A propos de la retranscription gouvernementale de lANI du 11
Au bout du compte l'ANI du 11 janvier 2013 semble bel et bien devoir s'inscrire dans ce processus 11 janvier 2013 propose une petite révolution (46).
Rapport formation professionnelle
23 janv. 2014 Organisations patronales signataires de l'ANI du 14 décembre 2013 ... 7 janvier 2009 et la loi du 24 novembre 20093 ont cherché à en faire ...
Tome 1 pollution (15 juillet)
15 juil. 2022 suite aux mesures de pollution de décembre 2013 en est un ... police du 11 novembre 1854 pour le département de la Seine oblige ainsi les.
La négociation collective en 2013
Le 11 janvier 2013 les partenaires sociaux sont parvenus à un accord national interprofessionnel (ANI) sur la compétitivité et la sécurisation de l'emploi.
Conditions de travail
Des actions de prévention dans le secteur de la petite enfance 3 mois pour favoriser l'ANI du 11 janvier 2013 malgré nos interventions.
PROGRAMME NATIONAL DE RÉFORME
2 avr. 2013 En particulier la transcription dans la loi de l'ANI du 11 janvier 2013 favorise la portabilité des droits à la formation professionnelle à ...
La révolution agricole en marche P 4-11
10 janv. 2013 Janvier 2013 / N° 10. AGRICULTURE. Maintenant que la « bataille de l'énergie » est bien engagée Paul. Biya en appelle à la mise en œuvre.
Transformation numérique et vie au travail
janvier 2013 ;. rapport Jules Ferry 3.0 remis en octobre 2014 ;. rapport sur la grammaire du succès du numérique
La place de la négociation collective en droit constitutionnel
productif passant de la Révolution industrielle à celle de l'immatériel a tout affirmé de la loi du 14 juin 2013 issue de l'ANI du 11 janvier 2013 ...
Les données de limmigration professionnelle et étudiante.pdf
13 févr. 2022 le monde aura plus que triplé signe d'une véritable révolution dans ... de l'accord national interprofessionnel du 11 janvier 2013 qui ...
Paul Biya pour
des APEUn nouveau
Camair-Co
Janvier 2013 - N° 10
GRANDS CHANTIERS
AGRICULTURE
ENERGIE
MINESINDUSTRIE
SERVICES
FINANCE
P 20P 16P 30
P 4-11
CAMEROUN
INVESTIR
A U -3-Janvier 2013 / N° 1025 La BDEAC va lancer un
emprunt obligataire de 70milliards FCFA en 2013
20 un nouveau
départ pourCamair-Co
8 La diaspora invitée
à participer au
développement de la filière café-cacaoAU SOMM
A IREINVESTIR Au CAMEROuN
Editeur
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19 rue de Veyrier
1227 Carouge/Genève - Suisse
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Impression
27 En 2013, la BEAC prévoit un taux
de croissance de 5,8 % en zone Cemac -4-Janvier 2013 / N° 10 AGriCuLTurE
Maintenant que la "fibataille de
l'énergiefi» est bien engagée, PaulBiya en appelle à la mise en oeuvre
d'une "firévolution agricolefi pour faire de ce secteur un des piliers de notre développement fi».Cultures vivrières, élevages, cultures
de transformation ou d'exportation devront désormais figurer parmi les priorités du gouvernement, dont le chef de l'Etat attend la mise en oeuvre d'une "Il est vrai que, si le potentiel agri
cole du Cameroun est important,les défis à relever pour faire du pays une véritable puissance agricole ne le sont pas moins. Les prix du ma-
nioc et de la plupart des produits alimentaires ne cessent de grimper, la production de maïs en 2012 a été décevante, et le secteur du cacao est montré du doigt du fait de la trop faible qualité de sa production.ESPOIR POUR LA
PRODUCTION BANANIÈR
ELe chef de l'Etat, Paul Biya, a reçu
en audience, en fin d'année 2012, en son palais à Yaoundé, RobertFabre, président de la Compagnie
fruitière de Marseille. Ce dernier annonce sa volonté de développer la production bananière camerou naise a déclaré l'industriel français. Ce dernier a par ailleurs indiqué qu'ilDOUBLER LA
PRODUCTION D
E E S D E UX ANSLa production de maïs
a déçu en 2012. Elle se situe finalement à 1,6 million de tonnes (Mt), alors qu'on attendait des volumes de l'ordre de 1,8 à 2 Mt en raison des conditions clima tiques favorables et de l'extension des espaces cultivables. Toutefois, elle pourrait doubler et atteindre3 Mt au cours des deux pro
chaines années, d'après les esti mations du Programme national d'appui à la filière maïs (PNAFM).Ce doublement serait le fait de nou
velles méthodes culturales, et sur- robert sident de la fruitière deMarseille.
Paul Biya veut
mettre en uvre une " révolution agricole -5-Janvier 2013 / N° 10 AGriCuLTurE
tout de l'usage des semences améliorées. En outre, le Ministère de l'agriculture et du développe ment rural (Minader) encourage la création des Groupements d'initia tives communes (GIC) afin de faci liter la distribution des semences améliorées, qui favorisent l'amélio ration de la production.Ces cinq dernières années, quelque
60 milliards FCFA ont été mobili
sés pour l'acquisition des semences, permettant de doper la production et de réduire la demande. La sous- production actuelle serait à l'ori gine de la hausse des prix consta tée sur le marché, puisque le kilo de maïs est passé ces derniers jours de 150 à 200 francsCFA, soit une hausse de 33%.
DOUBLER LA PRODUCTION
D ERIZ D'ICI 2015
Le riz, qui est devenu la denrée
alimentaire la plus consommée auCameroun, est essentiellement im
porté. La production camerounaise de la Semry est essentiellement ex portée vers le Nigeria, qui dispose de davantage de décortiqueuses.Selon le Premier ministre ca
merounais, les moyens ont été plani -fiés pour changer cetétat de fait et faire
passer la production came rounaise de riz de 100000 tonnes
aujourd'hui à 205000 tonnes d'ici
2015.BOOSTER LA
TRANSFORMATION LOCAL
EDU COTON
Afriland First Bank, Ecobank et la
SCB, trois institutions bancaires
camerounaises, viennent d'accor- der un crédit de 5 milliards FCFAà la Cotonnière Industrielle du
Cameroun (CICAM), entre
prise publique camerou naise spécialisée dans la transformation du coton. La convention de ce prêt garanti par l'Etat du Cameroun a été signée le 26 décembre dernier à Yaoundé, en présence du ministre desFinances, Alamine Ous
mane Mey, et de M me YaoAïssatou, directrice géné
rale de la Société nationale des investissements (SNI), bras armé de l'Etat du Came roun en matière d'investissements.Ce crédit octroyé à la CICAM va
-6-Janvier 2013 / N° 10 AGriCuLTurE
permettre à cette société publique de rénover ses machines pour boos ter sa capacité de transformation du coton en la portant à 6500 tonnes par an, contre 3000 tonnes actuel lement.PRODUIRE UN CACAO DE M E ILL E UR EQUALITÉ
La cote du cacao camerounais est en
baisse sur le marché mondial. SelonOmer Gatien Malédy, secrétaire
exécutif du Conseil interprofes sionnel du cacao et du café (CICC), aujourd'hui, le cacao camerounais est en décote de 40 livres par quintal, soit 400 FCFA de moins sur le prix du kilogramme, qui est d'environ 1400 FCFADans le but de sensibiliser les pro
ducteurs à ce problème majeur, une opération coup de poing a été menée par la CICC le 27 décembre dernier pour combattre le séchage du cacao sur le bitume, pratique à laquelle s'adonnent les producteurs vivant aux abords de l'axe routierYaoundé-Ntonga. A cette occasion,
1000 kg de cacao séchés sur le bi
tume ont été saisis dans les localités de Bafia (région du Centre) et deNtonga (région de l'Ouest). "
C'est une tournée de sensibilisation mus clée qui vise à montrer à la commu nauté internationale que nous avons pris des mesures pour éradiquer les mauvaises pratiques dans la filière cacao-café», a déclaré Omer Gatien
Malédy.
Il était grand temps de réagir
2000 tonnes de cacao camerou-
nais ont été refoulées
des ports eu ropéens parce que sentant la fumée. F LAMB E DES Pri X Sur LES MArCH S Du C AMEr O uN cette semaine a été marquée par la raréfaction des stocks de certains produits de grande consommation (plantain, manioc, igname et pomme de terre) dans les marchésurbains et périurbains après les fêtes de Noël et de Nouvel An. Cette situation a engendré la
persistance des prix à la hausse, similaire à celle de la semaine dernière (soit de 18 à 33%).
Par contre, la tendance des prix est à la baisse dans les marchés ruraux (soit 2 à 25%) -7-Janvier 2013 / N° 10 AGriCuLTurE
Celui qui a acheté [ce cacao] est en
train de perdre au moins trois mil liards FCFA. La situation est bien grave », a annoncé, ce 10 janvier2013, André Bélébeni, président
de l'Association nationale des producteurs de cacao et de café (ANPCC). Cette sortie média -tique du président de l'ANPCC fait suite à la décote que subit en ce moment le cacao camerou nais sur le marché international,à cause de sa mauvaise qualité.
Laquelle est principalement due
aux conditions de séchage. Dans le Sud-Ouest, l'un des bassins de production du cacao au Came- roun, du fait des réalités clima tiques qui imposent la récolte du cacao en saison des pluies, le cacao est généralement séché soit sur le bitume, ce qui est interdit, soit au feu, sur des séchoirs tra ditionnels, ce qui lui donne une odeur de fumet. MC Dé C S DuDirECTEur
G N rAL DE PAMOLCONFirMé Au POSTE DE DG DE LA CDC
-8-Janvier 2013 / N° 10 AGriCuLTurE
L'Ambassade du Cameroun à Paris
accueillait ce mercredi le directeur général de l'Office national du café et du cacao (ONCC), Michael Ndo ping, qui a, tour à tour, invité la diaspora à venir investir dans les fi lières, souligné l'avenir des produits du terroir camerounais, et évoqué l'impact de la nouvelle législation européenne sur le cadmium et la réglementation de l'Ohada, qui fera la place belle aux coopératives face aux GIC, ceci en 2013.Investir au Cameroun
Q uel est l'objectif de votre venue ici à Pa- ris : Nous avons été un pays producteur pendant très longtemps et nous pensons qu'il est temps que nous passions à l'étape de la transformation et de la consommation locale. Pendant des années, nous avons exporté le bulk », mais les spécialistes nous disent que le Cameroun disposequotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] L apprentissage à l université Réunion d information 2015
[PDF] L apprentissage tout au long de la vie, une perspective européenne.
[PDF] L Assemblée Nationale a délibéré et adopté en sa séance du 28 juin 1996 ;
[PDF] L assistante maternelle fait visiter à l employeur les pièces auxquelles l enfant aura accès.
[PDF] L assistante sociale* de l établissement, se tient à votre disposition pour tous renseignements complémentaires que vous souhaiteriez obtenir.
[PDF] l Association des déchets solides du Nouveau-Brunswick
[PDF] L Association pour le Développement du service public Médico-Social (ADMS)
[PDF] L ASSURANCE COMPLÉMENTAIRE SANTÉ OBLIGATOIRE : SYNTHÈSE
[PDF] L assurance emprunteur en crédit immobilier
[PDF] L assurance-vie multisupport, pour la constitution de votre patrimoine
[PDF] l atelier collectif : une nouvelle approche de la sante sexuelle des PVVIH
[PDF] L E S AVOIR R ÉNOVER. Pierre & Vacances
[PDF] L e vélo de ville, le vélo de course et le V.T.T. :
[PDF] L eau dans les documents d urbanisme. L approche des solutions environnementales de l urbanisme CAUE 40 26 mai 2011