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MUSIQUE

musicale par Patrick Le Bœuf 52 Droit d'auteur



La bibliothèque de Genève en 2008 et 2009

municipales de Genève la Bibliothèque nationale de France et la Library of une minuscule édition du Nouveau Testament grec parue à Sedan en 1628



Archives seiziémistes de François Lesure: inventaire et transcription

27 mai 2017 Bibliothèque nationale de France. Département de la Musique. VM FONDS 3 LES – 1 à – 10. Inventaire et transcription partielle.





Bilan Bibliographique

comme le maitre de cette discipline nouvelle en France et a Petranger. Bibliographie d'Humanisme et Renaissance



Divertissements et loisirs dans les sociétés urbaines à lépoque

29 juin 2016 20 Bibliothèque nationale de France Cabinet des manuscrits



Untitled

Bibliothèque Roxy Music



Journal officiel de la République française

20 mai 2009 GREFFE DU TRIBUNAL DE COMMERCE DE SEDAN ... Activité : La société a pour objet tant en France ... GRANDE BIBLIOTHEQUE. TOLBIAC.



Sécurité: M.Jospin arbitre contre M.Chevènement

26 janv. 2021 déchets en France et en Grande-Bre- tagne pourrait se prolonger. p. 4 a Polémique sur le génocide arménien. Des intellectuels dans un texte ...



Les manuscrits de Léonard de Vinci

Manlsckits g L & m dk la Bibliothèque de l INSTITUT. Pt)RLI&S KK FAOSI Ml Lk.H Cela étant

Sécurité: M.Jospin arbitre contre M.Chevènement

LeMondeJob: WMQ2701--0001-0 WAS LMQ2701-1 Op.: XX Rev.: 26-01-99 T.: 11:01 S.: 111,06-Cmp.:26,12, Base : LMQPAG 28Fap:100 N

o :1116 Lcp: 700 CMYK MERCREDI 27 JANVIER 1999www.lemonde.fr/nvtechnoLES NOUVELLES TECHNOLOGIES

Puces, étiquettes

" intelligentes »: les solutions et les fonctions nouvelles ne manquent pas, qui pourraient le supplanter.

Las, levétéranreste

le chouchou desdistributeurs!

Le code-barresrésiste aux puces

Depuis 25 ans,

la douzaine de lignes marque, renseigne, identi®e sans faiblir les produits que nous achetons Il a été rond, rectangulaire,polygonal. On l'a copié, détourné, tatoué, exposé. En un quart de siècle, ce signe au charme désuet a conquis les créateurs et les artistesLE CODE-BARRES f-te ses noces d'argent avec le commerce.

Vingt-cinq ann•es de succ˜s d'une

id•e si simple qu'elle a ®ni par transformer les caisses enregis- treuses de nos sup•rettes en light- shows. Qui aurait le mauvais gožt de renoncer “ une invention si pr•cieuse et gratuite ? Sžrement pas les g•ants de la distribution qui vantent tous les m•rites de la douzaine de bandes noires imprim•es sur les emballages.

A moins que...

De curieuses bobines m•tal-

liques ont fait leur apparition dis- cr˜tement. Des •tiquettes qui provoquent des sons stridents au sortir des magasins quand on ou- blie de faire scanner le fameux code-barres, qui servent de signa- ture au passage des p•ages et quisignalent les v•hicules vol•s. Ap- parentes ou moul•es dans un plastique orn• d'un... code-barres, ces •tiquettes du futur reØoivent peu “ peu les capacit•s qui

Une carte de visite d•plac•e ma-

chinalement au-dessus d'un certaintapis de souris, et les informations apparaissent dans le carnet de m•dicament pos•e sur le m-me support et un message s'af®che sur l'•cran de l'ordinateur, invitant “ retourner les g•lules d•fectueuses

“ la pharmacie. Ce tapis est n• au

cúur du Medialab, bas• au Massa- chusetts Institute of Technology (MIT).

L'objet a eu tant de succ˜s que

ses trois inventeurs ont fond• ®n

1998 Presto Technologies, une star-

tup qui se chargera de mettre le ta- pis sur le march•. " Nous sommes sur le point de commercialiser la premi˜re version de notre technolo- gie », assure Henry Holtzmann, le seul du trio qui a totalement ± et provisoirement ± renonc• “ ses ac- tivit•s au MIT pour se consacrer “ temps plein “ l'entreprise. A l'instar des d•tecteurs antivol dans les ma- gasins, le tapis Presto envoie des ondes •lectromagn•tiques vers les " tags », qu'une bobine en forme de spirale capte et transforme en signal •lectrique charg• de dialo- guer avec la puce avant de r•cup•- rer ses informations.

Au MIT, on n'entend pas s'arr--

ter en si bon chemin. L'•quipe

Things That Think (les choses qui

pensent) imagine d•j“ les prouesses que ces •tiquettes pour- ront r•aliser. Des d•tecteurs de temp•rature int•gr•s aux v-te- ments qui pourraient signaler l'ap- parition de la ®˜vre. Des capteurs de pression capables de signaler au conducteur qu'un pneu se d•- gon¯e. Des m•moires informa- tiques int•gr•es dans le papier pour en garantir la provenance.

Les " •tiquettes radiofr•-

quences » ± comme les nomment les sp•cialistes ± s'appr-tent “ rendre la mati˜re " intelligente ».

D•j“, certains imaginent de greffer

ces puces sous la peau des animaux pour lutter contre leur tra®c.

D'autres ont tent• l'exp•rience sur

eux-m-mes. Autant d'applications aussi •tonnantes qu'inqui•tantes, qui pourraient se g•n•raliser d'ici une dizaine d'ann•es.

Aujourd'hui, les •tiquettes " in-

telligentes » sont ch˜res. Leur prix avoisine 1euro (6,56 francs), ce qui n'emp-che pas des industriels comme le franØais Gemplus de s'y int•resser. Elles sont pour l'instant r•serv•es “ la logistique, aux sys- t˜mes de paiement sans contact et

“ quelques applications pointues,

pour lesquelles le prix de l'•tiquettereste faible en regard des services rendus. Mais la courte histoire des puces •lectroniques montre que le prix des composants chute “ une vitesse vertigineuse. " Les •tiquettes •lectroniques sont souvent ®x•es sur des emballages qui regroupent de nombreux produits. A force de voir les prix baisser, leur nombre va diminuer jusqu'au jour oŸ il y aura un seul produit par •ti- quette •lectronique, pr•dit Henry

Holtzmann. Quand le prix aura at-

teint 1penny [environ 6 centimes], les codes-barres c•deront progressi- vement la place aux •tiquettes •lec- troniques, qui ne demandent aucune manipulation pour -tre lues.»En attendant, les petites bandes noires poursuivent leur bout de chemin. Le code-barres ne veut pas mourir. Nicolas Bourcier et Denis Delbecq

JEAN-PAUL ALBINET, 1991" Reset 337731».

CONSOMMATION

Terminé, le noir

et le blanc cassé : les objets prennent des couleurs, acidulées, franches, appétissantes. P. VIIPORTRAIT

Jonathan Ive,

designer anglais, a remis Apple en course en dessinant l'iMac. P. VII

EN IMAGES

Séduit par le succès

de la Silicon Valley, les technopoles

¯eurissent

autour de la planète.

P. VIBUTINAGE

Art, archéologie,

biotechnologies, ... une sélection de sites techno sur le Web. P. IVPRIX

Infonie et les hypermarchés

Géant proposent

des PC multimédias

à 1990 F. P. IIIPETITES ANNONCES

9 pages d'offres

d'emplois.

P. VIII à XVI

1990

REPORTAGE

Dans un supermarché

de Neuilly-sur-Seine, les clients se changent en caissières le temps de leurs emplettes :

à l'aide d'un chariot

"amélioré», ils enregistent l'un après l'autre leurs articles. P. III

Jean-Paul Albinet, artiste

qui illustre notre dossier, travaille sur le code-barres depuis 1988 55
e

ANNÉE ± N

o

16797 ± 7,50 F - 1,14 EURO FRANCE MÉTROPOLITAINEFONDATEUR : HUBERT BEUVE-MÉRY ± DIRECTEUR : JEAN-MARIE COLOMBANIMERCREDI 27 JANVIER 1999Allemagne, 3 DM ; Antilles-Guyane, 9 F ; Autriche,25 ATS ; Belgique, 45 FB ; Canada, 2,25 $ CAN ;C˛te-d"Ivoire, 850 F CFA ; Danemark, 15 KRD ;Espagne, 225 PTA ; Grande-Bretagne, 1£ ; Gròce,500 DR ; Irlande, 1,40 £ ; Italie, 2900 L ; Luxembourg,46 FL ; Maroc, 10 DH ; Norvòge, 14 KRN ; Pays-Bas,3 FL ; Portugal CON., 250 PTE ; Rïunion, 9 F ;Sïnïgal, 850 F CFA ; Suòde, 16 KRS ; Suisse, 2,10 FS ;Tunisie, 1,2 Din ; USA (NY), 2 $ ; USA (others), 2,50 $.Tout y est dit,

ì vous de voir !

G174 pays analysïs par les

journalistes et correspondants du ´ Monde ª

GA l"approche des ïlections

europïennes, un cahier spïcial sur l"euro et l"Europe

GLes nouvelles donnes

de la politique ïconomique et sociale franÿaiseGLe panorama des 26 rïgions franÿaises

GLes mutations de l"ïconomie

franÿaise et mondiale

GUn palmaròs, par secteur,

des plus grandes entreprises en France et dans le monde

GUn vïritable tour du monde

ïconomique et social

200 PAGES

50 F - 7,62 ¦

International............. 2

France.......................... 6

Soci•t•......................... 9

R•gions.........................11

Horizons......................12

Carnet...........................16

Entreprises .................17

Annonces class•es....17

Communication........19Tableau de bord........ 20

Aujourd'hui................ 24

M•t•orologie............. 26

Jeux............................... 26

Culture......................... 27

Guide culturel............ 29

Kiosque........................ 30

Abonnements............ 30

Radio-T•l•vision....... 31

Baptistes et méthodistes, ils communient pour Clinton le pécheur

WASHINGTON

de notre envoy•e sp•ciale

C'•tait dimanche matin, dans Washington

d•sert, d•senchant•, pluvieux. A l'•glise m•tho- diste de la 16 e

Rue, le pr•dicateur J. Philip Wo-

gaman avait choisi d'•voquer Hosea, " le pro- phète de l'amour ». La voix douce, suave, il philosophait, p•dagogue et charmeur, •rudit et plein de malice. Et puis soudain, par on ne sait quelle pirouette, il d•boucha sur le " triste débat de Capitol Hill », " le plus douloureux, le plus dé- sastreux des débats ». L'•coute, alors, se ®t plus tendue. Le r•v•rend Wogaman, th•ologien res- pect•, n'est-il pas connu comme le pasteur ha- bituel de la famille Clinton ? L'un des trois conseillers spirituels ± et of®ciels ± de ce pr•- sident qui devait, mardi soir, rencontrer Jean

Paul II ?

" Le sujet, disait-il, oppose deux conceptions de la morale, deux visions de la vie en société. Ce peut être l'occasion, pour ce pays, de choisir clai- rement ses valeurs. De dé®nir ce qui constitue son âme. » D'un cþt•, le clan des conservateurs : " Ceux pour qui la morale est d'abord affaire de discipline, de stricte application de la loi. Cela va de pair avec les principes d'autorité, de condam-

nation et de punition. » De l'autre cþt•, le clandes lib•raux : " Ceux pour qui la morale est af-

faire d'amour et d'attention aux autres. Pour qui les idées de repentance, de pardon et de tolérance priment sur l'idée de sanction ou de revanche. » La pr•f•rence du pasteur ne faisait aucun doute. A la sortie de l'of®ce, J. Philip Wogaman con®rmait : il continuera de soutenir Clinton, " indéfendable mais pas impardonnable », " pé- cheur et repentant sincère et ®able ».

Au m-me moment, “ l'ouest de la ville, dans

l'•glise baptiste de J•rusalem, le r•v•rend Clin- ton Washington accueillait ses ®d˜les pour l'of- ®ce de 11heures. De vrais ®d˜les, de ceux qui traversent toute la ville ou •mergent de ban- lieue pour venir dans cette •glise-l“. Erig•e pour la communaut• noire. Anim•e par un pas- teur noir, le m-me depuis trente ans. Et, selon le mot d'un paroissien, " plus chantante, plus dansante, plus accueillante que ne pourrait l'être le paradis ». L'imposant Clinton Washington, au rire gigantesque, avait un message “ faire passer. Il a lu, une fois n'est pas coutume, le d•- but de son sermon. " Le président William Jeffer- son Clinton est un pécheur, mais ce n'est pas un criminel.»Une pause. Le temps de parcourir du regard les bancs de l'assistance.

Et d'ajuster son souf¯e. " Destituer un pré-sident parce que c'est un pécheur revient à dé-

truire la Constitution. Destituer un président parce qu'on n'arrive pas à le battre lors de deux élections n'est pas seulement honteux, mais dé- tourne la ªrègle de la loiº. Des dizaines de mil- lions d'électeurs ne devraient pas voir balayer leurs votes au prétexte que moins de trois cents politiciens partisans ne sont pas contents de leur choix. Nous connaissons la différence entre le crime et le péché privé. »

Il y eut un lourd silence. Et puis une cacopho-

nie de "Amen!» et de " So be it ! » (" Qu'il en soit ainsi ! »). Et puis le pasteur a laiss• libre court “ sa ¯amme. Pour commenter. Fustiger les s•nateurs. D•noncer le pi˜ge tendu “ Clin- ton, ce pr•sident si proche, dit-il, des pauvres, des humbles, du peuple noir en particulier. " C'est un président qui se préoccupe de nous, qui nous aime et qui nous ressemble. Et ça les rend malades. Et ils veulent le lui faire payer. »D'ail- leurs, Clinton Washington a trouv• le slogan qui, dans toutes les •glises noires, devrait trou- ver un •cho : " La destitution de Clinton serait tout simplement la nôtre. »Et l'hypoth˜se, heu- reusement, lui semble d•raisonnable.

Annick Cojean

CIO : Samaranch

s"explique a

ALORS QUE les r•v•lations

sur des tentatives de corrup- tion •branlent chaque jour un peu plus le Comit• international olym- pique (CIO), affaibli par l'affaire de Salt Lake City, son pr•sident,

Juan Antonio Samaranch, af®rme

dans un entretien au Mondequ'il n'a pas " l'intention de quitter [son poste]aujourd'hui ». Face au do- page et “ la pr•varication, il tente de minimiser le rþle du CIO. " Il est faux de croire que nous sommes les t-il. Pour enrayer la crise, il propo- sera cependant un plan de r•- formes lors de la session extraor- dinaire des 17 et 18 mars. Ce plan pr•voit notamment de r•mun•rer le prochain pr•sident s'il n'est pas " suf®samment riche », pour assu- mer ses fonctions.

Lire page 24

Les assureurs contestent

le monopole de la ´ Sïcu ª

LE GRANDMeccano de la pro-

tection sociale, patiemment construit depuis 1945, vient de s'enrichir d'une pi˜ce majeure : la couverture maladie universelle (CMU), destin•e “ offrir, “ partir du 1er janvier 2000, la gratuit• des soins “ six millions de personnes vivant en dessous du seuil de pau- vret• (3 800 francs net pour une personne seule). Pour une d•pense totale •valu•e “ 9 milliards de francs, la CMU compl˜te la loi sur les exclusions vot•e en juillet 1998 dans le syst˜me sanitaire. Est-ce trop cher pay• pour un syst˜me de sant• qui a absorb•, en 1998,

800 milliards de francs (10 % de la

richesse nationale), parfois sans grande ef®cacit•, tout en laissant plusieurs millions de personnes “ sa porte ?

Le premier ministre, Lionel Jos-

pin, et la ministre de l'emploi et de la solidarit•, Martine Aubry, se sont montr•s discrets, tant que le projet n'•tait pas boucl•. Ce n'est que pour mieux brandir cette r•- forme, dans les semaines “ venir, comme la preuve irr•futable que leur action n'est affect•e d'aucun d•®cit social et qu'elle ne souffre d'aucun retard : devant les d•put•s socialistes, le 19 janvier, Lionel Jos-pin a af®ch• sa volont• de faire adopter ce texte par le Parlement avant la ®n du mois de juin. Ce projet n'en a pas moins fait l'objet de dif®ciles tractations politiques, dont la mouture ®nale porte la trace. En laissant aux b•n•®ciaires de la CMU le choix de souscrire une couverture compl•mentaire, soit aupr˜s d'une caisse de " S•- cu », soit aupr˜s d'une mutuelle ou d'une compagnie d'assurances, le gouvernement a refus• de trancher entre deux sc•narios, au risque de m•contenter tout le monde.

Le premier sc•nario, soutenu par

la CGT, FO, le Parti communiste et les associations caritatives, pr•voit que la S•curit• sociale g•rera seule le dispositif, m-me si l'Etat en as- sure le ®nancement. Le second, d•- fendu par la CFDT, une partie du monde mutualiste et les assureurs, privil•gie le ®nancement et la ges- tion de la part compl•mentaire par les mutuelles, les compagnies d'as- surances et les institutions de pr•- voyance, et place les b•n•®ciaires de la CMU dans une situation comparable “ celle de la majorit• des salari•s.

Jean-Michel Bezat

Lire la suite page15

LE MONDE INTERACTIF

aLe code-barres,

25 ans de succòs

aEmploi : 9 pages d"annonces classïes

La droite

sïnatoriale met en ïchec la paritï hommes-femmes

LE S...NAT examine, mardi 26 jan-

vier, le projet de loi constitutionnelle visant “ promouvoir " l'•gal acc˜s des hommes et des femmes aux man- dats •lectifs et aux fonctions •lec- tives ». D•cid•e “ " faire barrage “ la politique des quotas », la majorit• s•- natoriale RPR, UDF et DL entend modi®er sur le fond le texte vot• “ l'Assembl•e, laissant “ la seule initia- tive des partis le soin de promouvoir les femmes en politique, sans l'assor- tir de mesures incitatives. Elle s'ap- puie notamment sur l'argumenta- tion de la philosophe Elisabeth

Badinter, qui avait quali®• le projet

de " texte de r•gression ». La droite s•natoriale s'oppose ainsi “ la volon- t• af®ch•e du pr•sident de la R•pu- blique, en accord sur cette question avec le premier ministre.

Lire page 8

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