[PDF] [LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 07/02/02





Previous PDF Next PDF



Jean-Marie Messier sexplique

12 nov. 2002 s'est engagé pour la guerre la plus meurtrière de l'histoire de Fran- ... Reflex la réunion



[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 07/02/02

7 fév. 2002 Canada les villes de Van et de Kars



Sans titre

Aquaductstraat 38-40 Rue de l'Aqueduc B-1060 BRUSSEL-BRUXELLES 393: Bruxelles 1890-1986



[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 13/12/01

13 déc. 2001 ciaux dans l'ancien fief du mollah. Omar et dans la ville du nord de l'Afghanistan. p. 4 et 5 b Horizons-Enquête : Bocinja « la.



[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 25/04/02

25 avr. 2002 Au début de la campagne le parti de l'ancien ... membre de l'Association des amis de Jacques Chirac



[LE_MONDE - 1] LE_MONDE/PAGES 10/07/01

10 juil. 2001 de juin à Oldham puis à Leeds



LÉCOLE CENTRALE LYONNAISE

Secrétariat Services administratifs



Rétrospective 1974

31 déc. 1974 membre et ancien secrétaire dévoué du- rant de longues ... informés du décès de leur cher ami ... nes qui leur ont témoigné de l'affection.



INTRODUCTION A LA MUSIQUE CLASSIQUE

13 jui. 1988 Certains compositeurs envisagent même l'utilisation de tiers de ton et de sixièmes de ton. La notation : l'apparition de nouveaux instruments d' ...



Mise en page 1

rêver une Maison de la Culture où l'artiste est au cœur du projet Doré Oxmo Puccino

www.lemonde.fr 58
e

GERARD JULIEN/AFP

LA JUSTICEsoupçonne le

versement de commissions occultes dans certains contrats signés entre 1997et 1999. L"an- cien entraîneur Rolland Cour- bis(photo)estvisé. Uneenquê- te préliminaire concerne Ber- nard Tapie. Lire page 24 LA REINE D"ANGLETERRE, Elizabeth II, célèbre le 6 février, et jusqu"en août prochain, son

Golden

Jubilee,

l e cinquantième a nni- versaire de son accession au trône. Après un demi-siècle de règne, et malgré les frasques de la famille royale, la monarchie britanni- que n"est pas remise en cause, mais elle intéresse de moins en moins ses sujets. En quinze ans, notre correspondant à Londres, Marc Roche, a rencontré " Ma"am » trois fois. Trois minutes au total. Il raconte. Lire pages 2 et 14A l"OM,les dessousdes transferts

Ma"am Elizabeth II

fête son Golden Jubilee

International.............. 2

Union européenne... 6

France......................... 8

Société...................... 10

Régions...................... 13

Horizons.................... 14

Kiosque ..................... 15

Entreprises ............... 18

Communication....... 21Marchés.................... 22

Aujourd"hui.............. 24

Météorologie........... 28

Jeux........................... 28

Culture ..................... 29

Radio-Télévision...... 33

Annonces-Immobilier34

Carnet....................... 35

Abonnements.......... 35

DÉBUTjanvier, Jean-Pierre Che-

vènement s"était fixé comme objec- tif d"atteindre 15 % des intentions de vote en mars. Dans les sonda- ges, il dispose aujourd"hui d"un socle de 10 à 12 % et l"un d"entre eux le situe à 14 %. Sa progression inquiète aussi bien à droite qu"à gauche. Ses amis estiment qu"il a encore des marges de gains impor- tantes dans l"électorat de droite qu"il tente de séduire. Max Gallo, président du Pôle républicain, assure que le candidat Chevène- ment est" ancré à gauche »et que " les électeurs trieront ».C"est là toute la difficulté de l"exercice, sou- lignée au Parti socialiste où Jean

Glavany affirme que la" construc-

tion politique trop artificielle »de

Jean-Pierre Chevènement va"se

décomposer ». Le Mondea classé en " sept familles » - des anciens trotskistes aux gaullistes - les membres du Pôle républicain.

Dans un entretien auMonde,

Hervé de Charette, président délé-

gué de l"UDF, n"exclut pas un second tour Jospin-Chevènement :" Ce qui paraissait inimaginable il y a quelques mois devient désor- mais possible. L"opposition entre dans le vif de la campagne présiden- tielle avec une image de perdante. » Les partisans de Jacques Chiracsont inquiets. Plusieurs d"entre eux le pressent d"entrer en campagne plus tôt. Certains lui recomman- dent d"intervenir, à la télévision, sur les affaires qui" polluent »la campagne. Didier Schuller, ex-con-seiller général RPR, en fuite depuis

1995, a été écroué mardi soir

5 février à la prison de la Santé.

Lire pages 8 et 9 et la chronique

de Pierre Georges p. 36MICHEL MOCH/JEU DE PAUME

FERRAN PAREDES/REUTERS

football

NUM...RIQUE

L"électricité au secours

des télécoms p. 18

ALLEMAGNE

Quatre millions

de chômeurs p. 6

D...BATS

Bush et la guerre

p. 16

CANAL+

Entretien avec

Pierre Lescure

p. 21

ARCHITECTURE

Brasilia, siège du PCF :

Oscar Niemeyer

au Jeu de paume p. 29

VOYAGES

Un festin de pierre,

à Gênes

p. 26 et 27 PARIS

Le plan d"urbanisme

de Delanoë p. 13

LA CAMPAGNE ÉLECTORALE

peine à débuter ? Qu"à cela ne tien- ne,la polémique sur l"insécurité fleu- rit de plus belle. Chiffres officiels de la délinquance, statistiques sur la vio- lence à l"école, fait divers meurtrier : chaque occasion est bonne, pour lespolitiques, de s"affronter sur ce thè- me, objet de toutes les surenchères

électorales. Au-delà des traditionnel-

les philippiques adressées par l"op- position au gouvernement, la polé- mique ne se transforme pas en véri- table débat de fond.Très présents quand ils stigmati- sent la" montée de la violence »ou la" délinquance explosive », les élus sont moins prolixes quand il s"agit d"aborder les remèdes à apporter à leur diagnostic. C"est que, en dehors des chiffons rouges que sontdevenues la réforme de l"ordonnan- ce de 1945 ou la réouverture des centres pour jeunes délinquants, chacun sent qu"aucune solution ne peut venir à bout du problème social posé par la délinquance.

La gêne est telle, dans les états-

majors, qu"un grand parti d"opposi- tion comme le RPR n"a toujours pas inscrit, dans son programme, de réforme précise au sujet de la délin- quance des mineurs. Le parti gaullis- te continue de se diviser sur l"oppor- tunité de toucher à l"ordonnance de

1945 ou de supprimer les alloca-

tions pour les parents de mineurs délinquants. Futur candidat à sa suc- cession, Jacques Chirac fait preuve d"une grande prudence quand il aborde ces sujets : le 14 juillet 2001, il insistait sur la mesure de répara- tion - une solution déjà en oeuvre dans les tribunaux. Six mois aupara- vant, il préconisait, à Dreux, le déve- loppement des" unités éducatives renforcées », créées en 1996... et reprises par le gouvernement Jos- pin, sous l"appellation de centres

éducatifs renforcés (CER).

Piégé par sa technicité, le débat

sur la délinquance des mineurs est

également pollué par une série de

malentendus.Cécile Prieur

Lire la suite page 17

ISTANBUL

Correspondance

La tension monte en Turquie au sujet du

nouveau film du réalisateur canadien d"origi- ne arménienne Atom Egoyan, intituléArarat.

En relatant le tournage d"un documentaire his-

torique dans la Turquie d"aujourd"hui, le film, interprété notamment par Charles Aznavour, met en scène pour la première fois le génoci- de arménien - jamais reconnu par l"Etat turc - perpétré en 1915 dans les provinces orienta- les de l"Empire ottoman alors en pleine déli- quescence. La réalisation de ce sujet sensible et très controversé a suscité une levée de bou- cliers en Turquie, où le film est déjà qualifié de" second "Midnight Express" », par référen- ce au film d"Alan Parker, inspiré d"un fait réel et décrivant notamment les conditions de détention dans les prisons turques, qui avait contribué à ternir durablement l"image du pays et dont le souvenir traumatisant reste vif dans bien des esprits plus de vingt ans après sa sortie. En délivrant une version jugée" mensongè- re »de l"histoire, cette représentation cinéma- tographique du" prétendu génocide armé- nien », selon l"expression officielle en vigueur en Turquie, s"apparente aux yeux des médiasnationaux à une production" anti-turque » soutenue par les" lobbies arméniens ». Plu- sieurs scènes du film ont provoqué des réac- tions outragées. Reconstituées à Toronto, au

Canada, les villes de Van et de Kars, situées

dans l"est de la Turquie, sont localisées au coeur d"une " Arménie turque » dont l"ex- istence a toujours été niée par l"histoire offi- cielle. La vision des événements dramatiques survenus en Anatolie centrale et orientale en

1915 est également jugée" déséquilibrée »,

puisque, selon la presse, elle occulte les massa- cres perpétrés envers les Turcs et les Kurdes.

Mais c"est surtout l"ouverture du film, mon-

trant des têtes de combattants arméniens empalées sur des piques le long d"une route, qui a suscité les commentaires les plus acer- bes. Présentés dans le film comme des héros luttant pour les droits des Arméniens, ils ne sont que des" terroristes », selon les médias turcs. L"annonce de la possible présentation du film au prochain Festival de Cannes, qui devrait lui assurer une reconnaissance mon- diale, a entraîné une mobilisation sans précé- dent en Turquie.

De nombreuses associations, tant officielles

que privées, ont lancé une campagne de pro- testation, notamment sur Internet, afin de fai-re pression sur la société américaine Mira- max, filiale de la société Walt Disney, qui s"ap- prête à distribuer le film aux Etats-Unis. La très influente Association des industriels et hommes d"affaires de Turquie (Tüsiad) - le patronat turc - a également entrepris de mener des actions de lobbying en Europe et aux Etats-Unis. Les autorités officielles, enfin, entendent déclencher un procès dès la premiè- re projection du film afin d"obtenir son inter- diction immédiate, pour le motif qu"il véhicu- le une" propagande de haine »et de nature " diffamatoire »envers la nation turque.

En attendant, le ministère turc des affaires

étrangères a déjà mis au point un plan de riposte internationale en deux temps, en utili- sant à son tour les armes des médias et de l"audiovisuel. Deux documentaires sont en cours de production : l"un est consacré à l"his- toire de l"Empire ottoman, l"autre aux Armé- niens. L"objectif est de disqualifier les accusa- tions de génocide. Par ailleurs, le lancement d"une campagne d"affiches, au mois d"avril - date anniversaire du début du génocide —, vise, elle aussi, à contrer la" propagande » arménienne.Nicolas Monceau en ile-de-france

Tout le cinéma

et une sélection de sorties

Le baby-boom

français f2001 égale le record 2000 des naissances fLe taux de fécondité passe

à 1,9 enfant

par femme fPlus de 300 000 mariages et près de 20 000 pacs fL"espérance de vieprogresse encore fLa France compte61,1 millionsd"habitants

Lire page 10

et notre éditorial page 17

Les sept familles de Chevènement

Des anciens trotskistes aux gaullistes, " Le Monde » décrit la diversité du Pôle républicain

de Jean-Pierre Chevènement qui cherche à progresser dans l"électorat de droite aanalyse Délinquance des mineurs : l"impossible débat grande-bretagne La Turquie contre " Ararat », le film qui raconte le génocide arménien

LONDRES

de notre correspondant " La souveraine a offert la stabilité et la continuité à ce pays. »Pour répondre, le 30 janvier, à Buckin- gham Palace, à une question qu"il jugeait déplacée sur le bilan de l"ac- tion de la reine Elizabeth II après cinquante ans de règne, Sir Robin

Janvrin a eu recours à l"art de la lito-

te. Cetunderstatementgrâce auquel un gentleman dit des choses sans employer les mots reflète cette stric- te éducation anglaise qui ramène certains événements considérables aux dimensions d"un fait banal inci- demment mentionné.

Le secrétaire particulier d"Eliza-

beth II, principal architecte des célé- brations du Jubilé, est décidément modeste. Né en 1946, devenu bras droit du monarque, il n"apprécie guère les projecteurs qui éblouis- sent son regard bleu. D"une polites- se feutrée empreinte d"humour, il

élude les questions pointilleuses et

cultive une discrétion confinant à l"effacement.

Mais les buckinghamologues ont

appris à reconnaître la petite sil- houette distinguée de ce silencieux, apparue en 1995 dans le sillage de Sa Majesté. Les diplomates, leshommes politiques, les hauts fonc- tionnaires ont vite éprouvé la capa- cité de séduction et de fermeté de cet homme tranquille, qui ne s"in- quiète guère des apparences du pouvoir. Son allure vaguement chif- fonnée ôte à cet ex-officier de la

Royal Navy cette raideur propre

aux anciens militaires.

Plus qu"un directeur de cabinet à

la française, c"est un inspirateur qui doit s"efforcer de faire " coller » la monarchie à l"évolution de la socié- té britannique. C"est un confident qui se présente à la reine comme son" humble serviteur »pour lui adresser une communication et lui offrir les meilleurs conseils politi- ques. C"est aussi un tireur de ficel- les qui connaît tout le Gotha politi- que et les couloirs de Whitehall.

Son champ d"intervention est très

large : tenue de l"agenda du chef de l"Etat, organisation des voyages, rédaction des discours royaux, administration et service de presse. modération et cohérence

Mener les affaires de la famille

royale en ces temps de basse popu- larité réclame du doigté.

Go-betweenentre la reine et Tony

Blair, il doit être souple avec le 10

Downing Street sans être complai-

sant. Robin Janvrin est indiscutable- ment séduit par Tony Blair. Lors du psychodrame de la mort de Diana, en 1997, en tant que numéro deux de l"appareil royal, il mène les négo- ciations sur l"organisation des funé- railles avec le premier ministre.

Beau-frère de Lady Di, son patron,

Sir Robert Fellowes est alors incapa-

ble de prendre la mesure du sou- tien populaire à la princesse. Flat-tant les uns, calmant les autres, Sir

Robin, épaulé par le chef du gouver-

nement, contraint sa souveraine à des concessions de taille.

Quand Sir Fellowes prend sa

retraite en 1999, c"est vers lui que cette dernière et son premier minis- tre se tournent. Il y a, en effet, urgence à reconquérir l"opinion après le faux pas des Windsor lors de ce funeste mois de septembre.

Le nouveau chef du Royal House-

hold refuse les extrêmes, une monarchie hollywoodienne ou une dynastie grisaille à la scandinave.

Meilleure transparence financiè-

re, rapprochement entre Buckin- gham Palace et Saint James Palace, où est basé le prince Charles, ouver- ture aux médias : la sobre emprise du conseiller s"exerce avec constan- ce dans le sens de la modération et de la cohérence.

Robin Janvrin est un prototype

de l"Angleterre du Sud, urbaine, aventureuse et surtout proeuro- péenne. Marié à une aristocrate française, parlant courammentnotre langue, il aimerait mettre Buc- kingham Palace à l"heure de l"Euro- pe. Plusieurs facteurs limitent toute- fois sa marge de manoeuvre. La rei- ne a un attachement viscéral au

Commonwealth. Le grand chamber-

lain, Lord Luce, ancien ministre conservateur, aimerait cantonner la souveraine à un jeu de rôle anti- que. LeDaily Telegraph, principal soutien du Trône au sein de la pres- se quotidienne, est hostile à cette opération de lifting institutionnel.

Trois autres lobbies identifiés à la

Couronne lui compliquent la vie :

les militaires proaméricains, la hau- te Eglise anglicane " antipapiste », les grands propriétaires terriens, en particulier le milieu hippique, tour- nés vers la nostalgie impériale.

Sans compter le propre époux de la

souveraine, le prince Philip, jadis pourfendeur de la politique agrico- le commune, aujourd"hui opposant

à l"euro.

Issu d"une famille de marins, for-

mé au prestigieux collège de Marl- borough et à Oxford, conservateurquotesdbs_dbs25.pdfusesText_31
[PDF] Beethoven Project - François - France

[PDF] Beethoven spielen nach 2 Stunden

[PDF] Beethoven symphonie n°7.mus - Piano

[PDF] Beethoven, Ah Perfido - Traduction

[PDF] Beethoven, Haydn - Opéra Orchestre National Montpellier - Automatisation

[PDF] Beethoven, joie et bonne humeur puissance trois - Automatisation

[PDF] Beethoven`s Boogie

[PDF] Beetle Denim décapotable 2016 - Anciens Et Réunions

[PDF] Beetle édition FenderMD 2013

[PDF] Beetle Express

[PDF] Beetle GSR : une fantaisie avec turbo

[PDF] BeetLED et ORBIS

[PDF] BEF 2009 - RUE Doc - Académie de Rouen - Recherche Internet

[PDF] Befestigungsempfehlungen für VITA CAD/CAM MATERIALIEN

[PDF] Befestigungstechnik - Anciens Et Réunions