Fiche métier - M1402 - Conseil en organisation et management d
t Chief digital officer - Responsable de la transformation digitale t Responsable développement durable t Conseiller / Conseillère en conduite du changement.
Mastère Spécialisé
Un parcours hautement professionnalisant avec le conseil comme champ d'expertise de la transformation digitale - management.
Orange Business Services se renforce dans le conseil en
transformation digitale au cœur des enjeux des entreprises aujourd'hui
IntroductIon à la transformatIon dIgItale
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La transformation digitale du secteur public Atteindre les promesses
de nouvelles compétences et de nouveaux modes de management des agents publics. Page 7. Les Policy Papers de la Chaire EPPP • Janvier 2021 • N°6.
Transformation digitale de la fonction RH
sur l'évolution des modes d'organisation du travail et de management participer à la régulation des usages numériques au sein de l'entreprise (droit à la
ARTICLE ERRAYS
Bos (2018)
Consultant Junior en transformation digitale & innovation
Consulting est un cabinet de conseil en stratégie marketing et management spécialisé dans la transformation des modèles économiques des entreprises
Moroccan Journal of Entrepreneurship, Innovation and Management (MJEIM) ISSN: 2509-0429 Volume 6, numéro 1
45Understanding of the success factors of digital transformation projects Essai de compréhension des facteurs de succès des projets de transformation numérique
Noureddine AIT ERRAYS
LERASE-ERED-Université IBN ZOHR
FPT, Taroudant, Maroc
aiterrays_n@yahoo.frAmina TOURABI
LISAD-ERMI-Université IBN ZOHR
ENSA, Agadir, Maroc
a.tourabi@uiz.ac.maAbstract
This article aims to understand the factors that may contribute to the success of the digital transformation of
business. To do this, we conducted a qualitative survey, using interviews, of five representative companies.
Thus, and through the comparison between the analysis of the verbatim of the survey results and the conclusions
of the literature review consulted, we have identified an alignment between the theoretical indicators that
measure perception and the success factors evoked by the authors, and the statements made by company
representatives around the same questions. The results essentially revealed a positive attitude of the interviewees
towards the implementation of the digital transformation embodying three dimensions: technological,
organizational, and human. We also note that the success of the digital transformation depends mainly on
endogenous factors (qualified personnel, lack of funds, support from the leader, acceptance of the technology,
etc.) and an exogenous factor related to state support. Key words : Digital transformation ; projects ; outputs ; opportunities ; success factorsRésumé
L'objectif de ce papier est de comprendre les facteurs susceptibles de contribuer au succès des projets de la
transformation numérique des entreprises. Pour cela, nous avons mené une enquête qualitative, à l'aide
d'entretiens, auprès de six entreprises dont la représentation s'est avérée très riche. Ainsi, et à travers le
rapprochement entre l'analyse des verbatims des résultats de l'enquête et les conclusions de la revue de la
littérature consultée, nous avons dégagé un alignement entre les indicateurs théoriques qui mesurent la
perception et les facteurs du succès évoqués par les auteurs, et entre les déclarations des représentants des
entreprises autour des mêmes interrogations. Les résultats ont révélé essentiellement une attitude positive des
interviewés vis-à-vis de l'implémentation de la transformation numérique incarnant trois dimensions :
technologique, organisationnelle et humaine. Nous constatons également que le succès de la transformation
numérique dépend principalement des facteurs endogènes (personnel qualifié, manque de fonds, soutien du
dirigeant, acceptation de la technologie, etc.) et un facteur exogène lié au soutien étatique.
Mots-Clés : Transformation numérique ; projets ; outputs ; opportunités ; facteurs de succès.
Introduction
Depuis 2008, et avec l'avènement de la crise des subprimes, les échanges internationaux des capitaux et des biens physiques ont connu un véritable ralentissement, ce qui a dévoilé leseffets négatifs des modèles économiques traditionnels, et obligé les entreprises à investir dans
les technologies du numérique. Ces dernières transforment radicalement leurs modes de
fonctionnement et les engagent dans un changement continu en profondeur. Ainsi, dans leursMoroccan Journal of Entrepreneurship, Innovation and Management (MJEIM) ISSN: 2509-0429 Volume 6, numéro 1
46relations avec leurs environnements, et pour rester compétitives, performantes et modernisées, les entreprises subissent plusieurs changements induits par le numérique. La transformation
numérique paraît une opportunité pour les entreprises marocaines qui veulent croitre dans un
marché très compétitif qui ne cesse de se globaliser. Une situation qui s'est accélérée avec
l'avènement de la pandémie Covid-19. Certes, la crise de coronavirus est une puissante force de perturbation et une tragédie sansprécédent. Mais c'est aussi une source de créativité. C'est l'occasion de développer de
nouvelles solutions, de nouvelles façons de travailler et de nouveaux partenariats, aujourd'huiet pour les années à venir. Même les personnes les plus réticentes ont commencé à découvrir
l'achat ou le paiement en ligne. En Europe, 13 % des consommateurs ont déclaré, début avril,
qu'ils prévoyaient consulter pour la première fois des sites de vente en ligne. En Italie, les transactions de commerce électronique ont augmenté de 81 % depuis la fin février. Au Maroc, il existe des exemples impressionnants d'organisations publiques et privées qui ontpu dématérialiser leurs services en intégrant la technologie numérique et modifiant
fondamentalement leur business modèles. Nous citons parmi d'autres, la dématérialisation dupaiement de la vignette ou le paiement des taxes et impôts, le paiement de l'électricité et de
l'eau, la mise en place du "Tribunal numérique" par le ministère de la justice, le lancement du guichet numérique unique, Rokhas.ma, des autorisations d'urbanisme, la mise en place par Renault Maroc du Digital hub pour accélérer sa transformation en une industrie 4.0, sansoublier les opérateurs marocains de télécom et leurs initiatives dans le domaine...Toutefois,
ces efforts déployés en matière de digitalisation ne semblent pas suffisants pour dynamiser le
potentiel national en matière du numérique et en faire une locomotive du développement. Une opportunité dont certains arrivent à saisir et d'autres non.Suite à ces constatations, il y a un besoin considérable de recherches plus détaillées sur la
transformation numérique qui exploreraient les attitudes et les facteurs du succès des
entreprises marocaines pour ce type de projet. C'est dans cette perspective que s'inscrit notrerecherche. Elle vise à identifier les facteurs susceptibles de favoriser le succès des projets de
transformation numérique des entreprises marocaines. Il s'agit de répondre à la problématique : que représente la transformation numérique pour les entreprises marocaines et quels sont les facteurs déterminants son succès ? Cette question de recherchevise à explorer les éléments explicatifs du succès des projets de transformation numérique des
entreprises marocaines. L'intérêt de notre questionnement est triple (théorique,méthodologique et opérationnel) : sur le plan théorique, notre thème de recherche nous place
d'emblée dans une approche transversale mobilisant un large fonds théorique afind'appréhender les facteurs de succès de la transformation numérique. D'un point de vue
méthodologique, notre démarche est basée sur une approche qualitative au moment où la majorité des recherches menées jusqu'ici sur la numérisation des entreprises adoptent uneapproche quantitative. Pour ce qui est de l'intérêt opérationnel, cette recherche permettra aux
praticiens, politiciens et/ou managers, de promouvoir la numérisation dans les entreprises
marocaines ; et d'identifier les leviers d'action stratégiques et opérationnels pour concevoir et
mettre en oeuvre des projets réussis. Afin d'apporter quelques éléments de réponse à notre
interrogation, notre article est scindé en quatre parties. La première partie consiste en unerevue de la littérature. La deuxième partie est consacrée au cadrage méthodologique,
décrivant la logique et la stratégie d'investigation qui ont orienté de manière générale toute
notre démarche de connaissance au cours de cette recherche. La troisième partie débute avecla restitution des résultats obtenus à travers une analyse thématique des entrevues. Elle se
poursuit avec une discussion des résultats, dans une quatrième partie, cherchant ainsi à
développer une compréhension profonde et une conceptualisation de notre objet de recherche.Moroccan Journal of Entrepreneurship, Innovation and Management (MJEIM) ISSN: 2509-0429 Volume 6, numéro 1
471. Revue de littérature
1.1. La transformation numérique, essai de définition
Au début, les mots numérisation et digitalisation évoquaient la même signification, mais
aujourd'hui, la numérisation a un autre sens que digitalisation. La numérisation est le fait de
convertir des informations en numérique (ex. scanner des papiers en PDF). Elle consiste àtransformer un élément matériel en format numérique, grâce à des technologies. La
digitalisation comprend en plus l'intégration des technologies digitales dans l'ensemble de sesactivités et d'en créer d'autres et se diversifier. Elle consiste surtout à repenser toute
l'organisation d'une entreprise, aussi bien au niveau des échanges humains (travail collaboratif), qu'au niveau des outils. C'est une véritable mutation de l'entreprise, qui luipermet de s'adapter aux nouvelles réalités de son environnement et, en particulier, des attentes
de ses clients. Par conséquent, la numérisation est un passage préalable à la digitalisation. Elle
en représente une dimension parmi d'autres. La numérisation a principalement un aspect
technique, la digitalisation est davantage culturelle et organisationnelle, déclenchée par la
numérisation. Depuis 2000, l'expression " Digital transformation » prend une envergure de plus en plus prégnante du fait de la vitesse de son développement (Patel et McCarthy, 2000). Ce contexteinvite les entreprises à repenser leurs stratégies pour pouvoir s'adapter aux nouveaux
comportements des consommateurs ou encore pour tirer profit des technologies en termes d'innovation ou de productivité (Reyre Isabel, Lippa Marc, 2015).
Certains la caractérisent comme étant "des changements induits par les technologies numériques dans tous les aspects de la vie humaine" (Stolterman et Fors, 2004). Les seconds estiment de façon plus provocante que "la transformation digitale, c'est l'exploitation radicale des possibilités d'Internet" ou encore "the use of technology to radically improve performance or reach of enterprises" (Westerman et al, 2011). Selon Ettien et Peron, (2019), la transformation digitale c'est aussi identifier, mobiliser et organiser les ressources pour allerd'un point à un autre. Cette définition a été également évoquée par Germain (2006), dans son
ouvrage " Management des nouvelles technologies et e-transformation » de la façon suivante :" De façon métaphorique, l'e-transformation est cette énergie de changement initiée par la
dynamique d'internet, les potentialités des technologies de l'information et de la communication, et la volonté des hommes dans un univers d'entreprise marqué par laconvergence numérique ». Bos (2018) la définit comme étant " l'adoption des compétences
technologiques facilement accessibles qui transforme la réactivité de l'organisation face auxchangements du marché ». Elle consiste à conduire le changement des business modèles et de
l'écosystème d'une organisation en s'appuyant sur les techniques numériques.Entre les définitions qui préconisent qu'elle désigne les possibilités de connexion continue
qu'offre les technologies numériques, et celles qui la perçoivent comme la capacité à utiliser
le maximum des nouvelles technologies par les organisations, la transformation numérique apparait comme un concept encore protéiforme dont les acceptions diffèrent entre universitaires et praticiens. Par ailleurs, la transformation numérique ne peut pas se résumer seulement par l'adoption intensive des nouveaux outils et technologies de l'information et de la communication (NTIC). C'est une action plus profonde qui touche toutes les dimensions de l'entreprise : technologique, organisationnelle et culturelle. Dans ce sens, Blague (2014) affirme qu'elle" remet en question les modèles économiques, les chaînes de valeur, l'environnement
concurrentiel, les organisations et leur fonctionnement, les métiers, les modes de travail et de collaboration des hommes et des femmes, la vie quotidienne des salariés ». Comme il est résumé dans le tableau ci-dessous, la transformation numérique est souvent décrite commeMoroccan Journal of Entrepreneurship, Innovation and Management (MJEIM) ISSN: 2509-0429 Volume 6, numéro 1
48une combinaison de l'automatisation, de la dématérialisation et de la réorganisation des
process déjà en place. Tableau 1. Les composantes de la transformation numériqueComposante Désignation
Automatisation Productivité du travail, du capital, optimisation des énergies et des matières premières, augmentation des capacités d'individualisation de l'offre. Dématérialisation Apparition des nouveaux canaux de communication et de distribution qui transforment les réseaux physiques classiques (diminution des coûts de transaction).Désintermédiation :
ré-intermédiations Réorganisation des chaînes de valeur, irruption des nouveaux acteurs, réinvention des modèles d'intermédiationSource : Construction auteurs
Si les technologies numériques participent à la transformation de l'organisation et des modes de fonctionnement à travers l'automatisation des processus et l'évolution des pratiques, leurenjeu c'est de participer à l'amélioration des processus de création de valeur, tout en tenant
compte de la gestion des risques et des performances techniques (Bounfour et al. 2016). Au niveau économique, ces technologies favorisent de nouveaux modes d'organisation et denouvelles intermédiations, transformant en profondeur les modèles économiques hérités de la
révolution industrielle, et la place du consommateur / utilisateur. Les enjeux humains du numérique sont de plus en plus pressants allant de la question de l'appropriation (De Vaujany, 2005 ; Grimand, 2012), aux questions d'évolution des compétences individuelles et collectives (Jaujard, 2015).Les enjeux de la responsabilité sociétale de l'entreprise dans le futur sont intimement liés à la
transformation numérique des organisations. Nous ne pouvons pas passer sous silence les voixqui nous alertent sur les risques structurels liés à cette transformation, qu'il s'agisse de la
destruction d'emplois (Brynjolfsson et McAfee, 2012), ou de la mutation d'un web devenant une "machine à produire de l'entropie" (Stiegler, 2015).1.2. Les facteurs de succès des projets
Les projets quel que soit leur nature, possèdent certaines caractéristiques communes. Etantdonné qu'il s'agit d'une activité visant à atteindre un but global, elle reste très spécifique,
originale et non reproductible à l'identique. Répondant à un besoin exprimé en combinantplusieurs disciplines, cette activité demeure soumise à l'incertitude et l'irréversibilité qui
l'accompagnent inévitablement pour construire une réalité à venir (Gilles, 2011).La question de la détermination des facteurs de succès des projets est loin d'être spécifique à
la gestion de projet. Elle plonge ses racines dans la gestion elle-même. Face aux problèmes dequalité, de délai et de coût causés par l'inflation des demandes d'informations, les spécialistes
des systèmes d'information, notamment les chercheurs du M.I.T, se sont lancés vers la fin desannées soixante-dix du sicle écoulé dans la démarche " recherche des facteurs critiques de
succès ». Selon Hazebroucq (1993), les pionniers sont Rockart (1982), Boynton et Zmud (1984).Rockart (1982) propose une méthode en trois étapes pour déterminer les facteurs critiques de
succès dans le cas de la planification stratégique : déterminer ce qui favorise le succès dans un
type d'affaires donné, en mesurer l'importance et réduire leur nombre à une liste de sept à dix
facteurs les plus déterminants et enfin trouver des critères de mesure de performance pour chacun des facteurs. Le but visé est de doter les entreprises d'une aptitude à atteindre leurs objectifs.Moroccan Journal of Entrepreneurship, Innovation and Management (MJEIM) ISSN: 2509-0429 Volume 6, numéro 1
49Les recherches sur les facteurs de succès des projets montrent qu'il est tout simplement
impossible d'en obtenir une liste exhaustive et adéquate pour tous les projets. Les facteurs desuccès diffèrent d'un projet à un autre compte tenu par exemple de l'envergure, de l'unicité ou
de la complexité des projets (Lavagnon, et al. 2009).
Depuis la fin des années 1960, les chercheurs en gestion de projet tentent de comprendre etsurtout, déterminer quels sont les facteurs clefs qui mènent à la réussite d'un projet. La
définition de ce concept varie selon les auteurs, nous citerons celle énoncée par Leidecker et
Bruno (1984), citée et traduite par Rajaobelina, Durif et Ricard (2007). Les facteurs clés de succès sont vus comme des " caractéristiques, conditions ou variables qui, lorsqu'elles sontcorrectement suivies, maintenues et gérées, peuvent avoir un impact significatif sur le succès
d'une firme dans un secteur donné ». Ainsi, ils peuvent être définis comme étant des " leviers
sur lesquels le gestionnaire de projet peut s'appuyer pour accroître les chances de succès du projet (Lavagnon, 2004).Concernant, les facteurs clés de succès des projets, la recherche a d'abord focalisé l'attention
sur les aspects du contrôle de projet en mettant l'accent sur le triptyque " coût-qualité-délai ».
C'est à Slevin et Pinto (1986), cité par Lavagnon, (2004), que revient le mérite d'avoir proposé
une base scientifique de 10 facteurs clés de succès : la mission du projet, le soutien de ladirection générale, la planification et les échéanciers, l'écoute des clients, le personnel, les
tâches techniques, l'approbation du client, le pilotage et la rétroaction, la communication et la
gestion des problèmes. À ces 10 facteurs plus ou moins " contrôlables » par l'équipe de projet,
Pinto et Slevin (1988b) ajoutent 4 facteurs réputés extérieurs au processus d'implantation du
projet et donc incontrôlables par l'équipe : les compétences du chef de projet, le pouvoir et les
enjeux politiques, l'environnement et l'urgence. Plus tard, la classification de Selvin et Pinto (1988b) sera reprise et adaptée par O'Shaughnessy (2006a). En comparant les travaux de Pinto et Selvin, (1988b) et de O'Shaughnessy, 2006a), il s'est avéré que chaque facteur clefs desuccès, cités précédemment, est spécifique à une étape bien précise du cycle de vie du projet.
Le Tableau ci-dessous présente les facteurs clefs les plus influents et importants pour chacune des phases du cycle de vie d'un projet.Tableau 2. Principaux facteurs clefs de succès
Facteurs clefs de succès
Cycle de vie d'un
projetSlevin et Pinto (1988 b) O 'Shaughnessy (2006a)
Phase 1 :
Conception et
évaluation du projet
1. La mission du projet 4. L'écoute des clients
1. La mission du projet 2. Le soutien de la haute direction 4. Communication continuelle avec le client à différentes étapes du projet
5. Les ressources humaines
6. L'expertise technique
7. Doter l'organisation de processus
de méthodologie et de standards de gestion de projet8. La communication avec les
principales parties prenantes du projet9. S'assurer de la capacité
organisationnelle à entreprendre le projetPhase 2 : 1. La mission du projet
2. Le soutien de la direction
3. Planification des activités
4. Communication continuel le avec
Moroccan Journal of Entrepreneurship, Innovation and Management (MJEIM) ISSN: 2509-0429 Volume 6, numéro 1
50Planification
générale7. L'approbation du client
14. L'urgence
le client à différentes étapes du projet5. Les ressources humaines
6. L'expertise technique
7. Doter l'organisation de processus
de méthodologie et de standards de gestion de projet9. La communication avec les
principales parties prenantes du projet10. S'assurer de la capacité
organisationnelle à entreprendre le projetPhase 3 :
Exécution/Réalisation
Suivi et contrôle
1. La mission du projet 3. La planification et les échéanciers 4. L'écoute des clients 6. Les tâches techniques 10. La gestion des problèmes 11. Les compétences du chef de projet
4. Communication continuelle avec le client à différentes étapes du projet
5. Les ressources humaines
7. Doter l'organisation de processus
de méthodologie et de standards de gestion de projet8. Le suivit et le contrôle de
l'exécution du projet et la gestion des modifications9. La communication avec les
principales parties prenantes du projetPhase 4 : Évaluation
de la performance du projet réalisé1. La mission du projet
4. L'écoute des clients
6. Les tâches techniques
1. Communication continuelle avec
le client à différentes étapes du projet7. Doter l'organisation de processus
de méthodologie et de standards de gestion de projet8. Le suivi et le contrôle de
l'exécution du projet et la gestion des modifications9. La communication avec les
principales parties prenantes du projet Source : adapté de O'Shaughnessy, (2006a) et de Lavagnon, et al. (2009)Malgré la multitude de critères et de facteurs clefs de succès issues de la littérature en gestion
de projet, il est impossible d'en obtenir une liste définitive, complète, adéquate et applicable à
tous les projets (Belasri et Tukel, 1996 ; Westeryeld, 2003 ; Hyvari, 2006). Cependant, de nombreux auteurs, notamment Belasri et Tukel (1996) constatent qu'en général, le succès oul'échec dépend rarement d'un seul facteur clef de succès mais plutôt d'une combinaison de
plusieurs facteurs clefs de succès à différentes étapes du cycle de vie du projet. Une nouvelle
approche est alors élaborée. Elle consiste à réaliser des regroupements universels des facteurs
clefs de succès afin de dégager plus facilement les éléments (ou groupes de facteurs) sur
lesquels le succès repose. Cette approche commence à faire sa place dans la littérature
(Belasri et Tukel, 1996 ; Lim et Mohamed, 1999 ; ou encore, Westerveld, 2003). Belasri et Tukel (1996), par exemple, distinguent quatre types de facteurs clefs de succès d'unprojet : les facteurs relatifs à l'environnement externe ; les facteurs relatifs à l'organisation ou
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51quotesdbs_dbs27.pdfusesText_33
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