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ÉCOLE DOCTORALE DROIT ET SCIENCES HUMAINES
UFR LETTRES ET SCIENCES HUMAINES
CENTRE DE RECHERCHE AGORA
EA 7392
Thèse de Doctorat de Lettres nouveau régime en Littérature française et comparée Pour obtenir le grade de Docteur (Arrêté du 7 août 2006)ǯAD4CBC3A4CB
LA CULTURE AFRO-AMÉRICAINE
DANS LES ARTS ET MÉDIAS CONTEMPORAINS.
CAS DE FIGURES PROÉMINENTES : KARA WALKER, MICHELLEOBAMA ET BEYONCÉ KNOWLES
ParPénélope Nour Zang Mba Ondo
12 Décembre 2017
Jury de Soutenance :
Rémi Astruc, Professeur de Littératures francophones et comparées (HDR), Université deParis Seine-Cergy-Pontoise, directeur de thèse
Michel Naumann, Professeur-Emérite en études anglophones (HDR), Université de ParisSeine-Cergy-Pontoise
Marie-Pierre Arrizabalaga, Professeur des universités en Histoire (HDR), Université de ParisSeine-Cergy-Pontoise
Marie-Rose Abomo-Maurin, Professeur des universités (HDR) en Littératures francophones, et Université de Yaoundé 1, RapporteureSébastien Hubier, Maître de Conférences (HDR) en Littérature comparée, Université de
Reims-Champagne-Ardenne, Rapporteur
2DÉDICACES
À Bissa, ma chère cousine
À -mère
3REMERCIEMENTS
À mon Directeur de thèse, Monsieur le Professeur Rémi Astruc ! Pour avoir cru en ce projet de thèse et avoir été toujours présent par vos remarques, vos avertissements, et vos encouragements. Merci pour votre rigueur et votre grande patience.À ma clique Todorov ! Pouet à
À : À Monsieur Mbondobari Sylvère, pour sa rigueur, son intégrité, et son savoir. À Monsieur Rénombo Steeve, pour sa diction si mémorable. A Bijou et à Sybène ! Ensemble pour la vie ! Vous savez que je vous aime ! A Maïmouna, Gaëla tant), car vous êtes formidables ! École Doctorale et à sa SUPERBE ÉQUIPE du secrétariat : Naima Chalabi, Anna Correia, Gustave Bogart et Emmanuelle Travet ! Vous êtes apaisants, rassurants ! Au personnel de la Bibliothèque des Cerclades : le lieu idéal pour travailler, quand on est étudiant ! Je vous remercie pour toutes ces années où à chaque fois, , et la paix ! A la communauté des étudian-De-France, Merci !Last But not À LUI!
4Introduction
Le sujet, " autonomisation de la culture afro-américaine dans les arts et médias contemporains une étude comparative de trois femmes afro-américaines quiont toutes une place prépondérante dans les milieux artistiques, médiatiques et politiques à en
juger par leur audience, leur popularité, leurs productions. Ces trois femmes que sont :
Michelle Obama, Beyoncé Knowles et Kara Walker, vont n. culture noire autonome.Dans son livre 1
du champ (et, par-considérablement selon les époques et selon les traditions nationales. » Il définissait lui-même
le champ comme " un champ de forces agissant sur tous ceux qui y entrent, et de manière mêm transformer ce champ de forces. 2» Pour Pierre Bourdieu, le champ . On va tenter de de la culture afro-américaine passe par desnégociations et de la résistance (des minorités féminines noires américaines), face à une
culture hégémonique, agissant via les institutions. Les différents lieux de culture nous
permettront de la femme noire. Le noir ici défini, désigne premièrement les afro-américaines, selon une compréhension mélanique et biologique, mais aussi une configuration sociale, qui désigne ici les sous-cultures3. Parmi les auteurs qui se sont insurgés contre une définition strictement mélanique, il y a Alain Mabanckou, qui dans son ouvrage, 4 affirme: " Il manque aux Noirs vivae1Pierre Bourdieu, littéraire, Paris, Seuil, 1992, 480 p.
2Ibid., 381p.
3En France, le terme sous-cultures employé pour traduire les subcultures est assez péjoratif. Nous allons utiliser
tout au long de cette étude le terme anglo-4Alain, Mabanckou, , Paris, Fayard, 2012, 184 p.
5de conscience fondée sur une "autre logique" que celles de la couleur de la peau et de
noire. ». Alain Mabanckou regrette que Pap Ndiaye, dans son ouvrage La Condition noire5es sur un échantillon de jeunes nés de parents imigration), recense des cas typiquement Louis Sagot-On ne naît pas Noir, on le devient6, qui affirme que le due (s) à la couleur : pas femme, Ni Noir, ni Blanc, on le devient. Comme le petit Noir, le petit Blanc part de zéro dans sa découverte du monde humain, et cette découverte ne lui est pas soufflée par ses gènes, mais par une expérimentation de la vie sociale.7 » de la culture noire américaine dans les arts et les médias féminine noire américaine. Cette visibilité retenu quelques-uns. L mainstream" ; de la politique et deEntertainment via les émissions télévisées et débats politiques ; les sculptures et fresques ;
ou encore le vêtement et la pochette de disques musicaux, vont constituer notre matière
femme noire américaine, il est à relever une autonomie est due , creusé depuis des décennies par des pionnières; mais au bénéfice des femmes noires actuelles. Leur popularité, pour prendre ce mot qui a dans ce es attitudes, des productions. e, fort est de relever la convergenceintérêt pour les femmes noires américaines. Leur exposition médiatique tient souvent lieu de
5PapNdiaye, La Condition noire, essai sur une minorité française, Paris, Folio, 528 p.
6SJean-Louis, Sagot-Duvauroux, On ne naît pas Noir, on le devient, Paris, Point, Coll. Points document, 2008,
234 p.
7Ibid., p. 1.
6 des médiasiatique ; des médias sensationnels aux médias uction. Ceci offre une lecture "tous azimuts" les femmes noires américaines à tous les niveaux. Il it donc de voir ici les mises en scènes de soi perpétrées à travers les médias, de montrer la vie de tous les jours par une certaine artification8 (terme utilisé par M. Cervulle, Cultural Studies, Théories et Méthodes, 2015), ou mise en spectacle. Les femmes étudiées dans ce travail utilisent les médias comme des lieux pour asseoir et étendre leur pouvoir. abord Michelle Obama, qui a un discours politique au travers de son habillement Première Dame américaine offre à lire toute une panoplie de discours. arme symbolique pour atteindre les suffrages, convaincre, séduire, ou même marquer une rupture. Cette dernière a su se poser comme "une icône" de la mode, comme le montrent les couvertures Ici, nous analyserons le visuel écrit, des discours officiels aux rumeurs, en passant par les biographies et lesprojets politiques. Tout élément qui nous permettra de saisir son autonomie ne sera pas
épargné. Il nc moins de prendre des corpus "concrets", que des éléments disparates qui fondent une compréhension de sa pratique culturelle. Les médias sont le juge de ces productions populaires (issues des classes du bas ou des subalternes) ; ils encensent ou démolissent. Les médias polarisent leurs discours souvent demanière convergente vers des personnalités nées du hasard, au parcours atypique. La lecture
des médias des femmes observées ici souffrent souvent de contestation, de discours antithétiques ; mais elles semblent dans la plupart des cas, encensées. Dans ce second cas, on est dans une perspective de manipulation des masses, en portant aux cimes des personnalités formées par le discours concerne les modes deperceptions légitimées par les superstructures. Elle maîtrise ou neutralise la perception du
public, elle centralise le sens selon ses propres codes ou lectures et valeurs. Pierre Bourdieu aaient bénéficié des mêmes normes, ou codes culturels. Les lectures hégémoniques
médiatiques de notre sujet perçoivent le monde sous le prisme des classes dirigeantes.8Terme utilisé par Maxime Cervulle dans Cultural Studies : Théories et méthodes, Paris, Armand Colin, 2015,
122 p.
7 que les femmes noires américaines proéminentes suscitent est uneforce utilisée par les médias. Les masses sont malléables, elles consomment, (selon les
critiques béhavioristes ), les diversesinformations, sans filtres. Elles sont donc le produit de la presse. La presse en effet a
"fragmentée", représentant ainsi le type de public contemporain masses èrement ceux qui les attirent. Les masses masses qui vont nous concerner sont multiples, interraciales, interclasses. masse dont elles sont issues que la vision occidentale et blanche. Cette position double au lieu ou autonomie dans leurs champs respectifs. Le double positionnement de ces femmes permet aussi une plus grandeacceptation de ces personnalités, elles ont la capacité de représenter plusieurs communautés.
La chanteuse de R&B ou Rythmes and Blues, Beyoncé Knowles sera égalementétudiée, principalement via des chansons populaires. On analysera de manière arbitraire clips
vidéo et/ou paroles de chansons. Ceci pour la raison que dans certains clips vidéo, le visuel peut demander une analyse plus intéressante et les paroles demeurées négligeables ; ou la parole chantée être plus forte ; et le visuel futile. Nous ferons ce choix dans un souci depertinence, afin de saisir le sens jugé le plus précis, et pour répondre à notre démonstration du
associés à sa pratique artistique. Les films, tout comme sa présence sur certains réseaux
en plus; ainsi que des couvertures de magazines, etc.Et la dernière et non la moindre qui sera ici étudiée, est la plasticienne Kara Walker, dans ses
de silhouettes découpées sur mur blanc; mais aussi dans sa récente sculpture, la Sugar 8 Baby9, ; plus révolutionnaires ; mais portant constamment le questionnement identitaire, racial. A travers ces productions, on peut voir comment elle déconstruit ien par un renouveau. Ces trois femmes vont donc nous permettre de voir le processus des afro-américaines en actes, non pas de manière égale cependant ; (car leurs expositions médiatiques
et artistiques ) ; e compte aussi de la différence et des déséquilibres. Le parcours peut être un indicateur signifiant de la popularité des femmes maintenuesdans notre étude. Il montre que les femmes noires américaines sont réputées, particulièrement
en cette époque surmédiatisée. Cela est perceptible via une couverture médiatique dense ;
mais aussi par le parcours universitaire ou personnel de chaque femme analysée, qui participe de leur renommée. Ce parcours personnel prend pour origine un contexte noir, avec une envie un monde communautaire . Le cercle de pouvoir est donc ainsi la perspective envisagée. Envisagée car de nombreuses femmes noires veulent devenir des exemples dont la présence sera encourageante et mémorielle. Elles ainsi aux changements des mentalités, devenantnotamment les subalternes. Habituée à être niée dans les médias ou les cercles de pouvoirs,
cette nouvelle génération veut changer les mentalités. Ces femmes noires américaines sont
faisant renaître de nouvelles perceptions sur la femme noire de par le monde. La femme noire devient visible , elles ont une crédibilité qui leur donne du poids. Cette position est centrale et peut expliquer pourquoi le public des phénomènes dedoublures. De nombreuses personnalités ont créé des tendances ; leurs voix portent, elles
ouvrent des champs multiples, en tant que pionnières.9Sugar Baby, A Subtlety, or the Marvelous Sugar Baby Homage to the unpaid and overworked Artisans who
have refined our Sweet tastes from the cane fields to the Kitchens of the New World on the Occasion of the
demolition of the Domino Sugar Refining Plant. 9 Cette position de personnalité entraîne une surexposition médiatique pernicieuse. La surexposition offre à voir la réalit sensationnel. concerne la diversité discursive femmes pour construire une autonomisation dans leurs champsdes procédés de visibilités. Ceux-ci sont aussi bien visuels (télévision, réseaux sociaux, clips
lieux de perceptions et de visibilités desdites femmes, passant de champs populaires à des présences, pacifient aussi les tensions. La multiplication de la présence noire féminine entraîne un intertexte créé des discours sont empruntés, réadaptés et porteurs de force. st une richesse, il nous montre les diverses influences. Cet intertexte est répandu dans les univers artistiques, et peut même frôler un certain plagiat. Notre sujet va se limiter au contexte nord-américain, en nous appesantissant sur lesafro-américaines célèbres, et en tâchant de cerner leur autonomisation . Nous allons explorer
les médias, dont les talk-shows et la presse générale ou communautaire, et certains réseaux
sociaux. ; il n a donc pas une délimitation "absolue"de la vie de tous les jours des célébrités ici étudiées ; tout comme leurs activités dites
officielles. Comme toute étude comparative, il sera question certes de comparaison, mais non de rapprochements à tout prix. En effet, is à chaque figure proéminente10 employées par nos trois protagonistes, nous oblige à avoir un traitement p10Expression de David Morley utilisée dans son extrait, " Analyse comparée des décodages différentiels selon
38-et al., Cultural Studies, Anthologie, Paris, Armand
Colin, 2008, 368 p.
10 de la culture afro-américaine ou sur la culture noire, aété traité par des personnes différentes et pour des buts différents. Il est au centre des travaux
des Black Women Studies, des Black Studies; mais aussi dans les études médiatiques, et les revues qui en font un parfait relai devènement des magazines communautaires, dont Ebony, Jet, et Essence, pour ne citer que ceux-là. Dans ces étudesnoire, ressurgit la notion de race, fortement encadrée des conflits sociaux, et des problèmes de
genres (intersectionnalité). La question de la femme noire est indéniablement liée a. t, ont traité de la femme noire principalement sur les volets de larace, de la sexualité et de la classe (les intersections entre classe, race, genre et sexualité,
Cervulle11. Dans cette lecture généralement employée, lafemme noire doit sans cesse voguer en eaux troubles, tentant de résoudre ses conflits
intérieurs et extérieurs. Certains livres parlent également beaucoup de sa place dans les
médias, essentiellement sur le plan de la "perception", ou des représentations12. La femme noire qui réussit, commde Michelle Obama, de Beyoncé Knowles et de KaraWalker, commence à faire le sujet de livres élogieux et comparatistes, la plaçant cette fois
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