[PDF] Les tâches complexes et lévaluation de compétences dans l





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De façon spécifique, l’enseignement des SVT en classe de 4èmevise à : - faire découvrir la richesse et les applications de la géologie ; - développer la curiosité et le goût de la recherche ; - utiliser la méthode expérimentale comme moyen d’accéder à la connaissance; - faire adopter un comportement positif vis-à-vis de la nature.

Qu'est-ce que le chapitre 4 de la SVT?

Chapitre 4 Alimentation et santé Télétravail 5ème confinement 3 Classe de 4ème SVT Thème de recherches: la Terre, une planète dynamique habitée Programme de recherches Donner la vie: une telle responsabilité Activité de recherches sur le fonctionnement des appareils reproducteurs de l’Homme

Quels sont les meilleurs sites de cours de SVT en 4ème?

Les SVT en 4ème | Vive les SVT ! Les sciences de la vie et de la Terre au collège et au lycée - Cours de SVT en ligne - Bonjour ce site est vraiment cool j’aime bien le svt parce que cela fait partie de la science et j’aime la science en tout cas merci beaucoup J’apprécie le site ! Très intéressant et bénéfique pour l’élève et pour l’enseignant.

Qu'est-ce que le programme de SVT de 4ème?

Le programme de SVT de 4ème aborde nombre de notions clefs pour les études scientifiques futures, pour réussir au lycée, mais aussi dans la vie en générale. La reproduction sexuée et notamment la reproduction humaine sera au cœur du programme de SVT de 4ème .

Les tâches complexes et l'évaluation de compétences dans l'investigation

Michèle dell'Angelo

Sauvage

1 Dell'Angelo- Sauvage, M. (2011). Les tâches complexes et l'évaluation de compétences dans l'investigation. APBG, n°4, 131 - 147. Les grands enjeux de l'éducation nationale s'alignent sur les enjeux internationaux (Fensham, 2002 2 ; Jenkins, 20063 ). Ils deviennent donc politiques et économiques: il faut former des adultes capables de s'adapter à un milieu en constante évolution, des citoyen responsables préparés à s'incérer dans le monde du travail. (Jenkins, 2009 4 ). De plus en plus aussi ce sont des citoyens du monde que l'on prépare et les grandes évaluations internationales comme PISA prennent de plus en plus d'importance. En France cela s'est traduit par le socle commun (2005) qui reprend à la fois la notion de culture commune et de compétences. Les programmes les plus récents du collège sont accompagnés de documents mettant l'accent sur l'utilisation de tâches complexes. Nous avons précisé la notion de

familles de situation et de situation / tâches complexes, nous avons précisée la gradation dans

l'acquisition des compétences en relation avec la démarche d'investigation5 puis nous nous sommes interrogés sur l'existence d'une relation entre cette gradation conseillée et la mise en oeuvre dans plusieurs propositions de tâches complexes mises à la disposition des enseignants sur le site institutionnel Éduscol, sur le site de l'inspection académique de SVT de La Réunion et sur le site de l'inspection académique de SVT de Créteil. Peut-on observer la progressivité annoncée dans le document d'aide au suivi ? Notre recherche montre une

relation plus étroite qu'annoncée entre les sujets étudiés et les compétences travaillées, et un

accent mis sur des compétences liées aux connaissances et à la rédaction plus que sur celles

relevant de l'investigation comme proposer un problème ou une hypothèse.

Compétences et tâches complexes

En France, l'introduction des compétences remet indirectement e n cause les disciplines dans leurs conceptions traditionnelles de transposition de " savoir savant », pour

donner une culture, préparer à des études supérieures, parfois sélectionner. Désormais la

mission de l'enseignant est de transmettre des connaissanc es mais aussi des capacités et des attitudes. Dans de nombreux cas les mêmes compétences sont visées par plusieurs disciplines, voir par toutes. Il devrait donc y avoir collaboration ! En SVT on observe en même temps le caractère minimaliste des programmes, une insistance sur la liberté pédagogique des enseignants et l'introduction de nouvelles procédures d'apprentissage et d'évaluation avec les tâches complexes. On aborde alors la question d'une spécialité des enseignants qui évolue. 1

Université Paris Est Créteil (France), maître de conférences en didactique des sciences biologie géologie, Unité

Mixte de Recherche STEF ENS Cachan/ Ifé ENS Lyon. 2

Fensham, P.-J. (2002). De nouveaux guides pour l'alphabétisation scientifique. Revue canadienne de

l'enseignement des sciences, des mathématiques et des technologies, 2(2), 133-149. 3

Jenkins, E. (2006). L'enseignement des sciences. Intervention à la Biennale de l'éducation et de la formation.

INRP et APRIEF

4

JENKINS, E-W. (2009). Reforming school science education: a commentary on selected reports and policy

documents. Studies in Science Education , 45, n°1, 65 - 92. 5 connaissances-et-capacites_161743.pdf

Dès 1989 Meirieu

6 relie la compétence à " un champ notionnel ou disciplinaire

déterminé » et à " la capacité d'associer une classe de problèmes précisément identifiée avec

un programme de traitement déterminé.». Leplat en 1991 7 parle de " système de connaissances permettant à une personne d'engendrer l'activité qui répond aux exigences des tâches dans une classe de situations». Avec Gillet en 1991 8 apparait l'idée de familles de situations mais aussi de problème : " Un système de connaissances, conceptuelles et procédurales, o rganisées en schémas opératoires et qui permettent, à l'intérieur d'une famille

de situations, l'identification d'une tâche-problème et sa résolution par une action efficace ».

Perrenoud en 1999 précise la définition

: "Une compétence est une capacité d'ac tion efficace face à une famille de situations qu'on arrive à maîtriser parce qu'on dispose à la fois des

connaissances nécessaires et de la capacité de les mobiliser à bon escient, en temps opportun,

pour identifier et résoudre de vrais problèmes ». Cette idée est reprise par Roegeirs en 2004

9

" La compétence est la possibilité, pour un individu, de mobiliser de manière intériorisée un

ensemble intégré de ressources en vue de résoudre une famille de situations-problèmes.»

Le terme de

situation revient dans ces définitions. Gillet en 1991 10 précise : " On peut dire qu'il y a une situation quand, en fonction d'un enjeu qu'il y introduit, un sujet actif peut,

dans un réseau d'événements, saisir des données qu'il organisera en représentation cohérente,

lui permettant de développer la représentation d'une tache. Une situation pose problème quand

elle met le sujet devant une tache à accomplir, dont il ne maîtrise pas toutes les procédures »

(Hoc, 1987, p. 51). Les capacités et les connaissances nécessaires à la résolution de la

situation-problème constituent la compétence. Progressivement deux pistes de réflexions sont

explorées : celle des situations complexes et celles des familles de situations.

Gérard

11 en 2008 distingue bien les situations compliquées, mettant en jeu des savoirs faire nouveaux, peu connus de celui qui la résout ou bien moins maîtrisés, des situations complexes, avec plus de savoirs et de savoirs faire à mobiliser, plus d'articulations entre les opérations à exécuter, des éléments connus mais travaillés dans un autre contexte, dans un

autre ordre ou séparément. Il explique le " concept de familles de situations » en s'appuyant

sur les écrits de Roegiers en 2000 et 2003, comme un ensemble de situations d'un niveau de

complexité équivalent, qui se rapportent à une même compétence. Il distingue deux niveaux

de définition. A un premier niveau il faudrait définir un référentiel des situations décrivant

" ce qui est attendu de l'élève pour pouvoir gérer la suite de sa scolarité » et les " situations

auxquelles les élèves peuvent être confrontés en dehors du système éducatif ». Seulement

ensuite il serait possible de définir des familles de situations à travers des paramètres relatifs à

" la quantité et à la nature des ressources à mobiliser dans chaque situation, ainsi qu'à leur

combinaison

» et à " la tâche demandée à l'élève, qu'ils soient liés au contexte de la situation,

à la démarche de résolution (nombre d'étapes et nature), aux supports, au type de tâche

attendue, aux conditions de résolution...

». Cette approche a ses détracteurs. Crahay

12 (2006) 6 Meirieu, P. (1989). Apprendre... oui mais comment. Paris, ESF 7

Leplat, J. (1991). Compétence et ergonomie. Dans Amalberti, R., De Montmollin, M. & Theureau, J. (Éds),

Modèles en analyse du travail (pp. 263-278). Liège, Mardaga 8

Gillet, P. (1991).Construire la formation: outils pour les enseignants et les formateurs, Paris, PUF.

9

ROEGIERS, X. (2004), L'école et l'évaluation - Des situations complexes pour évaluer les acquis des élèves,

Bruxelles : De Boeck.

10 Gillet. P. (1991). Construire la formation. Paris : ESF. 11

GERARD, F-M. (2008). La complexité d'une évaluation des compétences à travers des situations complexes.

In M. Ettayebi, P. Jonnaert, & R. Opertti,

Logique de compétences et développement curriculaire. Débats, perspectives et alternative pour les systèmes éducatifs, (pp. 167 - 183). Paris: L'harmattan. 12

CRAHAY, M. (2006). Dangers, incertitudes et incomplétude de la logique de la compétence en éducation,

et Rey et al 13 (2003) réfutent l'idée de famille de situation et envisagent plus des compétences

transversales. Rey décrit des savoirs faire génériques : des compétences transformées dans

différentes disciplines, comme celles relatives à la communication, au raisonnement, à la résolution de problème. Cela conduit à la question des compétences et des disciplines. Quel sens donner à une compétence transversale ? N'est-elle pas toujours déformée par les disciplines qui la

construisent ou plutôt ne faut-il pas toujours considérer les facettes d'une compétence suivant

la discipline qui s'en empare pour l'utiliser, l'améliorer et ce faisant la façonner ?

Perrenoud

14 rappelle le lien incontournable qui existe entre connaissance et capacités, tout en soulignant la tension entre ceux qui veulent transmettre la culture et les connaissances pour elles-mêmes et ceux qui veulent ...les lier très vite à des pratiques sociales. » 15

Il montre

que lorsque Rey (1996) conclut que " toute compétence est transversale » il parle de

compétences convenant à de multiples situations analogue, mais pas identiques. Il écrit alors :

" les compétences sont intéressantes parce qu'elles permettent de faire face à des familles de

situations. » Il relie le peu d'insistance dans les programmes sur l'acquisition de compétences

transversales au fait qu'elles définissent " quel type d'être humain l'école veut former, en vue

de quelles pratiques familiales, sexuelles, politiques, syndicales, artistiques... » La recherche

de consensus " obscurcit toute référence concrète à la vie des gens, pour ne pas souligner la

diversité des valeurs et l'inégalité des conditions sociales ». Ce sont donc les enseignants qui vont faire ces choix. Mais quels choix ? Pou r lui " il y a des situations dont la maîtrise puise essentiellement ses ressources dans une seule discipline » (cas des situations scolaires le plus souvent) ; " des situations dont la

maîtrise puise ses ressources dans plusieurs discipline identifiables» (cas des situations de la

vie hors école) ; " des situations dont la maîtrise ne passe par aucune connaissance disciplinaire » (dresser son chien...). L'enjeu est avant tout didactique : si un apprentissage

" n'est pas rapporté à une ou plusieurs pratiques sociales, susceptibles de faire sens pour les

élèves, il sera rapidement oublié, considéré comme l'un des obstacles à franchir pour obtenir

un diplôme, non comme une compétence à maîtriser pour dominer des situations de la vie 16

Perrenoud

pointe pour l'évaluation, des conditions pour lui incontournables : que les ressources à mobiliser soient maitrisées ou disponibles, que les situations soient de même niveau de complexité que celles déjà rencontrées.

Gérard

17 montre la difficulté à évaluer des situations complexes. Il relève des raisons liées à la création de situations par les enseignants car elle doit en particulier:

- être équivalente à une autre situation de la même famille de situations, évaluant la même

compétence ; - avoir du sens pour les élèves ; - être réalisée en temps limité ; - contenir toutes les informations nécessaires aux élèves ; - comporter " une consigne qui soit intégralement comprise en vue de mobiliser l'action des Revue Française de Pédagogie, n° 154, octobre 2006, 97-110. 13

REY, B., CARETTE, V., DEFRANCE, A. & KAHN, S. (2003). Les compétences à l'école - Apprentissage

et évaluation, Bruxelles : De Boeck. 14 PERRENOUD, P. (1997). Construire des compétences à l'école. Paris: ESF.p.7. 15

Ibid p.17

16

Ibid p. 56

17

Ibid p.173

élèves, suffisamment contraignante tout en leur laissant des marges de créativité, en ne disant

pas tout ce qui doit être fait et comment mais en guidant suffisamment Un cadre institutionnel pour l'évaluation au collège

Plusieurs documents sur le site

Éduscol accompagnent les réformes du collège : nouveaux programmes, mise en place du socle commun, évaluation des compétences des

élèves à différents

paliers.

Nous nous sommes plus particulièrement

attachées à l'étude de l'évaluation de compétences liées à la mise en oeuvre d'une démarche d'investigation en sciences : formuler un problème, émettre des hypothèses, proposer ou/et suivre un protocole.

Dès le préambule du

SOCLE COMMUN

on lit : " Maîtriser le socle commun, c'est être capable de mobiliser ses acquis dans des tâches et des situations complexes, à l'école puis d ans la vie ». Le VADE-MECUM de janvier 2011 précise un peu ce qu'il faut entendre par " tache complexe ». Ce n'est pas nécessairement une tâche compliquée, mais elle fait appel à " une combinaison de plusieurs procédures simples, automatisées, connues. Elle nécessite

l'élaboration par l'élève d'une stratégie (et non pas de la stratégie experte attendue) et fait

appel à plusieurs ressources. 18 Si l'on reprend les termes du document mis à disposition des enseignants sur le site Éduscol en mai 2011 " la MISE EN OEUVRE DU SOCLE et l'évolution d'une discipline, les sciences de la vie et de la Terre 19 », au sujet des tâches complexes, un certain nombre de caractéristiques sont pointées :

- un investissement de l'élève dans le choix, la sélection des tâches simples à mettre en

oeuvre - trois objectifs : mettre les élèves en situation d'investigation, leur faire acquérir de nouvelles connaissances, leur faire acquérir des capacités et/ou des attitudes. Mais c'est surtout ce qu'il faut éviter qui est décrit :

- pas de situations fermées et guidées, soit oralement soit par des fiches d'activités

- pas de démarche est souvent prédéfinie et imposée par une succession de consignes ou de

questions simples

- pas de situations problèmes servant de prétextes au lieu de servir de fil directeur pour

l'investigation Le document d'AIDE AU SUIVI de l'acquisition des connaissances et des capacités 20

publié sur Éduscol, propose aux enseignants des repères pour suivre l'acquisition progressive

des conn aissances et des capacités sur les quatre niveaux du collège.

Pour les compétences que nous étudions

nous avons mis en évidence la progressivité attendue par un sur lignage " en gras » des attentes nouvelles d'une année sur l'autre. 18

VADE-MECUM 2011, p.4

19 20 connaissances-et-capacites_161743.pdf Tableau 1 : extrait du document d'appui Palier 3 compétence 3, Aide au suivi de l'acquisition des connaissances et des capacités du socle commun (avril 2011) - il est dit dans : Réaliser, manipuler, mesurer, calculer, appliquer des consignes 6

ème

5

ème

et 4

ème

3

ème

- Suivre un protocole,

L'élève suit un

protocole simple

L'élève suit un protocole simple

laissant une part d'autonomie,

L'élève suit un protocole simple

dans un contexte nouveau ou plus complexe - il est dit dans : Raisonner, argumenter, pratiquer une démarche expérimentale ou technologique, démontrer 6

ème

5

ème

4

ème

3

ème

Proposer une démarche de résolution :

- formuler un problème ; - comparer une situation un modèle connu ;

L'élève distingue

dans un contexte simple les questions - auxquelles on peut répondre - qui nécessitent un traitement - auxquelles on ne peut pas répondre.

Il distingue dans un

contexte donné les questions - auxquelles on peut répondre - qui nécessitent un traitement - pour lesquelles l'information est insuffisante. Idem

Il repère des

questions qui ne formalisent pas convenablement le problème.

Idem +

Il participe à une

formulation d'un problème simple à partir d'observations, de données ou d'essais erreurs. - émettre une hypothèse, l'élève choisit dans une liste une hypothèse.

Il participe à la

proposition d'une hypothèse

Idem il formule une

hypothèse. - proposer une expérience (protocole),

L'élève remet en

ordre les étapes d'un protocole ....

Il participe à la

conception d'un protocole...

Il identifie un

protocole

Il reconnaît le

contexte ou les conditions d'utilisation d'un protocole,

Il participe à la

conception d'un protocole, adapte un protocole, prévoit les informations ou les résultats qu'il peut en tirer.

Faire des

essais ; choisir, adapter une méthode ou unquotesdbs_dbs42.pdfusesText_42
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