Classe de Seconde Générale et Technologique
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1992-2001 : l'évaluation diagnostique en début de seconde . anglais des élèves de 15 ans à 16 ans dans sept pays européens. Cette étude fut conduite.
Guide de lévaluation des apprentissages et des acquis des élèves
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Évaluation et remÉdiation
anglophone est marqué par la lutte des anglais standard et légitimes entre Les évaluations diagnostiques de début d'année et les évaluations.
Séquence proposée en début dannée - Classe de Seconde LV1
Trois professeurs se partagent les élèves de deux classes après la passation d'une évaluation diagnostique de début d'année ( 3 ème semaine de septembre en.
Enseignement de langlais en groupes de compétences
A partir d'une évaluation diagnostique les élèves questionnaire sur leur ressenti par rapport au dispositif d'enseignement de l'anglais en 2nde :.
Bilan groupes de compétence
procédé à une évaluation diagnostique visant à mesurer les acquis dans les quatre compétences et les besoins de chaque élève. La seconde période
Programme dESL (Cours danglais comme seconde langue)
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Le dépistage du sous-classement aux tests de classement en
en anglais langue seconde
MEP Anglais classe de seconde*
classe d'anglais en seconde mettre en lumière la diversité du monde anglophone. L'évaluation diagnostique est donc le point de départ.
Le dépistage du sous-classement aux
tests de classement en anglais, langue seconde, au collégial (résumé)Gilles Raîche
Collège de l'Outaouais
-3-2-2-1-1011223 -3 -2 -1 0 1 2 3Résumé
Ce rapport présente les résultats d'une recherche ayant pour objectif de développer des indices
d'ajustement inadéquat spécifiques au dépistage du sous-classement intentionnel par lesétudiantes et les étudiants du réseau collégial au test de classement en anglais, langue seconde, le
TCALS II. La recherche, soutenue financièrement par le programme d'aide à la recherche surl'enseignement et l'apprentissage (PAREA) du ministère de l'Éducation du Québec, a été menée
au collège de l'Outaouais au cours de l'année 2001-2002 et s'est déroulée en plusieurs étapes.
Dans un premier temps, considérant que le test avait été élaboré plusieurs années auparavant, il a
été jugé nécessaire de vérifier de nouveau ses caractéristiques métrologiques et d'évaluer s'il
pouvait être considéré adapté à une clientèle d'étudiantes et d'étudiants dont le niveau d'habileté
en anglais, langue seconde, est plutôt élevé, comme c'est le cas au collège de l'Outaouais. Le
TCALS II semble, en général, efficace avec cette clientèle étudiante. Toutefois, aux niveaux
supérieurs d'habileté langagière, le TCALS II est beaucoup moins précis. En fait, il n'est
constitué d'aucun item dont le niveau de difficulté est suffisamment élevé pour mesurer la
compétence langagière de ces étudiantes et de ces étudiants. Pour cette raison, nous recommandons l'ajout de questions d'un niveau de difficulté plus élevé au test.Dans un second temps, nous avons vérifié directement auprès des étudiantes et des étudiants
quelles stratégies ils utiliseraient éventuellement s'ils désiraient se sous-classer au TCALS II.
Quatre stratégies ont été signalées par eux : répondre au hasard, donner une mauvaise réponse,
omettre de répondre et répéter le même choix de réponse.Principalement pour détecter les deux premières stratégies de sous-classement, des indices basés
sur des modélisations issues de la théorie de la réponse à l'item ont été, soit choisis, soit élaborés.
Les indices choisis ont été l
z , provenant des travaux de Drasgow, Levine et Rubin (Drasgow etLevine, 1986; Levine et Rubin, 1979), W, utilisé principalement avec le modèle de Rasch (Wright
et Stone, 1982), Zeta, développé par Tatsuoka (1996) dans un contexte d'évaluation diagnostique,
et 2 Bχ, indice intégré au logiciel Bilog. Nous avons aussi élaboré des indices qui permettraient, en
Le dépistage du sous-classement 3.
théorie, de détecter spécifiquement, soit un patron de réponses au hasard, soit un patron de
réponses intentionnellement fausses : I hasard , I inversé et I sousPour évaluer l'efficacité de ces indices, nous avons procédé, dans un troisième temps, à des
simulations d'étudiantes ou d'étudiants qui auraient tenté de se sous-classer au TCALS II selon
une de ces deux stratégies. Nous avons réalisé 1 000 simulations selon 17 niveaux d'habileté
différents variant entre -2,00 et 2,00 par sauts de 0,25 et selon quatre situations différentes :
répondre au hasard à 10 % des premières questions, répondre au hasard à 20 % des premières
questions, donner une mauvaise réponse à 10 % des premières questions et donner une mauvaise
réponse à 20 % des premières questions. De façon globale, l'indice l z a été jugé le plus efficace detous. L'identification des étudiantes et des étudiants des niveaux de classement 3 et 4, soit les
plus forts, est presque parfaite dans tous les cas. Il permet même une identification relativement
adéquate aux niveaux 1 et 2. Au collège de l'Outaouais, l'indice l z a permis l'identification d'environ 10 % des étudiantes et des étudiants de la cohorte 2002-2003 admis et inscrits au premier et second tours du Service régional d'admission du Montréal métropolitain (SRAM). Cette recherche nous amène à recommander l'utilisation de l'indice l z pour identifier lesétudiantes et les étudiants qui auraient éventuellement tenté de se sous-classer au test. Cette
identification doit toutefois être suivie de mécanismes de vérification. Par exemple, les étudiantes
et les étudiants dont le résultat au test est douteux pourraient être convoqués à une seconde séance
d'évaluation de leur compétence langagière. C'est ce qui a été fait au collège de l'Outaouais.
Nous recommandons aussi aux collèges de mettre en place un mécanisme simple pour identifierles étudiantes et les étudiants qui omettent de répondre ou répètent consécutivement un même
choix de réponse à plus de 10 % des questions du test.Gilles Raîche
Collège de l'Outaouais/Université de Moncton4 septembre 2002
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