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BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS - 1 - 17 mars 2011

3 507022 P - C.P. n° 817 A.D. du 7-1-1975 B.O.I. Version imprimée: I.S.S.N. 0982 801 X

Direction générale des finances publiquesVersion en ligne : I.S.S.N. 2105 2425 Directeur de publication : Philippe PARINI Responsable de rédaction : Toussaint CENDRIER

Impression : S.D.N.C.

82, rue du Maréchal Lyautey - BP 3045 - 78103 Saint-Germain-en-Laye cedex Rédaction : CDFiP

17, Bd du Mont d'Est - 93192 Noisy-le-Grand cedex

BULLETIN OFFICIEL DES IMPÔTS

N° 22 DU 17 MARS 2011

DIRECTION GÉNÉRALE DES FINANCES PUBLIQUES

14 A-1-11

INSTRUCTION DU 8 MARS 2011

PUBLICATION DE L'AVENANT A LA CONVENTION ENTRE LA FRANCE ET LE GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG TENDANT A EVITER LES DOUBLES IMPOSITIONS ET A ETABLIR DES REGLES D'ASSISTANCE ADMINISTRATIVE RECIPROQUE EN MATIERE D'IMPOTS SUR LE REVENU ET SUR LA FORTUNE, SIGNEE A PARIS LE 1 ER

AVRIL 1958 ET

MODIFIEE PAR L'AVENANT DU 24 NOVEMBRE 2006, SIGNE A PARIS LE 3 JUIN 2009 1 (J.O. N°0024 DU 29 JANVIER 2011, PAGE 1870)

NOR : ECE L 10 40013 J

Bureau E 1

La version consolidée du texte de la convention entre le gouvernement de la République française et le

Grand-Duché du Luxembourg, signée le 1

er avril 1964 et modifiée par les avenants du 24 novembre 2006 et du

3 juin 2009, figure en annexe.

Le Sous-Directeur

Christian COMOLET-TIRMAN

1 Le présent avenant est entré en vigueur le 29 octobre 2010.

14 A-1-11

17 mars 2011 - 2 -

JORF n°0024 du 29 janvier 2011 (Texte n°6)

DECRET

Décret n° 2011-109 du 27 janvier 2011 portant publication de l'avenant à la convention entre la France et le

Grand-Duché de Luxembourg tendant à éviter les doubles impositions et à établir des règles d'assistance

administrative réciproque en matière d'impôts sur le revenu et sur la fortune signée à Paris le 1er avril 1958,

modifiée par un avenant signé à Paris le 8 septembre 1970 et par un avenant signé à Luxembourg le

24 novembre 2006, signé à Paris le 3 juin 2009 (1)

NOR: MAEJ1032754D

Le Président de la République,

Sur le rapport du Premier ministre et de la ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes,

Vu la Constitution, notamment ses articles 52 à 55 ;

Vu la loi n° 2010-1197 du 12 octobre 2010 autorisant l'approbation de l'avenant à la convention entre la France et

le Grand-Duché de Luxembourg tendant à éviter les doubles impositions et à établir des règles d'assistance

administrative réciproque en matière d'impôts sur le revenu et sur la fortune signée à Paris le 1er avril 1958,

modifiée par un avenant signé à Paris le 8 septembre 1970 et par un avenant signé à Luxembourg le

24 novembre 2006, signé à Paris le 3 juin 2009 ;

Vu le décret n° 53-192 du 14 mars 1953 modifié relatif à la ratification et à la publication des engagements

internationaux souscrits par la France ;

Vu le décret n° 60-333 du 31 mars 1960 portant publication de la convention entre la France et le Luxembourg

tendant à éviter les doubles impositions et à établir des règles d'assistance administrative réciproque en matière

d'impôts sur le revenu et sur la fortune et en matière d'impôts extraordinaires sur le capital, signée à Paris le

1er avril 1958 ;

Vu le décret n° 71-1145 du 22 décembre 1971 portant publication de l'avenant à la convention entre la France et

le Grand-Duché de Luxembourg tendant à éviter les doubles impositions et à établir des règles d'assistance

administrative réciproque en matière d'impôts sur le revenu et sur la fortune du 1er avril 1958, et échanges de

lettres, signés à Paris le 8 septembre 1970 ;

Vu le décret n° 2008-43 du 12 janvier 2008 portant publication du deuxième avenant à la convention entre la

France et le Grand-Duché de Luxembourg tendant à éviter les doubles impositions et à établir des règles

d'assistance administrative réciproque en matière d'impôts sur le revenu et sur la fortune signée à Paris le

1er avril 1958, signé à Luxembourg le 24 novembre 2006,

Décrète :

Article 1

L'avenant à la convention entre la France et le Grand-Duché de Luxembourg tendant à éviter les doubles

impositions et à établir des règles d'assistance administrative réciproque en matière d'impôts sur le revenu et sur

la fortune signée à Paris le 1er avril 1958, modifiée par un avenant signé à Paris le 8 septembre 1970 et par un

avenant signé à Luxembourg le 24 novembre 2006, signé à Paris le 3 juin 2009, sera publié au Journal officiel de

la République française.

Article 2

Le Premier ministre et la ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes, sont chargés, chacun

en ce qui le concerne, de l'exécution du présent décret, qui sera publié au Journal officiel de la République

française.

Fait le 27 janvier 2011.

Nicolas Sarkozy

Par le Président de la République :

Le Premier ministre,

François Fillon

La ministre d'Etat, ministre des affaires étrangères et européennes,

Michèle Alliot-Marie

(1) Le présent accord est entré en vigueur le 29 octobre 2010.

14 A-1-11

- 3 - 17 mars 2011 AVENANT À LA CONVENTION ENTRE LA FRANCE ET LE GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG TENDANT À ÉVITER LES DOUBLES IMPOSITIONS ET À ÉTABLIR DES RÈGLES D'ASSISTANCE ADMINISTRATIVE RÉCIPROQUE EN MATIÈRE D'IMPÔTS SUR LE REVENU ET SUR LA FORTUNE, SIGNÉE À PARIS LE 1er AVRIL 1958, MODIFIÉE PAR UN AVENANT SIGNÉ À PARIS LE 8 SEPTEMBRE 1970 ET PAR UN AVENANT

SIGNÉ À LUXEMBOURG LE 24 NOVEMBRE 2006

LE GOUVERNEMENT DE LA RÉPUBLIQUE FRANÇAISE

et

LE GOUVERNEMENT DU GRAND-DUCHÉ DE LUXEMBOURG,

DÉSIREUX de modifier l'article 22 de la Convention entre la France et le Grande-Duché de Luxembourg tendant

à éviter les doubles impositions et à établir des règles d'assistance administrative réciproque en matière d'impôts

sur le revenu et sur la fortune, signée à Paris le 1er avril 1958 (ci-après dénommée " la Convention »),

Sont convenus des dispositions suivantes :

Article 1er

Le texte de l'article 22 de la Convention est ainsi rédigé : " Article 22

1. Les autorités compétentes des Etats contractants échangent les renseignements vraisemblablement pertinents

pour appliquer les dispositions de la présente Convention ou pour l'administration ou l'application de la législation

interne relative aux impôts de toute nature ou dénomination perçus pour le compte des Etats contractants, de

leurs subdivisions politiques ou de leurs collectivités locales dans la mesure où l'imposition qu'elles prévoient

n'est pas contraire à la Convention. L'échange de renseignements n'est pas restreint par l'article 1.

2. Les renseignements reçus en vertu du paragraphe 1 par un Etat contractant sont tenus secrets de la même

manière que les renseignements obtenus en application de la législation interne de cet Etat et ne sont

communiqués qu'aux personnes ou autorités (y compris les tribunaux et les organes administratifs) concernées

par l'établissement ou le recouvrement des impôts mentionnés au paragraphe 1, par les procédures ou

poursuites concernant ces impôts, par les décisions sur les recours relatifs à ces impôts, ou par le contrôle de ce

qui précède. Ces personnes ou autorités n'utilisent ces renseignements qu'à ces fins. Elles peuvent révéler ces

renseignements au cours d'audiences publiques de tribunaux ou dans des jugements.

3. Les dispositions des paragraphes 1 et 2 ne peuvent en aucun cas être interprétées comme imposant à un Etat

contractant l'obligation :

a) De prendre des mesures administratives dérogeant à sa législation et à sa pratique administrative ou à celle de

l'autre Etat contractant ;

b) De fournir des renseignements qui ne pourraient être obtenus sur la base de sa législation ou dans le cadre de

sa pratique administrative normale ou de celles de l'autre Etat contractant ;

c) De fournir des renseignements qui révéleraient un secret commercial, industriel, professionnel ou un procédé

commercial ou des renseignements dont la communication serait contraire à l'ordre public.

4. Si des renseignements sont demandés par un Etat contractant conformément à cet article, l'autre Etat

contractant utilise les pouvoirs dont il dispose pour obtenir les renseignements demandés, même s'il n'en a pas

besoin à ses propres fins fiscales. L'obligation qui figure dans la phrase précédente est soumise aux limitations

prévues au paragraphe 3 sauf si ces limitations sont susceptibles d'empêcher un Etat contractant de

communiquer des renseignements uniquement parce que ceux-ci ne présentent pas d'intérêt pour lui dans le

cadre national.

5. En aucun cas les dispositions du paragraphe 3 ne peuvent être interprétées comme permettant à un Etat

contractant de refuser de communiquer des renseignements uniquement parce que ceux-ci sont détenus par une

banque, un autre établissement financier, un mandataire ou une personne agissant en tant qu'agent ou fiduciaire

ou parce que ces renseignements se rattachent aux droits de propriété d'une personne. »

Article 2

1. Chacun des Etats contractants notifie à l'autre l'accomplissement des procédures requises en ce qui le

concerne pour l'entrée en vigueur du présent Avenant, qui prend effet le jour de réception de la dernière

notification.

14 A-1-11

17 mars 2011 - 4 -

2. Les dispositions de l'Avenant s'appliquent aux revenus afférents, suivant les cas, à toute année civile ou tout

exercice commençant à compter du 1er janvier de l'année qui suit immédiatement la date de signature de

l'Avenant.

3. L'Avenant demeure en vigueur aussi longtemps que la Convention.

EN FOI DE QUOI, les soussignés, dûment autorisés à cet effet, ont signé le présent Avenant.

FAIT à Paris, le 3 juin 2009, en double exemplaire en langue française. Pour le Gouvernement de la République française :

Christine Lagarde,

Ministre de l'Economie, de l'industrie et de l'emploi Pour le Gouvernement du Grand-Duché du Luxembourg

Luc Frieden,

Ministre du Trésor et du budget

14 A-1-11

- 5 - 17 mars 2011

ANNEXE

VERSION CONSOLIDEE DE LA CONVENTION FRANCO-LUXEMBOURGEOISE DU 1 ER

AVRIL 1958

MODIFIEE PAR LES AVENANTS DU 24 NOVEMBRE 2006 ET DU 3 JUIN 2009. CONVENTION ENTRE LA FRANCE ET LE GRAND-DUCHE DE LUXEMBOURG TENDANT A EVITER LES DOUBLES IMPOSITIONS ET A ETABLIR DES REGLES D'ASSISTANCE ADMINISTRATIVE RECIPROQUE EN

MATIERE D'IMPOTS SUR LE REVENU ET SUR LA FORTUNE

Le Président de la République française et Son Altesse Royale la Grande-Duchesse de Luxembourg,

Animés du désir d'éviter les doubles impositions en matière d'impôts sur les revenus et d'impôts sur la fortune et

de régler certaines autres questions en matière fiscale, ont décidé de conclure une Convention et ont nommé à

cet effet pour leurs plénipotentiaires, savoir : Le Président de la République française :

Son Excellence M. Louis Joxe, ambassadeur de France, secrétaire général du ministère des Affaires étrangères ;

Son Altesse Royale la Grande-Duchesse de Luxembourg : Son Excellence M. Robert Als, ambassadeur extraordinaire et plénipotentiaire de Luxembourg,

Lesquels, après avoir échangé leurs pleins pouvoirs reconnus en bonne et due forme, sont convenus des

dispositions suivantes :

Article 1er(

2

1. Les impôts qui font l'objet de la présente Convention sont :

a) En ce qui concerne le Grand-Duché de Luxembourg :

1) l'impôt sur le revenu des personnes physiques ;

2) l'impôt sur le revenu des collectivités ;

3) l'impôt spécial sur les tantièmes ;

4) l'impôt sur la fortune ;

5) les impôts communaux sur le revenu et sur la fortune.

b) En ce qui concerne la France :

1) l'impôt sur le revenu des personnes physiques ;

2) la taxe complémentaire ;

3) l'impôt sur les sociétés, ainsi que toutes retenues, tous précomptes et avances décomptés sur

ces impôts.

2. La présente Convention s'appliquera également aux autres impôts ou taxes analogues qui pourront être établis

par l'un ou l'autre des deux Etats contractants après la signature de la présente Convention.

3. Il est entendu que dans le cas où il serait apporté à la législation fiscale de l'un ou de l'autre Etat des

modifications qui affecteraient sensiblement la nature ou le caractère des impôts visés au paragraphe 1 du

présent article, les autorités compétentes des deux pays se concerteraient. 2

Ainsi modifié par l'article 1

er de l'avenant du 8 septembre 1970.

14 A-1-11

17 mars 2011 - 6 -

Article 2

Pour l'application de la présente Convention :

1. Le terme " France ", quand il est employé dans un sens géographique, ne comprend que la France

métropolitaine et les départements d'outre-mer (Guadeloupe, Guyane, Martinique, Réunion).

Le terme " Luxembourg ", employé dans le même sens, désigne le Grand-Duché de Luxembourg.

2. Le terme " personne " désigne :

a) Toute personne physique ; b) Toute personne morale ; c) Tout groupement de personnes physiques qui n'a pas la personnalité morale.

3. 1) Le terme " établissement stable " désigne une installation fixe d'affaires dans laquelle l'entreprise exerce

tout ou partie de son activité.

2) Au nombre des établissements stables figurent notamment :

a) les sièges de direction ; b) les succursales ; c) les bureaux ; d) les usines ; e) les ateliers ; f) les installations à usage d'entrepôt ou de magasins ; g) les mines, carrières ou autres lieux d'extraction de ressources naturelles ; h) les chantiers de construction ou d'assemblage dont la durée dépasse six mois.

3) On ne considérera pas qu'il y a " établissement stable " si :

a) il est fait usage de simples installations de stockage ; b) un stock de marchandises est maintenu dans le pays, en entrepôt ou non, sans autre objet que de faciliter la livraison (sauf si l'alinéa 4 b du paragraphe 4 s'applique) ; c) un lieu d'affaires est maintenu dans le pays sans autre objet que d'acheter des biens ou des marchandises ou de réunir des informations ; d) un lieu d'affaires est maintenu dans le pays aux seules fins d'exposition, de publicité, de fourniture d'informations ou de recherches scientifiques ayant pour l'entreprise un caractère préparatoire ou auxiliaire.

4) Un représentant ou un employé agissant dans un des territoires pour le compte d'une entreprise de

l'autre territoire, autre qu'une personne visée à l'alinéa 6 ci-après, n'est considéré comme

" établissement stable " dans le premier territoire que s'il :

a) dispose de pouvoirs généraux qu'il exerce habituellement lui permettant de négocier et de

conclure des contrats au nom de l'entreprise, à moins que son activité soit limitée à l'achat de

matériel et de marchandises, ou b) détient habituellement dans le premier territoire un stock de matériels ou de marchandises

appartenant à l'entreprise en vue d'effectuer régulièrement des livraisons pour le compte de cette

dernière.

5) Les entreprises d'assurances sont considérées comme ayant un établissement stable dans l'un des

deux Etats dès l'instant que, par l'intermédiaire d'un représentant n'entrant pas dans la catégorie des

personnes visées à l'alinéa 6 ci-après, elles perçoivent des primes sur le territoire dudit Etat ou

assurent des risques situés sur ce territoire.

6) On ne considérera pas qu'une entreprise de l'un des territoires a un établissement stable dans l'autre

territoire du seul fait qu'elle effectue des opérations commerciales dans cet autre territoire par

l'entremise d'un courtier, d'un commissionnaire général ou de tout autre intermédiaire jouissant d'un

statut vraiment indépendant, à condition que ces personnes agissent dans le cadre ordinaire de leur

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