SCOLARISATION BILINGUE LSF/FRANÇAIS BIBLIOGRAPHIE
Oct 19 2016 Cette bibliographie a été réalisée à l'occasion du Séminaire de réflexion « Parcours bilingues. LSF/français
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Bibliographie sur « Bilinguisme et enseignement bilingue » Sophie Condat
Bibliographie bilingue
Bibliographie ?QTMNQGITOUJIUN. Ouvrages en arménien ou en version bilingue. Mrkmr fq"mrhn kq mrklmxou. Topographie pour une ville détruite
HEINRICH VON KLEIST (1777-1811) Bibliographie sélective
(Collection bilingue des classiques étrangers). Maison Jean Vilar - libre-accès [T KLEIS B]. ______. Curtis Jean (trad.) Le Prince de Hombourg.
Title page
quelques changements pour s'adapter à une enseignement bilingue car le beaucoup lu en français sur l'Internet sur le bilinguisme des livres en PDF
Guide de présentation des citations et des références
Partie II Présentation des références bibliographiques. Si le titre est bilingue ou plurilingue on peut n'inscrire que le titre correspondant à la ...
Eveil aux langues : bibliographie – sitographie
Eveil aux langues : bibliographie – sitographie. Pour amorcer le travail sur les langues : album Collection : Les bilingues aux éditions Didier jeunesse.
Annexe A Règles de présentation des références en notes de bas
s'agit d'un titre bilingue on mentionnera cependant les intitulés des deux 5) Les détails de publication (nom de la collection nom du traducteur ou de ...
Cahiers du CELHTO 4 bilingue
Jun 20 2010 Sous la rubrique sources et bibliographie
BIBLIOGRAPHIE COULEUR
BIBLIOGRAPHIE ARt'RESEAU 2012. Annoncez la couleur ! LIVRES: Alison COLE La couleur
![Cahiers du CELHTO 4 bilingue Cahiers du CELHTO 4 bilingue](https://pdfprof.com/Listes/15/22056-15435181file1.pdf.jpg)
VERSION FRANÇAISE (ENGLISH VERSION BELOW)
Les Cahiers du CELHTO, n°004
Appel à contribution
Thème : Les migrants africains dans le monde : entre déboires, identité et altérité culturelle Nul ne peut évoquer la question des migrants africains aujourd'hui sans penser principalement et, a priori, aux migrations dites illicites. D'origine subsaharienne notamment, ce type de migration qualifié de clandestine, occupe de nos jours une place importante dans les discours politiques etmédiatiques. Parfois, pendant de longs mois, de jeunes africains, hommes et femmes avec
enfants, risquent tout, y compris leur vie, pour entreprendre un périlleux périple qui leur fait
traverser des dizaines de frontières et les dangereux courants de la Méditerranée, à la recherche
d'une vie meilleure dans un pays du Nord. Certains y laissent leur vie ; d'autres sont renvoyés chez eux et d'autres encore qui atteignent leur destination, comprennent que leur existence n'ysera pas forcément plus facile. Mais étant donné le manque d'emplois (parfois les crises
sociopolitiques) et les sombres perspectives auxquels ils sont confrontés dans leur pays, des
millions de jeunes africains préfèrent encore l'exode, souvent clandestin. Le 14 novembre 2017, la diffusion des images furtives d'une vente aux enchères nocturne dejeunes africains dans la région de Tripoli sur l'une des plus grandes chaines télévisées américaines,
CNN, a suscité une onde de chocs, en se propageant comme une traînée de poudre sur lesréseaux sociaux. Face au tollé, des voix se sont fait entendre pour dénoncer un " crime d'une
autre époque » rappelant les trois siècles noirs de la traite transatlantique. Ainsi, le secrétaire
général de l'ONU, Antonio Guterres, s'est dit "horrifié", le président de l'Union africaine Alpha
Condé "indigné", l'Union européenne "révoltée" et la France a réclamé une réunion "expresse"
du conseil de sécurité de l'ONU sur la question. Le choc produit par le phénomène est si fort
qu'il a fait objet de réflexion et de débat lors du 5 e Sommet Union africaine-Union européenne,organisé à Abidjan les 29 et 30 novembre 2017. D'importantes décisions sont prises dans
l'optique de régler cette crise. La diffusion de ces images de ventes de migrants Noirs n'a, en fait, fait que relayer avec plusd'autorité la faible voix des organisations de défense des droits de l'Homme, de l'Organisation
Internationale pour les Migrations(OIM), des médias, etc. dénonçant un phénomène en cours
depuis plusieurs mois sur la base des témoignages des victimes et témoins.Cette traite des Noirs s'inscrit dans les déboires que subissent les migrants africains sur le chemin
de leur migration vers l'Europe, où ils espéraient mieux vivre. Ils sont victimes des réseaux de
passeurs organisés avec des ramifications dans les pays de départs jusqu'à la Méditerranée avec
pour point principal de transit, la ville d'Agadez au centre du Niger. Cet itinéraire, les réseaux de
passeurs, les drames survenus dans le désert ne sont un secret pour personne. Ils sont souventrévélés ou rappelés comme lors d'un Colloque organisé par l'Université d'Agadez avec l'appui
financier de l'État nigérien et de l'Union européenne, du 12 au 14 décembre 2016, sur Les
dynamiques migratoires en Afrique de l'Ouest : histoire, flux et enjeux actuels. Mais les menaces terroristes
AFRICAN UNION
UNION AFRICAINE
UNIÃO AFRICANA
Centre d"Etudes Linguistiques et Historiques par Tradition Orale (CELHTO)Bureau UA - Niamey
2en cours dans le Sahel et le Sahara et le défis de la réduction de la pauvreté sont, entre autres, les
points de blocage pour le démantèlement de ces réseaux. Les déboires des migrants sur le
parcours, sont presque mis sous éteignoirs médiatiques au profit de leurs drames qui surviennent
dans la Méditerranée depuis plusieurs années. Ces migrants dont les politiques de préférence
initiées par les gouvernants de leurs pays de départ les mettent en situation d'exclusion, sont
victimisés.Ceux qui, contre vents et marées, parviennent à prendre pied dans les pays d'accueil, sont
généralement en situation dite illégale et font face à l'épineux problème d'insertion et de
cohabitation froide avec les occupants des lieux. On se rappelle encore de la vague de fusilladesdes Noirs aux États-Unis ainsi que du déferlement des dizaines de milliers d'Israéliens qui, le 23
mai 2012, ont unanimement réclamé le départ des immigrés noirs de leur territoire.À l'intérieur du continent africain, les migrants africains ne sont pas mieux traités. En dehors du
cas libyen sus-évoqué, le cas le plus récurrent est celui de l'Afrique du Sud. Ce pays qui a ployé,
pendant longtemps sous l'apartheid, a plongé, à peine l'apartheid aboli, sous une nouvelle forme
de ségrégation. Non seulement les Blancs mais aussi et surtout des Noirs non sud-africains sont
pris pour cible. Provenant du Mali, du Malawi, du Congo, du Mozambique, etc., vivant dans les townships, s'adonnant au petit commerce et acceptant de faire les travaux que les Sud-africainsrefusent de faire, ces Noirs non sud-africains sont ciblés par les xénophobes de ce pays. On se
souvient encore des pertes en vies humaines occasionnées par la vague de xénophobie en Afrique du Sud ayant occasionné 62 morts en 2008. Parfois, ces actes sont entérinés par un discours officiel complice1.L'Algérie n'est pas en reste. Dans ce pays, les ressortissants des autres territoires africains sont
considérés comme faussaires, escrocs, trafiquants de drogue, porteurs de maladies menaçant la
santé publique, etc. À ce titre, ils sont souvent victimes de xénophobie de la part des natifs des
lieux.On voit ainsi que, malgré tout le discours sur les aspects positifs des migrations à travers le
monde, où les migrants contribuent, dans bien des cas, au développement socioéconomique aussi
bien de leur pays d'origine que de leur pays d'accueil, les migrants en général et les Noirs en
particulier, continuent d'être objet de déboires divers. Or, nous vivons dans un monde globalisé
et l'économie-monde que l'on appelle de tous les voeux est censée produire des citoyens globaux2,
avec une nouvelle sociologie des mobilités3. Au-delà des problèmes de survie et de respect des droits du migrant que posent ces genres desituations, les déboires liés aux migrations à l'échelle de la planète relancent le débat de l'altérité
culturelle et de l'identité. Ce débat, relativement ancien, a été abordé, entre autres, par Iain
Chambers, dans son ouvrage intitulé Migrancy, Culture, Identity, paru en 1994. Dans cet ouvragedont le compte-rendu a été présenté par Claire Sallaberry4, l'auteur montre que, dans un espace de
plus en plus mobile du fait de la mondialisation, les frontières deviennent poreuses, amenant lemigrant à faire face à une nouvelle forme de flexibilité, ce qui remet sans doute en question les
composantes de son identité. Or, poursuit l'auteur, à cause d'une certaine peur grandissante de
" l'autre », les cultures majoritaires (généralement natifs des lieux) finissent par percevoir le
" migrant comme une menace politique, culturelle et ontologique ». On se retrouve ainsi, au planculturel, devant non seulement une certaine incompréhension, mais aussi et surtout une négation
abjecte de l'altérité due à l'amalgame opéré par la majorité envers les cultures minoritaires.
Le présent numéro de Les Cahiers du CELHTO se propose donc de se saisir de ce sujet d'actualité
sur les migrations et de le traiter sous l'angle culturel et identitaire. En conséquence, la rédaction
1Le Monde Afrique, " Manifestation anti-immigrés et vague de xénophobie en Afrique du Sud
Disponible sur http://www.lemonde.fr/afrique/article/2017/02/24/manifestation-anti-immigres-et-vague-de-
2 J. ROTBLAT, World Citizenship. Allegiance to Humanity, Londres, Macmillan, 1997.
3 J. URRY, Sociologie des mobilités. Une nouvelle frontière pour la sociologie ? Paris, Armand Colin, 2005.
4Claire Sallaberry, " Migration, Culture et Identité », Les Cahiers du MIMMOC [En ligne], 5 | 2009, mis en ligne le 20
juin 2010, consulté le 10 janvier 2018. URL : http://journals.openedition.org/mimmoc/458 3 de la revue souhaite avoir des contributions originales et libres sur ces questions. Les chercheurset enseignants-chercheurs, africains ou non, intéressés par cette thématique sont donc invités à
soumettre des articles originaux de fond à la rédaction de ladite revue, suivant les axes non exhaustifs ci-après : Migrations et identité : approches théoriques et conceptuelles ; Migrations, mondialisation et africanités ; Les constructions identitaires en situation de migration ; Les imageries cultuelles sur le migrant africain ; Identité culturelle du migrant africain à travers la littérature ; Les biens culturels en situation de migration ; Le patrimoine matériel et immatériel africain face à la question des migrations ; Les cultures africaines à l'épreuve des migrations ; etc.Calendrier
Du 31 janvier au 30 avril 2018 : réception des contributions originales ; Du 1er mai au 31 août 2018 : évaluation des articles ; Du 1er au 30 septembre 2018 : correction par les auteurs des articles retenus ; Octobre-novembre 2018 : travail de rédaction ; Fin décembre 2018 au plus tard : parution de la revue. NB : Pour ce numéro, seuls les 15 meilleurs manuscrits retenus par le Conseil scientifique de larevue seront publiés. Les auteurs sont invités à rédiger leur manuscrit selon les normes du
CAMES (Norcames) pour laquelle a opté la revue Les Cahiers du CELHTO, contenues dans le présent ouvrage. Le non-respect scrupuleux de ces normes est éliminatoire. Les manuscrits doivent être envoyés aux adresses suivantes : cahiers.celhto@gmail.com avec copie à publications@celhto.org I.NORMES ÉDITORIALES5
Les articles à soumettre à la revue doivent être conformes aux normes ci-dessous décrites.
1.PRESENTATION GENERALE DES MANUSCRITS
Chaque projet d'article doit être envoyé sous la forme d'un document Word d'un maximum de 50 000 signes
(espaces et notes comprises), police Garamond, taille 12 (pour le corps de texte, 10 pour les notes de bas de
page et 11 pour les citations en retrait), interligne 1,5, avec la mise en forme la plus simple possible (pas de
styles, de puces ou de retraits, mais des alinéas au début de chaque paragraphe). L'ordre logique du texte doit respecter le canevas suivant : un titre bref ; une signature comportant le(s) nom(s) de(s) l'auteur(s) en majuscules et le ou les prénoms en minuscules avec une initiale majuscule, le nom et l'adresse complète del'institution d'attache, le courriel et le téléphone de l'auteur présenté avec l'indicatif
international ; un résumé en français et en anglais de 10 lignes au maximum ; un minimum de trois et un maximum de cinq mots clés ;5 Les normes de la Revue Histoire de l'art, INHA, Paris et celle de la Revue Educom de l'Université de Lomé ont servi
de base à la rédaction du présent document. 4 une introduction ; un développement ; une conclusion ; une partie source et bibliographie.Les articulations du développement du texte sont à titrer et/ou à sous-titrer de la façon suivante :
1. pour le titre de la première section ;
1.1. pour le sous-titre de la première sous-section ;
1.2. etc.
2. pour le titre de la deuxième section ;
2.1. pour le sous-titre de la deuxième sous-section ;
2.2. etc.
Les sous-sous-titres sont à éviter autant que possible.La conclusion doit être brève et insister sur les résultats et l'apport original de la recherche.
Les langues de publication de la revue sont le français et l'anglais. La publication d'un texte en
une langue autre que le français et l'anglais est soumise à autorisation exceptionnelle de
l'administration de la revue. Les termes étrangers au français et à l'anglais sont en italique et sans
guillemets. La revue s'interdit l'usage du soulignement qui est remplacé par la mise en italique.La présentation des figures, cartes, graphiques, ... doit respecter le miroir de la revue qui est de
16x24 cm. Ces documents doivent porter la mention de la source, de l'année et de l'échelle (pour
les cartes).Les siècles sont indiqués en chiffres romains, lettres capitales, suivies d'un " e » en exposant et d'un espace
insécable.Ex. : XXe siècle.
Les majuscules sont accentuées.
Pour les citations, utiliser les guillemets français suivis ou précédés d'un espace insécable " », et les guillemets
anglais simples pour les citations à l'intérieur de citations ''.Lorsqu'une citation dépasse quatre lignes, il faut la détacher du corps de texte. Dans ce cas, elle n'est ni
précédée, ni suivie de guillemets. L'interligne est simple et la taille de la citation est de 11.
Les appels de notes sont des chiffres arabes en exposant, sans parenthèses, placés avant la
ponctuation et à l'extérieur des guillemets pour les citations. Pour la définition des sigles et acronymes, seule l'initiale du premier mot est en majuscules, en moins qu'il s'agisse d'un nom propre ou d'institutions. EX1 : CELHTO : Centre d'études linguistiques et historiques par tradition orale. EX2 : AUF : Agence universitaire de la Francophonie (Francophonie étant un nom propre d'institution, l'initiale est en majuscule).2. PRESENTATION DES SOURCES ET BIBLIOGRAPHIE
5La référence bibliographique adoptée est celle intégrée au texte. Elle se présente comme suit : (nom de l'auteur
avec une initiale en majuscule, virgule, année de publication (deux points) : page à laquelle l'information a été
prise).Ex : (Gnalega, 2015 : 15).
Sous la rubrique sources et bibliographie, les sources consisteront à montrer, d'une façon
détaillée, les sources orales et autres documents primaires ou de première main consultés et/ou
cités. Elles sont à présenter comme suit : Pour les sources orales : dans l'ordre alphabétique des noms des informateurs, dans un tableaucomportant un numéro d'ordre, nom et prénom des informateurs, la date et le lieu de l'entretien,
la qualité et la profession des informateurs, leur âge ou leur date de naissance.Pour les archives, il convient de mentionner en toutes lettres, à la première occurrence, le lieu de conservation
des documents suivi de l'abréviation entre parenthèses. C'est l'abréviation qui est utilisée dans les occurrences
suivantes : Ex. : Paris, Archives nationales (A.N.), 77, dossier 47 (artistes). Archives des Musées Nationaux (A.M.N.), dossier de carrière, O275, fol. 1-149.Bordeaux, Archives municipales (A.M. Bordeaux)
Ne pas oublier de préciser la cote et la pagination des documents cités (fol. pour les documents manuscrits).
Pour les autres cas, merci de respecter les modèles suivants :Ouvrages
Arasse D., 1999, L'Annonciation italienne. Une histoire de perspective, Paris, Hazan.Seconde édition d'un ouvrage traduit :
Belting H., 1998 (Munich 1993), Image et culte. Une histoire de l'art avant l'époque de l'art, Paris, Le Cerf.
Si la seconde édition a eu lieu dans la même ville que la première édition, indiquer seulement la date de la
première entre parenthèses.Belting H., 1998 (1993), Image et culte. Une histoire de l'art avant l'époque de l'art, Paris, Le Cerf.
Ouvrages collectifs
Assima-Kpatcha E. et Tsigbé K. N. (éd.), 2013, Le refus de l'ordre en Afrique et au Togo, Lomé, Les presses de
l'Université de Lomé. Si les directeurs de l'ouvrage sont plus de trois, faire suivre ces trois noms de " et al. ».Catalogues d'exposition
Martinez J.-L., A. Pasquier (éd.), 2007, Praxitèle (cat. exposition : Paris, 2007), Paris, Musée du Louvre/Somogy.
6Actes de colloque
Capodieci L., Ford P. (éd.), 2011, Homère à la Renaissance : mythe et transfigurations (actes de colloque : Rome,
2008), Paris/Rome, Somogy/Académie de France.
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[PDF] Bibliographie critique au XX ème siècle : 1900
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