[PDF] Archéologie des Nouvelles-Hébrides : contribution à la





Previous PDF Next PDF



37. Technologies pour le recyclage des matériaux rares et leur

26 mars 2010 BG Ingénieurs Conseils SAS BIO Intelligence Service… • Association Edif (Energies Durables en Ile-de-France)



Les mécaniciens dans la course Les mécaniciens dans la course

3 juil. 2014 de France – de plaider sa cause. ... du neuf à des concessionnaires ... difficile pour l'activité réparation de la branche artisanale qui se.



P14 P20

27 nov. 2018 Algérie Rechange



Rapport annuel - Bordeaux Métropole

1 janv. 2019 d'assurer à la fin de service



Rapport annuel - Bordeaux Métropole

14 déc. 2015 d'assurer à la fin de service



TECHNOLOGIE ET REGULATIONS DANS LES ORGANISATIONS

30 sept. 2014 Maître de conférences HDR Université Pierre Mendès France ... ne soit en échange d'un service similaire ou d'une rétribution qu'il juge ...



Les technologies clés : une prospective et un éclairage pour des

26 mars 2010 structures au service de l'innovation et de la compétitivité ... Que dit-elle de neuf par rapport aux exercices précédents ?



Archéologie des Nouvelles-Hébrides : contribution à la

anciennes influences ou échanges culturels qui contribuèrent à l'é- (page 95) ne comporte que neuf titres d'oumages qui tot&iscnt.



Document final de thèse Norval Maxime

Figure 1 : Évolution du nombre de maladies professionnelles et TMS en France 2006-2016 (Rapport annuel 2016 de l'assurance maladie). La prévention des TMS 



DOSSIER DE PRESSE

5 nov. 2017 Echanges & ateliers de code. Les membres de Women in Games France mèneront une action de sensibilisation aux métiers.

CCUVERTURES :

Tone no 1 = l'équipe de fouille drEfate; ,

Tome no 2 ~Piro@le entre Efate et hl?pa,

bracelets (troca), in situ, Rctoka, Tonc no 3 = case l~cuisine" à Mangarisu (Tongoa), bracelet (d6fonse de porc). f

José GARAN'GER

I

ARCHEOLOGIE

dos NOUVELLES-HEBRIDES contribution à In connaissance des îles du centre. I I 1

Cote '.

PARIS novembre 1970

C.N .R.S. (ERA no 52 et anc. RCP no 27), CRPP, Mission ORSTOM-CNRS en- Océnni@ @WNl Fonds Documentaire. &-rab : le texte c3t SLustré de 315 figures (et non de 347), uno c_?rrc~ à In figure no 245). Ikv13 lc t~~d;o~ 130 r8fUronocs i=u.x figure3 sont confor- me3 h ce-num6rotage cITon6, -._ i-l-l : l-i-2 : l-l-3 : L2 y&histoire ocCmi.cnnc, p2.g~ ii. Lx ~ïo~vcllcs-J~dbridos ct 12 préhintoirc oc&nicnnc, pC&fyc 19.

Hictoriqw :k3 rcchcïchcs cntrpriscs, ?qc 25,

1-l : PRBMIk i,i'RiCCi~E IX L~iJX!IIIPEL h~O-I&Bl~D~JS

1-2-l : LLS .tiliou n53wc1, p2gc 27.

1-2-1-F. : LC cii.di, P~CC 27.

l-2-l-b : k structure ct 10s pF"ymgo3, p,a.&+c 30.

1-2--1-b

: Le chcrchcur zt les îles3 pz.gcs 34. l-2-2 : Lrincuraion tics EWop&ns, page 37. l-2-24 : L.0. pbrioc!c historique, p,z~c 37. l-2-2-b : La pr&~istoix ct 1~ hor7ma, pq;c .'tO,, l-2-2-c : LCS prcnian docwicnts UC pr6histoirc: page .?l. l-2-3 : Straté& ct tactique, pz.gc .:F;.

I-2-3-0.: Loë objcctifa, p::cc_II,(. .

l-%-~-b : k prospmtion des sites, ~:XC +6.

1-2-j-c

: L'6quipc clc fouille, pqy xs. 2 : ETUDE DES SITES

2-l -1 : Introduction, pngc 51,

2-l-l-o

: Structure et relief, pp~c 51.

2-l-l-b ': La période historique, pzgc 52.

2-l-l-o

: Les rbgions ~zrchC:oln~i~~~zs, page 54. 2-1 : LA. iUkJX.G D'Zi?ATE (suite) * 2-l-2 : .k_ rG.gion contrd_c ZtEfhtc, pLqp 56. 2-1-3 : ICI région sud d'Efatc, page GO.

2-1-34 : Eaniura, P:I-go 60,

2-1-3-b : Enwti, p:r?c;o 6:.

La potcric, p<'ge G9 - lfoutillngo lithiquc et

coquillier, gago 70 - &l&ncnts de pcrurc, pcli;c

00 - conclusion, page El.

2-l-4 t 'La rGgion 3ud-ouest d~Efo.te, page 82.

2-1 -+c.

2-l-4-b

2-l-"+ a Fcospcction de3 sites, pn;Cc 02.

,I Lrr plainc do Eblc, page 03. : ~'Qot T>Tele, page 86.

L'outillage lithique, coquillier et osseux, page

92 - Les sé~ulttucs de l'ilot Nele, page 94 -

orientation des a&mJitures, page 96 - p~azcwesg page 90 - chronologie et conclusion. , page 103, 2-l-5 : La région nord et nord-est d'Efatc : pwe 105. 2-l-6 : LX région occidentale d'%fate, pcage I 06.

2-l -6-a : Lelepa, page 106.

2-l-6-b

.D La côte occidentale d'ETate, page 132.

2-1-6-c

: P??si, -page 140. (2ème tome) 2-1-6-d La poteZiie à Lelepa, page 123 - l'outillage lithique et coquillier, p=age 528 - Lelepa, con- clusion, page 129.

Problèms de stratigraphie, page 142 - les

sépultures de Emgaasi, page 146 - l'outillage lithique, ooquillier et corallien, page 150 -

La poterie 5 Fmgaasi, page 152 - IVângaasi,

conclusion, page 180. : Retoka, page 184. Prospection de l'îlot, page 187 .= la sépulture collective de Roy Nata, page 789.. 2-2-l : M&ura,

2-2-2 : I~Tal@xa,

2-2-2-a :

2-2-2-b :

2-2-2-c : Em & le Gcif Cook, page 24.3.

prospections et fouilles, page 245. 'Prospection de l'île, pa,;e 245.

I+"l,D.Ea, eondages et fouilles, page 250.

Hal~a, chronologie et conclu3ion, page 253.

2-3 : LES 1ms SHEPHERD, 1rnJA.S

2-3-d : Les îles Shepherd EZ TONGOA.

et la légende de Kuwae, page 263.

2-3-20s-Rcchachcs archéologiques à Tongoa, page 267.

2-3-2-a.

2-3-2-b

2-3-2-c .: Tongoa page 267.

: Les niveaux pré-volcaniques de la &-te sud-est de TonLgca, page 269.

Prospection des sites, p'age 263 - Buta, page 272

- Emgarisu, page 274. : Les niveaux post-volcaniques à Tongoa, page 285.

Bospection des sites, p,age 285 - ïc c?3te de

Ikangarisu, page 286 - Le territoire de &ngarisu,

page 288 - Itakoma, page 300 - Panita, sépultures des %tariliu et de Ti Tongoa Liseiriki, page 301.

2-3-3 ; Tongoa, essai de.chronologie; page 308.' * '

2-3-3-a

2-3-3-b : Chronologie absolue et strati~aphie, page 308.

: Les périodes 5 céranique, pq-e 311. Le poterie décorée d'incisione et de reliefs ap- liqués, page 311 - la poterie d~Aknau, dite tt à incisions ixtornenll, page 317 - L'outilkage li- thique et coquillier des périodes à céramique, page 322.

2-3-3-c

: Les p&ciodcs sans céramique, page 323.

Kume, page 323 - Tongoa apr8s le cataclysme,

page 327. 3:

RkULTATS l?T P E R S P E C T 1 V % S (tome 3)

3-1 : TYPOLcGIB coxPfU&

3-1-q : L'outillage lithique, page 331,

3-l-l-a : Les hermincttes, page 331.

3-l-l-b : L'outill;L=e divers, page 334.

3-l-2 : L' outillage ooquillier et corallien, pcage 335.

3-1-2-a : Herminottes et herminettes-gouges, p,c.g~ 335.

3-1-2-b

: Outillage divers, page 348.

3-1-2-c

: Le problème des hameçons, page 349. . - _ _. 3-l : TYPOLOGIE COIWti (suito),

3-l -3 : Ila célpmique, pcLg0 351 .

3-l-3-a : Les différentes traditions, page 351.

3-l-3-b : Pdtrographie des dégraissants, pae;e 355.

3-l-4 : P?J.Vret-, et mobilier fun&aire, yage 364.

3-l-3-a : Qarures corporelles, p%age 364.

3-1-3-b : Aménecnont don sépultures individuelles et

mobilier funéraire, page 371. 3-l-5 : !i~ologie et orientation des sépultures, page 373.

3-l-5-a : Les différents types de sépultures, pLagc 373.

3-1-6-b : Leü structuras funérzires superficielles,

page 375.

3-1-6-c : Orientation des sépultures, page 376.

3-2 : CIIRONOLOGIE 3-2-l : La chronologie absolue, page 378. j-2-2 : Les différents ensembles culturcl3, page 379.

3-2-2-a

3-l-2-b

3-2-2-o

3-3 : PERSPlxzTvEs : Le premier peuplement et la poterie dite "de

?IIgaa~i~~, page 379.

Evolution, pnge 382 - Origines, page 383 -

Diffusion, page 386.

.: Les cultures intrusivcs, page 390, : La. période rdconte et l'abandon de llczrt céra- mique, page 3930

Les pirogues %cnuos du Sud", p relations avec le ?Tord, page 398.

3-2-l : De llimprécîsion de certains résultats, page 405.

3-2-2 : Nobilité et immobilité dans les cultures océ~anionnes,

page 408, 3-3-3 : La Nicronésîc et leo ~Touvelles-I-Iébrides, page 409.

3-3-4 : De la valeur des traditions en Oo&nîe, p=age 412.

INDEX analytique : page 415, géographique : page 424, nominum, page 433. BIB LI OGRAPHIE:page442

11 Les analogies entre quelque6 traits choisis:

au hasard dans de vastes-régions connues pour la diversité de Leurs cultures ne peuvent etre que ouperficielles et peu convaincantes p :

Alfred METRAUX ;

19% page 179 .

l-1 : JUSTI??ICATIOIJ et HISTORIQ-E des

R_ErzEECHES l2lcmD?RISES : .' ,

I-I-I : LA EZBI.IISTOIRE! OCEAVIENll

ik Préhistoire océanienne est une science récente et qui ne prit son véritable essor qu'après la seconde guerre mondiale. Avant

1945 sans doute, et plus prtkisément depuis les années vingt de ce

siècle, de no!,:breux travaux furent public'm U mais qui ne coerornaient que la description des structures lithiques repérables en surface : travaux de Linton aux îles lkrquise s en 1920, de K. P. ELmory aux îles de la Société et dLans les archipels voisins à partir 22 1925, de I*Iao Kern aux îles Tonga (McKEBN : 1929), de IGtraux et Lavachery à 1'110 _-.-.u___- de Fâ.ques en 1934, pour ne citer que les principaux, L23 chercheurs étudiaient la typologie des hermine-t-tes recueillies en surface car cet outil apparaissait déjà comme l'u,l des fossiles directours las plus importan+a pour la compréhension du passé oc&nien. L'intér$t SC portait alors suc les différentes cultures de l'aire océanienne, divisée en IGlanésie, Micronésie et Polynkie. Il importait de pré- ciser les cc' ?ctères raciaux, linguistiques et socio-religieux des populations de chacune de ces régions et de faire l'inventaire précis des témoins de leur culture matérielle. Des vagues de migrations suc- cessives vers l'est, d'inégales extensions mais toujours sans retour, pouvaient seules expliquer, en effet, l'apparente simplicité des mon- des mélanésiens et miorondsiens et l'évidente diversité du monde po- 1-i-l 5 lynésien. Cependant, la civilisation polynésienne, prise dans son ensemble, était considérée comme un phénomène récent et qui n'avait pu laisser de trace dans les profondeurs du sol. Les diversités re- merquées dans chaque archipel n'étaient pas le résultat d'une évolu- tion interne mais la conséquence de l'éloignenent plus ou moins .p.na, dans le temps et dans l:espace, du foyer colonisateur principal et des foyers secondaires de colonisation. Il apparaissait donc vain d'aller chercher à grand'peine dans le sol ce que l'on Eouvait aisé- ment recueillir en surface et plus urgent de sauver ces témoins su- perficiels ; plus urgent, également, de recueillir les traditions orales qui aideraient à comprendre ie cheminement des homes à la conquête des îles du Pacifique. L'origine de ces populations qui , pour la première fois dans l'histoire de l'humanité, osèrent ne plus considérer l'océan comme un obstacle infranchissable restait, et reste, un problème. Celui- ci poussa les esprits les plus inventifs à transcender, avec une surprenante audace parfois, les quelques résultats déjà acquis. Peu à peu, les travaux des anthropologues, des linguistf*2 *.;t des éthno- logues, l'abondance et la complexité des traditions recueillies et l'affinement de la typologie comparée des outillages lithiques, soulevèrent plus de problèmes qu'ils n'apportkwnt de solutions. Les frontières, anciennement précisées entre la Mélanésie, la Pii- oronésie et la Polynésie, apparurent pour le moins arbitraires.

Les grandes synthèses

réduites à de simples aventureuses furent négligées ou du moins hypothèses de travail. 144
C'est dans 1'Sle sud de la Nouvelle-Zélande que furent en- treprises les premières fouilles archéologiques et ceci, dès 1920 et grâce 8, l'initiative de H. D. Sk.inner. Roger Duff, poursuivonf un travail analogue dans l'île du nord, put démontrer llintérêt d'une démarche proprement archéologique qui permettrait un contrô- le objectif er réciproque des donn6cs de la tradition et de l'inter- prétationl des documents décelés dans le sol (Roger pages 21 et 282-285). La publication de ces travaux engagea les chor- cheurs dans une voie nouvelle : celle de l'archéologie préhistorique, comprise comme une discipline autonome mais qui ne devait pas, pour autant, négliger les ressources de l'ethno-histoire dans la recher- che du passé océanien. Cette dernière tendance, trop défiante des traditions, apparaissai&t déjà dans le Pacifique occidental où l'on estimait plus prudent de ne se fier qu'à la stratigraphie, à la typologie comparée et à la toute nouvelle datation absolue par le carbone 14. Eh 1950, K,P. Rmory entreprenait l'étude de plusieurs abris -sous-roche situés à la pointe sud-est de Oahu (1~. P. l3IORY et Y, R. SINCTO : 1961). Ces sites hawaïens confirmaient les découvertes ef- fec%ées en Nouvelle-Zélande, c'est-à-dire la possibilité d'une stgification de plusieurs niveaux oulturels dans les îles océanien- nes. Ils permirent en outre l'étude typologique d'un nouveau fossile directeur : lfhameçon océanien (K.P. EEORY, W.J. BUNK, Y.H. SINOTO :

1959. Y. R. SINOTO : 1962). La synthèse des différentes recherches

effectuées dans le Pacifique sud de 1947 à 1956, fut écrite par Jack Golson (J. GOLSON : 1959), il serait inutile d'en refaire ici l'ex- -._A 1-1-i posé. Remarquons seulement que, en dehors des 91es Hawaï Nouvelle-Zélande, les chercheurs portèrent leurs efforts de cinq régions différentes : 1) 2) 3!

4) La %lanésie orientale : Fidji (E. W. GIFFORD : 1951) et Nouvelle-

Calédonie (E. W. GI&3'ORD et D. SElUTLER Jr. : 1956); et de la sur l'étude La Micronésie, cette région n'était plus considérée comme la seule voie des migrations polynésiennes, hypothèse c,,!:e Peter Buck avait développée dans son ouvrage "Vikings of We sunrise" (1938), pu- blié en Français en IV52 (P. BUCK : lV52), mais comme l'une de leurs voies possibles et qui pourrait expliquer, en particulier, la présence de l'herminctte à épaulemont en Polynésie orientale et son absence de la Polynésie occidentale comme de la Tsélanésie. Alexander Spoehr conduisit ses recherches aux îles I;aria&s en

1949 et 1950 (A. Si;OEHR : 1957), Douglas Osborne aux /les Palaos

en 1954 (D. OSBORI?E : 1962 et 1966), E, V. Gifford 2 Yap en 1956 -___ -.-_ (E. W. GIFPORD : 1959); _-_I_ La Polynésie occidentale, en 1957, avec les travaux de Jack Gol- son aux Sles Tonga, de J. Golson et de W.R. Ambrosa aux îles Samoa (J. GOLSON : 1957 et 1961 : pages 172-176) où, pour la première fois,' des tessons de poterie furent mis au jour ; Les îles Irlarquiscs où la mission norvggienne, dirigée par Thor Heyerdahl, travailla quelque temps à B'ivaoa et à Nuku-Hiva (T. 13EYl3RDAHL et E. N. FERDON : 1965) et dont l'étude la plus re-

1-1-l a

marquce fut celle qu'en fit Robert C. Suggs en 1957 (R. C. SUGGS t 1961)
5) L'île de P&qucs, enfin, étudiée par l'équipe de Thor Reyerdshl (T. HEYIERDm et E.N. rPERDOT? : 19612. A la veille du dixième congrès dos sciences du Pacifique (1), la nécessité était apparue de coordonner les efforts, jusqu'ici dis- persés, des différents centres de recherche oeuvrant dans le Pacifi- que et de définir les zones à étudier en priorité pour une meilleure compréhension des processus de peupler!ent du Pacifique sud. L'étude coopérative des archipels msrginaux de la Polynésie orientale : "Les trois sommets du triangle polynésien", n'Qtait pas des plus_kgentes. Les îles Hawaï et la Nouvelle-Zélande, riches de chercheurs et de laboratoires, pouvaient, sans un concours extérieur, assurer seules le développement de leur préhistoire déjà fort clarifiée. La cou- rageuse épopée de Thor Heycrdahl et les travaux qu'il venait d'effec- tuer avec son équipe à l'île de Pâques, avaient ranimé un débat vieux i 1 i de plus d'un demi siècle. Los séquences culturelles de l'île avaient 1 (1) : Congrès tenu à Honolulu du 21 aoi?t au 2 septembre? 1961. Lec conclusions des archéologues congressistes ont été exposées par Roger

Green (R. G-T :

1962). 19612) et par Wilhelim Solheim (W. G. SOLHEXPI 2 :

l-l-l été précisées en se fondant principalement sur l'analyse des struc- tures religieuses : les ahu (2). L'origine péruvienne de la civilisa- tion pascuanne n'avait pas été démontrée et encore moins, par consé-quotesdbs_dbs27.pdfusesText_33

[PDF] BG/GUV 80.4 - Einführung in die Ausbildung

[PDF] BG048 BG048 - Anciens Et Réunions

[PDF] BG1 équipes - Anciens Et Réunions

[PDF] BG2V intervient dans l`acquisition de l`Hôtel Dieu de Clermont

[PDF] BGA222 - agriKomp

[PDF] BGB - Allgemeine Lehren

[PDF] BGB-Vereinsrecht 2014

[PDF] BGBl. II Nr. 69/2016 Änderung der Tierschutz

[PDF] BGBl. III Nr. 200/2001 - RIS

[PDF] BGBl. Nr. 477/1995

[PDF] BGC Schloß Paffendorf eV

[PDF] bgdc-entry-superprix.. - Support Technique

[PDF] bgdc-entry-zandvoort.. - Support Technique

[PDF] BGE Coop

[PDF] BGE Pro, mon business plan en ligne