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N° 2239 ASSEMBLÉE NATIONALE

projet de loi de finances rectificative (PLFR) pour 2012 proposant la création d'un crédit d'impôt sur les bénéfices

N° 2239 ASSEMBLÉE NATIONALE

N° 2239

______

ASSEMBLÉE NATIONALE

CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958

QUATORZIÈME LÉGISLATURE

Enregistré à la Présidence de l"Assemblée nationale le 2 octobre 2014.

RAPPORT D"INFORMATION

FAIT en application de l"article 145 du Règlement

AU NOM DE LA MISSION D"INFORMATION

SUR LE CRÉDIT D"IMPÔT POUR LA COMPÉTITIVITÉ ET L"EMPLOI (1)

Président

M. O

LIVIER CARRÉ

Rapporteur

M. Y

VES BLEIN

Députés

(1) La composition de cette mission figure au verso de la présente page. La mission d"information sur le crédit d"impôt pour la compétitivité et l"emploi est composée de : MM. Guillaume Bachelay, Laurent Baumel, Yves Blein, Florent Boudié, Xavier Breton, Olivier Carré, Christophe Castaner, Pascal Cherki, Charles de Courson, Patrick Devedjian, Mme Sophie Dion, MM. Alain Fauré, Richard Ferrand, Hugues Fourage, Mme Annie Genevard, M. Joël Giraud, Mme Arlette Grosskost, MM. Razzy Hammadi, Patrick Hetzel, Philippe Kemel, Mme Véronique Louwagie, MM. Yannick Moreau, Pierre- Alain Muet, Mme Christine Pires Beaune, M. Nicolas Sansu, Mme Eva Sas, M. Jean-Charles Taugourdeau, Mme Clotilde Valter, MM. Patrick Vignal, Éric Woerth.

Suppléants :

M. Éric Alauzet, Mme Jeanine Dubié, M. Jean-Christophe Fromantin - 3 -

SOMMAIRE

___ Pages

INTRODUCTION ........................................................................................................... 7

I. ÉLÉMENT FONDAMENTAL DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ, LE CICE DONNE AUX ENTREPRISES DES MARGES DE MANOEUVRE FINANCIÈRES, AFIN DE REMÉDIER AUX DIFFICULTÉS STRUCTURELLES DE L"ÉCONOMIE FRANÇAISE. ............................................ 11 A. LES FONDEMENTS DE LA CRÉATION DU CICE, OUTIL DE SOUTIEN DE LA COMPÉTITIVITÉ DES ENTREPRISES.................................................. 11

1. La genèse du CICE : le choc de compétitivité proposé par le rapport Gallois ....... 11

2. Les objectifs du CICE : soutenir la compétitivité mais également l"emploi en

tenant compte de la contrainte budgétaire .............................................................. 13

a. Concilier renforcement de la compétitivité et développement de l"emploi ............ 13

b. Respecter la trajectoire de redressement des finances publiques ........................... 17

3. L"inscription du CICE dans le cadre du Pacte de responsabilité et de solidarité ... 19

B. LE DISPOSITIF JURIDIQUE ET SON APPLICATION ...................................... 22

1. Les personnes éligibles ........................................................................................... 23

2. L"assiette et le taux ................................................................................................. 25

3. Les modalités d"imputation..................................................................................... 26

4. Le préfinancement, un mécanisme original permettant aux entreprises de

bénéficier immédiatement de la mesure ................................................................. 27

a. Mécanisme et objectifs ......................................................................................... 27

b. Bpifrance, opérateur principal du préfinancement ................................................ 28

C. DES OUTILS DE CONTRÔLE ET DE SUIVI ADAPTÉS .................................. 29

1. La loi ne pose pas de conditions à l"obtention du CICE, mais fixe les objectifs

qu"il doit remplir .................................................................................................... 29

2. Des obligations déclaratives simples à remplir et à vérifier ................................... 30

3. Des outils de suivi spécifiques, dont un pouvoir d"alerte par les représentants

du personnel, ont été mis en place ......................................................................... 31

D. DES ACTIONS DE COMMUNICATION, POUR ASSURER LE SUCCÈS

DU DISPOSITIF ...................................................................................................... 33

- 4 - II. SI L"ÉVALUATION MACROÉCONOMIQUE DU CICE EST PRÉMATURÉE, UN BILAN D"ÉTAPE FAIT APPARAÎTRE UN SUCCÈS DU DISPOSITIF. ....... 37

A. UN BILAN D"ÉTAPE POSITIF ............................................................................... 37

1. Premier bilan chiffré : une bonne appropriation du dispositif par les entreprises,

après une période de rodage ................................................................................... 37

a. Les déclarations d"assiette aux URSSAF font apparaître une forte mobilisation des entreprises, malgré une révision à la baisse du montant de la créance de CICE

.................................................................................................................. 37

b. L"analyse des données sectorielles et géographiques est sans surprise. ................. 39

c. Le dispositif monte en charge sur le plan budgétaire. ............................................ 42

i. Le chiffrage prévisionnel de la créance et du coût budgétaire du CICE ........................ 42

ii. Les premiers constats de la DGFiP font cependant apparaître des montants de créance et de dépense fiscale moins élevés que prévu. ............................................ 46

d. Le bilan chiffré du préfinancement ...................................................................... 50

i. La montée en charge du dispositif ........................................................................... 50

ii. Le rôle des banques commerciales ......................................................................... 50

2. Les premiers retours sur l"utilisation du CICE ....................................................... 51

B. UNE ÉVALUATION DE L"IMPACT ÉCONOMIQUE DU CICE EST

ENCORE PRÉMATURÉE. .................................................................................... 56

1. Des difficultés méthodologiques et pratiques ......................................................... 56

a. L"impossibilité d"évaluer les effets macroéconomiques à ce stade ........................ 56

b. Les limites de l"économie prédictive et de ses modélisations ................................ 58

2. Des tendances positives se dégagent des premières analyses ................................. 59

a. Les premiers effets de court terme ........................................................................ 59

b. L"analyse des effets sur la croissance, l"emploi et la compétitivité des modélisations réalisées ........................................................................................ 60

c. Des interrogations qui demeurent ......................................................................... 62

i. Un niveau de concurrence insuffisant dans certains secteurs pourrait diminuer l"efficacité du CICE ........................................................................................... 62

ii. L"efficacité du CICE sur la compétitivité française dépendra également des

performances de nos voisins ................................................................................ 62 III. LE DISPOSITIF DU CICE DEVRAIT ÊTRE D"ORES ET DÉJÀ AMÉLIORÉ SANS EXCLURE UNE REFLEXION SUR SES PERSPECTIVES

D"EVOLUTION .............................................................................................................. 63

A. LE CICE DOIT ENCORE ÊTRE MIEUX CONNU ET SON UTILISATION

MIEUX SUIVIE ......................................................................................................... 63

1. La communication en direction des entreprises doit être mieux assurée ................ 63

2. Les modalités de suivi du CICE doivent être renforcées ........................................ 64

B. DES AJUSTEMENTS À LA MARGE SERAIENT UTILES. ............................... 66

1. S"agissant des modalités d"imputation.................................................................... 66

- 5 -

2. S"agissant du champ des bénéficiaires .................................................................... 67

a. Le cas des entreprises imposées forfaitairement ................................................... 67

b. Le cas des organismes à but non lucratif .............................................................. 67

C. UNE RÉFLEXION DEVRAIT ÊTRE ENGAGÉE SUR UN ÉVENTUEL BASCULEMENT DU CICE VERS UN ALLÈGEMENT DE COTISATIONS SOCIALES, À L"HORIZON 2017-2018, DANS LE CADRE D"UNE REFONTE GLOBALE DES DISPOSITIFS DE RÉDUCTION DU COÛT

DU TRAVAIL ............................................................................................................ 70

CONCLUSION ................................................................................................................ 75

EXAMEN PAR LA MISSION D"INFORMATION ............................................... 77 ANNEXE N° 1 : PROPOSITIONS DE LA MISSION ........................................ 89 ANNEXE 2 : LISTE DES PERSONNES AUDITIONNÉES ET

COMPTES RENDUS DES AUDITIONS

............................................................... 91 - 7 -

INTRODUCTION

L"ampleur de la crise économique que traverse notre pays depuis désormais six ans rend plus que jamais nécessaire l"engagement de profondes réformes structurelles, afin que la France puisse valoriser les atouts dont elle dispose dans la compétition internationale. Le principal axe de réforme engagé en ce sens par le Président de la République, le Gouvernement et la majorité parlementaire consiste à restaurer la

compétitivité de nos entreprises, qui s"est dégradée au cours de la décennie

écoulée. Redonner des marges de manoeuvre aux entreprises, c"est leur donner les moyens d"investir, d"innover, mais aussi d"embaucher, afin d"endiguer un

chômage qui ne cesse de croître. Le crédit d"impôt pour la compétitivité et

l"emploi (CICE) est aujourd"hui un élément central de cette stratégie. Instauré à la suite des recommandations formulées par M. Louis Gallois dans un rapport remis au Premier ministre en novembre 2012, il permet d"apporter un soutien sans précédent aux entreprises, à hauteur de 20 milliards d"euros par an en régime de croisière. Cela en fait la première dépense fiscale de l"État. Le CICE s"assimile à une réduction du coût du travail, puisqu"il est assis sur les salaires compris entre 1 et 2,5 fois le SMIC. Les rémunérations versées en 2013 ont ouvert droit à un crédit d"impôt au taux de 4 %, porté à 6 % pour les rémunérations versées à compter du 1 er janvier 2014. Le montant de CICE réduit

d"autant le montant de l"impôt sur les bénéfices (impôt sur les sociétés ou impôt

sur le revenu) dont sont redevables les entreprises qui en sont bénéficiaires. S"il

excède l"impôt dû, le crédit d"impôt donne à l"entreprise une créance sur l"État,

immédiatement remboursable dans certains cas, mais en principe imputable sur l"impôt des trois années suivantes. Un mécanisme original de préfinancement de la

créance a été institué, afin de permettre aux entreprises de bénéficier de manière

immédiate du CICE. Depuis sa création, le CICE suscite des interrogations, au sein des entreprises mais également parmi les parlementaires. Les conditions dans lesquelles ce dispositif de soutien à l"appareil productif a été décidé ne sont sans doute pas étrangères à ces interrogations. Le CICE résulte en effet d"un amendement gouvernemental au dernier projet de loi de finances rectificative pour 2012, déposé quelques jours avant son examen en séance publique, sans transmission au Parlement de l"évaluation préalable de ses effets. - 8 - Soucieuse de garantir un bon emploi des deniers publics, la majorité a souhaité fixer des objectifs d"utilisation du CICE, qui ne sont pas cependant des conditions de son octroi. Le CICE doit servir à financer notamment des dépenses d"investissement et de formation, et ne saurait à l"inverse abonder les dividendes versés aux actionnaires ou majorer les rémunérations des dirigeants. Un Comité de suivi du CICE a été institué par la loi. Afin que la représentation nationale puisse effectuer une première analyse du fonctionnement et des effets du CICE (en parallèle et en complément de celles menées par le Comité de suivi) la Conférence des Présidents a décidé le 13 mai dernier, sur proposition du Président de l"Assemblée nationale, de créer une mission d"information sur ce sujet, dont le présent rapport est la conclusion (1). En quatre mois de travaux, la mission, composée de 33 députés reflétant la composition politique de l"Assemblée, a procédé à plus de 20 auditions, dont celles du Comité de suivi du CICE, des administrations de l"économie et des finances, de l"Agence centrale des organismes de sécurité sociale, de Bpifrance, des grandes centrales syndicales, des professions du chiffre, ainsi que des

économistes et experts.

La mission a par ailleurs souhaité entendre plusieurs témoignages d"entreprises de tous secteurs - y compris de l"économie sociale et solidaire -, par la voix de leurs organisations représentatives mais aussi directement au cours d"une table ronde regroupant des dirigeants d"entreprise. Afin d"éviter toute ambiguïté sur l"objet et les ambitions de ce rapport, une précaution méthodologique s"impose. Il est impossible de procéder d"ores et déjà à une véritable évaluation des effets économiques du CICE, ni même de son impact en régime de croisière sur le budget de l"État : compte tenu de la jeunesse du dispositif, qui n"a pas encore vécu une pleine année au taux normal de 6 %, il existe très peu de données exploitables. Les conclusions de ce rapport demanderont donc à être précisées ultérieurement, lorsque le recul sera suffisant. Pour autant, il est utile de faire dès aujourd"hui un premier bilan d"étape. S"il n"existe par définition pas d"évaluation économique ex post des effets du CICE, des travaux ex ante ont été conduits, qui présentent un certain nombre d"hypothèses sur l"impact que pourrait avoir le CICE sur l"amélioration de la compétitivité et le développement de l"emploi. Il est également possible de faire le point sur la manière dont l"administration fiscale applique le dispositif juridique. En outre, les premières données disponibles, bien qu"incomplètes, méritent d"être analysées ; elles permettent notamment d"observer la manière dont se répartit l"assiette entre les différents types d"entreprises, mais aussi la montée en charge sur le plan budgétaire, ou encore le succès du préfinancement. Sur un plan plus qualitatif, il s"agira d"examiner les usages que les entreprises déclarent avoir fait du CICE, ce qui implique nécessairement de présenter comment le suivi du dispositif s"est organisé. (1) En application de l"article 145, alinéa 4 du Règlement de l"Assemblée nationale. - 9 - Le présent rapport est également l"occasion de formuler des recommandations, articulées autour de trois axes : le renforcement de la communication autour du CICE, des mesures de correction à la marge (s"agissant par exemple des modalités d"imputation sur les acomptes d"impôt sur les sociétés) et le renforcement du mécanisme de suivi des déclarations des entreprises sur l"usage du CICE. Pour finir, il sera question du devenir du CICE, désormais inclus dans le Pacte de responsabilité et de solidarité qui comporte des mesures - en vigueur ou à venir - d"allègement des cotisations sociales. Sans prétendre dessiner les contours précis d"une réforme, il est possible d"envisager à compter de 2017 la perspective d"un basculement du CICE vers des allégements de charges, dans un scénario évoqué au début de cette année par le Président de la République. - 11 - I. ÉLÉMENT FONDAMENTAL DU PACTE DE RESPONSABILITÉ ET DE SOLIDARITÉ, LE CICE DONNE AUX ENTREPRISES DES MARGES DE MANOEUVRE FINANCIÈRES, AFIN DE REMÉDIER AUX DIFFICULTÉS

STRUCTURELLES DE L"ÉCONOMIE FRANÇAISE.

A. LES FONDEMENTS DE LA CRÉATION DU CICE, OUTIL DE SOUTIEN DE

LA COMPÉTITIVITÉ DES ENTREPRISES

1. La genèse du CICE : le choc de compétitivité proposé par le rapport

Gallois

La compétitivité de l"économie française, et tout particulièrement de son industrie, est une préoccupation essentielle du Gouvernement et de la majorité. Dès le 11 juillet 2012, soit à peine deux mois après l"élection du Président de la République, le Premier ministre Jean-Marc Ayrault a demandé au Commissaire général à l"investissement, Louis Gallois, de lui remettre un rapport faisant part de " propositions sur différentes mesures structurelles susceptibles de porter à nouveau notre industrie aux meilleurs niveaux mondiaux », afin que puisse être mis en oeuvre " un véritable pacte productif pour la compétitivité, la croissance et l"emploi » (1). Dans son rapport remis le 5 novembre 2012, intitulé Pacte pour la compétitivité de l"industrie française, Louis Gallois dresse le constat d"un sérieux décrochage de l"industrie française : - la part de l"industrie dans la valeur ajoutée totale est passée de 18 % en 2000 à 12,5 % en 2011, classant la France quinzième parmi les 17 États membres de la zone euro, très loin derrière l"Allemagne, deuxième (26,2 %) ; - deux millions d"emplois industriels ont été perdus entre 1980 (5,1 millions de salariés, soit 26 % de l"emploi salarié total) et 2011 (3,1 millions, soit 12,6 %) ; - la part de marché des exportations françaises en Europe a reculé de 12,7 % en 2000 à 9,3 % en 2011, alors que celle de l"Allemagne progressait dans le même temps (de 21,4 à 22,4 %). Cette situation s"explique par un positionnement de milieu de gamme de l"industrie française. En raison de coûts de production relativement élevés, ceci ne lui permet d"être pleinement compétitive : - ni vis-à-vis de l"industrie allemande, peu sensible au facteur prix du fait d"une stratégie orientée vers le haut de gamme ;

(1) Lettre de mission reproduite en tête du rapport au Premier ministre de Louis Gallois, Commissaire général

à l"investissement : Pacte pour la compétitivité de l"industrie française, 5 novembre 2012 :

- 12 - - ni vis-à-vis des industries dont les coûts de production sont plus faibles, qu"elles se situent dans les pays dits émergents ou même en Europe (de l"Est et du Sud). Sous la pression de la concurrence, l"industrie française a tenté de rattraper son différentiel de compétitivité-prix en réduisant ses marges : défini comme le rapport entre l"excédent brut d"exploitation et la valeur ajoutée brute, le taux de marge est en effet passé de 30 % en 2000 à 21 % en 2011. Le taux d"autofinancement (1) des entreprises industrielles s"est par conséquent considérablement dégradé, passant de 85 % en 2000 à 64 % en 2012). Afin que la France puisse valoriser ses nombreux atouts (pôles d"excellence comme le luxe ou l"aéronautique, nombreux grands groupes, PME innovantes, recherche de haut niveau, infrastructures et services publics de qualité), le rapport propose d"axer la stratégie industrielle sur la montée en gamme. Pour ce faire, la priorité doit être donnée à l"investissement, ce qui suppose tout d"abord la sanctuarisation sur la durée du quinquennat d"un certain nombre de dispositifs incitatifs - notamment du crédit d"impôt recherche - maisquotesdbs_dbs33.pdfusesText_39
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