[PDF] Bilan cardiovasculaire du sportif sexagénaire





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Comment pratiquer un sport après 60 ans ?

Selon l'OMS à partir de 60 ans



Bilan cardiovasculaire du sportif sexagénaire

Sport après 60 ans. L a population active de plus de. 60 ans a augmenté de plus de. 10 % en 15 ans et l'âge du. “sujet âgé” est porté selon l'OMS à. 75 ans.



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Il ne faut jamais cependant occulter les risques en particulier cardiovas- culaires d'une pratique sportive intense en particulier chez le sujet peu entraîné 



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  • Quel sport a plus de 65 ans ?

    Certains sports sont particulièrement bénéfiques. C'est le cas de la marche, la randonnée, la course, le tennis, l'aviron, le ski de fond, le ping pong, le badminton ou encore la natation.
  • Cycler les glucides est un bon moyen de sécher naturellement et de lancer votre métabolisme dans un cycle de perte de poids constant. L'exemple le plus basique est d'enchainer 4-5 jours à faibles glucides (10%-20%) et suivre avec une journée à 70%-80%.

Le dossierSport après 60 ans

L a population active de plus de

60 ans a augmenté de plus de

10 % en 15 ans et l'âge du

"sujet âgé" est porté selon l'OMS à

75 ans. 12 millions de Français ont

plus de 60 ans en 2008 et d'après les dernières estimations, en 2050, la population de sexagénaires représen- tera 32 % de la population globale (20 % en 2005) avec sans doute une espérance de vie encore plus impor- tante que celle d'aujourd'hui et une pratique sportive plus fréquente.

C'est bien sûr dans cette tranche d'âge

que les facteurs de risque cardiovas- culaire sont les plus fréquents. Ces pratiquants présentent déjà tous un facteur de risque, leur âge! Il est très souvent associé aux autres facteurs de risque classiques (souvent ignorés du patient) que sont en premier lieu l'hy- pertension artérielle, les dyslipidé- mies, le diabète, la surcharge pondé- rale et, plus rarement dans cette population, le tabagisme. Ainsi, 75 % des plus de 65 ans ont au moins une pathologie cardiaque.Bilan cardiovasculaire

du sportif sexagénaireRÉSUMÉ:Le vieillissement qui est un facteur de risque cardiovasculaire indépendant

altère les réponses à l"exercice. La prévalence des maladies cardiaques et de la prise de

médicaments est élevée après 60 ans.Il s"agit donc d"une population "à haut risque"pour

la pratique d"une activité sportive. La prévention doit avoir une place majeure, pour les sédentaires qui veulent "s"y remettre",bien sûr,mais aussi pour les pratiquants assidus qui oublient ou nient parfois les outrages de l"âge. Elle repose sur la clinique, l"ECG de repos et la biologie,mais aussi sur l"épreuve d"effort, réellement maximale, qui paraît indispensable. Outre sa valeur pour le dépistage de la maladie coronaire, elle permet de guider

individuellement le sportif lors de ses entraînements, de l"aider à définir, voire rectifier

ses objectifs, ou plus simplement à poursuivre une activité physique qui doit toujours

être encouragée.

L"éducation du pratiquant, en particulier vis-à-vis des règles de bonnes pratiquessportives, fait aussi pleinement partie de la prévention.

Le bilan cardiovasculaire du sportif

vétéran est donc orienté vers la détec- tion et l'évaluation de ces facteurs de risque et vers la détection de la mala- die coronaire qui représente la cause principale des accidents cardiovascu- laires lors de pratique sportive dans cette tranche d'âge [1, 2]. Sans oublier que des arythmies cardiaques et les anévrysmes de l'aorte abdominale sont très fréquemment observés dans cette population [2].

Nous n'aborderons pas ici le cas des

"cardiaques connus" qui ne sont auto- risés le plus souvent à pratiquer que des activités sportives dites de loisirs sans compétition, même si parfois l'intensité de l'effort est importante (sprint en haut de la bosse...) ou bien qu'elles sont réalisées dans un envi- ronnement hostile (altitude, plongée sous-marine, longue endurance). En effet, ces patients doivent bénéficier d'un bilan complet annuel et la déci- sion de non contre-indication suivra les recommandations actuelles en fonction de son résultat [3, 4].?

J.M. GUY

Club des Cardiologues du Sport,

SAINT-ETIENNE.

Le dossierSport après 60 ans

Nous pouvons schŽmatiquement

dŽcrire trois profils de sujets qui orienteront le contenu du bilan car- diovasculaire:

Ð le sportif de toujours qui vient pour

le renouvellement de sa licence,

Ð le sportif dÕantan, fra"chement

retraitŽ, qui a dŽcidŽ de ÒreprendreÓ, Ð le sŽdentaire qui veut se ÒmettreÓ au sport sur les conseils de son mŽdecin.

Toute reprise d"activité

sportive doit comprendre une

évaluation du risque

coronarien

1. L"interrogatoire

Il recherche les antécédents médi-

caux et chirurgicaux personnels, mais aussi familiaux coronariens, de mort subite et de diabète. Il précise les fac- teurs de risque déjà connus et les dates des derniers bilans réalisés. En cas de données anciennes ou inexis- tantes, un bilan biologique (glycémie, recherche d'une anomalie lipidique, créatininémie) doit être prescrit.

L'interrogatoire s'enquiert des traite-

ments éventuels, de leur tolérance et de leur efficacité. En particulier pour les anti-hypertenseurs qui peuvent favori- ser les épisodes d'hypotension post- effort, les diurétiques pour leur rôle délétère potentiel dans une déshydrata- tion chronique, les bêtabloquants par- fois mal tolérés pour l'endurance et bien sûr les antiagrégants plaquettaires ou anticoagulants. Il traque les signes fonc- tionnels, douleurs, dyspnée, palpita- tions, malaises lors d'effort ou en période de récupération, fatigue inhabi- tuelle ou baisse des performances (même à cet âge!) parfois négligés, consi- dérés comme normaux, voire "cachés".

Le bilan du passé sportif, de la prati-

que actuelle et des objectifs est chro- nophage, mais reste une phase très importante pour mieux connaître leprofil psychologique du sportif, ses ambitions, son niveau de condition physique actuel. Quels ont été les sports pratiqués plus jeune et à quel niveau? Quelle est la pratique actuelle, le nombre d'heures hebdo- madaire et le type d'entraînement, l'utilisation éventuelle d'un cardiofré- quencemètre, la connaissance des situations d'une pratique sportive à risque, les notions d'échauffement, de périodes de récupération.

Enfin, les objectifs sportifs actuels du

patient, le type de pratique souhaité, compétition ou loisir, en se méfiant toujours du "loisir intensif".

2. L"examen physique

cardiovasculaire

Il repose sans originalité sur l'ausculta-

tion cardiaque, vasculaire et pulmonaire

à la recherche de souffles, de rythme

irrégulier, d'une asymétrie tensionnelle et/ou d'une hypotension orthostatique.

Il faudra bien sûr ne pas totalement

occulter le système ostéo-ligamentaire, articulaire et tendineux, frein fréquent à une pratique sportive à cet âge.

3. L"électrocardiogramme de repos

Il doit être systématique et permet de

rechercher la trace d'éventuels inci- dents passés inaperçus (séquelle de nécrose), des troubles de conduction atrio-ventriculaire et/ou intra-ventri- culaire, des troubles du rythme (fibril- lation auriculaire, extrasystoles supra- ventriculaires ou ventriculaires), une hypertrophie ventriculaire gauche, des troubles de repolarisation et plus rare- ment d'autres anomalies (pré-excita- tion, QT long ou court, Brugada, mala- die arythmogène du ventricule droit).

4. L"épreuve d"effort

Elle représente l'examen décisionnel

[5]. Réalisée chez tous les patients symptomatiques ou présentant unautre facteur de risque que l'âge, elle est aussi incontournable à cet âge même pour les sujets asymptomati- ques (hommes et femmes) souhaitant reprendre une activité physique intense (au-dessus de l'essouffle- ment) ou voulant pratiquer un sport en compétition [5, 6]. Sa répétition ultérieure reste mal pré- cisée et doit s'adapter aux événements intercurrents: - annuelle en cas de cardiopathie (HTA comprise) et/ou de pratique sportive intense, - tous les ans si le risque cardiovascu- laire est majeur et en cas d'anomalie au premier test, - tous les 3 à 5 ans si l'épreuve initiale est normale, sans apparition d'un fac- teur de risque ou nouvel élément clini- que. Elle peut être plus fréquente, voire annuelle, au-delà de 65 ans.

Le test est fait selon un protocole clas-

sique "cardiologique" sur ergocycle le plus souvent, le but premier étant de détecter une pathologie silencieuse [6]. Il sera réellement maximal avec

épuisement du sujet sans tenir compte

de la fréquence cardiaque maximale théorique dont on sait qu'à cet âge elle est très variable (fig. 1) et souvent éloi- gnée de la formule classique (220 - âge

± 10 bpm). Chez le sujet entraîné, elle

dépasse souvent la limite théorique.

La fréquence cardiaque maximale théo-

rique n'est donc en aucun cas un critère d'arrêt de l'épreuve d'effort. Il ne faut donc pas hésiter à l'outrepasser, d'au- tant plus qu'interrompre un test à un niveau sous-maximal, qui sera large- ment dépassé sur le terrain, risque de méconnaître une coronaropathie et de rassurer faussement le patient sportif.

Au terme de ce bilan, il est possible [5, 7]:

?D'autoriser sans restriction le sport et la reprise progressive de la compé- tition pour un an. Néanmoins, il convient de garder en mémoire les limites de l'épreuve d'effort, en parti- culier dans cette population de spor- tifs âgés. Ainsi, une épreuve d'effort"normale" n'exclut pas le risque de survenue d'un accident cardiovascu- laire aigu. Le test prédit bien la sur- venue d'un angor, mais mal l'infarc-tus ou la mort subite le plus souvent liés à la rupture brutale, favorisée par l'intensité de l'exercice, d'une pla- que coronaire. De plus, l'épreuve d'effort en laboratoire ne reproduit jamais les conditions exactes du ter- rain (durée, intensité, environne- ment, stress) et sa normalité n'auto- rise pas la pratique du "n'importe quoi". L'information du sportif sur ces points est essentielle. ?De déconseiller définitivement ou temporairement la pratique sportive souhaitée en cas de découverte d'une ischémie myocardique et/ou de trou- bles du rythme [3, 4, 7]. Des examens complémentaires orientés (échocar- diographie d'effort, scintigraphie d'ef- fort, coronarographie, Holter avec ses- sion d'entraînement incorporée...) peuvent être programmés. La place du scanner coronaire dans le contexte d'un patient asymptomatique est très discutée. Proposé dans les recomman- dations américaines, il n'est pas recommandé par les experts euro-

30 35 40 45

Age50 55 60 65

195
185
175
165
155
145
135
125

FC max

Cooper, 1974

(n = 2 535)

FC max

135-167 bpm !

Froehlicher, 1975

(n = 1 317)

Robinson, 1938

(n = 92)

Sheffield et al.

(n = 100 femmes)

Ellestad, 1977

(n = 2 220)

Astrand, 1980

(n = 100)

Hammond et al.

(CABGS, n = 58)Hammond et al. (Population totale, n = 156)

Hammond et al.

(Angina group, n = 53)

FIG.1:La fréquence cardiaque maximale en fonction de l"âge,un paramètre très... variable.

Pathologies Restriction Commentaire

RCV faible Aucune en compétition et/ou loisir Asymptomatique RCV élevée et EE normale IIIA,IIIB, IIIC ECG repos et effort normaux Parfois RCV élevé et EE normale** EE 1 à 3 ans si RCV élevé Coronarien instable Compétition et loisir Equilibration pathologie

Coronarien à risque faible/modéré Tous sauf IA, IIA* - IA, IB** Réadaptation et contrôle annuel

Aucun loisir

Coronarien à risque élevé* Tous sauf IA Réadaptation et contrôle annuel

Coronarien à risque élevé** Compétion et loisir intense Réadaptation et contrôle annuel

Loisir au cas par cas

Angor spastique sans lésion coronaire Tous sauf IA, IB (?), IIA (?) Contrôle annuel Post-IDM (délai variable) Compétition et loisir intense Réadaptation et contrôle annuel Post-stent ou pontage** (12 mois) Tous sauf IA, IB, IIA Réadaptation et contrôle annuel

Post-stent (≥ 4 semaines)* Compétition et loisir intense temporairement Réadaptation et contrôle annuel

Post-pontage (cicatrisation complète)* Aucune après Réadaptation et contrôle annuel Pont myocardique sans ischémie* Aucune Asymptomatique Pont myocardique avec ischémie* Tous sauf IA, IB, IIA Contrôle annuel Résection pont myocardique (6 mois)* Compétition, loisir intense Réadaptation

Aucune après

Syndrome X sans ischémie* Aucune Asymptomatique, EE annuel Syndrome X avec ischémie* Tous sauf IA, IB, IIA * Recommandations nord-américaines. ** Recommandations européennes.

TABLEAUI:Recommandations pour la pratique de sports en compétition en fonction du niveau de risque cardiovasculaire et chez le patient coronarien.D"après [3,4].

péens. Sa bonne valeur prédictive négative et la découverte de plaques très probables à cet âge n'apporteront pas forcément une aide décisionnelle. ?Enfin, en cas de pathologie cardio- vasculaire connue et en particulier de cardiopathie ischémique, la pratique sportive en compétition et le calen- drier du suivi seront guidés, comme chez les sujets plus jeunes, par les recommandations [3, 4, 7]. En règle, seuls les sports à faible contrainte car- diovasculaire sont autorisés en compé- tition. Dans la maladie coronaire, le résultat de l'épreuve d'effort fait partie des critères de classification des niveaux de risque au même tire que l'échocardiogramme, les données ryth- miques et morphologiques coronaires

éventuelles [7]. Le niveau de risque

individuel ainsi défini guidera les non contre-indications au sport de compé- tition et de loisir (tableau I).

Il ne faut pas limiter l'intérêt de

l'épreuve d'effort au seul dépistage du risque coronaire et son analyse ne doit pas se limiter à la seule évolution du segment ST. Elle sera multifactorielle et n'oubliera pas la récupération. Seront ainsi étudiés les signes fonctionnels, lestroubles du rythme ou de conduction, les profils chronotropes et tensionnels, la performance réalisée par rapport aux valeurs théoriques et au niveau d'entraî- nement avoué (120, 140 et 160 % de la puissance théorique respectivement pour 2, 4 et 6 heures d'entraînement par semaine). Ces renseignements permet- tent de conseiller, de guider, et parfois d'ouvrir les yeux sur ses réelles possibi- lités à un pratiquant qui se voyait réali- ser des performances utopiques (fig. 2).

Conclusion

A une époque où le nombre de sportifs

seniors augmente et où leur désir de participation à des compétitions de "Masters" ou à des défis sportifs de plus en plus excessifs se fait plus pres- sant, la place du bilan cardiovasculaire est majeure. Au sein de celui-ci,quotesdbs_dbs42.pdfusesText_42
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