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Dans cette dernière hypothèse, c'est Dumas qui serait le vrai « Porteur d'histoire ». Vue au théâtre, la pi? est un régal qui emporte le spectateur dans la volupté du conte gr? à une mise en scène qui assure fluidité et clarté.- Adela?, un si?le plus tôt, avait passé sa vie d'adulte en quête du trésor familial perdu, en tant que seule et unique héritière d'une riche famille noble entièrement décimée lors de la Révolution fran?ise et dont on ne sait plus vraiment si elle a réellement existé.
Daniel BERGEZ
LittéRatuRE
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(dir. et collab.), A.ColinPrécis de littérature française
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, La MartinièreLe Salon et ses artistes
(collab.), HermannGao Xingjian
peintre de l'âme , Le SeuilÉcrire l'amour
, Citadelles et Mazenod Des textes supplémentaires sont disponibles en ligne à l'adresse http://armand-colin/ean/9782200613303 Illustration de couverture : Hermann Vogel, Plantation de l'arbre de la liberté par Victor Hugo, place des Vosges, mars 1848©akg-images
Conception de maquette intérieure et couvertureYves Tremblay
Mise en page
: PCA©Armand Colin, 2016
Armand Colin est une marque de
Dunod Éditeur, 5 rue Laromiguière, 75005 Paris www.armand-colin.comISBN 978-2-200-61330-3
Pour anne,
ambroise et astrée 5Sommaire
Introduction 7
Partie 1
e siècle 1Molière,
Dom Juan, 1665 10
2 Racine, Phèdre, 1677 21
3 Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678 31
4 La Bruyère, Les Caractères, 1690 41
Partie 2
e siècle 5Montesquieu,
Lettres persanes
, 1721 526 Rousseau, Discours sur les sciences et les arts, 1750 62
7 Diderot, Le Neveu de Rameau, années 1760-1780 71
8 Beaumarchais, Le Mariage de Figaro, 1783 79
Partie 3
e siècle 9Musset,
Lorenzaccio
, 1834 90 10Nerval,
Aurélia
, 1855 102 11 Hugo,Les Contemplations
, 1856 113 12Baudelaire,
Les Fleurs du Mal
(2 eédition), 1861 122
13Verlaine, Poèmes saturniens, 1866 132
14 Zola,L'Assommoir
, 1877 141 6Sommaire
Partie 4
e siècle 15Apollinaire, Alcools, 1913 152
16Céline, Mort à crédit, 1936 162
17Michaux,
Peintures
, 1939 171 18Camus, L'Étranger, 1942 182
19Sartre, Huis clos, 1944 192
20Cioran, Précis de décomposition, 1949 205
Annexes
Lexique
215Bibliographie 221
7 introduction L a pratique du commentaire de texte est à juste titre centrale dans les études littéraires. Loin des facilités et des assurances parfoi s improbables de la théorie littéraire, et des considérations générales sur les genres, le commentaire se place dans le moment et la dynamique d'une lecture. C' est même une sur- lecture, tant elle est consciente d'elle- même. Elle n'oublie pas les di érents savoirs de la littérature -historiques, génériques, théoriques, stylistiques et esthétiques- ; mais elle les croise et les actualise dans le rapport vivant à l'écrit, dans le dialogue implicite et toujours relancé entre le texte et
son lecteur. C'est dans ce sens que Jean Starobinski a parlé de l' " il vivant » du regard critique, révélant la richesse polysémique du texte p ar une lecture qui est à la fois écoute intime et analyse en surplomb. L'objet de ce livre n'est pas d'abord de proposer et d'expli citer une " méthode » de commentaire. Bien des ouvrages s'en chargent. Celui- ci entend plutôt en donner des exemples, à la manière d'" exercices de lecture » portant sur des textes majeurs de la littérature française. La démarche adoptée appa- raît d'elle- même, dans le mouvement de son développement. Au reste chaque texte est immédiatement suivi d'une ré exion préliminaire qui condense les informations et remarques de lecture essentielles. Ainsi se construit la problé- matique d'ensemble qui détermine le Plan, généralement artic ulé autour des questions du genre du texte, du ou des thème(s) qu'il développe, et de l'es- thétique littéraire qu'il mobilise. Si pour des raisons de plac e nous ne propo- sons pas d'Introductions (qu'il serait facile d'imaginer à partir des remarques de départ), nous n'avons pas hésité à ponctuer les commentaires rédigés de titres et d'intertitres servant de points de repère. Dans le même but, une Bibliographie sélective propose en n d'ouvrage des lectures utiles pour la démarche du commentaire littéraire. On a retenu ici des textes majeurs de la littérature française dep uis le e siècle (les di cultés culturelles et linguistiques appellent généralement pour le Moyen Âge et le e siècle une démarche autre que celle du commen- taire). Sont donc ici successivement donnés à lire : Molière, Racine, Madame de La Fayette, La Bruyère, Montesquieu, Rousseau, Diderot, Beaumarcha is, Musset, Nerval, Hugo, Baudelaire, Verlaine, Zola, Apollinaire, Céline Michaux, Camus, Sartre, Cioran. L'ouvrage présente ainsi, dans des dimen- sions certes modestes, une petite anthologie de " grands textes » littéraires. Il introduit à la connaissance de la littérature française et donne des éclairages variés sur la diversité des enjeux et des esthétiques. Tous les genres sont d'ail- leurs représentés : récit, poésie, théâtre, textes discursifs. Et les problé matiques introduction 8 d'écriture ont été choisies pour leur variété et leur valeur exemplaire. Comme les commentaires s'achèvent habituellement sur une évaluation e sthétique, ce sont de petits condensés de cours de littérature française qui sont proposés à chaque fois. Dans cette mesure cet ouvrage se veut un instrument de culture dont l' uti lité dépasse, nous l'espérons, la seule pratique du commenta ire. On y trouvera de nombreuses idées, références, considérations, exemples et analyses, utiles pour toutes les études littéraires. N.B. -dans chaque siècle les textes se succèdent selon l'ordre chrono logique de leur parution ; -pour les termes d'analyse littéraire et autres notions tirées d e travaux cri- tiques, que nous utilisons, on se reportera au Lexique placé en n d'ouvrage. sOMMaiRE e siècle1 Molière, Dom Juan, 1665 .................................................................10
2 Racine, Phèdre, 1677 .......................................................................
213 Madame de La Fayette, La Princesse de Clèves, 1678 ................31
4 La Bruyère, Les Caractères, 1690 ..................................................41
Partie
1 10 texte 1Molière, Dom Juan, 1665
acte i, scène 2SGANARELLE
Vertu de ma vie, comme vous débitez ! Il me semble que vous ayez appris cela par cur, et vous parlez tout comme un livre.DOM JUAN
Qu'as- tu à dire là- dessus ?
SGANARELLE
Ma foi ! J'ai à dire..., je ne sais ; car vous tournez les choses d'une manière, qu'il me semble que vous avez raison ; et cependant il est vrai que vous ne l'avez pas. J'avais les plus belles pensées du monde, et vos di scours m'ont brouillé tout cela. Laissez faire : une autre fois je mettrai mes raisonnements par écrit, pour disputer avec vous.DOM JUAN
Tu feras bien.
SGANARELLE
Mais, Monsieur, cela serait- il de la permission que vous m'avez donnée, si je vous disais que je suis tant soit peu scandalisé de la vie que vous menez ?DOM JUAN
Comment ? Quelle vie est- ce que je mène ?
SGANARELLE
Fort bonne. Mais, par exemple, de vous voir tous les mois vous marier comme vous faites...DOM JUAN
Y a- t-il rien de plus agréable ?
SGANARELLE
Il est vrai, je conçois que cela est fort agréable et fort divertissant, et je m'en accommoderais assez, moi, s'il n'y avait point de mal ; mais, Monsieur, se jouer ainsi d'un mystère sacré, et...DOM JUAN
Va, va, c'est une a? aire entre le Ciel et moi, et nous la démêlerons bien en- semble, sans que tu t'en mettes en peine. 11Texte 1
Molière, Dom Juan, 1665
SGANARELLE
Ma foi
! Monsieur, j'ai toujours ouï dire que c'est une méchante ra illerie que de se railler du Ciel, et que les libertins ne font jamais une bonne ?n.DOM JUAN
Holà
! maître sot, vous savez que je vous ai dit que je n'aime pas les faiseurs de remontrances.SGANARELLE
Je ne parle pas aussi à vous, Dieu m'en garde. Vous savez ce que v ous faites, vous ; et si vous ne croyez rien, vous avez vos raisons ; mais il y a de certains petits impertinents dans le monde, qui sont libertins sans savo ir pourquoi, qui font les esprits forts, parce qu'ils croient que cela l eur sied bien ; et si j'avais un maître comme cela, je lui dirais nettement, le regar- dant en face : " Osez- vous bien ainsi vous jouer au Ciel, et ne tremblez- vous point de vous moquer comme vous faites des choses les plus saintes C'est bien à vous, petit ver de terre, petit mirmidon que vous ê tes (je parle au maître que j'ai dit), c'est bien à vous à vouloir vou s mêler de tourner en raillerie ce que tous les hommes révèrent ? Pensez- vous que pour être de qualité, pour avoir une perruque blonde et bien frisée, des plumes à votre chapeau, un habit bien doré, et des rubans couleur de feu (ce n'est pas à vous que je parle, c'est à l'autre), pensez- vous, dis- je, que vous en soyez plus habile homme, que tout vous soit permis, et qu'on n'ose vous dire vos vérités ? Apprenez de moi, qui suis votre valet, que le Ciel punit tôt ou tard les impies, qu'une méchante vie amène?une méchante mort, et que...DOM JUAN
PaixSGANARELLE
De quoi est-
il question ?DOM JUAN
Il est question de te dire qu'une beauté me tient au cur, et q u'entraîné par ses appas, je l'ai suivie jusqu'en cette ville.SGANARELLE
Et n'y craignez-
vous rien, Monsieur, de la mort de ce commandeur que vous tuâtes il y a six moisDOM JUAN
Et pourquoi craindre
? Ne l'ai- je pas bien tué ?SGANARELLE
Fort bien, le mieux du monde, et il aurait tort de se plaindre.Partie 1 ????
e siècle 12Remarques préliminaires
Précisions
: " mirmidon », les Myrmidons, sujets d'Achille dans l'Iliade d'Homère, devenus synonymes de peuple petit et chétif ; " disputer » : discuter ; " mystère sacré » : le mariage. au début de la pièce. C'est dans cette scène 2 qu'apparaît pour la première fois Dom Juan (dont on n'avait fait que parler dans la s cène1). Le passage obéit
donc à une fonction d'exposition. Les éléments d'intrigue présentés sont assez réduits : le personnage de Dom Juan est conrmé dans le rôle de séducteur que lui avait déjà donné la tradition (depuis la pièce de l'espagnol Tirso de Molina, dans le s années 1620,Le Trompeur de
Séville et l'Invité de pierre
tonalité d'ensemble de la pièce à venir paraît en revanche plus complexe ; le passage mêle une comédie de situation (créée par le couple Dom Juan /Sganarelle) et une comédie de caractère (avec un valet singe et bouffon de son maître) ; mais le dialogue laisse aussi apparaître à la n le schéma d'une tragédie de la culp abilité (qui annonce la n de la pièce où, conformément à la tradition, Dom Juan sera précipité aux Enfers pour expier ses fautes). tère», mais la dépassent aussi. Dom Juan n'a pas l'unité et la xité d'un Harpagon ; il joue en
permanence des rôles ; le personnage est réévalué dans le sens du jeu, de la mise en scène de est à la fois un valet bouffon qui rappelle la tradition de Plaute, l e double de son maître qu'il craint et imite, et un moraliste, ridicule dans ses prétentions à l'argumentation, mais dont les propos correspondent parfaitement à la doxa de l'époque. Il faudra étudier chacun de ces personnages complexes, sans oublier le couple qu'ils forment. de la parole et du corps. Si celui- ci est peu sollicité dans le texte (sauf implicitement dans certaines répliques), la parole est dénie dès le début comme un enjeu du passage (" vous débitez tout comme un livre... ») ; elle est même mise en abyme par la tirade de Sganarelle, fondée sur l'exploitation des ressources de la parole, et le redou blement dramatique.Axes d'étude
L'hyperthéâtralité
Une peinture de "
caractères » complexesLa question du/des registre(s) dramaturgique(s)
13Texte 1
Molière, Dom Juan, 1665
1 une scène intensément théâtrale 1.1L'énergie de la parole
Elle est marquée par la "
Vertu » initiale -?qui dit l'étonnement admiratif de Sganarelle, mais porte encore le sens antique de force vitale, et qui qu ali?e par avance la dynamique du dialogue relancé en permanence. Il n'y a pas de temps mort ou d'hésitation, aucun silence. Les attaques des ré pliques sont particulièrement vives et marquantes, comme autant de relances de l'intrigue par des questions qui mobilisent la fonction phatique du langage ("Qu'as- tu
à dire là-
dessus ? »), et par des exclamations, portées par les fonctions émo- tive et conative (" Ma foi ! » ; " Va, va »). Comme le veut habituellement le genre de la comédie, la parole circule en permanence de l'un à l'autre avec une grande rapidité ; caractéristique de la vitesse élocutoire de la comédie, elle est bien " débitée », même si de temps à autre un arrêt intervient, sur le mode du constat (" Il est vrai, je conçois que cela est fort agréable »). Introduisant constamment un rebond dynamique dans le dialogue, elle constitue en elle même l'action du passage. Le dialogisme est d'autant plus animé qu'il est tendu et relancé par l'op- position entre deux langages . Curieusement, c'est ici le valet qui parle le plus. Il s'octroie une tirade (où il " prend » littéralement la parole et la mono- polise). Mais son langage reste simple à analyser : pris entre l'impuissance à convaincre, et l'imitation imparfaite (ce qui signi?e une do uble impossi bilité : à être soi, et à devenir autrui). L'impuissance à dire se manifeste dès le début (" une autre fois je mettrai mes raisonnements par écrit ») ; quant à l'imitation, elle est constante mais toujours imparfaitequotesdbs_dbs14.pdfusesText_20[PDF] le rapporteur in english
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