I. La notion de biodiversité
10 mai 2010 L'équivalent français biodiversité
1. Définition et diverses perceptions de la biodiversité
de la biodiversité et de s'interroger sur re le terme biodiversité
BIODIVERSITE
PLAN NATIONAL D'ACTIONS. POUR LA CONSERVATION DE LA. BIODIVERSITE. Alioune SEYDI / Amady Gnagna CISSE. Sénégal. Ouagadougou 29 septembre – 03 Octobre 2008
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Dans ce livret nous vous invitons à découvrir les différentes facettes de cette diversité biologique rebaptisée biodiversité depuis 1984
Quest-ce que la biodiversité ?
La biodiversité désigne l'ensemble des êtres vivants ainsi que les écosystèmes dans lesquels ils vivent Ce terme comprend également les interactions des
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Définition La biodiversité comprend la diversité des espèces (les espèces animales végétales les champignons et les bactéries) leur diversité génétique
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Biodiversité et développement durable : quels indicateurs ? Présentée et soutenue publiquement le 23 octobre 2006 par Harold LEVREL Jury : Martine ANTONA
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Généralités Le Courrier de l'Environnement de l'INRA n°55 février 2008 Voir notamment l'article de Hervé LE GUYADER : La biodiversité : un concept flou
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PLAN NATIONAL D'ACTIONS POUR LA CONSERVATION DE LA BIODIVERSITE Alioune SEYDI / Amady Gnagna CISSE Sénégal Ouagadougou 29 septembre – 03 Octobre 2008
C'est quoi la biodiversité PDF ?
La biodiversité désigne l'ensemble des êtres vivants ainsi que les écosystèmes dans lesquels ils vivent. Ce terme comprend également les interactions des esp?s entre elles et avec leurs milieux.Comment expliquer la biodiversité ?
La biodiversité, c'est le tissu vivant de notre planète. Cela recouvre l'ensemble des milieux naturels et des formes de vie (plantes, animaux, champignons, bactéries, etc.) et leurs interactions.Quelles sont les 3 niveaux de biodiversité ?
Le concept de la biodiversité fait référence à l'ensemble des composantes et des variations du monde vivant et les scientifiques y distinguent trois niveaux d'organisation : la diversité écologique (les écosystèmes) ; la diversité spécifique (les esp?s) ; la diversité génétique (les gènes).- Traditionnellement, on distingue trois niveaux de biodiversité : la biodiversité génétique, la biodiversité spécifique et la biodiversité écosystémique.
ECOLE DES HAUTES ETUDES EN SCIENCES SOCIALES
Recherches Comparatives sur le Développement
UMR 51-73, Département Ecologie et Gestion de la BiodiversitéMuseum National d'Histoire Naturelle
Thèse pour l'obtention du titre de docteur de l'EHESSSpécialité : Economie Ecologique
Biodiversité et développement durable :
quels indicateurs ? Présentée et soutenue publiquement, le 23 octobre 2006, parHarold LEVREL
Jury :
Martine ANTONA, Chercheuse au CIRAD
Robert BARBAULT, Professeurà l'Université de Paris 6Alain DESROSIERES, Administrateur de l'INSEE
Jean-Pierre REVERET, Professeur à l'UQAM (rapporteur)Jacques SAPIR, Directeur d'Etude à l'EHESS
Michel TROMMETTER, Chargé de Recherche à l'INRA (rapporteur) Jacques WEBER, Directeur de Recherche au CIRAD et Directeur de l'IFB (directeur de thèse) 2 3A mon petit poulet
4 5REMERCIEMENTS
Je souhaite tout d'abord remercier mon directeur de thèse, Jacques Weber, pour toutes les opportunités qu'il m'a offertes au cours de cette thèse. Je tiens à lui exprimer ma reconnaissance pour ses conseils et son soutien. Je voudrais ensuite exprimer toute ma gratitude à Denis Couvet qui m'a donné la chance de réaliser ma thèse au sein de l'UMR 51-73 de " Biologie de la conservation », fraîchementcréée, et de découvrir de l'intérieur un champ de recherche passionnant. Je souhaite aussi le
remercier pour le temps qu'il a consacré à ma thèse et pour nos nombreuses discussions autour des questions de conservation. Au-delà de la biologie de la conservation, c'est le monde de la biodiversité que j'ai véritablement découvert dans ce laboratoire. Cette rencontre a été pour moi une source d'enrichissement à la fois personnel et professionnel. Je souhaite donc exprimer aux personnes du laboratoire un grand merci pour leur accueil et leurs explications passionnantes s ur la diversité du vivant. Je souhaite tout particulièrement remercier mon collègue de bureau, Romain Julliard, qui atoujours pris le temps de répondre à mes questions incessantes, témoigné d'un intérêt constant
pour mon travail et m'a très vite impliqué dans les travaux du laboratoire. Je souhaite ensuite remercier Christian Kerbiriou qui m'a fait découvrir le monde des naturalistes et François Chiron qui m'a fait découvrir celui du Museum National d'Histoire N aturelle. Mes remerciements vont ensuite à Meriem Bouamrane qui m'a offert l'opportunité de réaliser un formidable terrain d'étude concernant la mise en place d'indicateurs d'interactions dans quatre réserves de biosphère d'Afrique de l'Ouest et m'a apporté son appui à la fois scientifique et personnel tout au long de ma thèse. Je souhaite exprimer ma reconnaissance à Michel Etienne pour m'avoir fait entrer dans le projet MAB-IFB sur la modélisation d'accompagnement dans les réserves de biosphère françaises et à Françoise Gourmelon pour m'avoir intégré dans l'équipe d'Ouessant. Je
remercie tout particulièrement Michel pour les nombreuses discussions que nous avons pu avoir à propos des tenants et des aboutissants de la modélisation d'accompagnement dont 6 cette thèse traite en partie. Je tiens à remercier, au sein du laboratoire GEOMER, Mathias Rouan pour sa disponibilité et son aide précieuse. Je souhaite aussi remercier les personnes qui m'ont permis de réaliser mes terrains dans les meilleures conditions possibles et notamment : Baïkoro Fofana au Mali, Victor Goulané et Blagna Zonyé au Burkina Faso, Lamine Kane au Sénégal, Kombi Arhidio Boubacar au Niger et Christian Kerbiriou à Ouessant. Mes remerciements vont aussi à Pierre-Yves Henry, Olivier Dehorter, Alexandre Robert, Vincent Devictor, Guillaume Lescuyer, Jean-Luc Dubois, Grégoire Loïs, Sophie Condé, Paul Cary, René-Pierre Andlauer, Flora Pelegrin, Denis Bailly, Martine Antona, Christophe Le Page, Nicolas Lescureux, Jocelyne Da Graça, Nicolas Césard, pour leur aide de toutes sortes, en m'excusant auprès de ceux que j'aurais pu oublier dans cette liste non exhaustive. Un gros merci aux correctrices du manuscrit : Marie Françoise Neveu,Virginie et Gaëlle Serrand, Marie-Jeane Levrel et Jacqueline Durocher. Je tiens à remercier l'EHESS et les responsables de la formation en Recherches Comparatives sur le Développement pour m'avoir permis de réaliser cette thèse dans les meilleures conditions possibles, le Muséum National d'Histoire Naturelle pour son accueil et l'Université de Bretagne Occidentale pour m'avoir offert l'opportunité d'être ATER. Je veux aussi remercier ma famille, et en particulier ma chère maman, pour tout ce qu'elle m 'a donné. Pour terminer, je souhaite dire un très gros merci à Virginie pour m'avoir supporté - dans tous les sens du terme - au cours de ces quatre années. Sans son soutien, il est certain que je n'aurais pu venir à bout de ce travail. 7TABLE DES MATIERES
INTRODUCTION GENERALE..................................................................................11
PARTIE 1 : QUELS INDICATEURS POUR LA GESTION DE LABIODIVERSITE ?.........................................................................................................19
......21 Section 1 : Les indicateurs de biodiversité....................................................21 ........25 S ection 2 : Les indicateurs d'interactions société-nature.........................45 ............65 .................................77 Section 1 : Processus de décision et processus d'apprentissage S ection 2 : La démocratie technique pour répondre aux objectifs de laco-gestion adaptative.........................................................................................103
.....129 8 PARTIE 2 : VERS DE NOUVELLES METHODES DE CONSTRUCTIOND'INDICATEURS D'INTERACTION POUR LA CO-GESTION
ADAPTATIVE DE LA BIODIVERSITE...............................................................143 Section 1 : Quels indicateurs pour la gestion adaptative de labiodiversité ?.........................................................................................................145
...........176 Section 2 : Quels modèles exploratoires pour articuler des indicateurs q ui fassent sens auprès d'acteurs hétérogènes ?......................................185 ....................185 .191 .............................197 ..................204 Section 3 : Quelles données pour nourrir les indicateurs ?...................212 ..........................212 ..............239 Section 1 : Dynamiques d'interactions société-nature et coûts de transaction sur l'île d'Ouessant.......................................................................241
.....................................241 ......253 9 Section 2 : La co-construction d'un système multi-agents pour la mise en place d'indicateurs d'interactions ..............................273 Section 1 : La co-construction d'indicateurs d'interactions ....................299 S ection 2 : Indicateurs d'interactions et outils de médiation : lapertinence des jeux de rôle..............................................................................332
CONCLUSION GENERALE......................................................................................367
LISTE DES ACRONYMES........................................................................................399
LISTE DES TABLEAUX............................................................................................403
LISTE DES FIGURES................................................................................................405
LISTE DES CARTES..................................................................................................406
10 11INTRODUCTION GENERALE
Le formidable développement économique dont a bénéficié la population mondiale au cours
de ces deux derniers siècles a été accompagné d'un accroissement des risques globaux. Risques pour les hommes tout d'abord, car une grande partie de la population mondiale estrestée en dehors de cette dynamique de développement, risques pour la planète ensuite car ce
développement s'est fait en grande partie aux dépens de la biosphère. L'origine de ces risques est à chercher en partie dans la myopie dont font preuves certaines communautés de pratique dans leurs activités telles que les politiques, les entreprises, les organisations non gouvernementales ou les scientifiques. Cette myopie est liée, d'une part, àune division sociale du travail très compartimentée et, d'autre part, au principe élémentaire de
la méthode analytique qui est de séparer les éléments du tout pour rechercher la connaissance.
Cette double approche a aussi conduit à construire un monde dans lequel les individus c onnaissent beaucoup de choses sur leur domaine de compétence, souvent très précis, maispeu de choses sur les paramètres connexes. Elle a aussi été à la base des politiques publiques
au cours des cinquante dernières années avec pour finalité de prendre des décisions optimales
à partir d'une démarche rationnelle. Cette approche rationaliste a eu un grand succès car elle
permet de décontextualiser le traitement de l'information et de justifier une approche expert » et " objective » des questions sociales 1 , de proposer un système de gestion fondésur le pilotage et le contrôle (" command and control ») d'un nombre limité de paramètres
précis. Les politiques économiques se concentrent ainsi sur la production, les politiques deconservation sur la création de " sanctuaires naturels » et les politiques sociales sur la lutte
contre la pauvreté. " C'est comme si les hommes étaient embarqués dans un TGV lancé à t oute vitesse : dans les voitures, chacun est occupé à ses problèmes, la production pour lesuns, la famine pour les autres, la guerre pour les troisièmes, les plaisirs pour les quatrièmes...
mais personne ne se préoccupe de savoir s'il y a un conducteur et si le train ne va pas dans un mur. Dans l'immense flux d'informations et de sensations qui atteignent chacun, comment se repérer, comment distinguer des orientations, où discerner des tendances, comment s'arrêter tout simplement pour prendre le temps de la réflexion ? » (Hulot, Barbault et Bourg, 1999, p.116). 1" Trust in rational symbolic systems (such as money) and expert systems allows for social institutions to exist
on a global scale, deterritorialized or disembedded from geographical location » (Westley, 2002, p.109).
12C'est dans l'optique de réintégrer ces différentes questions et de mieux pouvoir faire face aux
risques globaux que les concepts d'écodéveloppement (Sachs, 1980) puis de développementdurable ont émergé au cours des années 70. Le première organisation internationale à faire
explicitement référence au développement durable est l'Union Internationale pour la Conservation de la Nature (UICN) dans son rapport sur laStratégie Mondiale de la Conservationpublié en 1980. Ce rapport se fixait comme objectif de " contribuer àl'avènement du développement durable, fondé sur la conservation des ressources vivantes ».
Il soulignait qu'un développement durable nécessite avant tout la conservation des écosystèmes qui supportent ce développement. La définition courante du développement durable est cependant beaucoup plus vague : " Le développement durable est un développement qui répond aux besoins des générationsprésentes sans compromettre la capacité des générations futures de répondre aux leurs »
Brundtland, 1987). Cette définition s'est largement inspirée de la déclaration de Cocoyoc (Mexique) qui avait eu lieu quinze ans plus tôt (1974) et qui définissait l'objectif du développement de la manière suivante : "The goal is not to catch up but to ensure the quality of life for all with a productive base compatible with the needs of future generations."Le concept a bénéficié d'un fort engouement à partir du début des années 90 et de la
C onférence de Rio en 2002, au point qu'il est aujourd'hui difficile de parler dedéveloppement sans lui adjoindre l'adjectif " durable ». Ce succès est en partie lié à la
définition du rapport Bruntland qui permet une grande diversité d'interprétations, en particulier de l'adjectif " durable ». En fait, comme pour beaucoup d'autres conceptsonusiens, le caractère " mou » de cette définition représente sa force mais aussi sa faiblesse. Il
est consensue l mais finalement peu opérationnel. Edwyn Zaccaï, dans son livre sur le développement durable (2002, p.332), parle ainsi d'une " illusion motrice » puisque " la notion est considérée comme un moteur d'interrogations et de mises en relation, et non comme un catalogue de réponses ». L'engouement dont bénéficie le développement durable a cependant aussi pour origine uneprise de conscience générale de l'opinion publique des risques globaux que subit la planète si
l'on veut bien croire les sondages 2 . C'est pourquoi les hommes politiques commencent à avoirdes discours tranchés sur cette question, y compris à la tête des Etats. Pourtant, les risques
continuent de s'accroître et les réponses sociales pour y faire face apparaissent encore bien 2Voir à ce sujet, le numéro spécial - n° 607 - de la revueCourrier internationaldu 20 juin 2002 concernant les
risques naturels que connaît la planète. 13quotesdbs_dbs28.pdfusesText_34[PDF] érosion de la biodiversité définition
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