Santé Protection sociale Solidarité
15 mai 2012 l'arrêté du 4 janvier 2012 relatif à la constitution ... d'accueil et de recrutement des stagiaires associés ... Enfance et famille.
Santé Protection sociale Solidarité
15 févr. 2012 de l'enfance (FNFPE) ... prestation d'hébergement de données de santé à caractère ... l'accueil de jour et de l'hébergement temporaire.
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24 déc. 2011 des agents de la fonction publique territoriale (04/01/12) ... n° 5510/SG du 25 janvier 2011 définissant le cadre de création d'un service.
ACCOMPAGNEMENT SOINS PALLIATIFS
? Dans le cadre d'une hospitalisation ou de soins* (au sens sanitaire) : Il sera proposé au patient de désigner une personne de confiance pour l'accompagner
RECUEIL DES ACTES ADMINISTRATIFS
ARRÊTÉ N° 11/CAB/631 PORTANT ATTRIBUTION DE LA MÉDAILLE D'HONNEUR DU TRAVAIL Conseillère d'accueil d'assurance maladie CPAM DE LA VENDEE
Rapport annuel – D ocum ent de référence 2011 Rapport annuel
20 mars 2012 SFR lance avec Google™ et Samsung le « Nexus S » la toute dernière génération de ... d'expression qui garantisse la sécurité des enfants.
Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de Surveillance (GPIS)
1 mars 2015 d'appartenance des jeunes au quartier leurs pratiques ... prestation de service
recueil n°1
23 déc. 2011 PREFECTURE DE L'YONNE. Recueil des Actes Administratifs n°01 du 13 janvier 2012. ---ooOoo---. S O M M A I R E. N° d'arrêté.
ACCOMPAGNEMENT SOINS PALLIATIFS
Date de mise à jour : décembre 2016. Conception et réalisation : CASSPA 49 en lien avec les 4 EMSP. Impression : INFOCAP. Ce document est le fruit d'un long
BNP
3 déc. 2019 té à la religion en d'autres termes ... tennismen australiens
![Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de Surveillance (GPIS) Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de Surveillance (GPIS)](https://pdfprof.com/Listes/20/22629-20GPIS_rapport_integral_version_def.pdf.pdf.jpg)
L'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région d'Île-de-France est une fondation reconnue
d'utilité publique par décret du 2 août 1960, financée par la Région Île-de-France et par l'État.
15, rue Falguière - 75740 Paris cedex 15 - 33 1 77 49 77 49 - www.iau-idf.fr
n° d'ordonnancement : 20.14.01Mars 2015
Le Groupement Parisien
Inter-bailleurs de Surveillance (GPIS)Sociographie d'une exception parisienneRapport intégral
IAU île-de-France
Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de Surveillance (GPIS) - Sociographie d'une exception parisienne - Rapport intégralMars 2015
Le Groupement Parisien
Inter-bailleurs de Surveillance
(GPIS)Rapport intégral
Mars 2015
IAU île-de-France
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TÈl. : + 33 (1) 77 49 77 49 - Fax : + 33 (1) 77 49 76 02 http://www.iau-idf.fr Directrice gÈnÈrale : ValÈrie Mancret-Taylor Directrice de la Mission PrÈvention SÈcuritÈ : Sylvie Scherer ...tude rÈalisÈe par Virginie Malochet, sociologue, Mission PrÈvention SÈcuritÈ Avec la collaboration de Camille Gosselin, urbaniste, Mission PrÈvention sÈcuritÈ : 20.14.01Crédit photos de couverture : GPIS
: Virginie Malochet, Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de , Rapport intÈgral, IAU ÓdF, 2015. - 2 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgral Remerciements : équipe de direction du GPIS, pour avoir acceptÈ service et des encadrants, pour prÍtÈs ; tous lesbailleurs, partenaires et consultants qui ont bien voulu nous accorder de leur temps pour nous livrer leur vision du GPIS ;
la moitié n ;HÈlËne Joinet et Philippe Pauquet du DÈpartement Habitat et SociÈtÈ our leurs ÈlÈments de cadrage Èclairants sur le
logement social ‡ Paris. Que toutes et tous soient ici remerciÈs pour leur prÈcieux concours ‡ cette Ètude.
- 3 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgralSommaire
Introduction 5
1. Un dispositif unique en son genre 7
1.1. Un acteur singulier dans le abitat social et de la sécurité urbaine 7
1.1.1. 7
7 policing territorial 9 Un signe de la mobilisation croissante des bailleurs sur le champ de la tranquillitÈ 101.1. 13
Le contexte initial 13
Les prÈmisses 14
La crÈation du GIE 15
1.1. : repËres chronologiques 16
Extension du domaine couvert 16
Internalisation progressive du dispositif 17
Reconfigurations organisationnelles 18
181.2. Un groupement inter-bailleurs producteur de sÈcuritÈ privÈe 21
1.2.1. Cadre juridique : un statut hybride 21
Une activité privée de sécurité 21
Une forte dimension parapublique 22
Un statut diffÈrent de celui du commun des vigiles 231.2.2. Mode de gouvernance : des dÈsÈquilibres structurels 24
Les bailleurs administrateurs, les membres associés et la ville comme partenaire 24 25Des questions budgÈtaires dÈterminantes 27
1.2.3. Organisation interne : le ´ nec plus ultra ª de la sÈcuritÈ privÈe 29
Un groupement trËs structurÈ 29
Un pilotage opÈrationnel optimisÈ 31
Une exigence de qualitÈ professionnelle 33
Point conclusif sur la première partie 37
2. 39
2.1. Le travail au quotidien 39
2.1 39
La prise de service 39
40Un mode de dÈploiement trËs ´ carrÈ ª 41
2.1.2 41
42Un travail permanent de reconquÍte 43
Des situations ‡ gÈomÈtrie variable 46 - 4 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgral2.1.3. Le collectif de travail 48
...lÈments de diffÈrenciation interne 48Une forte rÈgulation de contrÙle 49
intermédiaire 502.2. Le GPIS sur la scËne parisienne 53
2.2.1. Face au public : une logique de mise ‡ distance 53
Des rapports sous tension 53
Un mÈtier Èprouvant 55
Une posture dÈfensive 57
2.2.2. Aux cÙtÈs de la police nationale : un partenariat serrÈ 59
Une coopÈration effective reconnue par tous 59RÈalitÈ(s) du partenariat 60
Sans confusion des rÙles ( ?) 62
2.2.3. Vis-‡-vis des autres acteurs locaux : une articulation minimale 66
Des liens institutionnels 66
Pas de connexion sur le terrain 67
Pour une coordination renforcÈe 68
Point conclusif sur la deuxième partie 70
3. Regards Èvaluatifs et prospectifs 71
3.1 71
3.1.1. Outputs : une prestation ‡ la hauteur 71
Une structure professionnelle et sÈrieuse 71
Un systËme souple et adaptable 73
Un dispositif conforme aux attentes 73
3.1.2. Outcomes 74
Quid de la satisfaction des locataires ? 75
Quid ? 76
Un 78
3.2 81
3.2.1. Voies de dÈveloppement du dispositif parisien 81
: renforcer les prÈrogatives 81 LÈgitimation sociale : travailler la dimension relationnelle 833.2.2. 84
Reproduire ailleurs, Ètendre ou dupliquer au-del‡ du pÈriphÈrique ? 84DifficultÈs de transposition 86
Point conclusif sur la troisième partie 88
Conclusion 89
Bibliographie 93
Annexes 95
- 5 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgralIntroduction
Un dispositif sans Èquivalent
Créé en 2004, le Groupement Parisien Inter-bailleurs de Surveillance (GPIS) intervient la nuitdans les parties communes des rÈsidences HLM pour ´ prÈvenir la dÈlinquance, garantir la
jouissance paisible des lieux, renforcer le sentiment de sÈcuritÈ des locataires et affirmer
ª. FinanciËrement soutenu par la ville de Paris, un omique (GIE) qui associe douze organismes HLM, emploie plus de 200 salariÈs et relËve du cadre rÈglementaire des activitÈs privÈes de sÈcuritÈ. bleu sombre, armés de bâtons de défense et de bombes lacrymogènes, les agents du GPISforment des Èquipes mobiles qui se dÈploient de 19h ‡ 5h du matin sur appel des locataires et
parisienne. Unique en son genre, il est nÈanmoins rÈvÈlateur de tendances plus largement
locales et des bailleurs sociaux dans le domaine de la tranquillitÈ rÈsidentielle. Il tÈmoigne de
Un traitement médiatique souvent orienté
À ce titre, le GPIS
existantes et accessibles sont somme toute limitées, et souvent très orientées. Outre le site web
du GPIS et les autres documents officiels Èmanant des bailleurs ou de la ville (qui en livrent une
prÈsentation institutionnelle forcÈment favorable), les sujets parus dans les mÈdias traditionnels
recherches préliminaires sur ce plan, on a notamment pu repÈrer :- quelques articles publiÈs dans la presse gÈnÈraliste ou spÈcialisÈe qui relaient une vision plutÙt
positive du GPIS, considÈrÈ sinon comme un exemple ‡ suivre, du moins comme une initiative
porteuse1;- une poignÈe de reportages tÈlÈvisÈs qui mettent en scËne ´ ces unitÈs trËs spÈciales ª sur un
mode assez sensationnaliste, insistant sur les courses-poursuites et les dÈcouvertes deproduits stupÈfiants (ce qui ne correspond pas forcÈment ‡ la rÈalitÈ ordinaire du travail)2 ;
- une les gros bras du GPIS ª ‡une ´ simili-police ª et voient dans cette ´ milice privÈe des bailleurs ª ´ un nouveau pas vers
la privatisation totale de la sÈcuritÈ ª3 incluant un dossier ‡ charge sur ´ les sales mÈthodes
du GPIS ª4.Une étude pour
Par-- de- acteurs concernés. elle vise ‡ apporter un Èclairage1 ´ patrouille en permanence pour rappeler les rËgles de savoir-vivre dans les 73.468 logements du parc sur lequel il
veille ª, peut-on lire par exemple in ´ Paris : la police durcit le ton dans les zones sensibles ª, Le Figaro, 13/11/2011.
2Cf. par exemple l Sous haute surveillance. Les vigiles ª, diffusÈ sur TF1 en 2007.
3 Cf. notamment : ´ SÈcuritÈ : pas de policiers mais des vigiles pour les HLM ª, Marianne.net, 04/01/2012. URL :
http://www.marianne.net/Securite-pas-de-policiers-mais-des-vigiles-pour-les-HLM_a214098.html; ´ La sÈcuritÈ, une affaire de plus en
plus privÈe ª, Slate.fr, 18/01/2012. URL : http://www.slate.fr/story/48859/securite-police-privee
4 ´ Les sales mÈthodes du GPIS, chargÈ de surveiller les HLM parisiennes ª, Mediapart, 25/08/2012. URL :
- 6 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgralUne mÈthodologie qualitative
tive. Pour - in situ (dans les locaux du GPIS et sur le terrain), ce qui reprÈsente 1. première est pleinement assumée : pour des questions de temps et de moyens, nous avons stricto-sensu et de nous concentrer sur les acteurspoints de vue des locataires, leurs retours en tant que cibles et/ou bénéficiaires potentiels du
GPIS, mais ce se
volonté et tient à nos conditions dans les rangs du GPIS de leurs chefs de groupe que nous les avons rencontrÈs et suivis dans le cadre des vacations riche et d compréhension des nouvelles formes de policing 2.Un rapport en trois temps
Les résultats de ce travail sur le GPIS sont ici restituÈs de maniËre relativement exhaustive au
3. Celui-
actuelle. de vue plus pratique, la seconde partie rend compte du travail au quotidien et -‡-vis des partenairesdévelopper une réflexion évaluative et prospective, de croiser les regards en la matiËre, ‡ la fois
pour tirer un bilan gÈnÈral du dispositif et pour ouvrir quelques p. 1 Cf. 23 Pour une version synthÈtique, cf. Le GPIS. , Rapport synthétique, IAU îdF, mars 2015.
- 7 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgral1. Un dispositif unique en son genre
de tranquillité, le GPIS singulier. qui ne manque pas de susciter la curiositÈ, un dispositif tout ‡ fait original sécurité urbaine.1.1. Un acteur singulier dans le
sécurité urbaine quelles circonstances a-t-il ÈtÈ crÈÈ ? -il dÈveloppÈ ? Retour sur les conditions émergence et les Ètapes marquantes vient de .1.1.1. La marque nouveau rÈgime de coproduction de la sÈcuritÈ
Si atypique soit-il, le GPIS plus général marquÈ parUne rÈponse ‡ la
la saillance des enjeux de sÈcuritÈ . effectivement sur eux que se focalise le dÈbat public sur des quartiers si communÈment stigmatisÈs se passent mÍme dÈsormais de qualificatifs : nul besoin d populaires ª ou ´ dÈfavorisÈs ª,les seuls mots ´ quartiers ª, ´ citÈs ª ou ´ banlieues ª suffisent ‡ Èvoquer une sÈrie de
reprÈsentations nÈgatives, ‡ activer un imaginaire collectif crispÈ sur la figure des ´ jeunes ‡
capuche ª, ‡ Èveiller la hantise des ´ sauvageons ª qui empoisonnent la vie des habitants les
moins nantis1. Largement disqualifiÈs, ces quartiers font peur. Ils cristallisent le sentiment
nt les discours politico- (supposÈe) de ladÈlinquance juvÈnile et de la violence urbaine2. ¿ ce titre, les Èmeutes de novembre 2005 ont
prÈcarisation des populations dans les quartiers3.Il ne faudrait pas pour autant subsumer ,
sombrer dans une vision par trop alarmiste et rÈductrice qui empÍche de valoriser tout le
potentiel des quartiers4. Aussi importe-t-il de dÈpasser les idÈes reÁues sur les citÈs (im)-
populaires5, de relativiser des zones de non-droit et quartiers habitat social, tou touchés par les phÈnomËnes de Dans un rapport qui a fait date sur le sujet, D. Peyrat esquisse unetypologie par gravitÈ, allant des situations de ´ tranquillitÈ relative ª aux situations de
" la montÈe en rÈgime du niveau de criminalitÈ ª, estimant par contraste sur certains sites rÈnovÈs7.1 LE GOFF T., MALOCHET V., ´ Jeunes des citÈs : prÈsomption de dangerositÈ ª, , n°164, 2012, pp.25-27.
2 MUCCHIELLI L., Violences et insécurité. Fantasmes et rÈalitÈs dans le dÈbat franÁais, Paris, La DÈcouverte, 2001 ; LE GOAZIOU V.,
MUCCHIELLI L., La violence des jeunes en question, Nîmes, Champ social, coll. " Questions de sociÈtÈ ª, 2009.
3LAPEYRONNIE D., ´ RÈvolte primitive dans les banlieues franÁaise ª, Déviance et société,
2006/4 (vol.30), pp. 431-448.
4 KOKOREFF M., La force des quartiers, Paris, Payot, 2003.
5 BOUCHER M., Turbulences. Comprendre les désordres urbains et leur régulation, Paris, Téraèdre, coll ´ RÈÈdition ª, 2010.
6 PEYRAT D., Habiter, cohabiter. La sécurité dans le logement social
7 USH, Politique de la ville et de renouvellement urbain : quelles nouvelles perspectives pour les ? Contribution
- 8 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgral s éléments de relativisation, il ne faudrait cependant pas verser dans sociale et de la discrimination négative1, un symptÙme des transformations es les quartiers populaires ces derniËres dÈcennies2.La dÈlinquance y est indissociable de la concentration de pauvretÈ, des processus cumulatifs de
sÈgrÈgation sociale, ethnique et spatiale3. Elle est en partie acquisitive (vols, rackets, trafics), liÈe
‡ toute une Èconomie parallËle qui permet de pallier les difficultÈs financiËres et de participer ‡ la
sociÈtÈ de consommation4. Mais elle revÍt aussi une forte dimension expressive. Les dÈgradations, ´ caillassages ª et autres ´ bastons ªbanalisée et constitue une forme de rÈponse, difficilement audible, aux frustrations sociales et ‡
bsence de perspectives 5.systématique aux règles établies et ‡ ceux qui les reprÈsentent. CaractÈristique de la sociabilitÈ
juvÈnile des classes populaires, cette culture de rue valorise la virilitÈ, la prise de risques et les
dÈfis entre pairs. Dans ces territoires de relÈgation sociale, les bandes sont comme un refuge, un
moyen de regagner une certaine dignitÈ, une estime de soi souvent mise ‡ mal par le systËme
scolaire et par la sociÈtÈ dans son ensemble6ainsileur attachement à ce terrain familier, conquis, cherchent à tout prix ‡ dÈfendre dans une
quotesdbs_dbs33.pdfusesText_39[PDF] La prévention des rechutes. Dr Catherine de Bournonville CHU Rennes DU addictologie 2011-2012
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