Conseil de lEurope - Convention sur la cybercriminalité (STE n° 185)
Préoccupés par le risque que les réseaux informatiques et l'information réaffirment le droit de ne pas être inquiété pour ses opinions le droit à la ...
Directive 2013/40/UE du Parlement européen et du Conseil du 12
12 ago 2013 contre la cybercriminalité et l'Agence européenne chargée de la sécurité des réseaux et de l'information. (ENISA).
Déni de responsabilité Les articles publiés dans le Forum du
13 mar 2007 Les aspects militaires de la sécurité de l'information au niveau international ... informatiques et l'applicabilité du droit international ...
Étude détaillée sur la cybercriminalité
(Centre de sécurité informatique et institut internet d'Oxford Université d´Oxford) les infractions liées à l´information informatique (Accord de la ...
convention de lunion africaine sur la cybersécurité et la protection
la Société de l'Information en Afrique et à renforcer les législations constitue une véritable menace pour la sécurité des réseaux informatiques et le.
ANNEXE VII PROPOSITION SOUMISE AU GROUPE DEXPERTS
De plus l'absence d'un cadre légal adéquat -- surtout en ce qui concerne la sécurité de l'information et de l'infrastructure et la criminalité informatique
Untitled
3 feb 2000 a) L'accès non autorisé c'est-à-dire l'accès sans droit à un système ou un réseau informatique par violation des règles de sécurité;.
Audit en sécurité informatique : Liste des risques - Le Net Expert
Cybercriminalité (Droit Sécurité de l'information &. Informatique légale)
Stratégie régionale de cybersécurité et de lutte contre la
ADOPTER DES POLITIQUES DE SECURITE DES SYSTEMES D'INFORMATION . la cybercriminalité dans l'espace de la CEDEAO adapte le droit pénal et la procédure.
CONSEIL DE LEUROPE-PROGRAMME OCTOPUS INTERFACE
23 mar 2010 11568) et la loi belge du. 28 novembre 2000
![Stratégie régionale de cybersécurité et de lutte contre la Stratégie régionale de cybersécurité et de lutte contre la](https://pdfprof.com/Listes/20/21675-20CEDEAO-Strate__gie-re__gionale-cyberse__curite__-cybercriminalite__-FR.pdf.pdf.jpg)
CEDEAO
SECTION I. INTRODUCTION ............................................................................................................................... 3
SECTION II. CONSIDERATIONS GENERALES......................................................................................................... 4
A. OBJECTIF GENERAL ....................................................................................................................................................... 4
B. DEFINITIONS ............................................................................................................................................................... 4
SECTION III. OBJECTIF STRATEGIQUE 1 : FORMULER UNE POLITIQUE NATIONALE ET UNE STRATEGIE NATIONALEDE CYBERSECURITE ET DE LUTTE CONTRE LA CYBERCRIMINALITE ................................................................... 5
SECTION IV. OBJECTIF STRATEGIQUE 2 : RENFORCER LA CYBERSÉCURITÉ AVEC UN CYBERESPACE SÛR ETSÉCURISÉ 6
SOUS-OBJECTIF 2.1. ÉTABLIR UNE AUTORITE NATIONALE DE CYBERSECURITE ................................................................................. 6
SOUS-OBJECTIF 2.2. ÉTABLIR DES CAPACITES D'ALERTE ET DE REACTION EN CAS D'INCIDENT (CSIRT) ................................................. 6
SOUS-OBJECTIF 2.3. METTRE EN VUVRE UNE APPROCHE DE GESTION DES RISQUES ........................................................................ 7
SOUS-OBJECTIF 2.4. RENFORCER LA CYBERSECURITE DES INFRASTRUCTURES CRITIQUES ET DES SERVICES ESSENTIELS ............................. 7
SOUS-OBJECTIF 2.5. ADOPTER DES POLITIQUES DE SECURITE DES SYSTEMES D'INFORMATION ........................................................... 7
SOUS-OBJECTIF 2.6. ÉTABLIR UN REFERENTIEL GENERAL DE SECURITE .......................................................................................... 7
SOUS-OBJECTIF 2.7. ASSURER LE DEVELOPPEMENT DES COMPETENCES EN MATIERE DE CYBERSECURITE .............................................. 7
SOUS-OBJECTIF 2.8. ASSURER LE DEVELOPPEMENT DE L'ECOSYSTEME DE CYBERSECURITE ................................................................ 8
SECTION V. OBJECTIF STRATEGIQUE 3 : REDUIRE LA CYBERCRIMINALITE PAR UN ENVIRONNEMENT ADAPTE ETLA CAPACITE DE TRADUIRE LES DELINQUANTS EN JUSTICE ............................................................................. 8
SOUS-OBJECTIF 3.1. ADOPTER DES DISPOSITIONS PENALES ET DE PROCEDURES PENALES .................................................................. 8
SOUS-OBJECTIF 3.2. METTRE EN PLACE DES CAPACITES DE LUTTE CONTRE LA CYBERCRIMINALITE ....................................................... 8
SECTION VI. CONSIDERATIONS COMMUNES A LA CYBERSECURITE ET A LA LUTTE CONTRE LA CYBERCRIMALITE 8SOUS-OBJECTIF 4.1. PROMOUVOIR LA RATIFICATION DE CONVENTIONS ........................................................................................ 8
SOUS-OBJECTIF 4.2. ASSURER LA PROMOTION DE LA CULTURE DE CYBERSECURITE .......................................................................... 9
SOUS-OBJECTIF 4.3. ASSURER LA COORDINATION NATIONALE .................................................................................................... 9
SOUS-OBJECTIF 4.4. PROMOUVOIR LA COOPERATION REGIONALE ET INTERNATIONALE .................................................................... 9
SECTION VII. CONSIDERATIONS REGIONALES ..................................................................................................... 10
SOUS-OBJECTIF 5.1. ÉTABLIR UN PLAN REGIONAL D'ASSISTANCE A LA MISE EN VUVRE DE LA STRATEGIE REGIONALE ........................... 10
SOUS-OBJECTIF 5.2. ÉTABLIR UN DISPOSITIF DE SUIVI DE LA STRATEGIE REGIONALE....................................................................... 10
SOUS-OBJECTIF 5.3. ÉTABLIR UN CENTRE DE COORDINATION DE LA CYBERSECURITE ...................................................................... 10
SOUS-OBJECTIF 5.4. IDENTIFIER ET RECHERCHER DES FINANCEMENTS POUR LES DISPOSITIFS NATIONAUX DE CYBERSECURITE ET DE LUTTE
CONTRE LA CYBERCRIMINALITE ............................................................................................................................................... 10
ANNEXE : PLAN REGIONAL D'ASSISTANCE A LA MISE EN VUVRE DE LA STRATEGIE REGIONALE .................ERROR!
BOOKMARK NOT DEFINED.
RISECTION I. INTRODUCTION
La transformation numérique rapide en cours en Afrique de l'Ouest est d'une grande importance pour
améliorer le fonctionnement et l'efficacité des administrations, des politiques publiques et des économies,
ainsi que le bien-être des populations. Cependant, les menaces et les risques croissants auxquels sont
confrontés le cyberespace mondial et les réseaux, les systèmes d'information et les données numériques
peuvent considérablement réduire les bénéfices attendus de ces politiques numériques, et porter gravement
atteinte aux intérêts des Nations, à leurs économies, leurs institutions et leurs populations.
contre la cybercriminalité robustes, avec une bonne coordination entre les services concernés, des
mécanismes de réponse efficaces aux cyberattaques, des experts et des utilisateurs du numérique sensibilisés
et formés aux bonnes pratiques, une participation active du secteur privé, une protection renforcée des
régionale et une coopération internationale.pays ont déjà mis en place les dispositifs nécessaires et atteint un certain degré de préparation, la plupart des
autres pays ont encore un niveau insuffisant, constituant une faiblesse qui met en danger leurs Nations autant
que le reste de la région. En outre, tous les pays font face ă une pĠnurie d'edžpertise dans ces domaines. Ils
sont donc encouragés à développer les cursus de formation à la cybersécurité et à atteindre un niveau minimal
en matière de cybersécurité et de lutte contre la cybercriminalité.Par ailleurs, l'hĠtĠrogĠnĠité des dispositifs en place dans les différents pays limite considérablement toute
tentative de coopération régionale. Leur harmonisation doit donc être recherchée : les liens et échanges
seraient plus faciles et efficaces entre des institutions ayant des périmètres de responsabilité et des modes de
des infrastructures transnationales de la même manière dans toute la région ; enfin, des dispositions pénales
et de procédure pénale harmonisées rendraient possible une véritable entraide judiciaire.
Dans ce domaine, la CEDEAO a mis en place depuis 2010 des dispositions d'harmonisation ͗ l'acte additionnel
A/SA.1/01/10 relatif à la protection des données à caractğre personnel dans l'espace de la CEDEAO fidže
notamment les obligations de sécurité qui incombent aux responsables du traitement de telles données pour
portant lutte contre la cybercriminalitĠ dans l'espace de la CEDEAO adapte le droit pĠnal et la procĠdure
pénale des États membres au phénomène de la cybercriminalité.Au niǀeau du continent, la Conǀention de l'Union africaine de 2014 sur la cybersĠcuritĠ et la protection des
données à caractère personnel, dite Convention de Malabo, fixe les mesures de cybersécurité et de lutte
contre la cybercriminalité à prendre au niveau national. Au niveau mondial, la Convention de 2001 sur la
cybercriminalité, dite Convention de Budapest, ouverte à la signature de tous les pays, vise à mener une
en matière pénale et à adopter des pouvoirs suffisants pour permettre une lutte efficace contre la
cybercriminalité.La présente Stratégie régionale a pour objectif de tirer le meilleur profit de ces aǀancĠes, d'amĠliorer le niǀeau
des dispositifs nationaux de cybersécurité et de lutte contre la cybercriminalité, et de développer la
internationalement reconnues dans ces domaines.Ces objectifs doivent être atteints sans préjudice des libertés fondamentales et des droits de l'homme et des
peuples contenus dans les déclarations, conventions et autres instruments adoptés au niveau régional,
continental et international. RISECTION II. CONSIDERATIONS GENERALES
A. Objectif général
L'objectif gĠnĠral de cette stratĠgie est d'Ġtablir le cadre stratégique communautaire à prendre en compte
cybersécurité et la lutte contre la cybercriminalité avant fin 2022, avec la pleine participation de la Commission
de la CEDEAO au profit des États membres de cette Communauté.B. Définitions
Au sens de la présente Stratégie régionale, on entend par : effets ;;Cybercriminalité : les activités criminelles dont les ordinateurs et systèmes informatiques constituent soit
l'arme soit la cible principale. La cybercriminalité recouvre les délits habituels (fraude, contrefaçon, usurpation
délits spécifiques aux ordinateurs et systèmes informatiques (attaque contre un système informatique, déni
Cyberespace : le réseau interdépendant des infrastructures utilisant les technologies de l'information,
comprenant notamment lΖInternet, les rĠseaudž de tĠlĠcommunications, les systğmes d'information et les
objets connectés ;Cybersécurité ͗ l'ensemble des mesures et des actions destinées à protéger le cyberespace des menaces
associées à ses réseaux et à son infrastructure informatique ou susceptibles de leur porter atteinte. La
cybersécurité vise à préserver la disponibilité et l'intégrité des réseaux et de l'infrastructure ainsi que la
confidentialité des informations qui y sont contenues ;à un traitement informatique ;
Hygiène informatique : l'ensemble des bonnes pratiques que chaque acteur du numérique devrait respecter
Infrastructure critique : une infrastructure ou un processus public ou priǀĠ dont la destruction, l'arrġt,
la réputation de l'État ou de ses symboles de gouvernance. Dans cette définition, l'infrastructure comprend
les réseaux et systèmes et les données physiques ou numériques indispensables pour fournir ce service. Cette
expression peut faire référence à un système ou processus dont le fonctionnement est critique au sein de
l'organisation ;Opérateur de service essentiel : opérateur public ou privé qui fournit un service essentiel ;
Protection des infrastructures critiques ͗ l'ensemble des mesures et des actions destinĠes ă protĠger les
infrastructures critiques de l'ensemble des risques et menaces susceptibles de provoquer l'interruption totale
ou partielle des services essentiels qu'elles fournissent ;Protection des services essentiels : l'ensemble des mesures et des actions destinées à protéger les services
essentiels de l'ensemble des risques et menaces susceptibles de provoquer leur interruption totale ou
partielle ; RIService essentiel : un serǀice dont l'interruption totale ou partielle pourrait aǀoir un impact graǀe sur le
classer essentiel le service considéré ; nécessaires à son fonctionnement (communications, énergie, logistique, etc.) ;Systğme d'information : tout dispositif isolé ou non, tout ensemble de dispositifs interconnectés assurant en
tout ou partie, un traitement automatisĠ de donnĠes en edžĠcution d'un programme ;Technologies de l'Information et de la Communications (TIC): technologies employées pour recueillir,
de tout système de communication y compris de télécommunication. SECTION III. OBJECTIF STRATEGIQUE 1 : FORMULER UNE POLITIQUE NATIONALE ET UNE STRATEGIE NATIONALE DE CYBERSECURITE ET DE LUTTE CONTRE LA CYBERCRIMINALITEChaque État Membre devrait adopter et mettre à jour au moins tous les cinq ans une politique nationale et
une stratégie nationale de cybersécurité et de lutte contre la cybercriminalité1, prenant en compte la présente
Stratégie régionale et fixant pour chacun de ces deux domaines : - la situation du pays et les défis auxquels il fait face ; - la vision politique du pays ; - les objectifs stratégiques à atteindre, les délais et les priorités ; - la gouvernance, les rôles et les responsabilités ; - les objectifs en matière de : o renforcement des dispositions législatives et règlementaires ; o normes, standards et référentiels d'exigences ; o sécurité des infrastructures critiques et des services essentiels ; o renforcement du cadre institutionnel ; o capacités techniques et ressources humaines qualifiées à acquérir ; o sensibilisation, de communication, d'Ġducation et de formation ; o prévention des menaces et gestion des risques ; o signalement des incidents de sécurité ; o détection et attribution des attaques ;o dĠǀeloppement d'un Ġcosystğme de cybersĠcuritĠ et de lutte contre la cybercriminalitĠ ;
o synergie des actions ă l'Ġchelle nationale, concertation et coordination nationale ; o coopération régionale et internationale ;- les actions à mener pour atteindre ces objectifs, les acteurs concernés, les échéances et les budgets
estimatifs ;- les moyens destinés à renforcer les institutions et les capacités et à en garantir la pérennité.
Chaque État Membre deǀrait dĠfinir un mĠcanisme de suiǀi et d'Ġǀaluation au moins annuel des actions
prévues par sa stratégie nationale de cybersécurité et de lutte contre la cybercriminalité.
de stratégie nationale qui indique la vision et les objectifs politiques du pays. RI SECTION IV. OBJECTIF STRATEGIQUE 2 : RENFORCER LA CYBERSÉCURITÉ AVEC UN CYBERESPACE SÛR ETSÉCURISÉ
Sous-objectif 2.1. Établir une Autorité nationale de cybersécuritéChaque État Membre devrait établir et désigner une autorité nationale de cybersécurité, disposant des
pouvoirs et des moyens nécessaires pour assurer les fonctions suivantes, soit directement, soit par délégation
d'une autoritĠ gouvernementale (si possible interministérielle2) :- la gouvernance globale du dispositif national de cybersécurité (définition de la politique nationale et
des politiques sectorielles de cybersécurité, élaboration de la stratégie nationale et des stratégies
sectorielles, suiǀi des plans d'action, Ġlaboration des textes législatifs et règlementaires, coordination
des tâches liées à la cybersécurité, pilotage des dispositifs de prévention et de réaction, animation des
échanges avec les parties prenantes publiques et privées, etc.) ;- l'animation du dispositif national de cybersécurité, notamment au travers du CSIRT national ;
- la coordination avec les autorités en charge de la lutte contre la cybercriminalité ;- la transposition des actes communautaires en matière de cybersécurité dans les textes nationaux ;
- le contrôle de la bonne application des Conventions internationales, des actes communautaires, de la
présente Stratégie régionale et des dispositions législatives et réglementaires nationales en matière
de cybersécurité ; - le rôle de point de contact principal pour la coopération régionale et internationale.L'autoritĠ nationale de cybersĠcuritĠ deǀrait pouǀoir edžercer sa mission sur l'ensemble des secteurs d'actiǀitĠ
autorités sectorielles compétentes et sans préjudice des pouvoirs dévolus à ces autorités.
Sous-objectif 2.2. Établir des capacitĠs d'alerte et de rĠaction en cas d'incident (CSIRT) Chaque État Membre deǀrait disposer d'un CSIRT national :- Devant couvrir en prioritĠ les serǀices de l'État Membre, les infrastructures critiques et les services
essentiels (les "bénéficiaires prioritaires") ;- ChargĠ d'animer et de coordonner le rĠseau de CSIRT sectoriels, s'il en edžiste, en recherchant toutes
les synergies et subsidiarités possibles ; - Capable d'assurer au moins les fonctions suiǀantes : o rechercher et diffuser les alertes (vulnérabilités, risques, incidents), les mesures de contournement des menaces, des guides et des bonnes pratiques ; o Suivre les incidents au niveau national ; o Traiter les incidents affectant les bénéficiaires prioritaires ; o Participer aux réseaux régionaux et mondiaux des CSIRT ; majeure ; o Recueillir les flux de renseignements pertinents ; o Incorporer les systèmes et technologies pertinents pour collecter et analyser rapidement les données pertinentes ; o Établir un centre d'appel pour signaler les cyberattaques.- doté des moyens nĠcessaires (financiers, locaudž et systğme d'information sĠcurisĠs, effectif suffisant
pour assurer une disponibilité permanente, personnel compétent, capacités de forensic, procédures,
Chaque État Membre devrait encourager la constitution de CSIRT sectoriels, destinés à assurer notamment,
de maniğre mutualisĠe au profit des opĠrateurs de certains secteurs d'actiǀitĠ, la recherche et la diffusion des
est recommandé que les États petits et moyens établissent une autorité centrale, qui travaillera avec tous les autres
ministères, plutôt que de créer de grands comités interministériels qui peuvent parfois retarder la progression.
RIincidents. Il est recommandé de colocaliser les CSIRT pour assurer un dialogue ouvert et un enrichissement
intersectoriel.Chaque État Membre devrait adopter et faire adopter par chaque opérateur concerné une approche de
bénéficient du soutien hiérarchique nécessaire pour que leurs analyses et recommandations soient prises en
considération par les décideurs.Sous-objectif 2.4. Renforcer la cybersécurité des infrastructures critiques et des services essentiels
Chaque État Membre devrait prioriser ses efforts en matière de cybersécurité sur ses infrastructures critiques
et sur les services essentiels.Chaque État Membre deǀrait se doter d'une procĠdure d'identification des rĠseaudž, systğmes d'information
et données numériques essentiels pour le fonctionnement des infrastructures critiques et la fourniture des
services essentiels.Chaque État Membre devrait imposer aux opérateurs publics et privés qui ont la responsabilité des
infrastructures critiques et des services essentiels des mesures concrètes pour assurer la sécurité de ces
suivantes :- la notification des incidents de sĠcuritĠ ă l'autoritĠ nationale de cybersĠcuritĠ ou au CSIRT national
(via son éventuel CSIRT sectoriel).(responsabilités, organisation, ressources humaines dédiées, équipement de cybersécurité, procédures de
protection, de détection et de réaction aux attaques, etc.). Sous-objectif 2.6. Établir un référentiel général de sécuritéChaque État Membre devrait établir un référentiel général de sécurité fixant les exigences minimales en
ayant force juridique les organismes qui y sont soumis.Sous-objectif 2.7. Assurer le développement des compétences en matière de cybersécurité
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