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Les montagnes Uporoto entre ville et campagne,
geographie de ux et integration territoriale en TanzanieSylvain RacaudTo cite this version:
Sylvain Racaud. Les montagnes Uporoto entre ville et campagne, geographie de ux et inte- gration territoriale en Tanzanie : . Geographie. Universite Toulouse le Mirail - Toulouse II,2013. Francais..
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Sylvain Racaud
mercredi 23 octobre 2013 Les montagnes Uporoto entre ville et campagne, géographie des flux et intégration territoriale en TanzanieUMR - MA 104 - Dynamiques Rurales
Pr Bernard Charlery de la Masselière
Pr François Bart
Pr Jean-Charles Edouard
Pr Jean-Claude Bruneau
Mr Alain Cazenave-Piarrot
Pr Laurien Uwizeyimana
Des yeux de terre, 2013, aquarelle et
encre de Chine. Ara. " La thèse, comme stimulant de la recherche, est la meilleure des choses. » Gilles Sautter, La géographie en question, 1985. " La complexité est un mot problème, et non un mot solution ». Edgar Morin, Introduction à la pensée complexe, 1990. Seuls la loi et l'ordre du changement sont permanents.Héraclite
Les temps durs font des gens durs.
Zhou Enlai
REMERCIEMENTS
Cette thèse n'est pas la mienne, elle appartient à ceux qui m'ont accompagné, soutenuet supporté durant ces années, à ceux qui ont rendu possible la réalisation de cette production,
ici et là bas. La confiance que le Professeur Bernard Charlery de la Masselière a continuellementexprimée est le facteur décisif de la construction de ce travail. Je lui suis infiniment
reconnaissant pour l'orientation, les conseils, les critiques, pour le partage de réflexions qui ont donné un peu de hauteur au questionnement, du moins je l'espère. Je le remercie aussi sincèrement pour sa compréhension, pour ses multiples soutiens et pour son approche humaine du métier. Mes remerciements vont au Professeur Laurien Uwizeyimana, celui par lequel j'ai puconnaître un peu de l'Afrique dans le cadre du master, il y a déjà quelques années, sans lui et
ce cours de licence sur l'Afrique, tout cela n'aurait pas existé. Je remercie chaleureusement Alain Cazenave-Piarrot pour ses conseils astucieux sur le terrain. J'exprime ma gratitude envers François Bart, Jean-Charles Edouard et Jean-Claude Bruneau pour les échanges informels ; je remercie Bernard Calas pour son soutien quand ildirigea l'IFRA Nairobi; mention particulière à Hélène Mainet pour son concours précieux à
de nombreuses reprises. Ahsante sana aux chercheurs tanzaniens qui m'ont guidé : Cosmas Sokoni, Milline Jethro Mbonile et Festo Ndumbaro qui m'a aussi facilité les démarches liées au permis de recherche. Ayo reni au Dr. Jean-Pierre Ngouloure pour la relecture minutieuse du document. J'exprime ma reconnaissance envers les enseignants du département de géographie de l'Université de Toulouse le Mirail qui ont nourri mon appetit du savoir géographique depuisla licence et ceux qui m'ont épaulé pour les enseignements : Marie-Pierre Sol, Fabienne
Cavaillé, Michaël Pouzenc, Philippe Dugot. Un grand merci à Mélanie Gambino pour sonaide indispensable sur les enseignements. Merci à l'atelier de cartographie et en particulier à
Joseph Buosi.
Merci à Dominique Deligny du laboratoire Dynamiques Rurales, pour son professionnalisme et son écoute ; je souhaite saluer ses membres, ceux du CEREHT à Dschang (Pr. Kuete, Pr. Tsalefac, Dr. Aristide Yemafouo, Chretien Ngouanet), je pense à mescollègues du lycée Bayard et à mes supérieurs qui m'ont soutenu et compris durant ces
longues années (M. Malavialle, Mme Rouanet, M. Maury). Merci au Dr. Daniel Lamah pour la formation sur le tas à MapInfo et pour la découverte des arcanes de Word. J'exprime une infinie reconnaissance envers Eulalie et Jonas, pour la joie qu'ils me procurent au quotidien ; merci illimité envers ma famille : mon frère Christophe, ma soeur Katia, mes grands-parents le colonel Yves Racaud et Mamie, Estela, Patrick, Flo et Jean- Pierre, à la famille Mpuli, Evelyne & Michel, Rachel. Merci à mes amis pour leur accompagnement et leur compréhension, Gaby&Pat, Seb- Roti, Dalaweedlama, Alex, Mange &Fjord, tous ceux et celles avec qui nous partageons des moments authentiques accompagnés ou pas de mélodies bruyantes, tous ceux et celles qui sedémènent pour faire vivre une (scène) alternative. Je rends hommage à la musique qui me fait
vibrer depuis plus de vingt ans et qui m'a aidé à surmonter maintes épreuves ; qu'il me soit
permis de citer quelques titres afin de suggérer un aperçu du message : Never surrender, Fightto live de Blitz, Stand still de Gorilla Biscuits, Live your life, I'll survive de Negative
Approach, etc., la liste est longue, cette musique " Hardcore » bien qu'assourdissante pour lecommun des oreilles, n'est pas violente dans son message, la violence réside dans les
inégalités quotidiennes, dans les rapports de domination apparents ou implicites, dans lesquels
le commun des mortels est ancré. Je pense à Joseph Lukumay qui m'a guidé et avec qui nous avons partagé questionnements, inquiétudes, joies na wengi bia... Je formule ma sincère reconnaissance envers les personnes que j'ai sollicitées sur le terrain, les producteurs, les commerçants, les responsables locaux, les fonctionnaires, Jacob,Bony, je leur dois ce travail.
J'ai fait de mon mieux pour essayer de m'acquitter de la dette contractée envers ma famille, mes amis, mes professeurs, le temps est irrattrapable, mais le meilleur reste à venir. 1SOMMAIRE
REMERCIEMENTS .................................................................................................................
SOMMAIRE ........................................................................................................................... 1
AVANT-PROPOS .................................................................................................................. 2
PROLOGUE .......................................................................................................................... 3
INTRODUCTION GENERALE ............................................................................................... 9
PREMIERE PARTIE : ...........................................................................................................43
Fondements ruraux du système d'échange et du système urbain dans les montagnesUporoto ................................................................................................................................43
SECONDE PARTIE : .......................................................................................................... 120
Approche interrelationnelle du mode d'ouverture de la montagne ...................................... 120
PARTIE III .......................................................................................................................... 206
Les moteurs des flux .......................................................................................................... 206
PARTIE IV .......................................................................................................................... 272
Intégration contrastée et ..................................................................................................... 272
cohésion incertaine du système montagnard ...................................................................... 272
CONCLUSION GENERALE : ............................................................................................. 388
Recentrage de la péripherie en redéfinition, ....................................................................... 388
au prix du renforcement de sa dépendance ........................................................................ 388
BIBLIOGRAPHIE ................................................................................................................ 399
TABLE DES MATIÈRES .................................................................................................... 415
TABLES DES ILLUSTRATIONS ........................................................................................ 426
Glossaire ............................................................................................................................ 430
Tables de conversion ......................................................................................................... 431
ANNEXES .......................................................................................................................... 432
2AVANT-PROPOS
On trouve selon les ouvrages les expressions " Uporoto Mountains », " PorotoMountains », " Uporoto Mounts », " Uporoto Highlands », " Uporoto Ridge », " mount
Rungwe », " Mbeya highlands », le couple " Mount Rungwe-Kipengere Range ». Cetteabondance terminologique porte à confusion, elle reflète peut-être la complexité
géomorphologique de ces massifs. Les expressions " Poroto » et " Uporoto » sont les plus fréquentes. La première se retrouve dans des cartes et des documents officiels d'organismes de l'État tanzanien (URT Regional Commisioner's office, URT Mbeya District Council, URT Planning Commission, URT Ministery of Natural Resources and Tourism, Mbeya Handbook Committe), la secondeest utilisée par des acteurs locaux (fonctionnaires en charge de l'agriculture, paysans,
commerçants) et par des universitaires (Sokoni, 2001, Andersson 1996, etc.). La désignation du massif sous le terme " Uporoto » fait sens dans les représentations et les discours de ceux qui vivent cette montagne au quotidien. Pour éviter des ambiguïtés je porte mon choix sur l'expression " montagnesUporoto », ou les " Uporoto », au même titre que j'utilise l'expression " montagnes
Pyrénées », ou les " Pyrénées » ; l'approche par le bas est privilégiée. 3PROLOGUE
Avertissement
Cette thèse est le fruit d'une expérience humaine, dont le point de départ est un intérêt
particulier pour ce qui m'entoure. Cela remonte à l'enfance, du temps où je me demandais en regardant d'un air songeur les paysages à travers la vitre de la voiture familiale : " pourquoi est-ce comme cela ?, pourquoi ici ?, comment est-ce ailleurs ? ». La passion est le moteur de cette entreprise, les pages qui suivent traduisent le produit de la relation entre l'objet de recherche : les montagnes Uporoto, l'espace d'une société, et le sujet, l'auteur de ces lignesinscrit dans une réalité sociale et dans un projet scientifique. Ainsi, en dépit des précautions
méthodologiques et de la rigueur mobilisée dans la construction de l'objet, le sujet est présent
dans l'objet qui le construit, autrement dit les Uporoto livrées dans ce travail et moi sommesconstitutifs l'un de l'autre, soit que l'un soit réductible à l'autre. Il s'agit en définitive
d'accepter que l'individu et le monde ne font qu'un, que l'un constitue l'autre qui le constitue. Cette aventure m'a mené dans le massif du sud-ouest tanzanien en pleine saison pluvieuse, l'humidité et la fraîcheur d'altitude tranchaient avec la chaleur des basses terresd'où j'arrivais. J'avais franchi un seuil climatique mais j'étais aussi parvenu dans un nouveau
monde, en tout cas pour moi. Les paysages de basses côtes puis de hauts plateaux avaientlaissé la place à des décors marqués par le dénivelé, par une topographie mariant les pentes
raides et les systèmes de collines arrondies. Cette première distinction environnementale seconjugue avec le contraste en matière de centre et de périphérie, Mbeya, située à plus de 800
km de la capitale, est une marge, en même temps est un centre sous-régional. Le jeu deséchelles, outil privilégié du géographe, permet ainsi de constater combien le site et la situation
de Mbeya et des Uporoto relèvent du contraste voire du paradoxe par rapport à leur
environnement. A l'échelle de la montagne, on observe de fortes différences, d'une part entre la ville et la campagne, d'autre part entre les zones rurales. Mbeya se distingue de son arrière pays agricole, elle est une métropole récemmentpromue au rang de city avec ses attributs urbains, mais il existe aussi de fortes différences à
l'intérieur de la capitale régionale entre l'ancien centre, c'est-à-dire le quartier administratif et
les quartiers commerciaux situés le long de la route bitumée. Le contraste spatial se double également d'une dissimilitude temporelle, entre l'activité diurne et le calme nocturne, sauf 4 dans le quartier Soweto, lieu d'une vie trépidante. Du fait de la concentration des gradientsagro-écologiques, l'espace rural présente des paysages variés qui indiquent que la gamme des
cultures est multiple. Cette concentration est d'autant plus forte dans les montagnes africainesoù l'altitude permet de s'affranchir de la tropicalité. Ainsi, les Uporoto sont une unité
marquée par la multiplicité. Ces impressions des traits divers au sein d'un même objet ont rendu tout naturel unintérêt particulier pour la complexité, qui était déjà là d'une manière inconsciente, ou plutôt
non assumée. C'est désormais chose faite, le terrain, et le problème qu'il ma posé, m'ont
conduit à envisager un dépassement des relations linéaires de causes à effets, de la
dichotomie, des principes de séparation de la réalité en des catégories commodes. Cela avait
déjà été appréhendé lors des travaux de master qui portent sur l'agriculture urbaine et sur la
rurbanité. Il s'agissait de faire avec les contradictions, et de parvenir à appréhender la richesse
de leurs interrelations, tant au niveau du sujet d'ailleurs que de l'objet. En définitive, cettethèse essaye de penser la dualité dans l'unité, en partant de la relation urbanisation-
agriculture. Cela pourrait tenir de la gageure, le cadre de cet exercice s'y prête, et puis quitte à toutsacrifier pour la thèse, autant se faire plaisir en essayant de faire osciller la réflexion du terrain
à l'idée, de l'idée au terrain. Et qu'on m'en excuse par avance, j'ai peut-être trop phosphoré
dans l'abstraction, probablement pour échapper à une réalité devenue amère, et face au
terrible inconfort vécu face au sens de ce travail, entre celui qui se bat pour un diplôme dedocteur et une masse laborieuse qui se démène pour envoyer les enfants à l'école ; l'empathie
est une faculté à double tranchant. Mon regard a évidemment évolué au cours de ces années
de thèse, non seulement parce que je me sentais plus familier avec le terrain, ses habitants, mes amis, mais aussi parce que le chercheur est avant tout un individu, et qu'entre le début etla fin de ce travail, (et bien avant déjà...) j'ai collectionné les boulots, de l'abattoir au Quai
d'Orsay, du bar à la salle de cours, multipliant les expériences, les échanges et l'apprentissage
de soi à travers l'autre. L'auteur de ces lignes et l'objet se sont co-construits, la disjonction
entre sujet et objet ne me semble pas opérationnelle d'autant plus en sciences humaines. Ainsi, j'ai essayé de transposer dans la démarche le défi relevé sur le plan personnel. Cette aventure humaine a été jalonnée par quatre missions de terrain, de décembre2008 à août 2011. Mon regard et ma pratique du terrain ont évolué, l'excitation des premiers
temps a laissé la place à un regard qui se voulait froid et objectif, mais comme je l'ai écrit
5 plus haut, l'auteur n'a pu dissocier la tête et le coeur. C'est une histoire de coeur, qui m'a grandement facilité des démarches administratives et qui m'a ouvert de nombreuses portes, la présentation de la photo de Madame d'origine camerounaise et de notre enfant, fut le meilleur visa, que ce soit pour les bureaux et pour des arcanes du monde commercial. Le rapport proximité-distance est fondamental pour la relation avec le terrain, il est vrai que, quand bienmême les contextes sont différents, je me sens de la même classe sociale que la majorité de la
population étudiée, si l'on distingue les classes entre ceux qui veulent que la dominationcontinue et ceux qui veulent qu'elle cesse. Cette recherche est placée sous le signe de
l'authenticité et de l'humilité. Qu'on me pardonne certaines lignes écrites sur un ton un peu
léger ou caustique, cela est probablement le moyen qui m'a paru acceptable à un moment donné, pour écrire sur une réalité inacceptable.Aussi, au fil de la rédaction, s'est révélé un sincère plaisir d'écriture qui procure
parfois des sentiments presque euphoriques que l'on peut retrouver dans des activitéscréatrices " artistiques ». La séparation entre le domaine scientifique et le domaine artistique a
paru de moins en moins étanche, et rappelons qu'elle est totalement artificielle tout comme les clivages disciplinaires, la science est construite, inscrite dans un contexte et ancrée dans une histoire. Au cours de la formalisation de ce document, de plus en plus d'analogies ont émergéentre la réalisation d'un disque et celle de la thèse. Il est question de faire des choix selon une
cohérence propre au projet, la mise en valeur de tel instrument faisant écho à l'accent mis sur
un concept, et dans tous les cas, l'enjeu est de jouer sa partition jusqu'au bout. Par ailleurs, lapratique, quelle qu'elle soit, affute les compétences mobilisées, cet exercice a permis à son
auteur d'enrichir sa gamme des savoirs et des outils.Choix du terrain
Cette thèse a été ancrée dans deux programmes de recherche. Le premier était un programme européen intitulé CREATING1 et le second un projet CORUS2 du Ministère des
Affaires Etrangères et Européennes. Tous deux à l'initiative du Pr. Charlery de la Masselière,
ces programmes ont permis le travail en commun sur la thématique " montagne et ville enAfrique de l'Est» entre des universités et instituts de recherche européens et Est-africains. Des
terrains est-africains avaient été présélectionnés, et j'aurais peut-être alors pu travailler au
1Cooperative Research on East African Territorial Integration within Globalisation, voir
http://www.creating7.net/2Numéro de projet CORUS 6165, "Montagnes et villes moyennes en Afrique de l'Est"
6 Mont Elgon en Ouganda, ou aux Monts Uluguru non loin de Dar es Salaam. Mais debout devant une carte de l'Afrique de l'Est, au premier regard la localisation des montagnesUporoto m'a frappé. La situation périphérique à 850 Km de la capitale, la proximité de la
Zambie, du Malawi, de la R.D.C., du lac Nyassa et des Monts Livingstone, la localisation sur le corridor Dar-Lusaka suscitaient mon intérêt doublé il est vrai d'un goût pour l' " aventure »en supposant que " si c'est loin, il doit y avoir peu de travaux... tout reste à faire dans ce far-
west». Et bien cette intuition s'est révélée juste... Carte 1. Carte de localisation de la zone d'étude En effet, il y a très peu de travaux sur les montagnes Uporoto et sur la ville de Mbeya.J'ai difficilement trouvé une thèse soutenue en 1988 à l'Université d'Ottawa sur
l'urbanisation de Mbeya. Même les longues journées passées à la bibliothèque de l'Université
de Dar es Salaam ont confirmé la non prolifération de travaux sur les Uporoto. Heureusement,OUGANDA
RWANDA
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