LA NUMERATION POSITIONNELLE
positionnel n'a rien changé à cela : la base dans un système de numération positionnel correspond au nombre de symboles ou chiffres utilisés pour coder.
Nombres et numérations
notre système de numération positionnel de base dix mainte- nant utilisé de manière universelle. Cependant la création des nombres n'a pas été linéaire
Le système du numération chinois
positionnel à base 10 où les principes de position d'addition et de multiplication sont utilisés. • Le système de numération chinois est principalement
Nombres binaires fractionnaires à virgule fixe: représentation et
Systèmes de numération positionnels pour nombres entiers et fractionnaires. • Conversions entre les bases. • Addition de nombres binaires à virgule fixe.
Systèmes de numération - base - système positionnel & système
Systèmes de numération - base - système positionnel & système additionnel. Notre système décimal actuel de base 10
(Nombres - Systèmes de numération)
Ce système permet d'écrire des nombres naturels. 1) Système additif et positionnel. Système additif = addition de signes juxtaposés. Ex : les chiffres
Les difficultés dapprentissage de la numération
Étant donné que dans notre système de numération les chiffres n'ont pas la même valeur selon leur position dans l'écriture du nombre
LE SYSTÈME DU NUMÉRATION CHINOIS
Additif car il faut additionner les valeurs des symboles. Et positionnel
LA NUMERATION
ia : les chiffres associées à la base tels que 0 ? ia < b. Comme ces systèmes sont à numération positionnelle on peut écrire le nombre N comme la suite des
Dans le cadre de la semaine des Maths nous vous proposons d
Comment l'Humanité s'est-elle dotée d'un système de numération d'écriture des nombres exprimés dans un système de numération positionnel en base 10.
[PDF] LA NUMERATION - Lycée Camille Corot
Objectifs : ? Connaître les différents systèmes de numération ? Savoir convertir un nombre décimal dans différentes bases INTRODUCTION Depuis la nuit des
[PDF] INTRODUCTION I SYSTÈME DE NUMÉRATION
une numération se rapprochant d'un système positionnel à base 10 où les principes de position et d'addition sont utilisés Ce système suit le principe additif
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Notre système actuel est décimal (dix chiffres) et positionnel : la position d'un chiffre dans l'écriture d'un nombre exprime la puissance de 10 présente et le
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Autres systèmes positionnels Page 24 Numération maya Page 25 Numération maya Numération de position aspects additifs Page 26 Numération chinoise Page
[PDF] LA NUMERATION POSITIONNELLE - Saint-Laurent
De façon générale un nombre N exprimé dans un système positionnel de base b est codé à l'aide de b symboles différents nommés chiffres Le codage d'un nombre
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Ce système permet d'écrire des nombres naturels 1) Système additif et positionnel Système additif = addition de signes juxtaposés Ex : les chiffres
Système de numération positionnel - Le monde en images - CCDMD
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28 août 2015 · Notre système de numération est un système décimal de position Il est constitué de 10 chiffres dont la position indique le nombre d'unités de
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Dans un système de numération additive chaque nombre est représenté par une juxtaposition de Dans le système romain les chiffres se lisent de gauche à
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Systèmes de numération et Représentation des nombres ? Systèmes de numération Un système de numérotation positionnel pondéré à base b est
Notre système décimal actuel, de base 10, utilise les chiffres de 0 à 9, dits arabes, mais d'origine indienne. Ces
chiffres ne furent introduits en Europe que vers l'an 1000. Utilisés en Inde, ils furent transmis par les Arabes
au monde occidental par le pape Gerbert d'Aurillac lors de son séjour en Andalousie à la fin du 9è siècle et
leur graphisme a beaucoup évolué.Les notations actuelles sont très semblables aux chiffres arabes dits occidentaux (Afrique du Nord) en usage
dès le 15è siècle. Les chiffres arabes (ci-dessus) dits orientaux (Moyen-Orient : Égypte, péninsule Arabique,
pays du golfe Arabo-Persique, ...) sont différents et encore utilisés. Le mot français chiffre est une déformation
du mot arabe sifr désignant zéro. En italien, zéro se dit zero, et serait une contraction de zefiro (source :
dictionnaire étymologique Larousse) on voit là encore la racine arabe. Ainsi nos termes chiffre et zéro ont la
même origine. Notre système décimal positionnel : L'usage précoce d'un symbole numérique désignant "rien" -au sens de "aucune quantité" ou "absence de
quantité", c'est à dire notre zéro, provient du fait que les Indiens utilisèrent un système positionnel. Notre
système actuel est décimal (dix chiffres) et positionnel : la position d'un chiffre dans l'écriture d'un nombre
exprime la puissance de 10 présente et le nombre de fois qu'elle intervient. L'absence d'une puissance est
notée par un petit rond... : c'est le zéro.10 (dix) signifie 9 + 1 unités : une (1) dizaine et aucune unité (0) 100 (cent) signifie dix dizaines (10 x 10) : une centaine; on écrit aussi 102 (10 puissance 2) 1000 (mille) signifie dix centaines (10 x 100) : un millier; on écrit aussi 103 (10 puissance 3)On parle aussi de système à base 10. On peut envisager d'autres bases. Les notations 101 pour 10 et 100 pour 1
sont conventionnelles et s'expliquent pour des raisons opératoires :•Le nombre 324 s'écrit de gauche à droite comme étant trois centaines : 3 x 102, auxquelles s'ajoutent
deux dizaines : 2 x 101 et quatre unités : 4 x 100.304 signifie 3 centaines, aucune dizaine complémentaire : 0 (zéro) dizaine, mais 4 unités. Exercice 1 : En écrivant les nombres de 1 à 100, combien écrit-on le chiffre 9 ?
Rep1 : on écrit 20 fois le chiffre 9; si vous avez répondu 10 ou 11, vous avez sans doute oublié 91, 92, 93, ...,99 ! Exercice 2 : Un nombre de 3 chiffres est impair; en lui enlevant son chiffre des centaines et en multipliant le
nombre obtenu par 9, on le retrouve ! Quel est donc ce nombre ? (il y a en fait deux solutions).Rep2 : le chiffre des unités doit être 5 car 9 x 5 = 45 se termine par 5 et 9 x 0 = 0 est à rejeter puisque le
nombre est impair. Dans cette multiplication, on retient 4 qui s'ajoute au chiffre des dizaines; en écrivant la
table de 9 et ajoutant 4 au chiffre des unités obtenus, on obtient deux cas possibles pour le chiffre des dizaines
•2 car 9 x 2 = 18 et 8 + 4 = 12•7 car 9 x 7 = 63 et 3 + 4 = 7ce qui conduit à deux solutions : 225 et 675
Exercice 3-1 : Je suis un nombre inférieur à 1000 et je m'écris avec 4 chiffres. Mon nombre de
dizaines est 34 et je me termine par 6. En ajoutant mon chiffre des dizaines à celui de mesdixièmes, tu trouveras le double du chiffre de mes unités.Rep 3-1 : Le nombre est au moins égal à 340 puisqu'il contient 34 dizaines. Comme il est inférieur à
1000 et s'écrivant avec 4 chiffres, il n'est pas entier et s'écrit avec un chiffre après la virgule qui sera
le 6, soit : 34?,6. Le chiffre des dizaines est 4, 6 + 4 = 10, le chiffre des unités est donc 5. Rép : 345,6.Exercice 3-2 : Un nombre entier de 5 chiffres, commençant par 3, possède la propriété suivante : si on déplace
le 3 en dernière position (en chiffre des unités), alors on obtient un nombre augmenté de 29205. Quel est le
nombre initial ?rep 3-2 : Le problème revient à une soustraction à trous : a b c d 3 - 3 a b c d = 29 205. Rép. : 36 578.Un système additionnel : celui des Égyptiens de l'antiquité :
Un tel système ne requiert pas un symbole " zéro » : le résultat est la somme des nombres représentés par des
pictogrammes (petits dessins hiéroglyphiques). Les plus simples furent :On écrivait de droite à gauche en finissant par les unités.Exercice 4 : comment s'écrirait, avec ces symboles, notre nombre décimal 324 ?
Rep 4 : 324 représente 4 unités, 2 dizaines et 3 centaines, il s'écrirait alors : Plutôt que les hiéroglyphes, les scribes utilisaient une écriture cursive plus sophistiquée, dite hiératique : Un
système additionnel devient très vite inutilisable pour gérer de grands nombres ou des nombres non entiers.
Pour cette raison les Egyptiens manipulèrent avec brio les fractions et les décompositions de fractions en
fractions élémentaires, dites unitaires : le numérateur étant 1).Un autre système additionnel : celui des Grecs de l'Antiquité Le système domestique et commercial utilisé par
les anciens Grecs était décimal et additionnel. Ils se servaient de lettres, éventuellement accentuées, et de
signes complémentaires : il fallait de nombreux symboles et un codage savant pour comprendre la valeur
représentée.Certains nombres avaient droit à des caractères spéciaux comme 900 (sampi). Pour distinguer un nombre d'un
mot, on le surlignait. Comme on le voit ci-dessus pour le nombre 1000, la présence d'une sorte de virgule
désignait une multiplication par 1000; autre exemple : ,ß = 2000. Pour exprimer une fraction unitaire, on
ajoutait un "prime" à droite du nombre; par exemple, ß' = 1/2.Dans ce système additionnel :12 s'écrit iß : 10 (i) suivi de 2 (ß), signifiant 10 + 2Ces écritures engendraient de nombreuses ambiguïtés que le contexte était censé lever. Pour effectuer des
calculs commerciaux, ils utilisaient des abaques.Le système positionnel sexagésimal (base 60) des Babyloniens et des scientifiques de l'Antiquité :Les calculs astronomiques, comme ceux de Hipparque ou Ptolémée se faisaient en base 60, à la manière des
Babyloniens : leur écriture cunéiforme (c'est à dire en forme de coins) , frappée dans l'argile, utilisaient un
système positionnel de base 60, qu'utilisèrent les mathématiciens Indiens et Arabes pour leurs calculs
trigonométriques. L'usage de la base 60 avait l'avantage de posséder de nombreux diviseurs, donc de faciliter les opérations de
partage (division) : 60 = 22 x 31 x 5160 possède donc (2 + 1) x (1 + 1) x (1 + 1) = 12 diviseurs. Leur ensemble est : D60 = {1, 2, 3, 4, 5, 6, 10, 12, 15, 20, 30, 60}
Par exemple, 5112 (dans notre écriture décimale de base 10), se décompose en : 1 x 602 + 25 x 60 + 12 , soit :
(1,25,12)L'unité (1) et la base (60) étaient représentées par le même symbole (forme de clou : signes 1) et 10 par un
chevron (signes 2); suivant le support, la frappe et le scribe, on rencontre des variantes d'écriture :
On séparait les puissances de 60 par un double chevron ou, plus simplement, selon le scribe, par un espace. Le
contexte devait éviter toute confusion malgré l'absence du concept de " zéro ». Exercice 6 : comment s'écrirait, avec ces symboles, notre nombre décimal 5112 ?On utilise aujourd'hui pour le traitement électronique de l'information (langages informatiques) les systèmes :•binaire (base 2 : les chiffres sont 0 et 1); dans un tel système notre 2 s'écrit 10, mais il faut lire un-zéro
et non dix !•octal (base 8 : les chiffres sont 0,1, ...,7) : en désuétude compte tenu des processeurs 32 bits des
ordinateurs modernes; on lui préfère le système :•hexadécimal (base 16 : les chiffres sont alors 0,1 , ..., 9, A, B, C, D, E, F) : par exemple, FA2B en base
16 signifie B + 2 x 16 + A x 162 + F x 163; mais, en base 10, A s'écrit 10, B s'écrit 11 et F s'écrit 15;
donc FA2B(16) = 64043(10).Vigésimal : base 20.
La numération romaine :Ce système fut très particulier et totalement inadaptée à des calculs même élémentaires ! C'est un système
décimal. Les symboles principaux sont I, X, C et M (1, 10, 100 et 1000), les symboles secondaires sont V, L
et D (multiples de 5) :1510501005001000IVXLCDM
Pour leur calculs les romains utilisaient des casiers réunis en damier dans lesquels ils plaçaient de petits
cailloux pour désigner les unités, dizaines, centaines, etc. De cette technique romaine, nous est resté le mot
calcul (calculus = petit caillou). Cette numération est additionnelle car la valeur du nombre écrit est obtenue
par somme ou soustraction des caractères juxtaposées. Par exemple, avec ce système : •9 s'écrit IX, soit 10 - 1
•24 s'écrit XXIV : 10 + 10 + 5 - 1Il n'est pas autorisé d'écrire un symbole du groupe secondaire ou plusieurs symboles du groupe principal à
gauche d'un symbole plus grand : cette règle exclut toute ambiguïté d'écriture. Plus de trois symboles
consécutifs identiques sont également illégaux (en fait, ces améliorations datent du moyen âge, tout comme le
M pour désigner 1000). 1995 s'écrit : MCMXCVL'écriture MCMVC étant illégale. De même MCMLXXXXV. Pour les très grands nombres, une barre
supérieure, signifiant une multiplication par 1000, permettait de les écrire :Une double barre signifiait une multiplication par 1 000 000.
12345678910
1112131415
1617181920
75347650614532007
DCCLIII CDLXXVI DVI MCDLIII Ces nombres ne sont utilisés aujourd'hui que pour paginer (numérotation d'une table des matières) ou pour
écrire certaines dates sur des bâtiments (certains trouvent cela plus joli...). Exercice 7 : écrire, avec ce système,
les nombres 5112 et 3774. e7/ 5112 et 3774 s'écriraient respectivement :Le système vigésimal des Mayas : La civilisation Maya s'étale dans le temps sur environ 3000 ans de 1600
avant J.-C. à 1500 et, géographiquement, entre les deux Amériques : Yucatan (sud du Mexique), Guatemala,
Honduras. Les Aztèques occupèrent les territoires plus au nord (du Mexique actuel). Leur système de
numération était hiéroglyphique. L'empire Maya, constitué de grandes cités fédérées, disparut à la suite des
invasions espagnoles. La science des anciens Mayas est principalement astronomique et architecturale. Leur écriture était de type hiéroglyphique et leur système de calcul était positionnel, de base 20, car ils
comptait avec les mains et les pieds : 10 doigts et 10 orteils : système vigésimal (à quelques irrégularités près,
voir ci-dessous...). Ce système s'appliquait aux calendriers fondés sur les observations des prêtres astronomes
: l'année solaire civile comptait 360 jours + 5 : 20 x 18 + 5. L'adjonction de 5 jours s'avérait nécessaire eu
égard aux observations astronomiques.
L'année sacrée des prêtres, année vénusienne, comptait 260 jours vénusiens : 20 x 13 correspondant au
temps de révolution de Vénus autour du Soleil.Ci-contre les "chiffres" de 1 à 19 du système maya : les symboles utilisés étaient limités à un point ( : l'unité) répété jusqu'à 4 fois et un trait ( : 5 unités). On écrivait verticalement de haut en bas par
puissances décroissantes de 20. En fait, pas tout à fait car par respect pour l'année solaire, ils utilisaient dans la
décomposition 20 x 18 au lieu de 202 = 20 x 20, mais les puissances suivantes s'obtenaient par multiplication
par 20.Cherchons à écrire, par exemple, 8527 :8527 = 7200 + 1327 = 7200 + 3 x 360 + 247 = 1 x 7200 + 3 x 360 + 12 x 20 + 7
8527 = 7200 + 1327 = 7200 + 3 x 360 + 247 = 1 x 7200 + 3 x 360 + 12 x 20 + 7
18 x 204 18 x 203 18 x 202 18 x 20 (au lieu
de 202) 201 unités 144000 7200 360 20 1 à 19 1 3 12 78527 (base 10 usuelle) = (base vigésimal maya) Si une puissance de 20 venait à manquer, les Mayas utilisaient un symbole spécifique, équivalent au zéro
arabo-indien qui est aujourd'hui le nôtre : haut de page , Brahmagupta. Ce signe ressemble à une petite
coquille; les historiens y voient aussi le symbole d'un oeil entrouvert :Voici quelques nombres où ce symbole apparaît : 20100..... = 1800 ......= 435961
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