THERMODYNAMIQUE - CHIMIQUE --- MP-Spé --- Courbes intensité
Courbes intensité-potentiel (Applications à l'électrolyse). 14 janvier 2020. Table des matières. 1 Introduction : 2. 2 Présentation des courbes i-E :.
Courbes intensité-potentiel Applications `a lélectrolyse
Par convention la surtension anodique ?a est positive alors que la surtension cathodique ?c est négative. Page 10. 10. LC 40 - Courbes intensité-potentiel. Le
Montage n° 19 Expériences portant sur les courbes intensité
Expériences portant sur les courbes intensité-potentiel ; applications. s surtensions directement dans la cuve à électrolyse à l'aide d'une ECS.
Electrochim Electrochimie
courbes intensité-potentiel ou densité de courant-potentiel. Dans la première partie
Montage n° 19 Expériences portant sur les courbes intensité
Expériences portant sur les courbes intensité-potentiel ; applications. les surtensions directement dans la cuve à électrolyse à l'aide d'une ECS.
Courbes courant-potentiel
Pour obtenir la courbe courant–potentiel du système étudié on impose une valeur constante E = ET à l'électrode de travail et on mesure l'intensité du courant i
Cinétique électrochimique
On regarde si la courbe intensité-potentiel relative à l'oxydation du métal et celle relative à la réduction de H+ sur ce métal conduisent à une intensité d'
Récupération de largent des bains photographiques usés et
29 mars 2018 Cependant la récupération de métaux par électrolyse reste parfois ... On étudiera la branche cathodique des courbes intensité-potentiel
Exercices Cinétique électrochimique – Courbes intensité-potentiel
Exercice n° 1 : Électrolyse à anode soluble (d'après ESIM 2000) Faire un schéma des courbes intensité-potentiel à l'anode et à la cathode.
C25 – Courbes intensité-potentiel
Les réactions d'oxydoréduction ont de nombreuses applications. On souhaite tracer la courbe intensité-potentiel associée à l'eau.
Montage n° 19
Expériences portant sur les courbes intensité-potentiel ; applications.Introduction
unique point de vue thermodynamique dans ce cas, ent stables alors que la thermodynamique prévoit le contraire thermodynamique prévoit la formation de dihydrogène ? Nous allons rechercher lces " anomalies » du côté des phénomènes cinétiques qui accompagnent bien évidemment les
courbes intensité- pr I.100 Manip n°50 p.154
-1.E° (V)
S2O82- / SO42- -- 2,00
O2 / H2O -- 1,23
H+ / H2 -- 0
Matériel : cuve à électrolyse, ampèremètre, voltmètre, électrodes en graphite et en platine.Essayons de prévoir la réaction En
solution, on a les ions sulfates et 2O et H+ je vais réaliser et la réaction entre H2O et H+ qui va donne O2 et H2. Le pH étant à 0, je devrai imposer une ddp=1,23 V pour que la réaction se fasse.I.1 Electrodes de platine
On augmente progressivement la ddp et on regarde ce qui se passe au niveau des électrodes. La A la ddp théorique de 1,23 V prévu par la thermo : toujours rien.On a quelque chose pour
I.2 Electrodes de graphite
Idem.La ddp sera cette fois-ci supérieure à 2V
Interprétation : Pourquoi a- -
elle pas la même sur graphite et sur platine ?I.3 Courbes intensité-potentiel
Sarrazin p.232
courbes intensité-potentiel.Principe de la mesure : on réalise
un montage à 3 électrodes : on impose une ddp entre uneélectrode de référence (qui
gardera un potentiel constant auélectrode de travail
(successivement platine et carbone). On mesure ensuite le de travail grâce à une 3èmeélectrode, appelée électrode
auxiliaire ou contre-électrode pour fermer le circuit. On observe des courbes de type exponentielles. Plus on impose une tension importante, plus le courant est grand, donc plus la vitesse de la réaction qui se passe rapide.I.3.1 (cathode) :
2 H3O+ + 2e- = H2 + 2 H2O
En théorie, le dégagement de H2 doit se faire à E=E° - 0,06 pH=0V Sur platine, on lit sur la courbe que le potentiel à imposer correspond à celui du couple H+/H2.I.3.2 (anode) :
H2O = ½ O2 + 2H+ + 2e-
En théorie, le dégagement de O2 doit se faire à E=E°+0,03log[H+]2pO21/2=1,23-0,06 pH=1,23. Mais On commence à voir apparaître un courant pour un tensionbien supérieure. Donc il faut appliquer une tension supérieure à celle prévue par la
thermodynamique. Il existe donc des surtensions. On mesure les surtensions pour une valeur de courant donnée.Rq : on peut aussi mesurer les surtensions
I.3.3 Les surtensions ne sont pas les mêmes avec les 2 connaître l différentes électrodes pour minimiser les surtensionsà appliquer.
Pourquoi ces surtensions ? Pour que la réaction ait lieu, il couple. On visualise ici un des aspects cinétiques des réactions système de systèmes lents. Tous les systèmes ont-il ce comportement ou existe t-il des systèmes (couple/électrode) pour lesquels les paramètres cinétiques sont négligeables ?Eimposée = Ethermo + surtensions + rI
II.100 Manip n°59 p.169
On visualise un système rapide, sans surtension. Il existe donc 2 types de systèmes : les systèmes rapides et les systèmes lents. Fe3+ + e- Fe2+ On visualise également sur ces courbes (qui ne sont pas de simples exponentielles, mais qui possèdent un palier),Quand le régime
devient le facteur limitant. Celui-ci peut avoir lieu sous trois formes : -électrique)
III. Applications
III.1 Corrosion du fer protection par anode sacrificielle Sarrazin p.287 - 100 Manip n°61.3 p.173 Le Maréchal p.218 fer. Relier ensemble Zn et fer H2 sur le fer. Prendre la ddp entre le clou et ECS (pour retrouver la valeur dans la partie explicative suivante)Explication par les courbes i-
III.2 Passivation du fer
Sarrazin p.236 - 100 Manip n°61.3 p.173 Le Maréchal p.220 III.2.1 Action de l'acide nitrique dilué sur le fer : Dans un petit becher introduire de l'acide nitrique 5 M. A l'aide d'une pince en bois y plonger la moitié inférieure d'un clou pendant quelques secondes. On observe l'attaque rapide du fer, lasolution prend une teinte rouille (Fe3+) et d'abondantes vapeurs rousses (NO2) se forment.
Retirer le clou et le rincer dans un becher d'eau. Garder le clou. III.2.2 Action de l'acide nitrique fumant sur le fer :Procéder exactement de la même manière que précédemment. Quand le clou entre en contact
avec l'acide fumant l'attaque à lieu mais elle s'arrête presque immédiatement. Retirer le clou et
comparer son aspect avec le précédant. On constate qu'il prend un aspect très brillant (presque
argenté). L'oxydation à produit ici une pellicule d'oxyde magnétique de fer Fe3O4 qui protège le
fer et la réaction s'arrête, c'est le phénomène de passivation. Montrer cette protection en
replongeant le clou dans l'acide dilué, l'attaque n'a plus lieu. On peut montrer la fragilité de cette
protection, il suffit de percer la pellicule d'oxyde en touchant le clou avec une baguette de verre ou
un fil métallique pour que l'attaque reprenne immédiatement. (il se produit un phénomène de
micro-pile ). Cette passivation permet le transport de l'acide nitrique fumant dans des fûts de fer.
III.2.3 Tracer la courbe i-E du fer
III.2.4 -E
Conclusion
Nous avons vu dans ce montage que lors des études cinétiques en oxydoréduction, il est
systèmes : les systèmes lentspour lesquels il faut appliquer des surtensions pour que la réaction ait lieu, et les systèmes
rapides. Les courbes intensité-potentiel sont indispensables pour prévoir les réactions qui auront
r choisir les électrodes les mieux adaptées afin de réduire les coût de fabrication en imposant une ddp la + faible possible. travaillerons avec une électrode de gr carbone.BIBLIO
Sarrazin
Le Maréchal
100 manip
Questions
Q1 : Que faut-il faire pour diminuer la résistance de la solution et minimiser les chutes ohmiques ?
R1 : il faut que la solution soit la + conductrice possible. Si besoin, ajouter un électrolyte support
lution ou les électrodes.Q2 S2O82- / SO42- pas
de ce couple à cette ddp ? R2 : car on a aussi des surtensions pour ce couple.R3 : 1 L de H2O2 libère 30 L de O2
Q4 -E ?
R4 : E dépend du pH
Q5 : pourquoi travailler avec un montage à 3 électrodes ? R5 l constant et joue son rôle de référence,Q6 : que se passe- ?
R6 intéresse.
Q7 -1 ou 10-2, que
faudrait-il ajouter ?R7 : un électrolyte support pour diminuer la résistance de la solution et pour permettre aux
courants de diffusion, de convection et de migration de se déplacer. Q8 : Est-ce que les espèces électroactives participent à R8 qui participent.Q9 : Corrosion du fer protection par anode
sacrificielle. La tension mesurée entre clou et ECS = -0,910V, soit -0,665V par rapport à ESH. Est-ce en accord avec le graphe Zn et Fe ?R9 : oui : on a bien -0,76 < -0.66>-0.44 V
Q10 -ce que la protection cathodique par courant imposé ?R10 : on impose une ddp pour se trouver
parties en Zn sur le bateau, ou sacrificielle.Q11 ?
R11 : immunité
Q12 : et dans le cas de la protection anodique ?
R12 : passivation
Q13 : comment doit êt
fumant R13 que cette couche soit imperméable. Q14 : quels sont les autres systèmes de protection du fer ?R14 : le revêtement par un métal +noble (pbl dans le cas de piqures dans le métal noble, car le fer
se corrode) ou par un métal contact avec le zinc.Les étapes cinétiquement déterminantes peuvent être de deux natures : le transfert de charge et
rt de matière qui devient le facteur limitant. Celui-ci peut avoir lieu sous trois formes :Les deux premiers phénomènes peuvent être supprimés : la migration, en utilisant un électrolyte
support en plus grande concentration ; la convection, en supprimant autant que faire se peutQuant au troisième, il s
quotesdbs_dbs29.pdfusesText_35[PDF] cours électrochimie en ligne
[PDF] Cours d 'Électromagnétisme - Université Nice Sophia Antipolis
[PDF] Cours d 'Electronique Analogique
[PDF] Cours d Electronique Analogique
[PDF] Conversion électronique de puissance : Hacheurs - Physique PC
[PDF] Électronique de puissance Principes - Claude Chevassu
[PDF] Électronique de puissance Chapitre 2: Les Redresseurs - Elearn
[PDF] Électronique de puissance Principes - Claude Chevassu
[PDF] Electrotechnique
[PDF] Electrotechnique
[PDF] cours elementaire de mathematiques superieures - www biruni tn
[PDF] Cours élémentaire de mathématiques supérieures Tome 3 : Calcul
[PDF] La République française, une démocratie Mode d 'emploi
[PDF] 1 h 2 h 2 h 2 h 1 h 1h - Académie de Clermont-Ferrand