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L'Institut d'aménagement et d'urbanisme de la région d'Île-de-France est une fondation reconnue

d'utilité publique par décret du 2 août 1960, financée par la Région Île-de-France et par l'État.

15, rue Falguière - 75740 Paris cedex 15 - 33 1 77 49 77 49 - www.iau-idf.fr

n° d'ordonnancement : 20.14.01

Mars 2015

Le Groupement Parisien

Inter-bailleurs de Surveillance (GPIS)Sociographie d'une exception parisienne

Rapport intégral

IAU île-de-France

Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de Surveillance (GPIS) - Sociographie d'une exception parisienne - Rapport intégral

Mars 2015

Le Groupement Parisien

Inter-bailleurs de Surveillance

(GPIS)

Rapport intégral

Mars 2015

IAU île-de-France

15, rue Falguière 75740 Paris cedex 15

TÈl. : + 33 (1) 77 49 77 49 - Fax : + 33 (1) 77 49 76 02 http://www.iau-idf.fr Directrice gÈnÈrale : ValÈrie Mancret-Taylor Directrice de la Mission PrÈvention SÈcuritÈ : Sylvie Scherer ...tude rÈalisÈe par Virginie Malochet, sociologue, Mission PrÈvention SÈcuritÈ Avec la collaboration de Camille Gosselin, urbaniste, Mission PrÈvention sÈcuritÈ : 20.14.01

Crédit photos de couverture : GPIS

: Virginie Malochet, Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de , Rapport intÈgral, IAU ÓdF, 2015. - 2 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgral Remerciements : équipe de direction du GPIS, pour avoir acceptÈ service et des encadrants, pour prÍtÈs ; tous les

bailleurs, partenaires et consultants qui ont bien voulu nous accorder de leur temps pour nous livrer leur vision du GPIS ;

la moitié n ;

HÈlËne Joinet et Philippe Pauquet du DÈpartement Habitat et SociÈtÈ our leurs ÈlÈments de cadrage Èclairants sur le

logement social ‡ Paris. Que toutes et tous soient ici remerciÈs pour leur prÈcieux concours ‡ cette Ètude.

- 3 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgral

Sommaire

Introduction 5

1. Un dispositif unique en son genre 7

1.1. Un acteur singulier dans le abitat social et de la sécurité urbaine 7

1.1.1. 7

7 policing territorial 9 Un signe de la mobilisation croissante des bailleurs sur le champ de la tranquillitÈ 10

1.1. 13

Le contexte initial 13

Les prÈmisses 14

La crÈation du GIE 15

1.1. : repËres chronologiques 16

Extension du domaine couvert 16

Internalisation progressive du dispositif 17

Reconfigurations organisationnelles 18

18

1.2. Un groupement inter-bailleurs producteur de sÈcuritÈ privÈe 21

1.2.1. Cadre juridique : un statut hybride 21

Une activité privée de sécurité 21

Une forte dimension parapublique 22

Un statut diffÈrent de celui du commun des vigiles 23

1.2.2. Mode de gouvernance : des dÈsÈquilibres structurels 24

Les bailleurs administrateurs, les membres associés et la ville comme partenaire 24 25

Des questions budgÈtaires dÈterminantes 27

1.2.3. Organisation interne : le ´ nec plus ultra ª de la sÈcuritÈ privÈe 29

Un groupement trËs structurÈ 29

Un pilotage opÈrationnel optimisÈ 31

Une exigence de qualitÈ professionnelle 33

Point conclusif sur la première partie 37

2. 39

2.1. Le travail au quotidien 39

2.1 39

La prise de service 39

40
Un mode de dÈploiement trËs ´ carrÈ ª 41

2.1.2 41

42

Un travail permanent de reconquÍte 43

Des situations ‡ gÈomÈtrie variable 46 - 4 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgral

2.1.3. Le collectif de travail 48

...lÈments de diffÈrenciation interne 48

Une forte rÈgulation de contrÙle 49

intermédiaire 50

2.2. Le GPIS sur la scËne parisienne 53

2.2.1. Face au public : une logique de mise ‡ distance 53

Des rapports sous tension 53

Un mÈtier Èprouvant 55

Une posture dÈfensive 57

2.2.2. Aux cÙtÈs de la police nationale : un partenariat serrÈ 59

Une coopÈration effective reconnue par tous 59

RÈalitÈ(s) du partenariat 60

Sans confusion des rÙles ( ?) 62

2.2.3. Vis-‡-vis des autres acteurs locaux : une articulation minimale 66

Des liens institutionnels 66

Pas de connexion sur le terrain 67

Pour une coordination renforcÈe 68

Point conclusif sur la deuxième partie 70

3. Regards Èvaluatifs et prospectifs 71

3.1 71

3.1.1. Outputs : une prestation ‡ la hauteur 71

Une structure professionnelle et sÈrieuse 71

Un systËme souple et adaptable 73

Un dispositif conforme aux attentes 73

3.1.2. Outcomes 74

Quid de la satisfaction des locataires ? 75

Quid ? 76

Un 78

3.2 81

3.2.1. Voies de dÈveloppement du dispositif parisien 81

: renforcer les prÈrogatives 81 LÈgitimation sociale : travailler la dimension relationnelle 83

3.2.2. 84

Reproduire ailleurs, Ètendre ou dupliquer au-del‡ du pÈriphÈrique ? 84

DifficultÈs de transposition 86

Point conclusif sur la troisième partie 88

Conclusion 89

Bibliographie 93

Annexes 95

- 5 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgral

Introduction

Un dispositif sans Èquivalent

Créé en 2004, le Groupement Parisien Inter-bailleurs de Surveillance (GPIS) intervient la nuit

dans les parties communes des rÈsidences HLM pour ´ prÈvenir la dÈlinquance, garantir la

jouissance paisible des lieux, renforcer le sentiment de sÈcuritÈ des locataires et affirmer

ª. FinanciËrement soutenu par la ville de Paris, un omique (GIE) qui associe douze organismes HLM, emploie plus de 200 salariÈs et relËve du cadre rÈglementaire des activitÈs privÈes de sÈcuritÈ. bleu sombre, armés de bâtons de défense et de bombes lacrymogènes, les agents du GPIS

forment des Èquipes mobiles qui se dÈploient de 19h ‡ 5h du matin sur appel des locataires et

parisienne. Unique en son genre, il est nÈanmoins rÈvÈlateur de tendances plus largement

locales et des bailleurs sociaux dans le domaine de la tranquillitÈ rÈsidentielle. Il tÈmoigne de

Un traitement médiatique souvent orienté

À ce titre, le GPIS

existantes et accessibles sont somme toute limitées, et souvent très orientées. Outre le site web

du GPIS et les autres documents officiels Èmanant des bailleurs ou de la ville (qui en livrent une

prÈsentation institutionnelle forcÈment favorable), les sujets parus dans les mÈdias traditionnels

recherches préliminaires sur ce plan, on a notamment pu repÈrer :

- quelques articles publiÈs dans la presse gÈnÈraliste ou spÈcialisÈe qui relaient une vision plutÙt

positive du GPIS, considÈrÈ sinon comme un exemple ‡ suivre, du moins comme une initiative

porteuse1;

- une poignÈe de reportages tÈlÈvisÈs qui mettent en scËne ´ ces unitÈs trËs spÈciales ª sur un

mode assez sensationnaliste, insistant sur les courses-poursuites et les dÈcouvertes de

produits stupÈfiants (ce qui ne correspond pas forcÈment ‡ la rÈalitÈ ordinaire du travail)2 ;

- une les gros bras du GPIS ª ‡

une ´ simili-police ª et voient dans cette ´ milice privÈe des bailleurs ª ´ un nouveau pas vers

la privatisation totale de la sÈcuritÈ ª3 incluant un dossier ‡ charge sur ´ les sales mÈthodes

du GPIS ª4.

Une étude pour

Par-- de- acteurs concernés. elle vise ‡ apporter un Èclairage

1 ´ patrouille en permanence pour rappeler les rËgles de savoir-vivre dans les 73.468 logements du parc sur lequel il

veille ª, peut-on lire par exemple in ´ Paris : la police durcit le ton dans les zones sensibles ª, Le Figaro, 13/11/2011.

2Cf. par exemple l Sous haute surveillance. Les vigiles ª, diffusÈ sur TF1 en 2007.

3 Cf. notamment : ´ SÈcuritÈ : pas de policiers mais des vigiles pour les HLM ª, Marianne.net, 04/01/2012. URL :

http://www.marianne.net/Securite-pas-de-policiers-mais-des-vigiles-pour-les-HLM_a214098.html; ´ La sÈcuritÈ, une affaire de plus en

plus privÈe ª, Slate.fr, 18/01/2012. URL : http://www.slate.fr/story/48859/securite-police-privee

4 ´ Les sales mÈthodes du GPIS, chargÈ de surveiller les HLM parisiennes ª, Mediapart, 25/08/2012. URL :

- 6 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgral

Une mÈthodologie qualitative

tive. Pour - in situ (dans les locaux du GPIS et sur le terrain), ce qui reprÈsente 1. première est pleinement assumée : pour des questions de temps et de moyens, nous avons stricto-sensu et de nous concentrer sur les acteurs

points de vue des locataires, leurs retours en tant que cibles et/ou bénéficiaires potentiels du

GPIS, mais ce se

volonté et tient à nos conditions dans les rangs du GPIS de leurs chefs de groupe que nous les avons rencontrÈs et suivis dans le cadre des vacations riche et d compréhension des nouvelles formes de policing 2.

Un rapport en trois temps

Les résultats de ce travail sur le GPIS sont ici restituÈs de maniËre relativement exhaustive au

3. Celui-

actuelle. de vue plus pratique, la seconde partie rend compte du travail au quotidien et -‡-vis des partenaires

développer une réflexion évaluative et prospective, de croiser les regards en la matiËre, ‡ la fois

pour tirer un bilan gÈnÈral du dispositif et pour ouvrir quelques p. 1 Cf. 2

3 Pour une version synthÈtique, cf. Le GPIS. , Rapport synthétique, IAU îdF, mars 2015.

- 7 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgral

1. Un dispositif unique en son genre

de tranquillité, le GPIS singulier. qui ne manque pas de susciter la curiositÈ, un dispositif tout ‡ fait original sécurité urbaine.

1.1. Un acteur singulier dans le

sécurité urbaine quelles circonstances a-t-il ÈtÈ crÈÈ ? -il dÈveloppÈ ? Retour sur les conditions émergence et les Ètapes marquantes vient de .

1.1.1. La marque nouveau rÈgime de coproduction de la sÈcuritÈ

Si atypique soit-il, le GPIS plus général marquÈ par

Une rÈponse ‡ la

la saillance des enjeux de sÈcuritÈ . effectivement sur eux que se focalise le dÈbat public sur des quartiers si communÈment stigmatisÈs se passent mÍme dÈsormais de qualificatifs : nul besoin d populaires ª ou ´ dÈfavorisÈs ª,

les seuls mots ´ quartiers ª, ´ citÈs ª ou ´ banlieues ª suffisent ‡ Èvoquer une sÈrie de

reprÈsentations nÈgatives, ‡ activer un imaginaire collectif crispÈ sur la figure des ´ jeunes ‡

capuche ª, ‡ Èveiller la hantise des ´ sauvageons ª qui empoisonnent la vie des habitants les

moins nantis1. Largement disqualifiÈs, ces quartiers font peur. Ils cristallisent le sentiment

nt les discours politico- (supposÈe) de la

dÈlinquance juvÈnile et de la violence urbaine2. ¿ ce titre, les Èmeutes de novembre 2005 ont

prÈcarisation des populations dans les quartiers3.

Il ne faudrait pas pour autant subsumer ,

sombrer dans une vision par trop alarmiste et rÈductrice qui empÍche de valoriser tout le

potentiel des quartiers4. Aussi importe-t-il de dÈpasser les idÈes reÁues sur les citÈs (im)-

populaires5, de relativiser des zones de non-droit et quartiers habitat social, tou touchés par les phÈnomËnes de Dans un rapport qui a fait date sur le sujet, D. Peyrat esquisse une

typologie par gravitÈ, allant des situations de ´ tranquillitÈ relative ª aux situations de

" la montÈe en rÈgime du niveau de criminalitÈ ª, estimant par contraste sur certains sites rÈnovÈs7.

1 LE GOFF T., MALOCHET V., ´ Jeunes des citÈs : prÈsomption de dangerositÈ ª, , n°164, 2012, pp.25-27.

2 MUCCHIELLI L., Violences et insécurité. Fantasmes et rÈalitÈs dans le dÈbat franÁais, Paris, La DÈcouverte, 2001 ; LE GOAZIOU V.,

MUCCHIELLI L., La violence des jeunes en question, Nîmes, Champ social, coll. " Questions de sociÈtÈ ª, 2009.

3LAPEYRONNIE D., ´ RÈvolte primitive dans les banlieues franÁaise ª, Déviance et société,

2006/4 (vol.30), pp. 431-448.

4 KOKOREFF M., La force des quartiers, Paris, Payot, 2003.

5 BOUCHER M., Turbulences. Comprendre les désordres urbains et leur régulation, Paris, Téraèdre, coll ´ RÈÈdition ª, 2010.

6 PEYRAT D., Habiter, cohabiter. La sécurité dans le logement social

7 USH, Politique de la ville et de renouvellement urbain : quelles nouvelles perspectives pour les ? Contribution

- 8 - IAU îdF Le Groupement Parisien Inter-bailleurs de S. Rapport intÈgral s éléments de relativisation, il ne faudrait cependant pas verser dans sociale et de la discrimination négative1, un symptÙme des transformations es les quartiers populaires ces derniËres dÈcennies2.

La dÈlinquance y est indissociable de la concentration de pauvretÈ, des processus cumulatifs de

sÈgrÈgation sociale, ethnique et spatiale3. Elle est en partie acquisitive (vols, rackets, trafics), liÈe

‡ toute une Èconomie parallËle qui permet de pallier les difficultÈs financiËres et de participer ‡ la

sociÈtÈ de consommation4. Mais elle revÍt aussi une forte dimension expressive. Les dÈgradations, ´ caillassages ª et autres ´ bastons ª

banalisée et constitue une forme de rÈponse, difficilement audible, aux frustrations sociales et ‡

bsence de perspectives 5.

systématique aux règles établies et ‡ ceux qui les reprÈsentent. CaractÈristique de la sociabilitÈ

juvÈnile des classes populaires, cette culture de rue valorise la virilitÈ, la prise de risques et les

dÈfis entre pairs. Dans ces territoires de relÈgation sociale, les bandes sont comme un refuge, un

moyen de regagner une certaine dignitÈ, une estime de soi souvent mise ‡ mal par le systËme

scolaire et par la sociÈtÈ dans son ensemble6ainsi

leur attachement à ce terrain familier, conquis, cherchent à tout prix ‡ dÈfendre dans une

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