Une puissance émergente : LE BRESIL
1ère heure de cours : Qu'est-ce qu'une puissance émergente ? Une série de cartes du monde où les élèves repèrent le Brésil : Carte du PIB par habitant.
II. Les territoires dans la mondialisation Thème 2 : Les puissances
Qu'est ce qu'une puissance émergente ? une puissance émergente. A) La montée en puissance de l'Inde est liée à son insertion dans la mondialisation.
Turquie : une puissance émergente qui na pas les moyens de ses
C'est en Syrie qu'Ankara a fait sa première expérience de guerre par procuration en se servant des groupes djihadistes pour lutter contre le régime Assad et
Activité du jour 1 mission
La fin de la guerre froide est marquée par la chute du mur de Berlin en novembre 6- Qu'est-ce qu'une puissance émergente? Une puissance émergente est ...
Au-delà de la paix et de la guerre : vers une typologie des
Cet article soutient que l'éventail des transitions de pouvoir ou mieux constellations enfin qu'une puissance non émergente est prise au piège d'une ...
DOSSIER 1 : Quest-ce que la puissance ?
10 nov. 2013 Le terme de puissance est synonyme de pouvoir. ... puissance émergente etc. ... À moins qu'il ne s'agisse d'un monde a-polaire.
LES PUISSANCES EMERGENTES
Qu'est-ce-qu'une puissance émergente ? I . La Chine un nouveau géant mondial. FRISE : Evolution du Produit Intérieur Brut (richesse) de
Les Etats-Unis face aux puissances émergentes : quelles stratégies
Qu'est-ce la puissance aujourd'hui ? L'objectif de cette section n'est pas d'entrer dans le débat théorique de savoir si oui ou non on
Des économies émergentes aux puissances émergentes
Et aucune université tant au Brésil qu'en Chine ou en Inde ne parvient à se classer avant le 100e rang. La Chine est devenue en 2008 le cinquième dépositaire
Les puissances émergentes I. La Chine sera-t-elle la future
Problématiques de la séquence : Qu'est-ce qu'un pays émergent ? - La montée en puissance des pays émergents peut-elle remettre en cause la domination des
[PDF] LES PUISSANCES EMERGENTES - GEOHISTOIRE
Vastes et peuplées les puissances émergentes jouent un rôle politique et économique croissant au niveau mondial Qu'est-ce-qu'une puissance émergente ?
[PDF] Une puissance émergente : LE BRESIL
Une puissance émergente est un pays en situation intermédiaire (entre les pays riches et les pays les plus pauvres) Bien que classée parmi les pays du Sud
[PDF] Concepts de puissance et démergence
22 mai 2018 · Chapitre 1 : Le concept de « puissance émergente » : quel sens pour justement qu'est-ce que la puissance après la guerre froide ?
[PDF] Les puissances émergentes - Ministère de léducation nationale
Vastes et peuplées les puissances émergentes se définissent par leur poids croissant dans l'économie mondiale qui s'effectue dans le cadre d'une insertion
La montée en puissance des pays émergents
Si l'on met à part la Russie qui est davantage une puissance ré-émergente qu'émergente Brésil Inde et Chine sont trois pays émergents à forte population
LAfrique du Sud puissance émergente et vulnérable - Cairn
Elle est plus un relais des grandes puissances économiques en Afrique qu'un acteur qui pèse à l'échelle mondiale Les instruments de la puissance L'Afrique du
Les nouvelles puissances : un danger pour le système international
Le peloton de tête se compose des BRIC2 c'est-à-dire du Brésil de la Russie de l'Inde et de la Chine et se caractérise par la puissance économique mais
Émergence pays émergent - Géoconfluences
27 fév 2023 · L'émergence caractérise le processus par lequel un État s'intègre à l'économie globalisée et au capitalisme mondial grâce à une croissance
Qu'est-ce qu'une puissance émergente ?
Une puissance émergente est un pays en situation intermédiaire (entre les pays riches et les pays les plus pauvres). Bien que classée parmi les pays du Sud, une puissance émergente connaît une croissance économique rapide qui lui permet d'approcher des niveaux de développement proches de certains pays du Nord.Qui sont les puissances emergentes ?
Actuellement, sont considérés comme pays émergents des pays tels que l'Afrique du Sud, l'Arabie Saoudite, l'Argentine, l'Australie, le Brésil, la Chine, la Corée, l'Inde, l'Indonésie, le Mexique, la Russie et la Turquie.Pourquoi Dit-on qu'un pays est émergent ?
L'émergence caractérise le processus par lequel un État s'intègre à l'économie globalisée et au capitalisme mondial gr? à une croissance économique (c'est-à-dire une augmentation du produit intérieur brut) forte pendant plusieurs années.27 fév. 2023- Ces pays développent en effet leurs productions et leurs exportations, notamment gr? aux investissements des firmes transnationales, en faisant jouer à plein leurs avantages comparatifs, souvent leur richesse en matières premières ou le faible coût de leur main d'œuvre.
DOSSIER 1 :
Qu'est-ce que la puissance ?
Document 1 : définitions et fondements de la puissance Le terme de puissance est synonyme de pouvoir. Les langues anglaise avec power ou allemande avec Macht utilisent d'ailleurs le même mot. En géopolitique, comme dans lesrelations internationales, la notion de puissance fait le plus souvent référence à des États
mais d'autres acteurs sont dotés d'une puissance indéniable, notamment les institutions financières, les firmes transnationales ou les organisations non gouvernementales majeures.Pour ne pas parler des organisations criminelles.
S'inspirant de Raymond Aron, Serge Sur écrit : " On définira la puissance comme unecapacité - capacité de faire ; capacité de faire faire ; capacité d'empêcher de faire ; capacité
de refuser de faire ». (...) Robert Kagan résume ainsi la puissance comme la capacité à faire
l'Histoire, avec un H majuscule. (...)La puissance implique une hiérarchie des acteurs : hyperpuissance, superpuissance,
puissance moyenne, puissance déclinante, ancienne puissance, puissance ré-émergente,puissance émergente, etc... Le système international évolue en fonction de cette hiérarchie
mouvante des puissances et des capacités variables des Etats. Le système international est multipolaire si plusieurs puissances sont en concurrence, bi- polaire si deux d'entre-elles dominent comme durant la Guerre froide (1947-1990), ou unipolaire si un seul Etat impose son hégémonie comme c'est le cas après la disparition de l'Union soviétique en 1991. Reste à savoir jusqu'à quand. Nous sommes - dit-on - actuellement dans une période de transition entre un monde unipolaire - dominé par les Etats-Unis - et un monde multipolaire marqué par l'émergence ou la réémergence de puissances comme le Brésil, la Russie, l'Inde, la Chine - les fameux BRIC - et bien d'autres, par exemple l'Afrique du Sud. À moins qu'il ne s'agisse d'un monde a-polaire. La puissance s'est d'abord manifestée par la coercition. La guerre, l'impérialisme, l'invasion de territoires expriment une forme de domination fondée sur la force. La guerre façonne lapuissance et réciproquement. De façon plus récente, la notion de soft power a été formulée
en 1990 par Joseph Nye dans son article " Soft Power », publié par Foreign Policy (1990, n°80). (...) Le territoire est une base de la puissance. Il s'agit d'un espace conquis, approprié, défendu. (...) Base de la puissance, le territoire peut permettre de projeter la puissance, au-delà des horizons terrestres ou maritimes. Il importe, en effet pour une puissance de contrôler lesroutes stratégiques. Durant des millénaires, le territoire fut seulement terrestre, puis il devient
spatial avec la conquête de la Lune et plus récemment virtuel avec l'essor de la Toile. Les" autoroutes de l'information » deviennent aussi stratégiques que les " autoroutes
maritimes ». Pour revenir à l'espace terrestre, la superficie du territoire joue un rôle non
négligeable mais finalement moins important que sa maîtrise. La superficie des Etats-Unis -9 millions de kilomètres carrés - est très inférieure à celle de la Russie - 17 millions de
kilomètres carrés, mais la puissance des Etats-Unis paraît très supérieure à celle de la
Russie. Parce que la Russie ne maîtrise pas véritablement l'ensemble de son territoire,fautes d'un peuplement dynamique, de structures socio-politiques et d'infrastructures
économiques à la hauteur de l'immensité - presque la moitié de la circonférence terrestre -
et des défis du climat. Il importe donc que le territoire soit investi - dans tous les sens du terme. Parce que le territoire est une ressource. On pense évidemment aux ressources naturelles mais il faut aussi penser à la dimension symbolique du mot ressource. Le territoire est une représentation qui peut mobiliser les hommes, les mettre en mouvement. (...)1 2 La démographie doit être considérée lorsqu'il est question de puissance. D'abord pour le nombre. Certes, le nombre ne suffit pas pour peser dans le monde. Il est facile de multiplier les exemples de pays dont la population est nombreuse et la puissance à l'état de souvenir... ou de projet. Pour autant, la masse chinoise comme la masse indienne participent - en synergie avec d'autres paramètres - de la montée en puissance de ces pays (ré-)émergents. Engagés dans une dynamique de croissance économique, leur population devient à la fois une main d'oeuvre et un marché. (...) Les hommes comptent surtout pour la dynamique. Il importe de savoir si la dynamique démographique est à la hausse ou à labaisse. La population augmente-t-elle, stagne-t-elle ou diminue-t-elle ? Quelle est sa
fécondité, sa moyenne d'âge, son espérance de vie ? Il faut situer ces indicateurs par rapport au contexte régional puis mondial. Dans la croissance totale de la population, quelle est la part de la croissance naturelle et la part de la croissance migratoire ? Comment lesmigrants sont-ils intégrés ? Le modèle est-il suffisamment attractif pour que les immigrés
fassent les efforts nécessaires pour reprendre à leur compte les valeurs du lieu ? Commentles émigrés - voire les membres de la diaspora - contribuent-ils à l'économie, à l'évolution
politique du territoire d'origine et aux relations entre leur pays d'origine et de résidence ?Gérard-François Dumont a amplement démontré le rôle géopolitique croisant des diasporas.
(...) Les hommes - et les femmes - doivent enfin être considérés pour leur niveau de formation. Le niveau d'éducation est critère du niveau de développement mais aussi des perspectives de puissance. Un pays qui néglige son éducation et sa formation permanente pénalise rapidement sa compétitivité. (...)La puissance résulte enfin d'un désir. Ceux qui se détournent de la quête de puissance ont
toutes les chances de sortir des premiers rangs. (...)Pierre Verluise, " Quels sont les fondamentaux de la puissance » ?, www.diploweb.com, mis en ligne le 10
novembre 2013.Document 2 : le soft power
Joseph S. Nye Jr. fut le directeur de la Kennedy School of Government de l'université de Harvard (Etats-Unis) de 1995 à 2004. Il y enseigne encore aujourd'hui les relations internationales. Auteur de Power and Interdependence, Bound to Lead (1990, dans lequel apparaît le concept de " soft power ») ainsi que de Soft Power : The Means to Success inWorld Politics (2004). Nye fut également Secrétaire adjoint à la Défense, chargé des affaires
internationales, au sein de l'administration Clinton (1994-1995). Il a présidé le National Intelligence Council, organe en charge de coordonner les évaluations des services de renseignement pour le président des Etats-Unis (1993-1994)Frédéric Martel :
En évoquant la force de la culture ou des valeurs d'un pays, dans leur capacité à rallier d'autres pays, vous évoquez ici l'importance du " soft power », ce " pouvoir doux » dont vous êtes le théoricien. Les arguments ne manquent pas pour montrer que le " soft power » est utile, mais est-il indispensable ? Aujourd'hui, est-ce simplement un complément du " hard power » ou y a-t-il substitution ? JN :2 3 Il me semble impossible que le " hard power, celui des armes et de l'argent principalement, puisse disparaître de l'arsenal des forces d'un pays. Ils constituent des moyens d'action et depersuasion très concrets, que l'on peut acquérir de manière plus rapide et plus stable que les
forces volatiles du " soft power ». Ils sont et resteront - je pense - la donnée de base dans la distribution des pouvoirs. Le " soft power », dans ce contexte, vient donc comme un complément, une force d'une autre nature. Mais son importance n'en est pas pour autant moindre. L'idée qu'un type de pouvoir complète l'autre, je l'ai définie dans le concept de " smart power », un " pouvoirintelligent » où sont combinés à juste degré pouvoir dur et pouvoir doux. Plusieurs
personnes diront que le " soft power » n'a aucune efficacité, et il vrai que, parfois, dans un contexte donné, il ne fonctionnera pas et n'offrira aucun apport d'influence. Par exemple, l'importance du " soft power » américain ne stoppera pas Kim Jong II dans son programme d'armement en Corée du Nord. Pour autant, si vous décidez d'ignorer simplement et radicalement le " soft power », vous reniez une composante très importante dans l'Histoire du monde. Prenons l'exemple de laGuerre froide. L'Union soviétique et les Etats-Unis ont pu formuler des menaces
d'importance égale en termes d'armement, par exemple. Si l'Union soviétique est sortieperdante de l'affrontement, c'est qu'elle avait perdu la quasi totalité de son " soft power ». Au
lendemain de la Seconde Guerre mondiale, l'Union - et le communisme, par extension -bénéficiaient d'un très grand pouvoir d'attraction (" soft power », si je reprends mon propre
vocabulaire) : ils symbolisaient la résistance et le soulèvement face au fascisme. Quand les Soviets envahissent la Hongrie en 1956, puis la Tchécoslovaquie en 1968, ils utilisent le " hard power ». Ils ne perdent pas pour autant leur " soft power ». Quand le mur de Berlin tombe, une décennie plus tard, il ne tombe pas sous les coups de l'artillerie ou des bombes : il s'écroule parce que la population, derrière le rideau de fer, a perdu confiance dans le système communiste. Le communisme n'attire plus, l'Union soviétique est démunie de " soft power ». La Guerre froide est une période pour laquelle le jeu entre " hard » et " soft power » apparaît de manière relativement évidente. Essayer de comprendre ce point de l'Histoire en affirmant que le " soft power » n'entre pas en ligne de compte, c'est, à mes yeux, faire une grave erreur de méthode. FM : Pourquoi les Américains sont-ils si puissants en termes de " soft power » ? JN : Les Etats-Unis ont inventé une culture qui emprunte des éléments aux cultures du monde entier. L'Amérique, c'est un pays d'immigrés, qui intègre les composantes culturelles qui viennent à elle. Je dirais que l'immigration elle-même peut-être une composante du " soft power » : ce pouvoir d'attirer en masse des groupes d'individus, en provenance de sociétésaux idéaux parfois bien différents, est révélateur de l'immense portée des grandes idées
américaines. Savoir que les Etats-Unis sont à ce point en mesure de faire rêver et de susciter, dans un mouvement concret, des déplacements de population contribue aussi au poids de son " soft power », les autres pays du monde étant bien conscients de ce pouvoir d'attraction. Et si ce succès fonctionne selon un principe de cercle vertueux (des groupesculturels différents s'installent aux Etats-Unis, les Etats-Unis intègrent les cultures
correspondantes, des groupes culturels nouveaux trouvent des valeurs qui leur ressemblent,se déplacent et enrichissent plus encore la base culturelle américaine), il faut aussi rappeler
que les Etats-Unis, c'est la promesse d'obtenir la nationalité américaine en une génération.
(...)3 4 FM :Comment évaluez-vous le succès du " soft power » ? Il est tout à fait possible de se rendre à
une manifestation anti-Etats-Unis en portant des baskets Nike, en écoutant Lady Gaga sur son iPod et en appelant au rassemblement sur Facebook. Quels éléments comptent réellement pour déterminer si un pays a réussi sa politique d'influence ? JN : Ce serait une erreur de rattacher le " soft power » uniquement à des artefacts culturels. Dans les éléments qui sont le plus souvent des ressources de " soft power » (la culture, lavaleur, les politiques étrangères), ce sont les valeurs qui tendent à prouver de la façon la
plus solide qu'un individu se reconnaît dans un pays et se veut partisan de ce pays. Il est possible d'intégrer des produits de la culture populaire américaine sans pour autant rêverd'être américain et, à ce stade, on note une infiltration des Etats-Unis plus qu'une victoire
d'influence. Avoir du " soft power », c'est avoir un comportement qui permet d'obtenir de l'autre ce que l'on veut. La culture populaire, comme ressource de " soft power », peut produire de l'influence comme elle peut ne pas en produire. En termes de " hard power », la logique estla même : un tank est très efficace pour gagner une bataille dans le désert, il est un poids
mort dans un marais. Tout est une question de contexte. Les films de Hollywood, avec leursfemmes en bikini qui travaillent et divorcent, ont beaucoup de succès auprès des
Brésiliennes. Les mêmes films n'ont pas l'adhésion des femmes d'Arabie Saoudite et, en l'occurrence, font des Etats-Unis un ensemble que l'on a envie de rejeter. Il est essentiel, pour l'évaluation de toute sorte de pouvoir, de savoir intégrer le contexte. (...) FM :La théorie du " soft power » doit-elle être réaménagée pour prendre en compte l'importance
des nouvelles technologies à l'heure actuelle ?4 5 JN : Il n'y a, essentiellement, pas de nouveauté de phénomène, seulement une nouveauté de moyens. Internet signifie tout simplement que nous utilisons et façonnons le " soft power »d'une façon différente, qui sépare les années 1990 du XXIème siècle. Dans les années
1950, les Etats-Unis misaient sur une grande chaîne de diffusion, des chargés d'affaires
culturelles montrant des films dans les grandes villes, et d'autres relais pour travailler leur influence. Aujourd'hui, les choses peuvent aller beaucoup plus rapidement et impliquer n'importe quel citoyen : c'est la nouvelle donne fixée par l'utilisation des réseaux sociaux, Facebook et Twitter. Il est essentiel, aujourd'hui, d'encourager les citoyens à interagir directement entre eux, car le message, sans passer par l'Etat et les possibles pièges de lapropagande, a plus de crédibilité. (...) Le pouvoir devra être pensé en logique de " peer-to-
peer », de particulier à particulier. Il faudra oublier définitivement la solution des années
1930, où l'information était gérée par un centre de diffusion central, avec des stratèges de la
diffusion et des plans de propagande.Interview de Joseph Nye, " Sur la valeur stratégique du Soft Power », France Culture, 14 novembre 2010.
QUESTIONS :
1- A partir du document 1, proposez 3 définitions de la puissance (en citant à chaque
fois leurs auteurs).2- D'après l'auteur du document 1, quels sont les 3 principaux fondements de la
puissance ?3- Quelles sont les 2 grandes formes de puissance que Joseph Nye distingue dans
ses travaux ? Après les avoir définies, illustrez chacune d'elles par 3 ou 4 exemples (vous pourrez vous appuyer sur les documents pp 104-105 de votre manuel).4- A l'aide du document 1, montrez que la puissance est évolutive. Quelles situations
les grands états peuvent-ils connaître ? A l'aide des documents pp 106-107 et de vos connaissances personnelles, donnez 2-3 exemples d'états pour chaque situation.5- A l'aide du document 1, montrez également que les puissances sont
hiérarchisables. Quels niveaux peut-on distinguer. Donnez 1 ou 2 exemples pour chacun de ces niveaux.6- A l'aide des questions précédente et des documents de votre manuel pp 104-107,
complétez le schéma. 5quotesdbs_dbs20.pdfusesText_26[PDF] brevet musique conservatoire
[PDF] cycle musique définition
[PDF] examen solfège fin cycle 1
[PDF] figures de style brevet exercices
[PDF] figure de style brevet 3eme
[PDF] qu'est ce qu'un brevet
[PDF] brevet invention
[PDF] brevet industriel
[PDF] brevet définition
[PDF] brevet blanc 2017 date
[PDF] que faut il reviser pour le brevet de francais
[PDF] comment avoir son brevet avec mention très bien
[PDF] sujet brevet 2012 histoire
[PDF] brevet 2013 histoire