DALICE
PLUS QU'UN PROJET. UNE NÉCESSITÉ. POUR LES MALADES. RÉSIDANT LOIN DU CENTRE. DE TRAITEMENT. LA MAISON. D'ALICE. LIBREVILLE-GABON.
DALICE
PLUS QU'UN PROJET. UNE NÉCESSITÉ. POUR LES MALADES. RÉSIDANT LOIN DU CENTRE. DE TRAITEMENT. LIBREVILLE-GABON. LA MAISON. D'ALICE
Dossier de Presse:
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LES TRAVAILLEURS ÉTRANGERS TEMPORAIRES ET LES
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Lorsqu'une personne malade annonce qu'elle aimerait mourir à la maison il Savoir que la mort n'est plus très loin peut avoir un effet sur toutes les ...
Rapport final
Ottawa croit qu'il y a plus que 1 200 femmes autochtones sur la nécessité d'une enquête indépendante supervisée par des policiers autochtones et.
PROJET PILOTE SUR LA GESTION DES DOSSIERS JUDICIAIRES
La nécessité de trouver des solutions plus adaptées pour assister ces De plus bien qu'il soit permis qu'un juge demeure saisi d'un dossier en matière.
Mise en page 1
Nov 30 2015 "Maison d'Alice" se présen tera
Politique de périnatalité 2008-2018 - Un projet porteur de vie
Les enfants sont la plus grande richesse d'une société. d'accoucher dans un centre hospitalier 15 % dans une maison de naissance et 9 % à domicile.
![PROJET PILOTE SUR LA GESTION DES DOSSIERS JUDICIAIRES PROJET PILOTE SUR LA GESTION DES DOSSIERS JUDICIAIRES](https://pdfprof.com/Listes/20/21316-20Rapport_UMTL_final_2.pdf.pdf.jpg)
PROJET PILOTE SUR LA GESTION DES DOSSIERS
JUDICIAIRES À HAUT NIVEAU DE CONFLIT
Rapport de recherche présenté au
ministère de la Justice du Québec Francine Cyr, Ph.D1., Karine Poitras, Ph.D.2, Élisabeth Godbout, Ph.D.3Christian Macé, Ph.D4.
Le 31 mars 2017
Cette étude a été réalisée à la demande du ministère de la Justice du Québec, avec la participation financière du
ministère de la Justice du Canada, du Barreau du Québec, du Barreau de Québec 12 Québec à Trois-Rivières 3 Agente
4 iiREMERCIEMENTS
dès la toute première heure à la naissance de ce projet de collaboration interdisciplinaire visant
une gestion serrée et soutenue des dossiers de séparations hautement conflictuelles mettant à
risque l'enfant et les liens qui l'unissent à ses parents. s en 2011 par Me Sophie Gauthier dans le cadre de la formation continue du Barreau du Québec à laquelle participait comme conférencière Madame Francine Cyr, psychologue et chercheure principalede ce projet. La nécessité de trouver des solutions plus adaptées pour assister ces familles à haut
risque a donné ce projet pilote. enthousiasme et sa volonté de repousser les cloisons des pratiques professionnelles des acteurspsychosociaux et judicaires qui gravitent autour de ces familles. Elle a su identifier des
personnes clés pour prendre part à ce projet et rendre son enthousiasme contagieux. Ce fut notamment le cas de cette grand Nous la remercions sincèrement. Ses compétences professionnelles et ses remarquableshabiletés relationnelles auprès des divers acteurs ont été un atout indéniable tout au long du
projet. Elle a su présenter ce projet à , avec son regard visionnaire, a immédiatement vu la pertinence de cette action. Le juge Pidgeon a rapidement donné son aval et pris les dispositions pour assigner au projet quatre juges de laCour supérieure du district judiciaire de Québec. Ceux-ci ont été désignés pour prendre en
charge en gestion particulière les dossiers qui seraient acceptés danParentalité Conflit Résolution
iii une collaboration exceptionnelle tout au cours de ce projet. Il a grandement facilité la mise en place de ce protocole sur le plan judiciaire et nous lui en sommes infiniment reconnaissants. Nous souhaitons également remercier les honorables juges Johanne April, Lise Bergeron, Jacques Bouchard et Michel Caron. Leur disponibilité, leur compétence, leur et des échanges interprofessionnels, ont permis de faire avancer positivement plusieurs de ces familles vers un climat moins conflictuel. Ils ont aussi,de concert avec les autres professionnels, contribué à soutenir une reprise de lien parent-enfant
dans tous les dossiers où il y avait eu rupture de contact. Un très grand merci également aux intervenants psychosociaux (psychologues et travailleurs familles. Les trois psychologues, Mesdames Suzanne Baril, Annie Chamberland et Caroline Leur perspicacité et leurs compétences professionnelles et relationnelles ont fait une immense différence dans la réussite de ce projet. Nous remercions tout spécialement Madame Marie Deschambault, travailleuse sociale et avec grand dévouement dans le développement et la mise en place du programme Faire équipe pour les enfants avec Madame Caroline Paquet. Leur énergie et leur tr madame Caroline Brochu, ont été complémentaires et appréciés des partenaires. Nous tenons également à remercier madame Catherine Quigley pour son rigoureux travail de , travail qui a du programme de soutien à la coparentalité Faire équipe pour les iv enfants. Nous remercions également mesdames Amylie Paquin-Boudreau et PrisciliaQuébec à Trois-Rivières, de même que Mme Myriam Rochette-Meilleur, auxiliaire de
recher -Rivières. Leur travail rigoureux et leur intérêt pour ce domaine de recherche ont participé au
plaisir de mener à bien ce projet de recherche. Nous devons également souligner la contribution significative de madame Sylvie Drapeau, . Les discussions en lien au développement dudevis de recherche évaluative ont profité de sa rigueur et de ses connaissances dans ce domaine
de recherche. Nous lui en sommes reconnaissants. Nous tenons aussi à mentionner la collaboration précieuse de Me Renée Madore, sous-ministre associée et Me Annie Gauthier, avocate, coordonnatrice aux affaires familiales et Mme Marie-Hélène Filteau, analystes aux affaires familiales au ministère de la Justice du Québec et les
remercier recherche. Le déploiement de ce protocole de gestion psychojudiciaire, de même que le développement et menés sans le soutienfinancier octroyé par le ministère de la Justice du Québec, le ministère de la Justice du Canada,
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