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Science et Vérité

1 févr. 2018 exemple il ne dit pas « ceci est la vérité ». ... communauté scientifique



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Les vérités scientifiques et le sens commun

17 août 2007 Les vérités scientifiques et l'idée de vérité. ... Cet exemple particulier porte un enseignement qui peut être utile pour d'autres domaines.



La Vérité

Analysons maintenant une vérité scientifique. Par exemple : Le carré de l'hypoténuse est égal à la somme des carrés des deux autres côtés.



Relativisme et vérité scientifiques chez Max Weber

la « vérité scientifique » en tant que « valeur » et en tant que « pro- Weber illustre cette première présupposition par l'exemple de.



VALIDITÉ DU CONCEPT DE VÉRITÉ SCIENTIFIQUE

La vérité scientifique n'est pas une donnée toute faite elle se fait



lillustration scientifique entre art

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Quelques exemples de préjugés sur les sciences : comment y

Ils soupçonnent la science d'être l'instrument d'intérêts louches et peu avouables. Ils contestent parfois l'universalité des vérités scientifiques considérant 



LES FONCTIONS DE LIDÉE DE VÉRITÉ

n'est pas une science close et définitive. Ainsi les fonde- ments même de la logique kantienne sont ébranlés et avec eux la croyance en une vérité logique 



Vérités scientifiques et monde commun - editions-croquantorg

la vérité scientifique comme un bien commun de l’humanité Maryvonne HoLZeM linguiste émérite à l’université de ouen membre de l’association Sciences citoyennesr Vérités scientifiques et monde commun (1) «La fraude dans les sciences: des pratiques nouvelles banalisées » in Maryvonne Holzem (dir ) Vérités citoyennes



La vérité scientifique ? - Un peu de Physique pour

vements de pensée par exemple l'existentialisme des années 50 et son héri tage chez quelques philosophes critiques ont proposé un humanisme réactif Par ailleurs la science contemporaine est éclatée post-moderne; son historicité est évidente L'unité de la vérité est vécue aujourd'hui sous la



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scientifiques ces hypothèses se doivent d’être testables vérifiables potentiellement réfutables Exemple: Étant donné que les cheminées laissent sortir de l’air chaud et qu’il fait froid en hiver peut-être que les étourneaux se perchent sur les cheminées en hiver pour se réchauffer

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    Dans toute étude clinique randomisée (qui teste un médicament ou un traitement) des conditions légales strictes liées à la déontologie sont à respecter . Surtout quand une maladie ou un virus comme le Covid-19 entraîne la mort. Si on prend les chiffres de la France par exemple. Il est ainsi estimé un total de 168 810 cas confirmés de COVID-19 en Fr...

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Qu'est-ce que les vérités scientifiques ?

Ce sont des faits ou lois scientifiques reconnues par la communauté scientifique, testables dans tous les laboratoires et rendant compte de nombreuses observations (voir la section ” Comprendre le monde moderne .. débutant “). Les vérités scientifiques ne sont pas éternelles : le public a raison en ce sens.

Quelle est la différence entre la science et la vérité ?

Contrairement à la poésie ou à la divination qui, en ne justifiant pas systématiquement, peuvent produire indifféremment de la croyance vraie ou de la croyance fausse. Le lien de la science à la vérité, c'est un lien qui passe par le fait que la science instancie tout un tas de procédures de justification.

Pourquoi la science produit-elle la vérité ?

On ne peut donc pas dire que, par principe, indépendamment de tout, la science produit la vérité. Elle la produit dans des conditions sociales assez précises. Et si ces conditions sociales ne sont pas réalisées, alors il n’y a pas de raison, a priori, d'adhérer à l'idée que la science produit la vérité...

Pourquoi les vérités scientifiques sont-elles éternelles ?

Les vérités scientifiques ne sont pas éternelles : le public a raison en ce sens. Car de nouvelles observations, de nouvelles expériences peuvent remettre en cause les théories établies. Mais toute nouvelle vérité -comme dans les poupées russes- devra rendre compte de toutes les observations de l’ancienne.

Quelques exemples de préjugés sur les sciences : comment y répondre ? Marie Perret Lycée Richelieu, Rueil-Malmaison Si la science jouissait il y a quelques décennies encore d'un indéniable prestige, elle suscite aujourd'hui de la méfiance, qui peut aller, parfois, jusqu'au rejet. Les élèves tiennent souvent des discours très critiques à propos de la science, discours qui ne sont pas exempts de contradictions. Tantôt, ils lui reprochent d'être toute-puissante et dangereuse (ils citent fréquemment l'exemple de la bombe atomique) ; tantôt ils l'accusent d'être fragile (les théories s cientifiques seraient de simples conjectures destinées à être abandonnée s). Ils soupç onnent la science d'être l'instrument d'intérêts louches et peu avouables. Ils contestent parfois l'universalité des vérités scientifiques, considérant qu'elles sont des cro yances relative s à une civilis ation particulière, en l'occurrence, " l'Occident ». Il peut a ussi arriver que des élève s réagissent violemment à certains cours de sciences quand, à leurs yeux, ils heurtent leurs convictions religieuses. Se retranchant alors derrière une liberté vide (" de toute façon, je pense bien ce que je veux »), ils refusent de chercher à comprendre, voire même d'écouter le cours. Ou alors, ils opposent aux explications du professeur un argumentaire très élaboré supposé mo ntrer l'inanité des théories s cientifiques e n général, de la théorie du Big Bang ou de la théorie darwinienne de l'évolution en particulier. Pour trois raisons au moins, il faut prendre au sérieux les questions que les élèves se posent à propos de la scien ce, mais aussi leurs ré sistances voire leurs préjugés. D'abord, parce que ces critiques sont l'occasion de soulever des problème s intéressants, qui portent sur la nature de la démarche scientifique, sur sa capacité à atteindre la vérité et à décrire objectivement le réel. Ensuite, parce qu'il importe que les élèv es, qui sont de futurs c itoyens, s oient capables de distingu er ce qui est scientifique de ce qui ne l'est pas, ce qui relève de la rationalité de ce qui n'en relève pas, ce qui est objectivement fondé de ce qui n'est qu'une certitude subjective. Il en va de leur liberté future : en ignorant ces distinctions, ils s'exposent à être la proie de tous ceux qui, pour une raison pour pour u ne autre, pourr aient abuser de leur ignorance et profiter de leu r crédulit é. En fin, parce q ue des forces trè s bien

Marie Perret, Quelques exemples de préjugés sur les sciences. APPEP - Ressources pour l'Enseignement moral et civique - http://appep.net 2 organisées se parent du costu me de la science pour donner à leur discours une légitimité. Tel est le cas, par exemple, du mouvement du " dessein intelligent » qui cherche à imposer dans l'enseignement scientifique d'idée d'une évolution guidée par une intelligence supérieur e1. Voici quelques exemples de réactions d'élèves et d'arguments sur lesquels on pourra, le cas échéant, s'appuyer. " La science est dangereuse : c'est à cause des scientifiques qu'il y a eu la bombe atomique » Ce lieu co mmun repose sur une confusion entre la science e t ses applications techniques. Cette confusion es t explicable. La science mod erne, en eff et, est expérimentale et s'appuie donc sur des techniques (sur des expérienc es qui font intervenir des instruments) ; de p lus, à la différence de la scie nce antiqu e ou médiévale, la science moderne n'est pas purement spéculative : elle débouche sur des applications techniques. Il est par conséquent difficile de distinguer clairement ce qui relève de la science proprement dite et ce qui relève de la technique, au point qu'on a tendance à appeler " science » l'ensemble des applications techniques qui sont issues du savoir scientifique. Mais cet usage est abusif : même si elles sont liées, la science ne se con fond pas avec la technique. La sc ience relève de l'investigation : les scientifiques cherchent à expliquer les phénomènes naturels au moyen de méthodes rationnelles et contrôlables. L'objectif visé est celui de la connais sance. Vouloir interdire la connaissance scientifique sous prétexte qu'elle pourrait déboucher sur des applications dangereuses ou immorales n'est ni possible ni même souhaitable. Cela n'est pas poss ible puisqu'on ne sait pa s à l'avance quelles applica tions techniques pourront être faites d'une théorie ; et quand bien même il serait possible de les pr évoir, ce ne serait pas souhaitable, ca r cela c onduirait l es scientifiques à pratiquer une forme d'autocensure préjudiciable à la connaissance. La science, dans sa démarche, est donc amorale : elle n'a pas à se préoccuper de la question de la légitimité. Cela ne veut pas dire, toutefois, que les chercheurs doivent volontairement fermer les yeux sur les applications qui sont faites des théories scientifiques. Einstein prit l'initiative, en 1945, d'écrire à Roosevelt pour lui demander instamment d'user de son pouvoir d'influence pour convaincre les pays de renoncer à la bombe atomique. Mais de telles prises de position, qui portent sur la question des valeurs, ne relèvent pas du champ de la science proprement dit : elles relèvent du champ politique et de la morale. C'est en tant que citoyen, et non en tant que scientifique, qu'Einstein a pris position sur la bombe atomique. Si l es citoyens p euvent et doivent limiter les applications techniques qui peuvent être faites de la science (par exemple le clonage humain), ils n'ont pas à imposer a priori des limites à la connaissance scientifique (par exemple à la connaissance de la structure des gènes). Par ailleurs, si les élèves 1 Sur ce point, la lecture de l'ouvrage de Cyrille Baudoin et Olivier Brosseau, Enquête sur les créationnisme (Editions Belin, 2013) est précieuse.

Marie Perret, Quelques exemples de préjugés sur les sciences. APPEP - Ressources pour l'Enseignement moral et civique - http://appep.net 3 tiennent les scientifiques pour des apprentis sorciers irresponsables, c'est parce qu'ils oublient qu'entre une découverte scientifique et les applications techniques qui en sont tirées existe toute une série de décisions qui ne dépendent pas de la recherche scientifique. On peut citer Guillaume Lecointre2 : " entre le rais onnement scientifique, qui est amoral, et les applicat ions pour les quelles on déploie ce raisonnement, il existe toute une chaîne décisionnelle qui est oubliée ou tue, et qui est la principale porteuse de considérations économiques, sociales, éthiques, politiques, historiques, morales ou philosophiqu es qui se surajoutent pou r justifier tel ou tel objectif des technosciences. Les équations qui décrivent la fission de l'atome ne sont pas responsables à elles seules de l'existence de la bombe atomique ». " Darwin, je n'y crois pas » C'est une bonne chose : aucun scientifique ne demande à être " cru ». La démarche scientifique est une démarche rat ionnelle et r igoureuse qu i exclut l'adhésion irréfléchie : l'élève ne doit pas croire mais comprendre les théories scientifiques, ce qui exige un effort intellectuel (refaire la démarche qui a présidé à la découverte de la théorie, en comprendre les tenants et les aboutissants, vérifier la solidité des preuves, etc.). Mais ce refus de " croire Darwin » peut aussi s'expliquer par des raisons religieuses. L'élève refuse de faire l 'effort exigé pour comp rendre la théor ie darwinienne de l'évolution et les preuves qui la fondent. Il a le sentiment qu'en faisant cet effort, il renierait ses croyances religieuses. On peut alors expliquer à l'élève que la science ne s'oppose pas à la religion car toutes deux relèvent de deux ordres étrangers l'un à l'autre : l'ordre de la raison et l'ordre de la foi. Même si la religion n'ignore pas la rationalité (l'existence de la théologie le prouve), elle suppose à un moment donné un " saut » (qui peut être assumé par la raison du croyant) en dehors de la rationalité : ce saut est précisément celui de la foi, qui est volonté de croire ce qui dépasse la raison, ce qu'il est par nature impossible de savoir. Il est impossib le de pro uver l'existence de Dieu par des moy ens expérimentaux, alors qu'il est possible de prouver l'existence d'un trou n oir, d'un microbe ou d'une bactérie. La science, en revanche, s'interdit tout " saut » en dehors de la rat ionalité : le scientifique se doit de tester, au moyen d 'un protocole expérimental, les hypothèses qu'il avance pour expliquer un phénomène. Le protocole expérimental obéit à des procédures t rès strictes qu i perme ttent de contrôler les paramètres de l'expérience et de faire en sorte que cell e-ci soit reproductible par n'importe quel chercheur. Parce qu'elle suit une démarche intégralement rationnelle, la science part du principe que tout phén omène naturel est déterminé par des cause s qui sont elles-mêmes 2 Professeur au Muséum d'Histoire naturelle, directeur du département Systématique et évolution. La citation est extraite de La science face aux créationnismes. Ré-expliciter le contrat méthodologique des chercheurs, Editions Quae, 2012.

Marie Perret, Quelques exemples de préjugés sur les sciences. APPEP - Ressources pour l'Enseignement moral et civique - http://appep.net 4 naturelles. Par exemple, si une tuile tombe du toit, on ira chercher la cause de cet événement du côté de la force du vent, phénomène naturel, et non du côté d'une entité " surnaturelle » (par exemple la volonté de Dieu). De là découle que la science exclut de son champ toute explication de type finaliste. Interpréter un phénomène en se référant à une intention, à un dessein, à un plan (par exemple le plan de Dieu), ce n'est pas prod uire une exp lication scientifique, car d e telles con jectures sont inaccessibles à l'expérience. Cela ne veut pas dire que les scientifiques qui s'obligent à respecter ces exigences renient, le cas échéant, leur foi : le naturaliste Buffon était croyant, mais il s'abstenait de recourir à des entités métaphysiques pour expliquer les phénomènes naturels. Il séparait ce qui relevait d e l'investigation scientifique et ce qui re levait de sa foi religieuse. La science n'oblige donc personne à devenir athée. Elle étudie la matière et ses propriétés. S'il existait, dans le réel, quelque chose qui ne relève pas de la matière, elle ne pourrait pas le savoir. " En science, rien n'est vrai : les vérités scientifiques sont constamment réfutées » C'est vr ai : l'histoire des sciences montre qu'aucune théorie scientifiq ue n'est intangible. Mais il fau drait dire pl us : on r econnaît l e caractère scientifique d'une vérité à ceci qu'elle est réfuta ble. La réf utabilité est la preuve qu'une théorie e st scientifique3. Le scientif ique ne doit pas seulement cherc her à vér ifier expérimentalement son hypothèse : il doit aussi préciser à quelles conditions et par quelles expériences celle-ci pourrait être mise en échec. Prenons la croyance en un dessein intelligent, soit l'énoncé selon lequel ce qui existe ne peut être dû à un hasard de circonstances mais suppose une intelligence créatrice : un tel énoncé est plausible, mais il n'a aucune valeur scientifique. Non seulement aucun test ne permet de le vérifier, mais aucun test ne permet non plus de le réfuter. Cet énoncé relève de la croyance et non de la science. Une hypothèse scientifique, en revanche, rend possible des prévisions qui permettent de la vérifier. Mais le scientifique doit aussi détailler les procédures qui permettaient de réfuter sa théorie. Les vérités scientifiques ne sont donc pas des vérités absolues. Elles restent vraies tant qu'elles résistent à la réfutation. " La science est un truc d'Occidentaux » Il existe une autre manière de remettre en cause la validité de la science, qui consiste à la considérer comme le produit d'une mentalité particulière : on dira que la science 3 " Le critère de la scientificité d'une théorie réside dans la possibilité de l'invalider, de la réfuter ou encore de la tester ». K. Popper, Conjonctures et Réfutations, trad. De Launay, chap.1, §1.

Marie Perret, Quelques exemples de préjugés sur les sciences. APPEP - Ressources pour l'Enseignement moral et civique - http://appep.net 5 est relative à la civilisation dont elle est is sue, et qu'elle n'a donc pas de por tée universelle. Qu'elle ne concerne et n 'intéresse que l'Occident et non les autr es cultures. Ce relativisme est entretenu par l'ambiguïté du mot " science » qui, dans l'usage, peut désigner un ensemble de savoirs accessibles à une époque donnée ou dans une civilisation donnée (c'est en ce sens que l'on parle de la " science grecque » ou de la " science du Moyen-Âge »). Il impo rte, toutefois, de combattre ce relativisme, car il peut, là encore, servir de justification à la paresse intellectuelle, voire à l'hostilité à l'égard de l'enseignement scientifique. On pourra signaler à l'élève qu'il existe des scientifiques dans tous les pays du monde et de toutes les confessions. On pourr a lui expliquer que le fait d 'être de telle nationalité ou de telle relig ion n'empêche nullement de reconnaître la validité d'une théorie scientifique : pour se convaincre qu'elle est vraie, il suffit de mettre en oeuvre les procédures permettant de la tester (refaire soi-même l'expérience, vérifier si elle n'est pas invalidée dans tel ou tel cas, etc.). On pourra lui faire remarquer que si telle science est effectivement née dans un contexte historique déterminé, elle ne s'y réduit pas : elle se développe de façon autonome, e n fonction de ses exigences pro pres et d es problèmes qu'elle rencontre à l'intérieur de son champ. On pourra , enfin, lui expliquer que si les mentalités sont particulières, la raison, elle, est universelle : lorsque je comprends une vérité, je conclus immédiatement que n'importe quel esprit pourrait comprendre ce que je comprends.

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