[PDF] référentiel technico économique 2012-2016





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Analyses et synthèses - Le financement de lhabitat en 2020

6. ruj 2021. du revenu disponible brut un chiffre en hausse de ... inférieure ou égale à la marge de flexibilité de 20 %



Note sur lutilisation des concepts et définitions

Si il n'y a pas de crédit alors marge brute = marge nette. AU niveau exploitation agricole (système de production) : Marge brute (« marge » dans Olympe) et 



Rapport détape Prix et marges dans la distribution des carburants

28. kol 2012. La marge brute de transport-distribution ... Analyse de la marge nette de distribution ;. ? Analyse des marges de raffinage et de trading ;.



France

prendre en compte pour le calcul du manque à gagner : marge brute ou marge nette : ? la marge brute égale au chiffre d'affaires diminué des charges 



5.3.5 Définition des ratios pour entreprises

Marge brute d'exploitation (sans produits d'exploitation non récurrents) Provisions pour pensions: dotation nette ou utilisation et reprise nettes.



référentiel technico économique 2012-2016

La marge nette est la différence entre la marge brute et la dotation aux amortissements. Produit brut. Le produit brut correspond au rendement commercialisé 



SAU BLE Rotation et Assolement

Marge nette avec aides. Marge nette avec aid. Marge nette avec aide. Marge nette avec aides. Marge nette avec aide Marges brutes avec aides (€/ha).



marges bénéficiaires des entreprises : évolution récente dans un

1. ruj 2015. passant de 40 à près de 46 % le taux de marge brut des. Graphique 1 ... pourquoi la marge nette s'est érodée bien davantage que.



EXAMEN DE LA COMPARABILITÉ ET DES MÉTHODES

22. srp 2010. B. Méthode transactionnelle de la marge nette . ... financiers tels que la marge sur coûts la marge brute ou le bénéfice net.



Marges des oléo-protéagineux :

1. tra 2021. Mais l'Europe est importatrice nette ... commercialisation des graines sont majeurs sur la marge brute moyenne finale obtenue.



La différence entre marge brute et marge nette

14 déc 2022 · La marge brute permet de savoir si une activité particulière est susceptible de générer un revenu ou non Néanmoins la formule à appliquer pour 



[PDF] La marge brute

Cette marge brute obtenue sur l'ensemble des autres produits vendus per- met de payer les dépenses de l'entreprise et de réaliser un profit net (voir Tableau 1) 



[PDF] Le concept de marge brute - Procomptablecom

La marge brute commerciale ou marge sur coût des marchandises vendues ou marge commerciale désigne la différence entre le montant des ventes de marchandises et 



[PDF] Les coûts et les marges

Marge sur coût de revient (ou marge nette) = Prix de vente – Coût de revient La marge commerciale dépend : Des quantités vendues ; Des marges unitaires 



Cours sur la marge commerciale brute et marge nette - Cours-Gratuit

Elle se calcule grâce à la formule suivante : Marge nette = bénéfice net/chiffre d'affaires x 100 Ainsi contrairement à la marge brute l'ensemble des charges 



Marge nette : définition calcul et utilité - Ooreka

La marge nette est un indicateur de profitabilité qui se calcule juste après la marge brute La marge brute correspond à un premier niveau de bénéfice qui s' 



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Formule de calcul de la marge brute : Elle est égale à la différence entre le produit brut correspondant aux recettes globales de l'exploitation et les charges 



Taux de marge marge et taux de marque en gestion commerciale

La marge brute; Exprimer la marge en taux; La marge nette; Qu'est-ce que la marge sur coût variable ? Comment préserver sa marge ?

  • Quelle est la différence entre la marge brute et la marge nette ?

    La marge brute (= chiffre d'affaires - coûts totaux) indique qu'une entreprise est en mesure de dégager un bénéfice. La marge nette, quant à elle (= bénéfice / chiffre d'affaires x 100) mesure via un pourcentage la rentabilité globale d'une entreprise.
  • Comment passer de la marge brute à la marge nette ?

    Pour déterminer la marge nette à partir de la marge brute, retranchez l'ensemble des charges liées à la vente des produits comme les frais de commercialisation ou les frais de distribution.14 déc. 2022
  • Comment calculer la marge nette ?

    La marge nette permet quant à elle de déterminer la rentabilité d'une entreprise de façon globale. En effet, ici, l'ensemble des charges et des produits sont comptabilisés. La formule utilisée est la suivante : calcul taux marge nette = bénéfice net/chiffre d'affaires x 100.
  • La marge brute est la différence entre le prix de vente hors taxe (HT) et son coût de revient HT (pour un produit ou un service). À l'échelle d'une entreprise, la marge brute s'obtient en soustrayant les coûts totaux du chiffre d'affaires.
référentiel technico économique 2012-2016

SOMMAIRE

· Définition, méthodologie et procédure de validation

· Canne à sucre

B80 689 ou B 69 566 à Marie-Galante B 80 669 au Nord Grande Terre B 80 689 au Sud Grande Terre R579 au Sud Grande Terre R 579 au Abymes R 570 au Abymes R 579 à Morne à l'eau B 59 92 à Morne à l'eau R 570 au Nord Basse-Terre B 69 566 en Côte au vent

· Cultures maraîchères

Aubergine Laitue Poivron Cive Tomate Concombre Melon Piment Giraumon Pastèque Haricot Carotte

· Cultures vivrières

Igname jaune Igname Alata (sauf pacala) Igname " Grosse caille »non tuteuré Igname Grosse caille » tuteuré Malanga Patate douce Manioc Banane Plantain Madère en milieu sec Madère en zone hydromorphe

· Cultures fruitières

Ananas Banane d'exportation Mandarine Pomélo Orange Lime Clémentine Maracuja Christophine

· Cultures florales

Alpinia Anthurium hybride Anthurium standard Héliconia

REMERCIEMENTS

Le référentiel technico-économique départemental est un document élaboré avec le concours de l"en-

semble des acteurs du monde agricole. A ce titre, nous tenons à remercier toutes celles et ceux qui ont contribué

à l"actualisation des fiches

?En premier lieu, tous les exploitants agricoles qui ont fourni des informations aux techniciens dela Chambre d"Agriculture, dans le cadre du suivi des exploitations.

?Egalement, les techniciens de la Chambre d"Agriculture pour leur collaboration.

?Enfin, les techniciens, les responsables des structures agricoles (coopératives, SICA, OPA,...) et laDAAF pour leur participation "à dire d"expert » dans le processus d"élaboration et de validationdes fiches

LE REFERENTIEL TECHNICO

ECONOMIQUE DEPARTEMENTAL

DEFINITIONS DES PRINCIPAUX TERMES UTILISES,

LA METHODOLOGIE ET LA PROCEDURE DE VALIDATION

Le référentiel technico économique départemental est un document réglementaire produit par l"Obser-

vatoire économique et social de la Chambre d"Agriculture. Il est prévu dans le cadre du décret n°?38-176 du

23 Février 1988, modifié par le décret n° 93-601 du 27 Mars 1993, suivi de l"arrêté ministériel du 11 Avril 1994

relatif aux références et aux normes techniques et économiques pour l"installation des jeunes agriculteurs (JA).

Ainsi, l"attribution des aides à l"installation, communément appelées DJA (Dotation aux Jeunes) est conditionnée

à la viabilité du Plan de Développement des Exploitations (PDE) du JA?; projet élaboré à partir des références is-

sues du référentiel technico économique départemental.

Ces fiches technico économiques ont pour objet d"estimer la marge brute et la marge nette, à l"échelle du dé-

partement de la Guadeloupe, pour un ensemble de système de culture et d"élevage. La méthodologie utilisée se

conforme aux recommandations précisées dans la circulaire DEPSE n°7019 du 2 Mai 1994.

Au-delà du cadre réglementaire, ces références constituent un outil d"aide à la décision indispensable pour?:

- les agriculteurs (élaboration de projets)

- les conseillers des établissements bancaires et des structures agricoles telles que les coopératives, les Organis

tions de Producteurs Agricoles, les SICA, la Chambre d"Agriculture, etc. (conseil, évaluation, élaboration de

projet, etc.) - les décideurs locaux (politique d"aide aux projets)

Le périmètre de l"étude?:

Le référentiel technico économique porte sur les cultures traditionnelles (canne à sucre et banane

export), vivrières, maraîchères, fruitières?; mais aussi sur les élevages de type bovin viande, caprin

viande, porcin, lapin et avicole (pondeuse et poulet de chair).

La période de l"étude?:

Les références produites le sont sur la base des données collectées sur une période de quatre années.

La CDOA du 3 Mai 2012 entérina la proposition de valider partiellement et en continu le référentiel

technico économique, compte tenu de la charge de travail conséquente nécessaire à son élaboration.

Il a donc été arrêté que chaque année environ un quart du document devrait être validé. Ainsi, à

l"horizon 2016, l"ensemble du référentiel serait mis à jour. Définitions?des principaux termes utilisés :

Référentiel technico économique

Le Référentiel technico économique départemental constitue un ensemble de références et normes techniques

et économiques par productions, quelles soient végétales ou animales, représentatives des systèmes de produc-

tion et déterminées sur un territoire.

Références

Une référence correspond au calcul de la marge brute d"une production végétale ou animale pour une technique

de production et une région agricole donnée. Les éléments constitutifs de la marge brute, du produit brut et des

charges opérationnelles, doivent également figurer.

Marge brute

La marge brute est la différence entre le produit brut et les charges opérationnelles. Les références doivent indi-

quer les marges brutes moyennes les plus fréquemment observées dans le département ou la petite région, sur

les cinq dernières années (2007-2011).

Marge nette

La marge nette est la différence entre la marge brute et la dotation aux amortissements.

Produit brut

Le produit brut correspond au rendement commercialisé multiplié par le prix de vente moyen. Le montant des

primes liées à la production est retenu dans la mesure du possible.

Charges opérationnelles

Elles correspondent à l"ensemble des biens et services consommés, liés à la production. Il s"agit des charges

d"approvisionnement, de travaux par tiers, de main d"œuvre, d"intrants agricoles et d"entretien du matériel.

Revenu agricole

Pour obtenir le revenu agricole, il faut déduire de la marge brute, les charges de structures liés à la production

(fermage, impôts fonciers, cotisations sociales, dotations aux amortissements, etc.).

Ces dotations aux amortissements peuvent être affectées à des plantations (canne à sucre, ananas, banane export,

verger, etc.) ou à du matériel et fourniture (palissage, matériel d"irrigation, bâtiment d"élevage, etc.).

Unité de référence?

L"unité de référence, est pour la production végétale la surface permettant d"assurer la viabilité de l"exploitation.

En revanche, pour la production animale, l"unité de référence peut être tout autre, compte tenu de la nature des

élevages (effectif, nombre de mères, nombre de cages mère...)

Méthodologie :

Les recommandations générales?:

Dans la circulaire DEPSE n°7019 du 2 Mai 1994, il a été établit un ensemble de règles générales pour l"élabo-

ration du référentiel technico économique départemental?; notamment?:

Les références doivent être produites à partir de "?données constatées?», issues des comptabilités de gestion des

exploitations, en provenance d"organismes chargés de la tenue de ces comptabilités, tels que les centres de ges-

tion. Cependant, compte tenu du contexte local qui se caractérise par l"absence de comptabilités analytiques et

d"enregistrements des pratiques culturales, le recours à ces données ne fut pas envisageable. Pour pallier à ces insuffisances, les données collectées le furent sur la base :

des entretiens avec les techniciens spécialisés de la Chambre d"Agriculture, via le réseau d"agriculteurs suivis

des enquêtes complémentaires auprès d"agriculteurs référents de la Consultation d"?"?experts?», en l"occurrence des techniciens de coopératives, sica, etc.

Les références sont produites à l"échelle du département ; cependant, lorsque les caractéristiques agronomiques

et climatiques rendent le découpage nécessaire, le territoire peut être une petite région naturelle.

Afin de corriger les distorsions résultant des aléas économiques et climatiques, les données proposées seront le

résultat de la moyenne des données observées sur trois des cinq dernières années. Elles seront choisies en ex-

cluant les deux années présentant des valeurs extrêmes.

La marge brute est calculée pour chacun des systèmes de culture et d"élevage. Les primes liées à la production,

ainsi que le nombre d"heure de travail nécessaire par unité de surface doivent figurer sur les fiches technico

économique.

L"agrément du projet de référentiel technico économique départemental est du ressort du préfet de région, après

consultation de la CDOA et cela avant la fin de validité du référentiel en vigueur, qui est de quatre ans.

La nature des données collectées

Les prix de vente

Pour l"ensemble des productions végétales les prix de vente retenus l"ont été sur la base de "?dires d"experts?»

et du suivi d"agriculteurs réalisé par les techniciens de la Chambre d"Agriculture. Ces prix correspondent au cir-

cuit de commercialisation de la vente directe. En revanche, pour les cultures de Laitue, Tomate, Citron, Orange

et Concombre, les prix résultent de l"enquête "?Prix producteur?» réalisée par la DAAF1, auprès d"un échantillon

de 250 agriculteurs. Il s"agit ici des moyennes de prix annuels moyens, réalisées sur la période 2006 à 2009.

Ces prix sont pondérés par les volumes et selon les circuits de commercialisation.

Le rendement agronomique

Le niveau de rendement agronomique correspond à une année de référence et son estimation n"intègre pas le

facteur aléas climatique, pouvant fortement impacter le rendement, le cas échéant.

Le Prix des intrants

Comme indiqué dans la circulaire, les prix des intrants (pesticides, engrais, amendements...) sont des moyennes

de prix constatés sur trois des cinq dernières années. Il est important de préciser pour la culture de la canne à

sucre que les prix des intrants utilisés correspondent donc à ceux vendus par les établissements localisés dans

les bassins de production. Cependant, ne disposant pas des données pour les années antérieures, les prix utilisés

sont donc ceux de l"année 2010.

Ces prix proviennent d"une enquête annuelle réalisée par la Chambre d"Agriculture auprès de 10 fournisseurs

(Marie Galante comprise).

Le volume d"intrants

Une attention particulière a été portée sur l"utilisation des produits phytopharmaceutiques, conformément à la

réglementation en vigueur. En l"absence de données sur les volumes d"intrants épandus, nous nous somme

référés aux recommandations formulées sur le portail phytosanitaire du Ministère de l"Agriculture et de la Pêche,

à l"adresse suivante?: http://e-phy.agriculture.gouv.fr/

Le coût de la main d"œuvre

Le coût de la main d"œuvre est le résultat du nombre d"heure global nécessaire à la réalisation des opérations

multiplié par le coût horaire du travail actualisé. Le coût du travail est constitué de toutes les dépenses induites

par l"utilisation du facteur travail. Il comprend le salaire brut (incluant les primes, les congés payés et les cotisa-

tions sociales à la charge du salarié) et les cotisations sociales patronales. Toute heure de main d"œuvre est ré-

munérée, qu"il s"agisse dans les faits, de main d"œuvre familiale, salariée ou du travail réalisé par l"exploitant.

Par ailleurs, le coût horaire retenu est ramené à 11,31€, compte tenu des exonérations des charges sociales pa-

tronales par la LODEOM (Loi pour le Développement Economique de l"Outre Mer)?; à savoir?: - les cotisations d"assurance maladie, maternité, invalidité, décès - les cotisations d"assurance vieillesse - les cotisations d"allocations familiales.

Enfin, compte tenu de l"absence des enregistrements des opérations, la charge de travail étant difficilement quan-

tifiable a donc été estimé "à dire d"expert» et sur la base du suivi d"agriculteurs réalisé par les techniciens de la

Chambre d"Agriculture.

Les investissements matériels et les amortissements

Le matériel d"irrigation?:

Le coût d"investissement moyen en matériel d"irrigation, varie en fonction des systèmes d"irrigation identifiés.

Cependant, les investissements qui ont été pris en compte concernent "?l"irrigation à la parcelle?», à savoir les

matériels constituant les réseaux secondaires (porte rampes) et tertiaires (ligne de goutteurs, de micro asperseurs,

asperseurs). Le réseau primaire (conduite acheminant l"eau de la borne à l"entrée de la parcelle) et la station de

filtration, ont tous deux été exclus, sachant que leur amortissement s"intègre à l"échelle de l"exploitation.

Les systèmes d"irrigation en plein champ des cultures maraîchères et vivrières ont communément recours à l"uti-

lisation de gaines souples, non réutilisables et prises en compte au niveau des charges opérationnelles. En re-

vanche, les asperseurs et micro asperseurs sont amortissables, respectivement sur des durées de 10 et 8 ans.

Tout le reste du matériel est amorti sur 10 ans.

Les prix des matériels quant à eux sont des prix moyens de l"année 2010 calculés à partir des prix collectés au-

près des fournisseurs. Toutes les données inhérentes à l"irrigation nous ont été transmises par la cellule irrigation

de la Chambre d"Agriculture.

Les autres matériels?:

Ils constituent essentiellement les bâtiments d"élevage et les structures hors sol de type abris (tunnel ou plat)

amortis sur 10 ans. Les prix retenus proviennent des fournisseurs de la place.

Les autres amortissements :

Le coût d"implantation des cultures pérennes a également été amorti en fonction de la durée théorique de la

rentabilité économique de la culture.

L"eau agricole

Le prix de l"eau agricole retenu dans le calcul s"élève à 0,08 €/m³. Toutefois ce prix peut varier en fonction des

régions et des fermiers (avec ou sans abonnement, forfait des premiers m³ variable, etc.).

Par ailleurs, le coût de l"eau agricole est difficilement quantifiable en raison toujours du manque d"enregistre-

ments des opérations et des observations par les exploitants. Malgré la présence des factures d"eau, il nous était

impossible de déterminer le volume d"eau affecté à chacune des productions. Nous nous sommes donc appuyés

sur le schéma d"utilisation des eaux pour l"irrigation (Janvier 2004)?; dans lequel les besoins nets moyen en eau

d"irrigation des cultures, exprimés en m³/ha /an, sont déterminés par l"office de l"eau. Nous avons donc retenu

les données se référant à la situation climatique d"une année à carême moyen.

Le transport

Dans la plus part des cas, nous avons considéré que la production est vendues "?bord champ?», excluant alors

le coût du transport et de la commercialisation.

La procédure de validation?:

Afin de garantir la fiabilité des références produites par l"institution et d"élaborer un document partagé par l"en-

semble des acteurs du développement agricole, la validation du référentiel technico économique est prévu dans

le cadre d"une procédure en 5 étapes?: Etape 1: La réalisation des fiches technico économique

Les fiches ont été réalisées avec le concours des techniciens de la Chambre d"Agriculture et du réseau d"agri-

culteurs qu"ils accompagnent. Etape 2: La Vérification-contrôle par la commission technique

Cette commission est composée de techniciens de structures et d"experts dans les productions qui sont les leurs.

Elle a pour mission de donner un avis sur la pertinence des références produites et d"identifier le cas échéant,

les points à améliorer. Etape 3?: La Pré-validation par le comité technique

Ce comité est composé de décideurs d"Organisations Professionnelles, des Interprofessions (IGUAVIE, IGUA-

CANNE, IGUAFHLOR), du représentant de l"Etat (DAAF), des organisations syndicales et des autres structures

œuvrant au développement des filières de production (SICA, Institut technique...). La mission de ce comité est

de pré-valider le projet de référentiel technico économique, avant la validation officielle en CDOA2.

Etape 4: La validation auprès du bureau de la Chambre d"Agriculture

Les membres du bureau de la Chambre d"Agriculture sont tenus informés du contenu des fiches technico-éco-

nomiques, avant la validation officielle

Etape 5?: La validation en CDOA

La CDOA est un espace de décision dans lequel ses membres, nommés par arrêté préfectoral, auront à se pro-

noncer sur la validation du référentiel technico économique.

1DAAF?: Direction de l"Agriculture, de l"alimentation et de la Forêt

2CDOA?: Commission Départementale d"Orientation Agricole

RENDEMENT MOYEN (Tonnes/Ha)150,00 60,00 60,00 55,00 RICHESSE SACCHARIMETRIQUE (%) 9,00 10,85 10,60 9,79

Prix de vente en

/ Tonne56,15 64,32 63,14 59,45

Aide au transport (2,75

/ Tonne) 137,50 165,00 165,00 151,25

TOTAL PRODUIT (

/Ha)2 945 4 024 3 953 3 421 CHARGES OPERATIONNELLES PAR NIVEAU DE RENDEMENT ( €/Ha)

Semences ou plants

Fumure d"entretien

Traitements

Herbicides

Eau d"irrigation

Emballages

Autres approvisionnements

S/TOTAL APPROVISIONNEMENTS

Travaux par tiers

Dont travaux par tiers hors récolte

Dont travaux par tiers récolte

(coupe, chargement, transport)

Carburant, lub., entretien matériel

Assurance récolte

Autres charges opérationnelles

S/TOTAL FOURN. & SERVICES EXT.

Main-d"oeuvre avant récolte (35H)

Main-d"oeuvre récolte

S/TOTAL MAIN-D"OEUVRE

372 372 372 372

88 88 88 88

460 460 460 460

1 318 1 567 1 567 1 442

69 69 69 69

1 249 1 498 1 498 1 373

34 40 40 37

1 351 1 607 1 607 1 479

396 396 396 396

396 396 396 396

TOTAL CHARGES OPERATIONNELLES 2 207 2 463 2 463 2 335 + (Travaux par tiers + MO) ( €/Ha)2 485 3 564 3 493 2 961

MARGE BRUTE (

/Ha)738 1 561 1 490 1 086 AMORTISSEMENT plantation (1)102 102 102 102

MARGE NETTE (

/Ha)636 1 459 1 388 984 (1) COUT D"INVESTISSEMENT ANNEE 1 (€/Ha)

Préparation mécanique du sol528

Plants (y compris coupe)706

Transport, chargement plants 108

Semis manuel, tronçonnage plants461

Recouvrement mécanique85

Herbicide préémergence100

Epandage réémergence23

Recourage277

Forfait "étude technique"130

TOTAL 1888

Aide à la replantation (Plafond)1275

AMORTISSEMENT ANNUEL (6ans)102

Espace Régional Agricole - B.P. 35 - Convenance - 97122 Baie-Mahault - Observatoire Economique et Social de la Chambre d"Agriculture

Tel: 0590.25.17.21 - Fax: 0590.26.07.22 - E-mail : democrite.r@guadeloupe.chambagri.fr

Mai 2012

Année 1

Canne plantéeAnnée 2 Canne 1 errejeton

Années 3 à 4Canne 2

èmeà 3ème

rejeton

Année 5

Canne 4

èmerejeton

Crédit photo : CTCSVARIETE : B 80689 - B 69566MODE de CONDUITE : Plein - champREGION : Marie-GalanteECARTEMENT : 1,60 mRECOLTE : Semi-mécaniséeIRRIGATION : Non DESTINATION : Sucrerie

(1)L"irrigation peut apporter une augmentation du rendement agronomique de l"ordre de 20%

Le prix des intrants concerne l"année 2010

Le coût horaire du travail est de 11,31

? et concerne l"année 2011 RENDEMENT MOYEN (Tonne/Ha)150,00 60,00 55,00 53,00 RICHESSE SACCHARIMETRIQUE (%) 9,00 10,52 10,27 9,46 Prix de vente (€/Tonne)56,15 62,72 61,49 58,08

Rémunération bagasse (10 €/t)

2500,00 600,00 550,00 530,00

Aide au transport (4,76 €/tonne)238,00 285,60 261,80 252,28

TOTAL PRODUITS (

/Ha)3 546 4 649 4 194 3 861 CHARGES OPERATIONNELLES PAR NIVEAU DE RENDEMENT ( €/Ha) TOTAL CHARGES OPERATIONNELLES 1 815 2 010 1 912 1 874

MARGE BRUTE + (Travaux par tiers + MO) (

/Ha) 2 967 4 070 3 615 3 282

MARGE BRUTE (

/Ha) 1 730 2 639 2 281 1 987 AMORTISSEMENT plantation subventionnée (1) 155 155 155 155

MARGE NETTE (

/Ha)1 575 2 484 2 126 1 832 (1) COUT D"INVESTISSEMENT ANNEE 1 (€/Ha)

Préparation mécanique du sol398

Plants (y compris coupe)690

Chargement, transport, déchargement plants 206

Semis manuel, coupe dans sillons407

Recouvrement mécanique + Finition110

Herbicide préémergence128

Epandage herbicide65

Forfait repiquage254

Griffage inter rang60

TOTAL 2207

Aide à la replantation (plafond)1275

AMORTISSEMENT ANNUEL (6 ans)155

Espace Régional Agricole - B.P. 35 - Convenance - 97122 Baie-Mahault - Observatoire Economique et Social de la Chambre d"Agriculture

Tel: 0590.25.17.21 - Fax: 0590.26.07.22 - E-mail : democrite.r@guadeloupe.chambagri.fr

Mai 2012

Année 1

Canne plantéeAnnée 2 Canne 1 errejeton

Années 3 à 4Canne 2

èmeà 3ème

rejeton

Années 5 à 6Canne 4

èmeà 5ème

rejeton

Fumure d"entretien464 464 464 464

Herbicides114 114 114 114

Autres approvisionnements- - - -

S/TOTAL APPROVISIONNEMENTS578 578 578 578

Travaux par tiers1 053 1 237 1 145 1 108

Dont travaux par tiers hors récolte130 130 130 130 Dont travaux par tiers récolte923 1 107 1 015 978 Carburant, lubrifiant, entretien matériel- - - -

Autres charges opérationnelles49 58 53 51

S/TOTAL FOURN. & SERVICES EXT. 1 101 1 295 1 198 1 159 Main-d"oeuvre avant récolte136 136 136 136

Main-d"oeuvre récolte (coupe)- - - -

S/TOTAL MAIN-D"OEUVRE136 136 136 136

Crédit photo : CTCS

(1) L"irrigation peut apporter une augmentation du rendement agronomique de l"ordre de 20% (2)Au-delà de 2012, le montant de la rémunération bagasse sera variable

VARIETE : B 80689

MODE de CONDUITE : Plein - champ

REGION : Nord Grande-Terre

ECARTEMENT : 1,60 m

RECOLTE : Mécanisée

IRRIGATION : Non

DESTINATION : Sucrerie

Le prix des intrants concerne l"année 2010

Le coût horaire du travail est de 11,31

? et concerne l"année 2011

Crédit photo : CTCS

ENDEMENT MOYEN (Tonne/Ha)50,00 60,00 60,00 55,00

RICHESSE SACCHARIMETRIQUE (%)

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