ceremonie dinauguration du pont de jacqueville allocution de de
de Bouaflé le 15 janvier 2015
IMPACT DES VIOLENCES SEXUELLES DE LENFANCE À LÂGE
DÉNI DE PROTECTION DE RECONNAISSANCE. ET DE PRISE EN CHARGE : ENQUÊTE NATIONALE. AUPRÈS DES VICTIMES. ASSOCIATION MÉMOIRE TRAUMATIQUE ET VICTIMOLOGIE. Mars
Les droits fondamentaux des étrangers en France
la matière est aujourd'hui encadrée à un double niveau : par le droit péenne avait été annoncé début 2015 pour mener à bien l'Opération.
Volume 5 No 1 Janvier 2015 screen view
1 janv. 2015 Éditorial – Père François Buet – Conseiller spirituel de WOOMB France 2. La transmission de la vie et le rôle de la famille.
Calcul mental - Mathématiques du consommateur
Cette technique fonctionne bien pour C'est aujourd'hui le 18 janvier. ... Calcule l'aire d'un parc de forme rectangulaire mesurant 21 m de.
Les archives des écrivains leur place en bibliothèque
PINÇON Juliette
Rapport Grande pauvreté et réussite scolaire
12 mai 2015 L'école aujourd'hui n'est pas l'école de la réussite pour tous ... 10 CESE
Représentation des bidonvilles dans les médias haïtiens de 2001
confirment entre autre qu'aujourd'hui près de 54% de la population correspondent à environ 40% de la croissance urbaine (UN-Habitat
BIBLIOTHèQUES ET INCLUSION
Les bibliothèques après les événements de janvier 2015 Ainsi
Humanitaire 40
1 mai 2015 Table ronde organisée le 12 février 2015 et animée par Paul Benkimoun ... Aujourd'hui encore quatre ans après le début de l'épidémie et ...
SOMMAIRE
esétablissements.28 unlnlnL'école confrontée à l'aggravation de la détresse sociale: des enfants et unlnonUne difficulté supplémentaire dans la situation de grande pauvreté: la sortiesscolaires.....42 ...............42 raisonnables43 unénénMmL'école face à la dégradation de la situation sanitaire des enfants de sociale 52unénén[mAméliorer les conditions de travail des personnels médicaux et sociaux 4 juste desmoyens ................................74 lnunénMieux accompagner les élèves socialement défavorisés dans leur travail personnel lnunénGmLa prise en charge des élèves hors temps scolaire: l'accompagnement lnunonPorter une attention soutenue à la scolarisation et à la scolarité des élèves duVoyage..........85 mmune88 pauvres? 90
sociales.................91
lnlnlnômDes pistes pour réaliser et faire vivre l'hétérogénéité de la population
scolaire 96lnlnénMmUne organisation de la scolarité en cycles et une attention portée aux lnlnén...mUne utilisation pertinente des nouveaux rythmes scolaires à l'école primaire 112
lnlnén]mUne utilisation de l'outil numérique au service de la réduction des inégalités 113
lnlnén- mLamiseenoeuvred'uneéducationartistique,culturelleetscientifique,un 5 pourréduireles plusdifficiles lnénlnL'indispensable progrès attendu dans la formation professionnelle des personnels lapartdespersonn els lnonunôm...Mais aussi des avancées qui montrent la voie pour une "réelle lnonlnGmÉtat, collectivités territoriales et associations: l'accompagnement à la 8 32
. Veiller à rétablir tous les postes d'inspecteur de l'éducation nationale chargés de mission "maternelle» et à conforter les 33
. Poursuivre de façon volontariste et pilotée l'implantation du dispositif" urbain esetrurales(80 34
formation nécessaires des personnels candidats aux fonctions d'enseignantsspécialisés(81 dotations budgétaires au sein du système éducatif de manière à concentrer les moyens disponibles endirectiondel'écoleprimaire,età mieuxdoterlescollègesetleslycées qui accueillent une part importante d'élèves ayant besoin d'une attentionparti culière(75). 29
. En réponse à un projet pédagogique garantissant une utilisation efficace des moyens attribués,diminuerprogressivement etcontractuelle mentleseffectifsdes classes desécoles primaires et des collègesenREP+(76).
Promouvoir une
école plus
inclusiveMixitésocialeet
scolaire -espistespour réaliseretfaire vivre l'hétérogénéitéde lapopulation scolaire - L'affinement de la procédure d'affectation, une avancée versdavantagedemixitésociale(96) - Un travail conjoint État-Collectivités territoriales sur la sectorisation (97) - L'amélioration du climat scolaire, généralementun préalableindispensable(98) - Uneoffrede formationde qualité quel que soit l'établissement(99) - Uneattributiondesmoyensprenantencomptel'obligation - Différencierlesdotationsauxétablissementsprivésselon descritèressociaux(102) - Elaborerdeschartessignéesparlesétablissementsprivés et les autorités académiques pourfavoriser la mixité sociale(102)4.Rechercher une meilleure
répartitiongéographiquedesfamilles nouvellement arrivées en France pour éviter une tropforte concentration des enfants dans lesécolesetlesétablissementsscolaires
(38).Accompagnement
dutravail personneldesélèves
35. Porter à l'ordre du jour des conseils d'école et des conseils d'administration des établissements scolaires, la quest ion des modalités d'accompagnement de tous les élèves pour le travail personnelquileurestdemandé(81). 36
ex posé, seul ou en groupe, ne devraitêtre donnée sans que l'enseignantn'aitvé 37
dans les internats et dans les collèges hors éducation prioritaire (84). 26
decedossierl'évaluationsociale(72). 11 67
68
. Réactiver et utiliser le pacte pour la réussite éducative pour
élèves(161).
12INTRO-UCTION
1 ,1,2milliond'enfants 2 ,soitunenfantsur dix,sontdesenfantsdefamillespauvreséconomique,l
périoderécenteet peu médiatisé. l'origine sociale pèse le plus sur les destins scolaires. L'école a une part importante de responsabilité dans ce constat, mais l'échec scolaire de trop nombreux enfants issus de ?LesécartsderéussitescolaireRépubliquecar
liés desch Une clarification est d'emblée nécessaire concernant l'intitulé de la mission "Grande pauvretéetréussitescolaire avisrenduen1987restepleinementvalide leurs obligations professionnelles, familiales et sociales, et de jouir de leurs droitsfondamentaux. L'insécurité qui en résulte peut être plus ou moins étendue et avoir des
unavenirprévisible» 3 Associer la grande pauvreté et la "réussite scolaire», signifie avoir une obligation de
origine sociale accèdent, à l'issue de la scolarité obligatoire, au socle commun de technologique ou générale d'égale dignité. Sans s'interdire des observations ponctuelles 1Réunion.
2 Données d'Eurostat 2012. Analyse de l'Observatoire des inégalités, www.inegalites.fr/spip.php?page=article&id_article=1630&id_groupe=9&id_mot=76&id_rubrique=1. On 3 13 trajectoiresultérieures desélèves faire le "cadre explicatif» 4 unique de l'échec scolaire des élèves les plus démunis et à Les milieusocio-économiqueetlaperformance»estbienplusmarquéeenFrance"
quedansla plupartdesautrespaysdel'OCDE estplusinégalitairePortugal,enEspagneetenSuède
».Enfi
n,enFrance," lesélèvesissusd'unmilieusocio- rapportàlamoyenned espaysdel'OCDE» 5 origines sociales, elle le fait en demandant au système éducatif d'évoluer dans son La mission "Grande pauvreté et réussite scolaire» qui nousa été confiée offre donc
stagner,voireàrégresser 6 4 5 6 200314
L'honneu
donné, scolaire,changerderegard» 7 ces difficultés s'accroissent avec l'aggravation de la crise économique. Comment entrer senourrir,pours'habiller,poursecultiver entre les enfants pour que les plus démunis d'entre eux puissent mieux répondre aux exigencesscolaires c'est-à-direqui soit organisé pour que tous les enfants réussissent et qui ne soit pas essentiellement concentré sur la fonction de sélection des meilleurs ?Pourquoi ne lesinégalités elles si dépendantes des origines sociales? En bref, pourquoi ça ne change pas ou si lentement? collectivementune" préférencepourl'inégalité 8Difficil
le pays affronte une crise économique qui dure, un chômage de masse qui exclut des ionsde l'É cole en direction desplus démunis. Difficiles aussi car faire réussir tous les élèvesnécessite davantage de partage et de fraternité et oblige à dépasser certains intérêts
particécole s'est en effet transformée et a transformé la France. La création du baccalauréat
la décentralisation, pour ne prendre que ces faits, ont permis de massifier notre 7 8 crisedessolidarités,Seuil,2014. 15 ouvrier professionlibérale 9 lesdeuxenmêmetemps» 10 les niveaux du système que chaque mesure prise améliore la situation des élèves en La [...]- réduireàmoinsde10%l'écartdemaîtrisedescompétencesenfindeCM2entreles - diviserpardeuxlaproportiondesélèvesquisortentdusystèmescolairesansqualificationL'objetdelamission
toute la mesure du problème et de permettre aux différents acteurs et partenairesdu16juillet2014):
famillesengrandedifficulté; Les moyens pédagogiques pour assurer la réussite de tous et la qualité de la formationdespersonnels. 9 novembre2014,pages16et17. 10 l'UniversitéParisVIII. 16L'organisationdelamission
1) parfaite complémentarité, la rapporteure de l'av is du CÉSE, Marie-AlethGrard, Vice-CÉSEetnotremissionministérielle.
2) déplacements: CÉ SE expérimentation (DRDIE) à la Direction générale de l'enseignement scolaireDGESCO
,conseillère delarecherche. D'a utresmembresdugrou travaildeleurexpertise: - Jean-FrançoisCHESNE,représentantCatherineMoisan,DEPP;DGESCO
Guylène MOUQUET-BURTIN, Inspectrice d'académie, directrice académique des Caroline VELTCHEF, Inspectrice d'académie, inspectrice pédagogique régionale laviolence; La mission a en outre bénéficié du total appui du doyen de l'inspection générale de 17 département recherche, développement, innovation et expérimentation de la Direction sontravail. 3)Recueildesdonnées
enannexe n°5). :Aix -Marseille, plussouventdanschaqueÉ n°4 La mission a en outre rédigé un guide de visite en école ou établissementpour les inspecteursdeneufacadémies :AixReims,Réunion,Rouen.Lami
Enfin, la mission a participé à plusieurs reprises aux travaux du Conseil National des ouséminaires(annexesn°6et n°7). 4)Plandurapport
vreté. f Uneconcentrationindispensabledeseffortsetdesmoyenspourmieuxvenir en aide aux enfants des familles pauvres, condition nécessaire pour uneégalitédesdroits.
f Une politique globale pourune école plus inclusivequis'organise pour f Une politique de formation et de gestion de ressources humainespour réduirelesinégalités f Uneallianceéducativeentrel'école,lesparents,lescollectivitésterritoriales, lesassociations.élibéréede
lesassociations. 18 un L'ÉCOLEFACEAUXSITUATIONS-EGRAN-EPAUVRETÉ-ESÉLÈVES
19 ununLapauvretéenFrance
unununLapa retéa gmenteetchangede isage
inégalités 11 eurosparmois(22eurosparjour)po médian 12 , soit en situation de grande pauvreté, selon l'Insee (données 2011). Pour ces personnes, il est quasiment impossible notamment de se loger sans compter sur l'aide d'autrui, de parents ou d'amis» 13 .Près de 700 000 personnes n'ont pas de domicile ,"des 2014[...]Cettesituation
Defait,ilya
mallogés,signedepauvreté 14 accueils du Secours catholique est le fait le plus marquant de ce rapport, signe d'une 15 La pauvreté est désormais plus visible qu'auparavant car elle rajeunit et se concentre 16 11 2014.12
Onutilise en Europeun seuil de pauvretépar pays, calculé en proportion du revenumédian. Pour
13 14 commerce,Ohéditions,2004. 15 16 20Defait,p
parisienne onnes pauvres vivent dans de très grandes villes : 15,5 % de l'ensemble habitent dans l'agglomération parisienne et 29 % dans les autres agglomérations de plus de 200 000 habitants,soit44%dutotal.Maisl'Ile- de grandepauvreté,desHauts- de-SeineàlaSeine-Saint-Denis» 17 icicscNB:BLeprmiqrlrféBfmlrfopBfnr
18 .Maislesenfantsen situationdepauvreté" entre tous. Tous les enfants vivant dans notre pays doivent pouvoir grandir dans des conditions et un environnement relativement équitables qui favorisent leur pleinépanouissement
19 de2,5Ces1,2milliond'enfantsde
décemment dans une société riche comme la France. Pour partie, il s'agit d'enfants de de l'exclusion sociale, interview donnée dans FIGAROVOX, 17 octobre 2014. Voir aussi, 17 18 artistique(art.31). 19 novembre2012,p.24. 21manque de moyens, des conditions de vie difficiles, constituent des obstacles 20 icicfc
Le Secours p
opulaire français observe l'aggravation de la situation pour de nombreuses familles 21.L eSecours catholique fait le même constat :"Le taux de pauvreté des familles est en constante augmentation depuis 10 ans, tout particulièrement celui des familles monoparentales. L'augmentation de la présence de couples avec enfants dans les accueils du Secours ancréedansnotrepays enfants 22
Dansunrécentrapport
23»,etregrette"lepeude
viequotidiennedesjeunes aujourd'hui,notammentdepuislecolloque"Vivrelapauvretéquandonestunenfant
organiséle21novembre2011àParis 24d'u de-France,Provence-Alpes-Côted'Azuret sducolloque 25
CAF).EnFrance,
20 2122
23
riches,28octobre2014. 24
25
journee.pdf. 22
46 % des enfants pauvres vivent dans une famille monoparentale, contre 20 % pour
plusélevéechezlesenfantspauvres. enfantspauvres. ,unpeumoins d'unesurdeux occupeunemploi. 26La faiblesse des ressources instaure de fait une dépendance aux prestations CAF, plus intensechezlesfami revenusfamiliaux.
Surl'ensemb
illespauvres. es. Com Pauvreté et de l'Exclusion Sociale (ONPES), Monsieur Jérôme Vignon, que nous avons pauvretédesenfants acteursconcernés.PréconisationN°1
scents. La consultation nationale des 16-18 ans effectuée par l'UNICEF en 2013 27apporte un 26
e annéedemise
Sociales,janvier2015.
27paysriches,mai2012. 23
du système de soins, plus marginalisés dans leur quartier, plus en insécurité dans leur adultesendéveloppement». icicFc populations pauvres dans des territoires défavorisés n'est pas la meilleure manière de n. -arrivants
écoles et le centre social, basé sur un diagnostic partagé et sur une connaissance complémentaire des
familles»."Nous avons toujours connu une relative pauvreté dans la population. Mais le phénomène nouveau est
2829
30
,dontlesdeuxpremierssont - Desterritoiresàcumuldefragilitéséconomique,familialeetculturelleenmilieuurbain(379cantons - Desterritoiresàprécaritééconomiquedanslespetitesetmoyennescommunes(521cantons,un cantonsurseptmaisunhabitantsurdouze). 28
2014.
29
30
Ibid.,pages11à14.
24ununan fml:BLeprl'Lr sQtffretum:BlmtLvtLpl
Lapauvretépeutêtreinvi
sible l'exclusion sociale (O NPES)rendu public en juin 2014met bien en évidence cette invisibilité 31Les statistiques publiques appréhendent difficilement la grande exclusion, notamment mettreenoeuvre homme n'a pas de moyen plus sûr que de devenir pauvre» 32
. Malgré l'attention des personnels desécolesetdesétablissements situations difficiles. C'est ce que déclareun proviseur de la Guadeloupe à la mission: 33
.Undesescollèguesdela
Martiniqueditlamêmechose
34Dansuneécolevisitée,les
relesfamilles" onsaitquedes».DanslaMeuse,
pauvretéoubliéeLapauvreté
un peu moins isolées, d'introduire un peu d'humanité, de faire face à l'indifférence générale 35.Unprovise rencontréesparlespersonnels extrêmes et les prennent spontanément en compte, elles sont également rappelées fréquemment aux enseignants par l'assistante sociale, l'infirmière ou les conseillers principauxd'éducation .Cela concernés. De plus les signes extérieurs (habillement, accessoires, etc.) ne sont pas d es 36
lescatégoriessocio- professionnelles(CSP). sdevied esesélèves?Non,bien Laquotesdbs_dbs27.pdfusesText_33
[PDF] Bien chers amis membres de l`association sportive du Golf de
[PDF] Bien Chez Soi Bien dans son projet !
[PDF] Bien choisir et associer les bulbes à floraison printanière - Anciens Et Réunions
[PDF] Bien choisir et régler la chaudière - Biomasse
[PDF] Bien choisir les premières chaussures des toutpetits
[PDF] Bien choisir les vitrages de votre véranda - Conception
[PDF] Bien choisir sa calculatrice
[PDF] bien choisir sa carte de crédit - Anciens Et Réunions
[PDF] Bien choisir sa grille de défense - Technologie
[PDF] Bien choisir sa hotte de cuisine - Anciens Et Réunions
[PDF] Bien choisir sa longueur de collier
[PDF] Bien choisir sa maison sa résidence
[PDF] bien choisir sa porte de garage
[PDF] Bien choisir sa puissance - sicae