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Référentiel - ressources

de la Troisième révolution industrielle en Hauts-de-France - Avril 2019 | 3

SOMMAIRE

INTRODUCTION GÉNÉRALE 03

LA 3ème RÉVOLUTION INDUSTRIELLE 0

Introduction 0

0

Les ambitions rev3 0

? 0

Les 11 critères 0

*5HII( G·e9$I8$7H21 5(93 1

CONCLUSION 3

Pourquoi un référentiel rev3

Les enjeux rev3

Régional en partenariat avec un nombre important de territoires, la Troisième Révolution Industrielle met en perspective un nouveau modèle économique, social et environnemental

économie post-carbone.

par le modèle proposé par Jeremy Rifkin et les expertises des acteurs et politiques locaux. La Troisième Révolution Industrielle (TRI) ou rev3 est une approche de conduite de projets transversale, qui, sur la base de la gouvernance forte des parties prenantes concernées et notamment les territoires (organisations territoriales et espaces géographiques) doit durable.

Les enjeux environnementaux, sociaux et économiques doivent être intégrés dès la phase

de définition du projet autour de toutes les parties prenantes du territoire, dans le respect de finalités communes. LA TROISIÈME RÉVOLUTION INDUSTRIELLE & SON IMPACT SUR LE BÂTIMENT D En Octobre 2017, la Région Hauts de France publie son référentiel rev3 de la Troisième

Révolution Industrielle, qui décline les 11 critères propres au modèle rev3 et associés à celui-

ci.

Ce référentiel générique a vocation à servir de guide pratique, en mettant en lumière pour

ŃOMTXH ŃULPqUH O·MSSURŃOH j PHQHU OHV TXHVPLRQV j VH SRVHU HP OHV PR\HQV G·MŃPLRQV j

envisager.

Afin de pouvoir appliquer la rev3 aux divers projets qui animent la région, différents

référentiels spécifiques émergent de ce référentiel " socle » au sein de groupes de travail

mêlant les services de la Région et les partenaires extérieurs. IH SUpVHQP GRŃXPHQP V·MSSOLTXH MX GRPMLQH GX SMPULPRLQH LPPRNLOLHU TX·LO V·MJLVVH GH ŃRQVPUXŃPLRQ QHXYH GH UpOMNLOLPMPLRQ RX PrPH G·H[SORLPMPLRQB ZOOM SUR LE PATRIMOINE DE LA RÉGION HAUTS-DE-FRANCE

4,7 millions de m² bâtis :

270 lycées / Bâtiments portuaires à Boulogne sur Mer et Calais (Capitainerie du Port de Calais)

Bâtiments administratifs à Amiens et à Lille / Antennes PHUULPRULMOHV C FHQPUHV G·LQQRYMPLRQ HQGXVPULI$%

%kPLPHQPV VSRUPLIV HP ŃXOPXUHOV 9pORGURPH GH 5RXNML[ $QQHMX GH OM 0pPRLUH IRXYUH IHQV¬ OBJECTIFS DU RÉFÉRENTIEL REV3 PATRIMOINE IMMOBILIER

FRQoX MILQ G·rPUH XPLOLVMNOH SMU PRXV OHV MŃPHXUV SMUPLŃLpant à la conception et à la mise en

±XYUH G·XQ SURÓHP LO GRLP :

ƒ Inciter OHV SRUPHXUV GH SURÓHP TX·LOV VRLHQP 0MvPUHV G·2XYUMJH RX 0MvPUHV G·°XYUH j

LQVŃULUH OHXU SURÓHP GMQV OM GpPMUŃOH UHY3 MYHŃ XQ GHJUp G·MPNLPLRQ VXIILVMQP HQ les aidant dans la conception de leurs projets.

ƒ Favoriser O·pPHUJHQŃH GH SURÓHPV UHY3 HQ MLGMQP OHV GpŃLGHXUV HP OHV ILQMQŃHXUV GMQV

leurs choix via des repères clairs, traduisant les objectifs visés par rev3. ƒ Contribuer à la montée en qualité des projets, en mutualisant les bonnes pratiques HP OHV VROXPLRQV PMQP VRXV O·MQJOH GH OM SROLPLTXH JpQpUMOH TXH GHV MŃPLRQV GLYHUVHV particulières.

POURQUOI UN RÉFÉRENTIEL REV3 ?

7 La TRI, ou rev3, dans sa conception régionale, part du constat que le modèle de développement actuel, reposant sur le recours massif aux énergies fossiles et fissiles, et sur une économie linéaire, a atteint ses limites face aux enjeux environnementaux et sociaux contemporains comme dans sa capacité à offrir des perspectives de développement

économique.

Il s'agit depuis la finalisation du Master Plan en 2013 de : x Faciliter le passage à la phase opérationnelle ; x Renforcer la cohĠrence et l'efficacitĠ des approches ; x Se donner les moyens de valider le respect de la vision portée par le Master Plan ; x Porter au bon niǀeau d'ambition les programmes et actions reǀ3. LES ENJEUX REV3 Partant du constat que le modèle de développement actuel a atteint ses limites face aux enjeux sociaux et environnementaux, la TRI se développe autour de deux ambitions fondamentales : x L'aǀğnement d'une Ġconomie dĠcarbonĠe ă l'horizon 2050 ; x Le renouǀeau de l'actiǀitĠ et de l'emploi régional.

A titre d'edžemple, cela passe par une sobriété énergétique responsable, le développement

A terme, l'ambition de rev3 est d'accorder un projet de développement à la vision de long terme d'une économie décarbonée, ainsi que d'engager le processus de la transition

énergétique, sociale et économique en forĕant l'innoǀation sur toutes les opérations

crĠatrices d'actiǀitĠs et d'emplois.

Début 2016, la TRI a été confirmée par le nouvel Exécutif Régional. En particulier, lors de

le Président de Région a indiqué cinq orientations (reprises dans la délibération cadre du

16 Octobre 2016) :

x Faire de la TRI un des leǀiers de la crĠation d'emplois, ambition générale de la Région ; x Favoriser la territorialisation de la TRI, notamment étendre la TRI sur les territoires de l'edž-Picardie ; x Assurer une meilleure appropriation de la TRI par les habitants de la Région et tout particulièrement les jeunes, notamment au traǀers d'actions de formation ; x Favoriser la montée en qualité des projets ; x Promouǀoir un rĠseau des initiatiǀes TRI dans l'Europe du Nord - Ouest. Ces ambitions et orientations offrent à tout projet une premiğre lecture d'analyse et d'Ġǀaluation. Elles filtrent les définis ci-après. La grille d'analyse rev3 proposée dans les pages suivantes vous permettra de dessiner, au propre, comme au figuré, le profil rev3 de votre opération.

LES AMBITIONS REV3

|E

CRITÈRE 1 : ÉNERGIES RENOUVELABLES

(OOHV UHSUpVHQPHQP MXÓRXUG·OXL 3 j 4 GH OM SURGXŃPLRQ G·pQHUJLH GH OM UpJLRQ. Investir massivement pour parvenir à 100% en 2050 aura bien évidemment XQ HIIHP VXU O·HQYLURQQHPHQP PMLV pJMOHPHQP HQ PHUPHV GH ŃUpMPLRQ QHPPH G·HPSORLV LO QH V·MJLP QL SOXV QL PRLQV que de créer de nouvelles filières. CRITÈRE 2 : %Ç7H0(176 352G8F7(856 G·e1(5*H( Il faut transformer les bâtiments en " minicentrales énergétiques » En effet, VL O·RQ V·HQ PLHQP MX PRGqOH MŃPXHO GH SURGXŃPLRQ ŃHQPUMOLVpH Ex : grandes IHUPHV VROMLUHV¬ LO Q·\ MXUM SMV VXIILVMPPHQP G·pQHUJLH pour satisfaire tous les besoins. La solution consiste alors à démultiplier les sites de production.

CRITÈRE 3 672F.$*( G( I·ÉNERGIE

Les ENR étant essentiellement intermittentes, il faut être en capacité de les VPRŃNHU QRPMPPHQP YLM O·O\GURJqQH ŃH TXL LPSOLTXH GH GpYHORSSHU OM UHŃOHUŃOH MILQ G·LQYHQPHU OHV SURŃpGpV TXL SHUPHPPURQP ŃH VPRŃNMJH et de pouvoir en disposer quand Ń·HVP Qpcessaire.

CRITÈRE 4 : RÉSEAUX INTELLIGENT

GH OM GpPXOPLSOLŃMPLRQ GHV VLPHV GH SURGXŃPLRQ G·pQHUJLH GpŃRXOH OM QpŃHVVLPp de mettre en place un système de distribution beaucoup plus complexe, parce que le nombre de producteurs tendra à égaler celui des consommateurs : il faudra non seulement gérer les flux, mais déployer des réseaux intelligents pour y parvenir. CRITÈRE 5 : MOBILITÉ DES PERSONNES ET DES BIENS GHV PUMQVSRUPV SOXV SURSUHV pOHŃPULTXH NLRJM]¬ PMLV VXUPRXP XQH réorganisation en profondeur de nos façons de faire (généralisation du recours aux transports en commun, multimodalité, internet de la logistique, HPŃB pŃRQRPLVHURQP NHMXŃRXS G·pQHUJLH Pout en créant des filières nouvelles

GH VHUYLŃH HP GRQŃ G·HPSORLVB

CRITÈRE 6 : EFFICACITÉ ÉNERGÉTIQUE

FH ŃRQŃHSP TXL LUULJXH O·HQVHPNOH GHV SLOLHUV GH OM 75H YLVH j ŃRQVRPPHU moins et mieux pour le même confort ou service, et intègre donc la notion de sobULpPpB $ILQ GH UpSRQGUH j O·MPNLPLRQ G·HIILŃMŃLPp pQHUJpPLTXH TX·HOOH VH IL[H OM 75H VH GHYUM G·LQPpJUHU OM UpIOH[LRQ UHOMPLYH MX[ MXPUHV SLOLHUVB

LES 11 CRITÈRES REV3

CRITÈRE 7 : ÉCONOMIE CIRCULAIRE

FRQPUMLUHPHQP j O·pŃRQomie actuelle qui est linéaire, la TRI propose de passer à un modèle de développement circulaire : les déchets ne sont plus jetés mais transformés en matière première réutilisée pour de nouveaux SURGXLPV RX G·MXPUHV XsagesB IHV Ń\ŃOHV GH YLH GHV RNÓHPV V·Hnchaînent, diminuant la pollution et créant de nouveaux débouchés (emplois). CRITÈRE 8 : ÉCONOMIE DE LA FONCTIONNALITÉ Consistant à remplacer la notion de vente du bien par la notion de vente de O·XVMJH Ge ce NLHQ O·pŃRQRPLH GH OM IRQŃPLRQQMOLPp PHQG j Gécupler la valeur MÓRXPpH HP j UpGXLUH OHV ŃRQVRPPMPLRQV GH UHVVRXUŃHV HP G·pQHUJLHB

5MPPMŃOpH j O·pŃRQRPLH GH OM ŃRRSpUMPLRQ HOOH ŃRQGXLP j IMYRULVHU OHV

interactions des activités et à créer des externalités environnementales positives.

CRITÈRE 9 : ENVIRONNEMENT

Premier des trois critères associés, le développement durable prend en compte de nombreux sujets transverses et complémentaires aux autres ŃULPqUHVB HO SHUPHP G·pYMOXHU OM UHY3 j PUMYHUV OH ILOPUH GHV HQÓHX[ VRŃLMX[ environnementaux et économiques.

CRITÈRE 10 : ANCRAGE TERRITORIAL

IHV HQÓHX[ HP OHV ŃOMPSV G·MŃPLRQ 5(93 QpŃHVVLPHQP OH TXHVPLRQQHPHQP G·XQ SURÓHP VRXV O·MQJOH GHV RUJMQLVMPLRQV PHUULPRULMOHV HP GHV HVSMŃHV

JpRJUMSOLTXHV TX·LO LPSMŃPHB

CRITÈRE 11 : GOUVERNANCE

Ce 11ème ŃULPqUH LQPqJUH O·HQVHPNOH GHV SMUPLHV SUHQMQPHV LQPHUQHV HP externes, à des degrés de co-conception et de codécisions différents. Ainsi, XQ SURÓHP UHY3 GHYUMLP V·MVVXUHU GH OM PRNLOLVMPLRQ GHV XVMJHUV HP GH OM SRSXOMPLRQ O·LQPpJUMPLRQ G·XQ PM[LPXP G·H[pertises, et cela par la mise en ±XYUH G·XQ SURŃHVVXV GH VXLYL HP G·pYMOXMPLRQ HQ ŃRQPLQXB

LES 11 CRITÈRES REV3

|11

LE RÉFÉRENTIEL REV3

PATRIMOINE IMMOBILIER

| 1

Niveaux

supérieurs

Fondations Il appartient ensuite à ŃOMŃXQ G·XPLOLVHU ŃH SURILO GH OM PMQLqUH OM SOXV MGMSPpH j VM GpPMUŃOH :

ŃLNOHU ŃHUPMLQV LQGLŃMPHXUV SULRULPMLUHV IL[HU XQ QLYHMX PLQLPMO SRXU O·HQVHPNOH GHV

LQGLŃMPHXUV XPLOLVHU OHV QLYHMX[ SRXU ŃMOŃXOHU XQ VŃRUH JORNMO SURÓHP¬

COMMENT UTILISER LE RÉFÉRENTIEL ?

Le présent référentiHO GRLP SHUPHPPUH j ŃOMŃXQ G·pYMOXHU VRQ SURÓHP LPPRNLOLHU MX UHJMUG GHV

objectifs de la rev3.

Les 11 critères ont ainsi été déclinés en 25 indicateurs échelonnés selon 4 à 5 paliers. Le

premier palier, appelé symboliquement " fondations » est un prérequis à respecter sur

O·HQVHPNOH GHV LQGLŃMPHXUV SRXU PRXP SURÓHP VRXOMLPMQP V·LQVŃULUH GMQV XQH GpPMUŃOH UHY3B

Les niveaux supérieurs peuvent ensuite être atteints graduellement, suivant les ambitions du

SURÓHPB $ QRPHU TXH O·HQVHPNOH GHV ŃRQGLPLRQV G·XQ QLveau doit dans la mesure être respecté

pour pouvoir accéder au niveau supérieur.

6L OH UpIpUHQPLHO Q·LPSRVH MXŃXQ QLYHMX PLQLPXP OHV LQGLŃMPHXUV RQP pPp pŃOHORQQpV GH

PMQLqUH j HQŃRXUMJHU OM PRQPpH HQ TXMOLPp GHV SURÓHPV YLM O·MPPHLQPH GH QLYHMX[ pOHYpV HQ proposant notamment des exemples et des précisions techniques. En évaluant chaque indicateur, on obtient le profil rev3 du projet : | 1

 CRITÈRE 1 Énergies renouvelables

Indicateur 1.1

Nature des ENR PLVHV HQ ±XYUH Indicateur 1.2

Implication et sensibilisation

NIV. 4 DUPLICATION La solution innovante de

YMORULVMPLRQ G·pQHUJLHV

renouvelables ou fatales mise en

±XYUH V·LQVŃULP GMQV XQH YRORQPp

de prototypage et duplication sur G·MXPUHV RSpUMPLRQVB DES USAGERS ACTEURS DE REV3

GHV PR\HQV GH SURGXŃPLRQ G·pQHUJLHV

grâce aux usagers sont déployés : vélos actifs, pédalier de bureaux, dalles

SLp]RpOHŃPULTXHV ¬ IMLVMQP MLQVL GH

chaque usager un acteur de la transition énergétique.

NIV. 3 INNOVATION

Le SURÓHP HVP VXSSRUP G·XQH

innovation technique sur le thème des énergies renouvelables (travail avec des Universités, projets de

UHŃOHUŃOH 7LPUH 9 ¬) CAPITALISATION

3MU OM PLVH HQ ±XYUH G·LQGLŃMPHXUV HP GH

compteurs adaptés, un bilan annuel des

énergies valorisées est porté à

ŃRQQMLVVMQŃH GX PMLPUH G·RXYUMJHB

NIV. 2 VALORISATION D·eNERGIES

RENOUVELABLES

Le projet intègre plusieurs

systèmes de SURGXŃPLRQ G·énergie renouvelable ou de récupération

G·pQHUJLH IMPMOHB

SENSIBILISATION DES USAGERS

Les usagers du bâtiment ont été

sensibilisés sur les moyens de

YMORULVMPLRQ PLV HQ ±XYUHB

NIV. 1 VALORISATION D·81(

ÉNERGIE RENOUVELABLE

Le projet intègre une énergie

renouvelable ou une récupération

G·pQHUJLH IMPMOHB

SENSIBILISATION DE I·(;3I2H7$17

I·H[SORLPMQP GX NkPLPHQP M pPp

sensibilisé sur les moyens de

YMORULVMPLRQ PLV HQ ±XYUH HP OHV

VSpŃLILŃLPpV OLpHV j O·HQPUHPLHQ HP j OM

maintenance de ces moyens.

FONDATIONS ÉTUDE PRÉALABLE DES

POTENTIALITÉS

Dès la phase de programmation,

et si possible avant choix du site

G·LPSOMQPMPLRQ XQH pPXGH GHV

potentiels en énergies renouvelables a été réalisée.

CHOIX DES ÉNERGIES

RENOUVELABLES

Une étude comparative technico-

économique a été produite permettant

à OM PMLPULVH G·RXYUMJH de définir les

MPNLPLRQV GH O·RSpUMPLRQB

| 1

Il existe cinq grands types d'énergies

renouvelables : xI·pQHUJLH solaire xL'énergie éolienne, xL'énergie hydraulique, xLa biomasse xLa géothermie.

Leur caractéristique commune est de ne pas

produire d'émissions polluantes (ou très peu), et ainsi d'aider à lutter contre l'effet de serre. ÉNERGIES

RENOUVELABLES Énergie hydraulique

Utiliser les ressources en

eau de la Région (y compris de faible hauteur) Énergie éolienne

Transformer localement la

force du vent en électricité via un générateurÉnergie solaire Capter l'Ġnergie solaire pour produire de l'ĠlectricitĠ et/ou de la chaleurBois ÉnergieLa filière Bois &

Vous, lien entre votre besoin

et les 428 000 hectares de forêts en Hauts-de-FranceÉnergie houlomotrice Convertir l'énergie des vagues en électricité grâce à une turbine

Géothermie Valoriser

l'énergie du sous-sol pour chauffer et rafraichir | 1 Â CRITÈRE 2 BkPLPHQPV SURGXŃPHXUV G·pQHUJLH

Indicateur 2.1

Stratégie de distribution Indicateur 2.2

Taux de valorisation

NIV. 4 1°8G G·ÉNERGIES IH SURÓHP IMLP SMUPLH G·XQ HQVHPNOH de bâtiments interconnectés et est j OM IRLV XQ OLHX G·XPLOLVMPLRQ GH stockage et de distribution

G·pQHUJLHVB

- 100%

100% des consommations réelles du

bâtiment sont couvertes par des

énergies renouvelables, ou fatales

(annuellement, en tenant compte des effets de saisonnalité des bâtiments)

NIV. 3 PARTAGE DES ÉNERGIES

Une partie des énergies produites

par le bâtiment est également valorisée SRXU G·MXPUHV XVMJHV (véhicules électriques, autre

NkPLPHQP ¬

- 50%

A minima 50% des consommations

réelles du bâtiment sont couvertes par des énergies renouvelables, ou fatales (annuellement, en tenant compte des effets de saisonnalité des bâtiments)

NIV. 2 UTILISATION DES ÉNERGIES

Les énergies produites par le

bâtiment lui permettent de couvrir une partie de ses besoins. - 25%

A minima 25% des consommations

réelles du bâtiment sont couvertes par des énergies renouvelables, ou fatales (annuellement, en tenant compte des effets de saisonnalité des bâtiments)

NIV. 1 CONSOMMATIONS RÉELLES

La conception du projet intègre les

résultats des estimations de consommations obtenues via des modèles thermiques dynamiques. - 15%

A minima 15% des consommations

réelles du bâtiment sont couvertes par des énergies renouvelables, ouquotesdbs_dbs33.pdfusesText_39

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