Dégradation de lEnvironnement Urbain et Vulnérabilité Aux
Cela a un effet secondaire sur l'économie nationale car souvent les investissements diminuent à cause de l'inquiétude suscitée par ces pertes. La baisse de
Solutions : Causes : Effets :
Causes : Émission de gaz à effet de serre. Pollution en augmentation. Trafic automobile accru. Utilisation intensive des sols.
34 2. CAUSES ET IMPACTS DE LA DEGRADATION DES TERRES
La La très forte concentration des population autour des mines est la base d'une pression démographique extrême qui fait payer un lourd tribu à l'environnement
Prévention des risques de catastrophe
Codes de construction Dégradation environnementale. Développement durable El Niño-Oscillation australe. Enjeux État de préparation Évaluation de l'impact.
Protection de lenvironnement et développement local
pauvreté. Cette relation cyclique de cause à effet entre la pauvreté rurale et la dégradation de l'environnement a une conséquence évidente: tant que les
Changement climatique la dégradation de lenvironnement et la
En somme la migration environnementale est un phénomène dû à des causes multiples
Environmental Degradation in India: Causes and Consequences
Environmental degradation is the disintegration of the earth or deterioration of the environment through consumption of assets like
Changement climatique la dégradation de lenvironnement et la
29 ???. 2011 ?. En somme la migration environnementale est un phénomène dû à des causes multiples
LLORGANISATION INTERNATIONALE POUR LES MIGRATIONS
environmental events or gradual environmental degradation and implements relevant projects. conséquences migratoires du changement environnemental. Les.
IMPACT DES SYSTEMES DELEVAGE PASTORAUX SUR L
26 ????. 2022 ?. C'est donc dans l'histoire récente qu'il faut rechercher les causes profondes de la mutation des sociétés pastorales et de la dégradation du ...
ÉCONOMIE ET ENVIRONNEMENT: PROBLÈMES ET ORIENTATIONS - OECD
Selon Schulz et Schulz (1989) le recours à des analyses coûts-avantages dans le domaine de l'environnement aurait en particulier l'intérêt de : i) mieux rendre compte de la dimension économique de la dégradation de l'environnement ; ii) donner plus d'objectivité au débat sur l'environnement; 26
EnvironnEmEnt - United Nations Development Programme
Enfin le plan de relèvement encourage la remise en état de l’environnement et des ressources naturelles en tant que stratégie de réduction des risques de catastrophe L’environnement concerne l’ensemble des secteurs d’activité économique et sociale
Searches related to degradation de l environnement causes et consequences pdf PDF
Le plus terrible de cette dégradation gravissime de cet effondrement en voie de généralisation en un mot de ce que l’on peut appeler une véritable débâcle environnementale ce sont bien sûr les drames et les souffrances des victimes passées présentes et à venir êtres humains et autres êtres vivants
Quels sont les causes de la dégradation de l’environnement ?
Quelles sont les causes de la dégradation de l’environnement – les nuisances diverses (bruits et émissions sonores, fumées des cigarettes et pipes). changements climatiques. (Voir encadré ci-après). 2.2. Quelles sont les conséquences de la dégradation de l’environnement ? – la désertification. indirect subi plus élevé.
Que faire en cas de dégradation persistante de la qualité de l’environnement?
Si l’on peut prouver que les coûts des dommages sont importants, une dégradation persistante de la qualité de l‘environnement justifie une intervention des pouvoirs publics. B. Croissance durable : concept et interprétation
Est-ce que les depenses d'environnement et la dégradation de l'environnement seront traitées?
Dans les futures versions révisées du SCN, les depenses d'environnement et la dégradation de l'environnement continueront sans doute d'être traitées à peu près de la même manière (Blades, 1989)9.
Quels sont les problèmes environnementaux?
Certes, des inquiétudes subsistent, mais elles sont maintenant motivées par des problèmes comme la dégradation de l‘atmosphère, des eaux souterraines et des océans. Ces problèmes environnementaux présen- tent, pour deux raisons essentielles, une dimension économique importante :
EnvironnEmEnt
SECtEUr trAnSvErSAL
table deS matièreS introDUCtion 2ProCESSUS D'ÉvALUAtion
2 vUE D'EnSEmBLE DU SECtEUr Et ÉtAt DES LiEUX AvAnt LA CAtAStroPHE 6ÉvALUAtion DES EFFEtS D'UnE CAtAStroPHE
9EStimAtion DE LA vALEUr DES EFFEtS D'UnE CAtAStroPHE 13
ÉvALUAtion DE L'imPACt D'UnE CAtAStroPHE
14LiEnS intErSECtoriELS Et tHÈmES trAnSvErSAUX 14
StrAtÉGiE DE rELÈvEmEnt SECtoriELLE
16 rÉFÉrEnCES 25AnnEXES 26
2Environn
E m E ntINTRODUCTION
PROCESSUS D'ÉVALUATION
L'objectif principal de l'évaluation des besoins post-catastrophe en matière d'environnement est de préparer une
stratégie de relèvement qui guidera la remise en état de l'environnement et des ressources naturelles endom-
magés par une catastrophe. Cette stratégie doit également favoriser une reconstruction respectueuse de l'envi-
ronnement dans tous les secteurs. Enfin, le plan de relèvement encourage la remise en état de l'environnement
et des ressources naturelles en tant que stratégie de réduction des risques de catastrophe.L'environnement concerne l'ensemble des secteurs d'activité économique et sociale. La stratégie employée dans
ces Lignes directrices consiste par conséquent à prendre uniquement en compte les aspects des effets et des
impacts post-catastrophe qui ne sont pas abordés dans les autres sous-secteurs. En raison de la nature transversale de l'environnement, l'équipe d'évaluation 1 doit oeuvrer en étroite collaborationavec les autres équipes sectorielles, mais aussi participer si possible aux principales consultations (ou en tirer des
enseignements). La coordination avec les autres équipes sectorielles est également importante pour éviter les
doubles comptabilisations lors du calcul des effets et des impacts.Ces lignes directrices contribuent à la méthodologie d'évaluation post-catastrophe à différents titres: elles conso-
lident l'estimation des besoins relatifs au relèvement du développement humain, à la gouvernance et aux ca-
pacités institutionnelles, à la réduction des risques de catastrophe pour ce qui touche à l'environnement et aux
problèmes d'accès consécutifs à une catastrophe.Une fois que la décision a été prise de réaliser une évaluation des besoins post-catastrophe (PDnA) pour le sec-
teur de l'environnement dans un pays donné, il convient tout d'abord d'en délimiter la portée. Dans le scénario
de base, cet exercice est à réaliser dans le pays concerné après l'évaluation préliminaire des données disponibles
sur la catastrophe. Les informations suivantes doivent être recueillies:1. type de catastrophe, intensité et périmètre géographique
2. Populations touchées par la catastrophe, ventilées par âge et par sexe dans chaque subdivision territo-
riale (provinces, districts, etc.)3. Principaux secteurs de l'environnement touchés et services qu'ils fournissent habituellement
4. Principales institutions (nationales, locales) participant à la gouvernance de l'environnement
5. Principales parties prenantes participant aux opérations de secours
1Sauf mention contraire, les termes " l'équipe d'évaluation » ou " l'équipe » désignent exclusivement l'équipe d'évaluation des besoins
post-catastrophe en matière d'environnement. L'équipe en charge du processus général d'évaluation des besoins post-catastrophe
est abrégée en " équipe PDnA ». 3Environn
E m E nt6. Portée générale et calendrier de l'évaluation
7. Sources possibles des données requises
Dans le cas de catastrophes majeures, il est utile que le chef d'équipe ait visité au moins une fois les lieux lors d'un
voyage de reconnaissance avant de valider le périmètre d'action. il ou elle pourra ainsi présenter aux membresde l'équipe la situation générale. Des supports visuels tels que des photographies doivent être prévus pour aider
les équipes à se préparer. Ce sont également d'excellentes sources de références complémentaires qui doivent, si
possible, être accompagnées de métadonnées. Les cartes seront consultées et annotées en tant que de besoin.
COLLECTE DES DONNÉES SUR LE TERRAIN.
Le travail de terrain doit se décomposer en quatre éléments:Collecte d'informations sur le terrain
Évaluation des capacités institutionnelles
Consultation des parties prenantes, en veillant à représenter équitablement les différents sous-groupes de la population tels que les jeunes, les hommes, les femmes, les groupes ethniques, etc.
Échanges avec les autres équipes sectorielles travaillant sur le terrain, afin de trianguler les informations
et d'éviter les répétitions.À partir des informations obtenues par l'analyse préalable à la catastrophe (décrite dans la partie suivante) et de
ce que l'on sait déjà sur l'ampleur et l'étendue de la catastrophe, il faut tenter de cartographier la situation afin
de répertorier les zones à risques (communautés spécifiques, écosystèmes vulnérables, etc.) et de commencer à
déterminer les dangers éventuels dans chacune d'elles. il est notamment possible de:1. obtenir ou créer une carte de base de la région à partir des informations disponibles, des images satel-
litaires, des connaissances locales, etc.;2. repérer les endroits où la catastrophe a eu le plus d'impact, en notant également les changements per-
tinents affectant les infrastructures, les logements, etc.;3. indiquer les zones pouvant présenter des risques accrus (à la suite d'impacts secondaires induits par la
catastrophe, ou parce qu'elles peuvent pâtir de l'exploitation non durable des ressources naturelles);
4. identifier les mesures éventuellement nécessaires (et les instances à consulter) afin de contribuer à atté-
nuer l'impact sur l'environnement;5. recenser les institutions et les acteurs principaux qui sont touchés et/ou qui doivent être consultés;
6. recenser les services types fournis par l'environnement.
COLLECTE DES DONNÉES
Sources de données existantes: la collecte des données est toujours difficile, en particulier aussitôt après une
catastrophe, lorsque les personnes compétentes ont d'autres obligations urgentes. Les équipes d'évaluation
doivent en être conscientes et travailler de manière stratégique, afin de maximiser le partage des données entre
équipes sectorielles. Elles doivent également se préparer à travailler avec les données disponibles (potentielle-
4Environn
E m E ntment imprécises et incomplètes) et à combler les lacunes par le biais de collectes de données primaires, d'obser-
vations à distance et d'avis d'experts. voici une procédure possible pour collecter des données primaires:1. Préparer un plan ainsi qu'un guide pour les études de terrain des zones sinistrées et, si possible, des zones
non touchées et/ou intactes2. Établir un plan pour les entretiens personnels (voir l'étape suivante) en coordination avec les interlocu-
teurs nationaux compétents3. rencontrer les personnes occupant des postes à responsabilité, les spécialistes techniques désignés et
toutes autres personnes informées et responsables ou en possession d'informations pertinentes4. Procéder aux entretiens sur le terrain avec des chercheurs universitaires, des fonctionnaires, des représen-
tants des autorités et des responsables communautaires, en parallèle d'une évaluation des autres études
sur place ou des analyses existantes5. rencontrer les organisations locales à base communautaire, les femmes, les hommes, les communautés
autochtones le cas échéant, susceptibles de connaître les zones sinistrées ainsi que les effets qui en ré-
sultent sur les moyens de subsistance de la populationÀ partir des informations disponibles sur la nature de la catastrophe et des données primaires recueillies, chaque
spécialiste de l'équipe d'évaluation peut préparer une liste des informations utiles souhaitées en vue de l'anal-
yse détaillée des effets, mais aussi de la détermination des besoins. il est alors possible d'établir les sources de données secondaires potentielles. il faudra notamment effectuer des recherches dans les sources d'information génériques suivantes:a. Données publiques et confidentielles des nations Unies et d'autres organismes internationaux, y compris
d'autres évaluations de la catastrophe b. informations disponibles auprès des administrations des gouvernements nationaux c. informations disponibles auprès des onG internationales et locales d. informations disponibles dans les documents généraux publiése. Consultation des représentants d'autres organismes des nations Unies et des autorités nationales ou
régionalesf. informations recueillies (et enquêtes réalisées) par d'autres organismes des nations Unies ou nationaux
dans ce contexte particulier, après la catastrophe (d'autres évaluations post-catastrophe ont vraisembla-
blement été réalisées dans la région avant celle de l'équipe d'évaluation)g. Consultation de la population touchée (certaines parties peuvent prendre la forme d'enquêtes auprès des habitants)
De nombreuses sources d'information disponibles auprès des autorités nationales ou régionales du pays sinistré
peuvent être utiles à l'évaluation des besoins en matière d'environnement. Par exemple: 5Environn
E m E nt1. les ministères nationaux, notamment ceux en charge de l'environnement ou des ressources naturelles
(s'ils sont distincts), des forêts, de la gestion de l'eau, de l'élevage, de l'agriculture, etc.;
2. les plans nationaux ou régionaux de préparation aux catastrophes;
3. les cartes géographiques, géomorphologiques et climatiques du pays ou de la région;
4. les structures communautaires, y compris les associations de femmes, pouvant jouer un rôle dans la gestion des ressources naturelles;
5. les rapports sur l'état de l'environnement;
6. les bases de données nationales de type recensements, enquêtes de santé nationales, etc.
Le volume de données qu'il est possible de collecter lors d'une évaluation des besoins post-catastrophe dépend
de l'étendue géographique de la zone sinistrée, du temps alloué à l'évaluation et des fonds disponibles. il peut
être difficile de recueillir des données primaires détaillées. il faudra panacher les méthodes (certaines sont indi- quées ci-dessous) pour obtenir les données nécessaires:1. Analyses des images satellitaires pour saisir la situation dans sa globalité
2. Compilation des données publiques
3. Données recueillies par les chambres de commerce, les organismes agricoles et autres instances
4. Données recueillies par les agents de terrain participant au processus d'évaluation des besoins post-ca-
tastrophe5. Données recueillies par les autres secteurs, directement ou auprès d'autres sources
L'équipe d'évaluation doit s'efforcer de vérifier les données recueillies concernant les points clés pour l'environ-
nement et d'obtenir des données complémentaires pour combler les lacunes. il faut également s'assurer de trierles informations recueillies à l'aide des images satellitaires et de trianguler les sources secondaires. La liste de
contrôle de l'annexe 2 peut être utilisée pour la collecte de données primaires. il faut toutefois garder à l'espritqu'il s'agit d'une liste générale, qui doit être développée et adaptée en fonction de la situation.
PRODUITS PRÉVUS
L'évaluation des besoins doit aboutir à un rapport détaillé sur les effets et l'impact de la catastrophe sur l'environ-
nement, ainsi qu'à un plan de relèvement sectoriel. Elle intègre les dommages et les variations des flux écono-
miques (ou pertes), chaque fois que c'est possible, pour en estimer la valeur. Elle indique également les besoins
et les coûts de la remise en état de l'environnement. Le modèle standard des grandes lignes du rapport sectoriel
doit être respecté, à moins qu'un autre accord n'ait été conclu entre le pays et l'équipe PDnA.
Un document mixte sera produit à l'issue de l'évaluation des besoins post-catastrophe, qui intégrera les prin-
cipales recommandations et les estimations de coûts présentées dans le rapport sectoriel sur l'environnement.
toutefois, ce dernier comprendra beaucoup d'autres informations qui seront utiles aux acteurs nationaux. C'est
la raison pour laquelle il est recommandé de publier le rapport sectoriel sur l'environnement en annexe ou en
complément du rapport principal. 6Environn
E m E nt ÉQUIPE D'ÉVALUATION DU SECTEUR ENVIRONNEMENTLa réalisation d'une évaluation complète des besoins post-catastrophe en matière d'environnement doit être
confiée à une petite équipe d'experts, coordonnée par un chef d'équipe. Les membres de cette équipe doivent
posséder des connaissances spécialisées correspondant aux principaux secteurs de l'environnement couverts par
l'évaluation. Le chef d'équipe doit comprendre parfaitement le processus d'évaluation général et la manière dont
les questions écologiques s'inscrivent dans l'exercice.Dans l'idéal, l'équipe PDnA comprendra des experts, notamment en économie de l'environnement, qui lui ap-
porteront un soutien technique. Durant l'évaluation proprement dite, tous les membres de l'équipe doivent se
réunir au moins une fois par jour pour mettre en commun leurs informations, cerner les éventuels problèmes et
lacunes et planifier les activités du jour suivant. VUE D'ENSEMBLE DU SECTEUR ET ÉTAT DES LIEUX AVANT LACATASTROPHE
il est essentiel de réunir autant d'informations fiables que possible sur la situation prévalant juste avant la ca-
tastrophe. De nombreuses sources d'information différentes doivent être consultées. toutefois, même ainsi, denombreuses lacunes sont à prévoir, qu'il faudra combler par la suite au moyen d'investigations ciblées.
Les principales sources de données de référence pré-catastrophe devraient notamment comprendre:
1. Les profils environnementaux du pays ou de la région;
2. Les images satellitaires et les cartes;
3. Les rapports de projet émanant des agences nationales et internationales de l'environnement;
4. Les connaissances locales en matière de gestion des ressources naturelles;
5. Les évaluations précédentes concernant l'environnement;
6. Des bases de données spécifiques: par exemple, si un parc national ou une réserve marine se trouve dans
la zone sinistrée, des rapports particuliers seront certainement disponibles;7. Les plans de gestion des espèces sauvages et des pêches;
8. Les plans de développement du logement et des domaines connexes;9. Les cadastres;
10. La population d'hommes et de femmes vivant au milieu et à proximité des ressources naturelles natio-
nales.Pour guider le processus initial de collecte des données, voici quelques questions à envisager (mais la liste n'est
pas exhaustive):1. Quels étaient les acteurs principaux (publics, non gouvernementaux et locaux, hommes ou femmes) responsables de la gestion des ressources naturelles avant la catastrophe ?
7Environn
E m E nt2. Quelle est la situation actuelle concernant le statut de ces organisations et structures ?
3. Quelles seraient les personnes les plus utiles à contacter pour en savoir plus sur la situation avant la ca-
tastrophe ?4. Quelles étaient les principales caractéristiques de l'environnement dans la région avant la catastrophe
(pêche côtière productive, écotourisme, espèces endémiques, sources d'eau potable, etc.) ?
5. Quel était le système de propriété foncière ? Qui avait accès aux ressources naturelles ?
6. Existait-il des liens évidents ou des interdépendances avec les ressources naturelles ou avec des services écosystémiques clés (pêches, fourniture d'eau douce, etc.) qui pourraient être compromis
par la catastrophe ou en subir le contrecoup en raison d'une surexploitation ?7. Existe-t-il des sites présentant un intérêt ou une valeur écologique dans les environs ? Le cas
échéant, quelle était leur situation avant la catastrophe ?il convient d'accorder une attention particulière à la présence et à la situation pré-catastrophe des zones proté-
gées, ainsi qu'à la présence d'écosystèmes pouvant rendre des services particuliers (alimentation en eau, frayères
pour les pêches en haute mer, sites à la biodiversité exceptionnelle, etc.). Par exemple:1. Les parcs nationaux;
2. Les réserves naturelles et les réserves de chasse;
3. Les sites du patrimoine mondial de l'UnESCo;
4. Les réserves marines;
5. Les sites ramsar (zones humides d'importance internationale);
6. Les corridors biologiques;
7. Les bassins versants et autres écosystèmes assurant des services vitaux.
L'analyse de ces éléments facilitera également la planification des étapes suivantes, en aidant par exemple à iden-
tifier les personnes à consulter, la façon dont les membres de l'équipe d'évaluation peuvent se répartir la respon-
sabilité de certaines tâches, la marche à suivre pour le travail de terrain, etc. D'autres informations provenant de la
phase d'urgence peuvent aussi se révéler utiles pour dresser un état des lieux de la situation avant la catastrophe.
Ces données pré-catastrophe doivent aider l'équipe à décrire l'état des infrastructures et des autres ressources
(en lien avec l'environnement), des biens et services environnementaux, des mécanismes de gouvernance et des
risques et vulnérabilités. Ces points sont brièvement présentés dans les sections suivantes.
DESCRIPTION DES RESSOURCES PRINCIPALES
il peut s'agir de l'état et de l'ampleur, avant la catastrophe, des ressources naturelles concernées (forêts, par
exemple). Une description de la quantité et de la qualité de ces biens naturels peut figurer dans l'état des lieux.
Peuvent également y figurer certaines ressources d'origine anthropique concernant l'environnement (tels que les
systèmes de surveillance de l'environnement) et la nature de ces ressources avant la catastrophe.La description doit absolument comprendre les usages économiques qu'il est fait de l'environnement.
8Environn
E m E ntService
S de régulation régulation du climat
régulation des maladies
rquotesdbs_dbs9.pdfusesText_15[PDF] matière organique et minérale
[PDF] protocole extraction solide liquide
[PDF] matière minérale
[PDF] chromophore definition
[PDF] extraction liquide liquide coefficient de partage
[PDF] matiere organique svt seconde
[PDF] chromophore uv
[PDF] tp extraction liquide liquide
[PDF] les indicateurs de croissance économique pdf
[PDF] distillation protocole
[PDF] indicateur de croissance bébé
[PDF] extraction liquide liquide pdf
[PDF] extraction liquide liquide cours pdf
[PDF] les principaux indicateurs du niveau de développement d'un pays