STRATEGIE ONUDC
Office des Nations Unies contre la drogue et le crime (ONUDC) Programme mon- dial de lutte contre la criminalité maritime
I. Les drogues illicites et le développement économique
monde entier par les toxicomanes pour maintenir leurs habitudes de consommation. 12. Les 99 % restants du revenu mondial provenant des drogues illicites
Bulletin de santé publique Nouvelle Aquitaine
https://www.santepubliquefrance.fr/content/download/50348/1087352
Consommation de substances psychoactives chez les jeunes en
contre la consommation de SPA sont encadrées par les plans gouvernementaux de lutte contre les drogues et les toxicomanies incluant le Plan national de
Cadre légal et dispositifs
31 déc. 1970 Orientations du Plan triennal interministériel (1999-2001). La Mission interministérielle de lutte contre la drogue et la toxicomanie ...
évaluation du Plan national de lutte contre les hépatites B et C 2009
10 avr. 2013 contre les drogues et les toxicomanies le plan national de lutte contre le VIH/Sida/. IST
ASSEMBLÉE NATIONALE
28 juin 2021 drogue en adoptant la loi n° 70-1320 du 31 décembre 1970 relative aux mesures de lutte contre la toxicomanie et à la répression du trafic et ...
Diagnostic partagé sur les comportements addictifs et leur
évolutions dans le cadre du « Plan gouvernemental de lutte contre les drogues et les toxicomanies 2008-2011 ». Ce plan fixait pour objectif la prévention de
évaluation du Plan national de
lutte contre les hépatites B et C 2009-2012
Création :
de Bussac - 04 73 42 31 00 d'après l'enquête nationale de prévalence menée en 2004, on estime qu'en France environ 280000 personnes sont infectées par le virus de l'hépatite B et 220 000
personnes par celui de l'hépatite C. a peu près la moitié de ces personnes ignorent leur statut, du fait de la faible symptomatologie en phase aigüe, et d'une connaissance imparfaite des modes de transmission. 10 % des hépatites B et 65 à 85% des hépatites C évoluent vers une forme chronique aboutissant à terme au cancer du foie. la vaccination contre le virus de l'hépatite B, la prévention des pratiques à risque de transmission sanguine du virus C lors de l'usage de drogues et lors des soins, les traitements antiviraux de plus en plus ecaces, orent la possibilité de contrôler, voire de réduire la fréquence de ces maladies. la France mène depuis plus de 10 ans une politique active de lutte contre les hépatites virales B et C. le troisième plan national de lutte contre les hépatites B et C, couvrant lapériode 2009 à 2012, pointait plus particulièrement la nécessité d'améliorer la prévention
et le dépistage des populations plus précaires et plus exposées aux hépatites B et C(personnes originaires de pays à forte endémie, usagers de drogues, personnes incarcérées),
d'améliorer la pratique du dépistage et de réorienter les modalités de prise en charge des
patients vers le secteur libéral. l'évaluation a été conée au haut Conseil de la santé publique (hCSP) par saisine du directeur général de la Santé en janvier 2012. le hCSP, dans ce rapport, restitue les conditions de réalisation et de déploiement de ce plan et analyse les eets quantitatifs et qualitatifs qu'il convient plus certainement de rapporter à l'ensemble des politiques menées depuis 10 ans qu'à ce dernier plan. Il propose un ensemble de recommandations pour l'avenir. Diffusion Direction de l'information légale et administrativeLa documentation Française
Tél.: 01 40 15 70 10 - www.ladocumentationfrancaise.frImprimé en France
Prix : 12 DF : 5HC34740 ISBN : 978 -2-1100-946-7évaluation du Plan national
de lutte contre les hépatites B et C 2009-2012
Collection
Haut Conseil de la santé publique
Évaluation du Plan national de lutte contre les hépatites B et C 2009 - 20121évaluation du Plan national de lutte contre les hépatites B et C 2009-2012
évaluation
du Plan national de lutte contre les hépatites B et C 2009-2012
2Haut Conseil de la santé publique
En application de la loi du 11 mars 1957 (art. 41) et du Code la propriété intellectuelle du 1 er juillet 1992, toute reproduction partielle ou totale à usage collectif de la présente publication est strictement interdite sans autorisation expresse de l'éditeur. Il est rappelé à cet égard que l'usage abusif et collectif de la photocopie met en danger l'équilibre économique des circuits du livre. © Direction de l'information légale et administrative, Paris, 2013© Haut Conseil de la santé publique
ISBN : 978
2 -11-009466
-7Convention d'écriture
Dans ce rapport, lorsqu'il est écrit " le Plan », il s'agit du Plan de lutte contre les Hépatites B et C 2009-2012, objet de cette évaluation. avertissement
L'annexe II : "
étude du déploiement et de la mise en place du plan dans trois régions métropolitaines.» est consultable en ligne sur le site du HCSP3évaluation du Plan national de lutte contre les hépatites B et C 2009-2012
Ministère des Affaires sociales et de la SantéHaut Conseil de la santé publique
évaluation
du Plan national de lutte contre les hépatites B et C 2009-2012
Avril 2013
4Haut Conseil de la santé publique
5évaluation du Plan national de lutte contre les hépatites B et C 2009-2012
So MMAI r EPR E M I È R E PA R T I E
DE U X I È M E PA R T I E
Membres du groupe de travail
7Synthèse et recommandations
9Contexte d'élaboration du Plan
23objectifs du Plan national de lutte contre les hépatites B et C 24
Pilotage et suivi des actions du Plan
25Cadre général et maîtrise d'ouvrage
27objectifs et questions évaluatives 28
Principes méthodologiques et organisation de l'évaluation 30
Considérations préliminaires
33Conception et élaboration du Plan
35mise en uvre du plan 38
Financement
45mesure des eets 46
axe I : réduction de la transmission des virus B et C 65
axe II : renforcement du dépistage des hépatites B et C 81
axe III : renforcement de l'accès aux soins - amélioration de la qualité des soins et de la qualité de vie des personnes atteintes d'hépatites chroniques B ou C 89
axe IV : mise en place de mesures complémentaires adaptées au milieu carcéral 99
axe V : Surveillance et connaissance épidémiologique - evaluation - recherche et prospective 112
références bibliographiques 121
annexe 125
Glossaire
139table des matières 141
TR O I S I È M E PA R T I E
7évaluation du Plan national de lutte contre les hépatites B et C 2009-2012
Membres du groupe
de travailComité d'évaluation
Valérie BUTHION Université Lyon II
Fabrice CARRAT INSErM UMr - S707, Paris
Patrizia Maria CARRIERI INSErM U912, Marseille
Daniel KAMELGARN* Agence française de développement, Société française d'évaluation
Elisabeth MONNET Université de Franche-Comté, CHU Besançon Philippe MORLAT* Université Bordeaux Segalen, CHU BordeauxPhilippe SOGNI GH-Cochin Port royal, Paris
Patrick ZYLBERMAN EHESP - Département SHSCS
Françoise DUBOIS-ARBER Institut de médecine sociale et préventive (IUMSP), Centre Hospitalier
Universitaire Vaudois et Université de Lausanne Béatrice TRAN Haut Conseil de la Santé Publique (HCSP), Secrétariat général * Pilotes du comité d'évaluationSociétés prestataires :
Agnès CHARLEMAGNE Cemka-Eval
Elise PROULT Planète Publique
Caroline MASSOT Planète Publique
Léon-Paul SCHWAB Planète Publique
9évaluation du Plan national de lutte contre les hépatites B et C 2009-2012
Synthèse et
recommandations Dans la continuité de la politique de lutte contre les hépatites virales B et C menée en France depuis la ?n des années 90, le Plan national de lutte contre les hépatites B etC 2009
-2012 comportait 5 axes stratégiques, déclinés en 14 objectifs et 55 actions : Axe stratégique I : réduction de la transmission des virus B et C Axe stratégique II : renforcement du dépistage des hépatites B et C Axe stratégique III : renforcement de l'accès aux soins - Amélioration de la qualité des soins et de la qualité de vie des personnes at- teintes d'hépatites chroniques B ou CAxe stratégique IV : Mise en place de mesures complémentaires adaptées au milieu carcéral
Axe stratégique V : Surveillance et connaissance épidémiologique - Evalua-tion - recherche et prospective
Ce Plan a été piloté par la Direction générale de la Santé (DGS), soutenue par un Comité national de suivi et de prospective, un groupe restreint d'animation, ainsi que trois groupes de travail. L'évaluation, qui était prévue dans le Plan, a été con?ée au HCSP 1 . Elle repose sur une expertise collégiale multidisciplinaire au sein d'un comité d'évaluation et s'appuie sur di?érentes méthodes d'investigation : auditions, recherche et analyse documentaire (documents fournis par le comité de suivi et les personnes auditionnées et indica teurs mis à disposition par les organismes producteurs de données, analyse de la littérature scienti?que récente) et la réalisation de monographies régionales dans trois régions aux caractéristiques diversi?ées pour documenter l'implantation et l'impact du Plan en région.1. Saisine du Directeur général de la santé par courrier du 31 janvier 2012 - Annexe 1
10Haut Conseil de la santé publique
Evaluation générale
L ' évaluation intervient à un moment où le Plan est à peine terminé et il semble di- cile d'en mesurer les eets à aussi court terme, d'autant que les indicateurs néces saires ne sont pas tous disponibles, ou encore d'établir une relation de causes à eets entre les actions du Plan et les évolutions sur le terrain. L'évaluation concerne donc surtout la conception et la mise en oeuvre du Plan, replacées dans le contexte géné- ral de la politique de lutte contre les hépatites.Synthèse et recommandations
Le Plan a contribué à maintenir les hépatites virales comme une priorité de santé publique, ce qui apparaît justi?é au regard de leur prévalence et de leur gravité, du fait qu'il s'agit de pathologies évitables et qu'il existe des moyens pour réduire leur fréquence et leurs conséquences (vaccination contre l'hépatite B, traitements antivi raux ecaces dans l'hépatite C), du fait également d'un risque de renforcement des inégalités de santé entre groupes sociaux, car ces maladies concernent fréquem ment des personnes en situation de précarité. Il était justi?é de maintenir les eorts pour que ces populations vulnérables accèdent convenablement à l'information, à la prévention, au dépistage et aux traitements. De plus, il était important de maintenir une attention sur la question spéci?que des hépatites, a?n qu'elles ne disparaissent pas au sein de stratégies globales dominées par le problème du VIH ou des IST.D'importants travaux préparatoires étendus sur les années 2006 à 2008 ont précédé
l'annonce du Plan, qui n'a été ociellement publié qu'en 2009, en raison de l'exis tence de points sensibles et sujets à polémiques, comme la vaccination contre le VHB et les stratégies d'éducation à l'injection auprès des usagers de drogues (UD). Comme dans beaucoup de plans, on constate un manque d'objectifs quanti?és et, pour les objectifs quanti?és, un manque de données de référence. La justi?cation du choix des actions retenues pour répondre aux objectifs intermédiaires de chacun des axes ne ?gure pas dans le texte du Plan. En outre, le Plan ne prévoyait pas non plus de manière précise les modalités de déclinaison des actions en région. La mise en oeuvre du Plan repose essentiellement sur une forte gouvernance au niveau national, avec un suivi rapproché de la thématique des hépatites, par la Direction générale de la santé (DGS), appuyée par le comité de suivi et le groupe restreint d'animation. La mise en oeuvre des actions s'est échelonnée au cours du plan, avec un niveau élevé de mise en oeuvre des actions : 50 actions engagées ou terminées sur55 actions prévues, selon le bilan du comité de suivi ?n 2012.
axeréaliséesen coursnon engagéestotal 611 -141
110 -
23 -
574
Conception
et élaboration du PlanMise en uvre
du planPilotage national
et régional11évaluation du Plan national de lutte contre les hépatites B et C 2009-2012
Néanmoins, l'identi?cation des actions du Plan par le grand public, les professionnels de santé en dehors de la communauté des hépatologues et par les acteurs de terrain est restée relativement faible. De plus, en dépit d'un comité de suivi pluridisciplinaire, les priorités de pilotage du Plan se sont exprimées sous un mode particulièrement hospitalo-centré, avec peu d'espace de débat accordé aux points de vue extrahospi taliers (des représentants du secteur libéral, médico-social ou associatif).Le Plan " hépatites » s'est déroulé au cours de la période de mise en place des agences
régionales de santé (A r S). La nouvelle gouvernance régionale a modi?é l'articulation entre le niveau national et le niveau régional pour la déclinaison de ce Plan, comme pour les autres plans. Le relais en région dépend désormais fortement de la volonté d'agir et du leadership des acteurs régionaux, qui conduisent à l'inscription ou non de la thématique dans la stratégie ou le plan régional et ainsi à l'obtention de moyensquotesdbs_dbs27.pdfusesText_33[PDF] Profiter des avantages d ISO 9001
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