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La structure porteuse transmet toutes ces charges au sol par l'intermédiaire des fondations. Page 3. Chapitre 2 : LES FONDATIONS. Cours : Ossatures Bâtiment (
Chapitre 2 - Fondations
Une section « Photographies » est incluse à la fin de ce chapitre pour illustrer certaines notions ou certains éléments faisant partie des travaux de fondation
Chapitre 2 - Fondations
2-i. 2 CHAPITRE 2. FONDATIONS. TABLE DES MATIÈRES. INTRODUCTION. 2-1. 2.1. DOCUMENTS REQUIS. 2-2. 2.2. EXIGENCES DE CONCEPTION. 2-3. 2.3. MATÉRIAUX. 2-7. 2.4.
Chapitre 2 1976-1991
La Fondation élargit ainsi son champ d'intervention. ❖. 20
CHAPITRE 2 : CALCULS DE CHARGES ET SURCHARGES
Et que le cheminement des charges a lieu du haut vers le bas des planchers vers les porteurs verticaux
CHAPITRE 2 : LECTURE DE PLAN BATIMENT
Niveau à l'extérieur du dessin : tous niveaux caractéristiques utiles ; niveaux des fondations niveaux d'un dallage extérieur
CHAPITRE II FONDATIONS SUPERFICIELLES Mme BENGRA. MR
II.2. OBJECTIF : Le but de ce présent chapitre est de justifier une fondation superficielle et de déterminer son tassement. Donc «
Chapitre 3 - Les fondations superficielles et les semelles sur pieux
DIMENSIONNEMENT A L'AIDE DE MODELES BIELLES-TIRANTS. Erreur ! Signet non défini. 5 . GUIDE D'APPLICATION DE L'EUROCODE 2. 33.
Chapitre 2 Pathologie des fondations A-Généralités : Le calcul des
2.3- Mauvaise mise en œuvre dans la construction d'une fondation. Page 2. Cours de Pathologie Master I Géotechnique Chapitre 2 Pathologie des fondations Pr
Chapitre 2 - Le tableau de bord du mal-logement
Ce chapitre a un statut particulier dans le rapport annuel de la fondation abbé pierre : il présente une vision synthétique de l'état du mal-logement en
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Chapitre 2 : LES FONDATIONS. Cours : Ossatures Bâtiment (2015/2016) – MASTER Génie Civil – Option : Structures civiles et industrielles- Prof.
Chapitre 2 Pathologie des fondations A-Généralités : Le calcul des
2.3- Mauvaise mise en œuvre dans la construction d'une fondation. Page 2. Cours de Pathologie Master I Géotechnique Chapitre 2 Pathologie des fondations Pr
CHAPITRE II FONDATIONS SUPERFICIELLES Mme BENGRA. MR
II.2. OBJECTIF : Le but de ce présent chapitre est de justifier une fondation superficielle et de déterminer son tassement. Donc «
Chapitre 2 1976-1991
Fondation Berthiaume-Du Tremblay. CHAPITRE 2 Développement et restructuration 1976-1991
CCT QUALIROUTES - Chapitre F
1 janv. 2022 3.4.2 à raison de 3 kg/m². Pour les sols
CHAPITRE F SOUS-FONDATIONS ET FONDATIONS
exécutée pour renforcer le fond de coffre et éviter la remontée d'éléments fins indésirables dans la sous-fondation. F. 2.1.2. CLAUSES TECHNIQUES.
Pr CHERAIT Yacine - CHAPITRE 2 : Fondations semi-profondes
CHAPITRE 2 : FONDATIONS SEMI-PROFONDES (LES PUITS). I. GENERALITES. Les puits sont généralement réalisés en gros béton (béton dosé à 200kg de ciment/m3 )
ÉCOLE DE TECHNOLOGIE SUPÉRIEURE UNIVERSITÉ DU
CHAPITRE 2 REVUE DU COMPORTEMENT SISMIQUE DES PONTS ....................10 ... 2.6.5 Dommages observés dans les fondations profondes .
(1996 chapitre 48) Loi sur les fondations universitaires
Partie 2. GAZETTE OFFICIELLE DU QUÉBEC 8 janvier 1997
CHAPITRE 2 : CALCULS DE CHARGES ET SURCHARGES
Et que le cheminement des charges a lieu du haut vers le bas des planchers vers les porteurs verticaux
Fondation Berthiaume-Du Tremblay
CHAPITRE 2
Développement et restructuration 1976-1991
211976-1991
Élargissement
des activitésU ne seconde tape sÕamorce pour la Fondation. Elle dveloppe un nouveau secteur dÕactivit en crant le comit soutien et dons; le centre communautaire conna"t une priode dÕexpan- sion, puis de restructuration et le secteur de lÕhbergement doit pour sa part sÕadapter de nouvelles ralits. train, allant jusquÕ lÕacquisition de terrains Ville Saint- Laurent, mais la Fondation doit renoncer cette entreprise faute de participation gouvernementale. Il est tout de mme dcid de poursuivre cette orientation mais en appuyant des initiatives qui correspondent ses propres objectifs. CÕest ainsi quÕelle collabore, par lÕexpertise de ses administrateurs, au projet de construction de 60 logements loyer modique31 janvier 1983.Lettres patentes supplémentairesEntre la dcision de procder la construction de logementset le projet de La Jrmienne, les administrateurs ont pour-suivi leur rflexion sur les orientations donner la Fondation.
CÕest ainsi quÕen 1979 elle ajoute de nouveaux objectifs ses lettres patentes initiales, dont le soutien et les dons des organismes poursuivant des objectifs similaires aux siens. La Fondation largit ainsi son champ dÕintervention. 20Les débuts 1961-1975
Fondation Berthiaume-Du Tremblay
Chapitre 2
Développement
et restructuration1976-1991Résidence La Jérômienne aujourd'hui - Cette résidence pour aînés a bénéficié de
l'expertise des administrateurs de la Fondation lors de sa mise sur pied.Gilles Gagné
Fondation Berthiaume-Du Tremblay
CHAPITRE 2
Développement et restructuration 1976-1991
23A
UDÉCÈS DE
J EAN -P AUL R AMSAY LE 21AVRIL 1980,
SONT NOMMÉS POUR LUI
SUCCÉDER
, J EAN -L OUIS RENAUD COMME
DIRECTEUR GÉNÉRAL DE LA
FONDATION
ET R OBERT JETTÉ COMME DIRECTEUR
GÉNÉRAL DE LA
RÉSIDENCE
ENAOÛT
1983,LAFORMATION D
UNCOMITÉ DES DONS EST CONFIRMÉE
IL EST COMPOSÉ DE DEUX MEMBRES DE
LA FONDATION ET DE SON DIRECTEUR
GÉNÉRAL
Des dons à la grandeur du QuébecDans le secteur des dons, la notoriété de la Fondation a d'abord été bâtie par l'aide à l'achat de véhicules. En octobre 1976, le vice-président de la Fondation, GillesTrahan, soumet une demande présentée
par les Petites Soeurs des Pauvres pour l'obtention d'un véhicule. Cette demande sera suivie de plusieurs autres. En effet, de1976 à 1992, la Fondation a contribué à
l'achat de plus de 180 véhicules pour le transport des aînés fréquentant un centre de jour. D'abord peints bleu et blanc, couleurs de la Fondation, puis portant son symbole, ces véhicules sillonnent encore les routes du Québec.Les demandes adressées au comité
des dons dépassant considérablement les sommes disponibles, les administrateurs réévaluent le secteur transport, largement privilégié par la Fondation au cours des dernières années. En octobre 1990, GillesTrahan et Jean-Louis Renaud rencontrent
un haut fonctionnaire du ministère de la1976-1991
Formation du comit
des dons et subventionsÀ la fin des années soixante-dix, le rôle de la Fondation est de plus en plus connu et les demandes de dons commen- cent à lui parvenir en plus grand nombre.Les administrateurs instaurent donc une
procédure de traitement des demandes et adoptent, en 1979, une résolution stipu- lant que chaque demande de don faite à la Fondation soit étudiée à son mérite et qu'une partie des revenus de la Fondation soit distribuée à des oeuvres indépen- dantes, reconnues comme des organismes de charité auprès du ministère du Revenu.Ils se donnent ainsi un cadre général et
une limite pour les montants à distribuer chaque année. " L'idée de réserver un montant pour attribuer des dons à d'autres oeuvres est venue graduellement. Nous sommes en1980, la structure financière de la Résidence
et des logements est consolidée. Le budget de construction et de fonctionnement duCentre communautaire est fixé. Nous avons
donc pris la décision de verser les sommes disponibles à d'autres oeuvres. C'était une autre façon d'apporter notre contribution. » - MAURICE
G RAVELMembre de la Fondation depuis 1970 et
président de 1974 à 1989Les demandes de dons sont alors étudiéesdirectement par le conseil d'administrationmais, en juin 1980, la Fondation crée uncomité des dons et subventions formé de
Maurice Gravel et Jean-Louis Renaud et
confie à Marcel M. Ducharme le mandat d'établir une politique globale et de pro- poser un budget.C'est ainsi qu'est déposé au conseil
d'administration un document précisantles critères devant guider l'octroi de donsou de subventions. En résumé, les deman-des doivent être directement reliées auxbesoins des personnes âgées, n'avoiraucun caractère opérationnel ni aucunerécurrence, les interventions de laFondation ne doivent pas se substituer
aux ressources gouvernementales et l'or- ganisme demandeur doit posséder une reconnaissance fiscale d'oeuvre de charité.Soeur Marie Élizabeth de Saint-Louis et Maurice Gravel,alors président,lui remettant les clés d'un
véhicule donné par la Fondation Berthiaume-Du Tremblay aux Petites Soeurs des Pauvres. Onze ans après la première demande,soit en octobre 1987,le 100 e minibus sera offert au Foyer Normandie,à Alma.
Santé et des Services sociaux à Québec
afin de le sensibiliser à la question du transport des aînés et de connaître la poli- tique du Ministère concernant le transport de la clientèle des Centres de jour. On leur confirme que les nouveaux Centres de jour auraient leur propre véhicule; quant aux Centres de jour déjà existants, la politique est moins bien définie. LaFondation décide de conserver son
programme de dons de minibus tout en agissant avec réserve. " La Fondation a acheté ou contribué à l'achat d'un grand nombre d'autobus ou minibus,dans toutes les régions du Québec.Nous l'avons fait parce que le gouverne-
ment n'accordait aucun financement.Pournous,il était important que les personnesâgées puissent se rendre au Centre de jour.Finalement,le ministère de la Santé et des
Services sociaux,suite à nos représentations, a commencé à assumer le financement des véhicules. Le rôle de la Fondation est d'être à l'écoute des besoins des personnes âgées et des orga- nismes pour aînés et non de se substituer aux responsabilités du gouvernement.» - G ILLES T RAHANAu 31 mars 1991, environ 70 % de l'enve-
loppe réservée aux dons avait été consacrée au financement de véhicules. Mais dès novembre de la même année, les dons de véhicules ont diminué au profit des orga- nismes communautaires : un important changement d'orientation est amorcé. 22CHAPITRE 2
Développement et restructuration 1976-1991
Fondation Berthiaume-Du Tremblay
1976-1991
Fondation Berthiaume-Du Tremblay
CHAPITRE 2
Développement et restructuration 1976-1991
25d'activités et de services pouvant répondre
à divers besoins.
SES DÉBUTS
LE CENTRE EST ADMINISTRÉ
PAR LECONSEIL D
ADMINISTRATION DE LA
RÉSIDENCE
. LORS DE LA RESTRUCTURA
TION DE LA
FONDATION EN AOÛT
1983,ON FORME UN COMITÉ RESPONSABLE DE
LA GESTION DU
C ENTRELes services d'aide à domicile et le
Centre de jour prennent leur envolDes changements majeurs s'amorcent auCentre communautaire Berthiaume-Du
Tremblay. Les services financés par l'État
sont appelés à se développer à l'extérieur du Centre : ainsi, les services d'aide à domicile sont pris en charge, dès avril1984, par le CLSC Ahuntsic nouvellement
implanté. En janvier 1985, la Fondation relocalise les activités du secteur Centre de jour dans de nouveaux locaux afin de répondre plus adéquatement aux demandes.En effet, le ministère des Affaires sociales
ayant décidé que les Centres de jour devaient s'orienter vers des interventions thérapeu- tiques, un déménagement s'imposait pour accueillir une clientèle présentant des pertes d'autonomie plus importantes. LeCentre de jour a maintenant pignon sur
rue au 1687, rue Fleury Est.Après quelques années, ces locaux ne
correspondent plus aux besoins croissants de la clientèle, pas plus qu'aux normes de qualité souhaitées par la Fondation. En 1990,la Fondation décide donc de construire unnouvel immeuble attenant à la Résidence.Le ministère de la Santé et des Servicessociaux accorde une subvention qui cor-respond à près de 50 % du coût total.
Dès juin 1991 on confie à Lise Morin,
directrice générale de la Résidence de 1989à 1992, le soin de développer un service de
séjour quotidien qui sera logé dans les nouveaux locaux du Centre de jour. Cette nouvelle ressource offrira soutien et répit aux familles ayant la charge de personnes en perte d'autonomie et, à ces personnes, des activités ludiques.Ce programme occupera le 1
erétage
du nouvel édifice alors que les services du programme régulier seront offerts au rez-de-chaussée. L'ouverture officielle a lieu le 25 mai 1992. Lucille Larocque assure alors la coordination.Le Centre Berthiaume-Du Tremblay
mise sur le développement communautaireLes services d'aide à domicile étant main- tenant pris en charge par le CLSC, et les acti- vités du Centre de jour relocalisées, le Centre se concentre sur son volet communautaire qui prend rapidement de l'expansion.Le Centre offre un soutien profession-
nel et technique aux organismes qu'il accueille dans ses locaux : des organismes qu'il a aidé à mettre sur pied et d'autres déjà constitués qui sont venus cogner à sa porte. Ces organismes travaillent soit à l'échelle locale, régionale ou provinciale.Le Centre offre également une programma-
tion diversifiée : activités de divertissement, sportives, éduca tives, activités touchant les arts et la création, l'informa tion et la1976-1991
Remaniement du
Centre Trait dÕUnion
P arallèlement au développement du volet soutien et dons, la vocation du Centre Trait d'Union se trans- forme graduellement pour s'orien- ter vers le développement communautaire.Un lieu permanentLe Centre Trait d'Union est installé depuissa création en 1975 dans des locaux louésau 1685, rue Fleury Est. Pour son dévelop-pement, on rêve d'un lieu permanent et plus adéquat. Grâce à la Fondation, cerêve devient réalité : elle achète, en 1980,l'immeuble sis au 1474, rue Fleury Est,
puis l'immeuble adjacent. On vise non seulement à y implanter les activités duCentre, mais aussi le siège social de la
Fondation, jusque-là situé à la Tour de laBourse, Place Victoria.
La Fondation mise beaucoup sur ce
changement : c'est une étape importante pour son rayonnement et pour le dévelop- pement de ses actions communautaires.En 1981, les activités du Centre Trait
d'Union sont relocalisées dans les nou- veaux locaux. La même année débutent les travaux d'aménagement de l'immeuble sous la supervision de l'architecte DenisBerthiaume. Pour marquer la transition, le
conseil d'administration de la Fondationdécide que le Centre portera désormaisle nom de Centre communautaireBerthiaume-Du Tremblay; l'inauguration
a lieu le 7 juin 1982.Les activités d'alors sont regroupées
en trois secteurs. Les services d'aide à domicile offrent aux résidents du quartierAhuntsic, où aucun Centre local de servi-
ces communautaires (CLSC) n'est encore implanté, des services d'aide et de soinsà domicile. Ces services sont financés
par le Conseil régional de la santé et desquotesdbs_dbs23.pdfusesText_29[PDF] Cours de Génie Electrique
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