĜĜture pour quatre voix ou quatre instruments monodiques produit naturellement des accords de quatre sons. 48Les raisons de la permanence de cette association de quatre instruments Ĝ musique savante occidentale Ĝ musical (harmonique surtout), historique,
esthétique et certainement aussi symbolique. La dernière caractéristique du quatuor à cordes,
et certainement la plus importante, Ĝson équilibre dialogique. Elle mérite un développement plus importantĜ implique de travailler sur les notions de conversation, de dialogue et dialogisme. Nous lui consacrons donc une partie séparée.3. ǯÉQUILIBRE DIALOGIQUE PROPRE AU QUATUOR A CORDES
Dès son origine, le quatuor à cordes est pensé comme un dialogue, Stendhal parle, dans Vie de
Haydn,
assister à la conversation de quatre personnes aimables. Elle trouvait que le premierĜĜĜ, de moyen âge, beau parleur, qui
soutenait la conversation dont il donnait le sujet. Dans le second violon, elle reconnaissait un ami du premier, qui cherchait par tous les moyens à le faire briller,Ĝsation plutôt en approuvant ce
homme solide, savant et sentencieux. Il appuyait les discours du premier violon par des maximes laconiques, mais frappantes de vérité. QuĜĜ femme un peu bavarde, qui ne disait pas grand-chose, et cependant voulait toujours les autres interlocuteurs avaient le temps de respirĜ instruments. 49Deux lectures de ce texte sont envisageables. La première est historique, elle consiste à affirmer que le quatuor classique est la tranĜ 48
Bernard Fournier, Eshétique du quatuor à cordes, Paris, Fayard, 1999, note 1 de la p. 29. 49
Stendhal, Lettres sur Haydn, Lettre VI, 2 octobre 1808, dans , Paris, Stock,
1999, p 53.
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CHAPITRE 2. QUAND LA QUESTION
ǯUSIQUE ENTRE DANS LA
SPHÈǯ
1. ENJEUX MÉTHODOLOGIQUES : LE QUATUOR COMME PARADIGME ?
Le quatuor à cordes peut-il avoir, dans ce travail, le statut privilégié de " paradigme » ? Il
Ĝun tel terme implique et
tirons, de ce travail définitionnel, les conclusions nécessaires. Le mot " paradigme » vient du
mot grec paradeïgma qui signifie " modèle » ou " exemple ». Ce substantif vient lui-même de
paradeïknumi qui signifie " montrer » ou " comparer », ce verbe étant lui-même construit sur
deïknumi, " désigner ». Le mot grec a donc déjà en son sein une certaine ambigüité. Exemple
ou modèle ? Un exemple illustre, éventuellement éclaire ou donne un aspect plus concret à
nos propos. Un modèle, Ĝ : il sert alorsĜĜ représentation.
Ĝr ce qui nous entoure, ce que propose Platon dans le Timée 81par exemple. Dans la Trilogie formée par Timée, Critias et Hermocrate, Platon décrit en effet po
ètes grecs
82. Certes le Timée est une brillante cosmologie, un mythe fondateur, mais il est grande variété des thèmes et des questions abordées : Aussi est-il particulièrement difficile de dissocier ce qui, dans le Timée, ressortit à mathématique, physique, chimie, biologie, médecine, psychologie, économie, sociologie, politique et même religion. Tous ces thèmes se confondent en un même écheveau, inextricable. Aucun de ces domaines ne présente une véritable autonomie,
Ĝ ; reconnaître cette
Ĝ Ĝ donner les moyens de résister à la tentation deĜĜTimée est sans contredit un ouvrage
le premier que nous soit parvenu dans son intégralité 8381
Platon,
Timée, Paris, Flammarion, 1995. (Trad. fr. de Luc Brisson.) 82Notamment Hésiode.
83Luc Brisson, introduction, Platon, Timée, Critias, GF Flammarion, Ed. de 1992, p. 11-12. 60
61
Ĝ Ĝ ntales et la nature de leurs
articulations avec les genres musicaux, son statut de paradigme pourra être conservé tout au long de notre travail Ĝ Ĝil faudra alors repréciser son rôle et son statut dans serons donc en mesĜ Après avoir défini le quatuor à cordes comme ensemble et avoir synthétisé en quatre travailler sur de musique déterminés. Commençons donc par examiner ce que les philosophes pensent de 2. POURQUOI RÊǯE SANS INSTRUMENT ? OU LE SYMPTÔME DESCHLOEZ
ER Boris de Schloezer, dans son Introduction à Jean-Sébastien Bach, théorise lĜ savante et rigoureuse, dans laquelle se croisent de multiples influences telles que la pensée de Hegel, celle de Bergson, la phénoménologie, le structuralisme, ou encore, les théories de ait figure de référence en philosophie de la harmonique 86. É Ĝnt y est rejeté, rabaissé, et cette négation de le lecteur perplexe. Il écrit ainsi :
Ĝculture musicale occidentale,
Ĝ musique
européenne toutes les cultures musicales ont toujours été et sont encore soumises aux instruments dont elles disposent Ĝ 86Boris de Schloezer, Introduction à Jean- , Paris,
Gallimard, 1947.
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qualitatifs non seulement par le jeu de timbres, par les combinaisons instrumentales (en ayant donc recours aux sons dérivés ou harmoniques), mais aussi en composant avec les éléments fondamentaux de nos échelles les agrégats appelés accords. 100
Ces deux points semblent dessiner une difficulté. Boris de Schloezer, critique et mélomane, a Ĝu mieux une pâle image, au pire une vision tronquée, de la réalité initiale. Boris de Schloezer le philosophe, lui, tente de démontrer que cet appauvrissement p
Ĝ-Ĝal
chez Schubert, guitare chez de Falla et percussion chez Stravinski décolorer » révèle à lui seul les ambiguïtés du discours de Boris de Schloezer. Le Ĝrespecté, un philosophe de la musique de premier ordre confère aux résultats de cette étude un
poids certain Ĝ Ĝ Toutefois, depuis quelques années, certains penseurs semblent avoir pris un tout autre3. JERROLD LEVINSON ǣǯ ǯIE DE
Dans un article fondamental intitulé - ?
101, Jerrold Levinson
ĜĜ " » : il désigne par-Ĝ
musique occidentales classiques. Cette remarque limi Ĝ Premier constat, les philosophes ont toujours eu, semble-t-Ĝ Ĝs telles que la musique ou la littérature. Comme souvent dans affirmer sa ĜĜ ěĜ inéluctablement dans une subjectivité qui ne fait pas bon ménage avec les exigences Ĝ 100Ibidem, p. 235-236.
101Jerrold Levinson, , " Ĝ-Ĝ ? », Paris,
6869
70
71
foncièrement platoniste) et une Ĝ. Sa structure est donc composée, Levinson parle de " structure complexe » et aboutit à la formule suivante (OM) Une structure S/ ME en Comprenons dès lors que le contexte musico-historique est fonction du moment et de la
ĜĜstructure indiquée, en
Ĝructure pure per se de laquelle elle est dérivée. De cette distinction en naît une autre, ce qui est inévitable puisque les structures sont comprises dans les types : à chaque structure son type. Un type implicite comprend unestructure purement abstraite (exemple la structure sonore pure). Le type initié, quant à lui, a
second type, elle doit être initiée pour exister. Une dernière précision permettra decomprendre pleinement le lien qui unit le type à son instance. Levinson précise, en effet, à la
Ĝdes instances ; une
terme de " platonisme modéré ». La composition musicale se présente comme nécessairement
personnalisée et elle doit être considérée comme une activité historiquement enracinée, dont
aussi pris en compte. Par cet article, Jerrold Levinson semble fournir les éléments théoriques
nous Ĝ4. BERNARD SÈVE : QǯVIENT LUI-MÊME OBJET
Dans son ouvrage
105Bernard Sève fait lui
aussi un geste philosophique fort ĜĜ ; une place essentielleĜ est en effet la
" condition organologique de la musique », ce que la plupart des philosophes de la musique semblent ignorer, rappelle-t-ĜĜĜ Ĝ 105Bernard Sève, op. cit.
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CHAPITRE 3. INSTRUMENTS ET TEMPORALITÉ MUSICALE
1. BERNARD SÈVE RÉUNIT LÀ OÙ JERROLD LEVINSON SÉPARE
Ĝmusicale comme un tout cohérent et clos ; Ĝ nous appelons " analytique Ĝque de la musique. LĜalors mis sur le processus temporel et Ĝ mét hode que privilégie Bernard Sève, par exemple. Ce parti pris méthodologique estinextricablement lié à une autre question, celle du point de vue. Le philosophe analytique opte
Ĝ Ĝ Ĝautres
ĜĜ. La question de
Ĝ -il intégrer à notre ontologie des questions esthétiques ?ĜĜformation instrumentale peut-Ĝ
ĜĜet sur la question de la temporalité
vécue ? Pour répondre à cette question, no Ĝ philosophiques. sont donc, pourĜĜe sa critique de la
philosophie analytique est la plus vive. Il expose ses principaux arguments dans de musique, une étude philosophique 120, résumons-les : - Ĝ, à tort, par les philosophes analytiques, comme un objet inerte. - ĜĜĜ : " leurs différences sur cette question ne sont pas négligeables, mais ce sont des différences 121
120
Bernard Sève,
121Ibidem, p. 311.
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En effet, Jerrold Levinson sait parler du teĜ
ĜintèĜ
dans un autre ouvrage, intitulé Music in the moment 126, il quitte les terres de la philosophie analytique pour explorer des contrées plus phénoménologiques, et dans ces pages, il philosophes sur un point spécifiquement litigieux. se préoccupe pas de ce temps interne parce que le regard du philosophe se situe sur un autre plan. Bernard Sève pense les fluctua Ĝ , là où
Jerrold Ĝ
sommes donc face à deux partis- Ĝ ontologie et temporalité musicale est une erreur, les articuler comme les Ĝmême diptyque, ce que semble faire Levinson, pourrait être une solution intéressante. Il nous
2. LE CONCATÉNATIONISME MODÉRÉ DE LEVINSON
Les thèses de Music in the moment rentrent en contradiction avec les idées classiques 127. Dans la préface, Levinson expose son but de manière claire The primary and explicit aim of this book, however, is to combat the notion, often only implicit in the writings of many music commentators and theoricians, that Ĝ ę in particular, large-scale structural relationships, or spatialized representatĜę before the mind is somehow central to, even essential for, basic musical understanding. 128
126
Jerrold Levinson, Music in the Moment, N.Y, Cornell University Press, 1997. Traduction française par Sandrine Darsel : musicale, Rennes, Presses
Universitaires de Rennes, 2013.
127Boris de Schloezer, op. cit. ĜĜĜ
synĜĜ 128musicale ę en particulier les relations structurelles de grande échelle ou encore les représentations
Ĝ- constitue un élément central voire essentiel pour la 8081
o Ĝ o Ĝ o o Ĝ 82
ĜĜĜde sa
pensée de la musique et analyserons ce diptyque ontologie/réception comme un ensemblecohérent. Si, au contraire, nous ne parvenons pas à établir de liens profonds entre les deux
textes, nous considérerons que Jerrold Levinson rencontre les mêmes difficultés que les autres
philosophes analytiques, difficultés énoncées par Bernard Sève. Le lien entre ces deux théories est à rechercher dans le concept de structure. LorsqueĜ forme au sens
uns aux autres. ĜĜĜ , Ĝnce singulière de
Ĝ Ĝ structure, ce qui
Ĝ, paradoxalement, Ĝ -architectonique, ce qui donne Ĝêtre à sa théorie concaténationiste.Nous Ĝ
Sève souligne effectivement les faiblesses de la philosophie analytique maĜĜMusic in the Moment.
3. APPORTS PROUSTIENS ET NUANCES
Nous souhaitons compléter cette théorie concaténationiste grâce à un éclairage proustien
132Le rapprochement peut surprendre et pourtant un passage fleur 133
entrer en résonance avec les propos précédents 134
. En quoi la première écoute est-elle 132
Ĝ : François Sabatier, La
musique dans la prose française, Paris, Fayard, 2004, p. 589-692. Plus spécifiquement sur les quatuors
de Beethoven dans La Recherche : p. 614-615 et sur cette quĜ mémoire dans La Recherche : p. 683-684. 133Marcel Proust, A la recherche du temps perdu, volume II, (1918), Gallimard, Pléiade, 1964, t. I, 529-532. 134
Ce rapprochement entre Ĝ
Ĝ-Charles de Gaulle. Voir aussi
Ĝ p. 31-32. Il prend cet exemple littéraire
ĜĜ habitus culturel ».
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1. ǯ-ǯINSTRUMENTALE ǯ
PHILOSOPHIQUE ?
Nous défendons la thèse suivante : la formation instrumentale est un instrumentarium ontologiquement indépendant. Même si la thé Ĝ concepts 139), nous sommes convaincus de soĜ 140
possèdent la devient autonome, ontologĜ-
ĜĜinstrumentarium devient formation.
Ĝ : En 1940, Olivier
nette, violon et Le Boulaire) et un violoncelliste (Etienne Pasquier). Le Quatuor pour la fin du temps est donc quatre instruments Ĝ instrumentations identiques ne suffisen Ĝ instrumentale 141139
Jerrold Levinson, "
Ĝ-Ĝ ? », op. cit.
140quotesdbs_dbs25.pdfusesText_31
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